Avis du vol entre Paris et St Denis en classe Affaires avec Air France

Bonjour à tous et bienvenue à bord du dernier opus de la série, le segment RUN-DZA ayant été anticipé pour présenter le nouveau salon Air Austral. 

Le routing en 8 temps est désormais complet. 

J'ai pris congé à la fin du vol de préacheminement sur la mezzanine surplombant les lignes du PIF. 

Juste avant de descendre d'un étage pour me mêler à la foule parisienne. 

Suffisamment chargé, je traverse le duty free sans m'attarder. La PAF est promptement franchie grâce à Paraphe et me voici devant l'ascenseur menant au salon. 

Accueil fort courtois. Je me dirige vers la droite, du côté des buffets. 

Mon arrivée double le nombre des présents. 

Avant de m'installer dans d'alcôve correspondant à l'écran le plus à gauche, je vous propose un tour du propriétaire. 

Ce salon met l'accent sur les alcools des outre-mers dont il accueille les passagers à destination. Une attention qui semble-t-il aux certain succès. 

Un clin d'oeil à la Réunion. 

Côté solides, voici ce qui est proposé un peu avant 18h. 
Salades et fromage.

Charcuteries. 

Tartes chaudes. 

Le coins des sucrés et la salade de fruit.

Des plats seront amenés vers 19h mais je confesse ne pas m'y être intéressé.

Vin de Limoux effervescent. 

Deux whiskies français sont proposés : Talbert a rejoint Bellevoye qui a reçu l'imprimatur pontifical de notre St Pie V. 

A propos de pape, l'élection de Léon XIV est annoncée au moment où une hôtesse du salon propose une coupe de Champagne aux clients. 
Habemus Papam. 

Voici le Champagne proposé ce soir. Je le trouve à mon goût. 

Je décide de prendre une douche et d'adopter une tenue plus conforme à la météo de la destination. Je m'inscris auprès d'une hôtesse qui vient me chercher une vingtaine de minutes plus tard. 
Vue générale. 

Le lavabo et les aménités. 

En rejoignant mon alcôve, je passe devant l'espace Jarvis. 

Je quitte le salon à l'heure de l'embarquement et rejoins les porte D19 et D 20. 

Notre 777-300 est en cours de chargement. 

Un A350-1000 de Frenchbee. Peut-être nous retrouverons-nous à la Réunion ?  

La porte D19 conduit aux sièges avant. 

Le couloir est aveugle et égayé par les couleurs du pétrolier français.

Instant P et, double passerelle oblige, pas de fuselage shot. 

Pas de vue générale de la cabine, la plupart des pax étant déjà installés. Ce n('est pas l'une des plus récentes. Je rejoins mon siège, 3A avec vue directe sur le hublot. Couvertures, coussin et chaussons sont installés. 

Le casque est dans son placard de même que la trousse de confort. 

Dont voici le contenu. 

L'écran est riche en reflets. 

La vue n'est pas vraiment dégagée. 

Le menu du soir est distribué. 

Voyons ce que AF nous propose. 
D'abord le dîner : j'ai préservé la pintade. Ce qui n'a pas été pris en compte puisque la CC vient s'enquérir peu après la distribution du menu de mon choix. 

Le petit-déjeuner. 

En cas de petite faim au cours de la croisière. 

Passons aux liquides : les blancs, effervescents ou pas. 
Je trouve la proposition intéressante. un chablis que j'aime bien et un Limoux qui mérite d'être goûté (et qui permet à AF de sortir des sentiers battus à bon prix.)

Les rouges, sans surprise. 

Les digestifs et les boisson non alcoolisées. 

Le verre de bienvenue est proposé. À votre santé !

Nous repoussons à l'heure où le soleil prend congé. 

Nous nous élevons doucement au-dessus de la banlieue sud de Paris. 

Au loin Paris et encore plus loin, La Défense, dans le brouillard de pollution. 

Les tours parisiennes . 

La mégapole française s'étend à perte de vue. 

Nous franchissons la couche nuageuse. 

La cabine, où deux sièges sont libres, profite des divertissements. 

L'apéritif et l'amuse bouche sont servis. Je m'accorde un Bellevoye pour accompagner la crème de betterave à la framboise et fromage de brebis. J'apprécie. 

Un peu plus tard, c'est au tour de l'entrée et de la salade. J'accommode avec un verre de Chablis. 

Salade de courgettes crues.à l'estragon et fromage frais de brebis, crevettes aux agrumes et pommes acidulées. Très frais et très agréable. 

Le service s'adapte au rythme du passager. Le plat est ainsi présenté. 

Pintade, sauce moutarde, lentilles vertes, jeunes pousses d'épinard. C'est tout bonnement excellent !

Arrive le tour du trio de fromages. Le Roquefort a été remplacé par un bleu quelconque. 

Et le dessert en deux temps : Entremet évasion framboise citron et espresso. 

Glace au chocolat et second espresso pour terminer. 

Les agapes s'achèvent au milieu de la Méditerranée. 

Quelques heures plus tard, je soulève discrètement le hublot. 

Le soleil se lève au large du nord est de Madagascar. Il nous reste 1h22 de vol.

Le petit déjeuner est servi. 

J'opte pour la tartine de muffin au saumon et légumes acidulés, Osa-Irraty AOP. C'est bon quoique un peu étouffe chrétien. 

Croissant et brioche. 

Et un dernier espresso.

L'immensité invite au rêve. 

Nous poursuivons notre descente vers RUN.

Je suis du mauvais côté de la cabine pour profiter de la vue toujours magnifique sur l'île de France.
Nous atterrissons à l'heure. 

Les hauts sont encore dégagés. Nous passons en revue le hangar de Helilagon. 

Il n'y a plus de A220 sans moteur dans le hangar UU. 

F-OLAV, l'un des 3 A220, qui s'envolera dans l'après-midi pour TNR.

Frenchbee nous a précédé. 

Nous stationnons à l'extrémité du terminal (d'où je repartirai quelques heures plus tard avec F-OTER).. Le débarquement est rapide, la déambulation dans une aérogare toujours en travaux pas toujours pratique, la PAF nous est épargnée et j'arrive dans la salle de livraison des bagages. 

Je ne m'attarde pas et me dirige vers l'arrêt d'autobus afin de rejoindre le centre de St Denis où je m'en vais retrouver une amie. 

Le dernier segment a déjà été publié. Le lien figure dans le routing en début de reportage. 

Ainsi s'achève le parcours avril-mai.

Merci de votre lecture et à très bientôt !