Avis du vol entre Paris et Bangkok en classe Affaires avec Air France

Bonjour à tous,

Je vous retrouve pour un nouveau routing concernant mon dernier périple asiatique, comprenant neuf segments, ils seront tous reportés.

C'est réglé comme du papier à musique, Chevelan positionne chaque année ses vacances annuelles comme suit : Quinze jours début mars, idem début juin, pareil début septembre, ainsi que la deuxième semaine de décembre. Cette année diffère un peu des précédentes, en effet, des contraintes professionnelles m'oblige à poser en 2025, les troisième et quatrième semaines de juin. Aussi je vais devoir une fois de plus voyager seul, ( du moins c'est ce qui était prévu à la base ), lors des 5 premiers mois de l'année, ma douce moitié est rentré précipitamment à Taïwan pour des raisons familiales éprouvantes, en janvier, avril et début juin. A présent, il ne retournera plus au pays avant un bon moment.

Pour ces congés d'été, j'ai quelques priorités : Voler avec AF ou KL en J afin d'utiliser mon voucher de 800 €, ( obtenu en compensation du retard de 9 heures subit, lors de mon dernier déplacement au Pérou en mars dernier. ), m'offrir de très bons hôtels, cumuler au moins 102 XP dans le but de maintenir le status Platinum. Dans l'idée de base, ce voyage doit me permettre de me détendre sans trop crapahuter…

Je souhaite depuis un bon moment me balader aux USA, en incluant les villes de : Philadelphie, Atlanta, La Nouvelle Orléans et San Francisco. Le prix des billets inter continentaux sont délirants en J, malgré mon budget d'environ 2700 €, ( incluant le bon d'achat ), et question détente et repos ce n'est pas vraiment l'idéal, vu que je ne connais pas les 3 premières villes !

Je désire aussi retourner en Colombie, mais cette destination est accessible aux ressortissants de Taïwan, ce serait plus sympa de m'y rendre plus tard, en couple.

Un détail fait basculer la balance, la desserte de Manille par Air France, assurée de nouveau depuis quelques semaines avec un Airbus A350, mais je ne pense pas passer 15 jours aux philippines, et l'aller-retour depuis l'Europe coûte un bras ! Alors que faire ?

Je choisi un itinéraire multi-destinations, et regarde les tarifs avec des aller simple vers BKK, SIN, ICN… Et un retour depuis MNL. Les tarifs les plus intéressants se trouve au départ des deux aéroports de Milan, ( ça tombe bien puisque je ne paye pas le train en Suisse, et bénéficie du demi tarif dans le reste de l'Europe ), sans surprise Bangkok sort du lot en proposant le prix le plus "abordable", ( 2620 € - 800 € = 1820 € ), ce deal reste dans mes cordes. Je réserve le billet directement sur le site de notre chère compagnie nationale. départ le 14/06 de LIN, retour le 28/06 de MNL, via CDG dans les 2 cas… Evidemment !

Je n'ai pas l'intention de moisir à Bangkok plus de 24 heures, j'ai le choix de continuer vers la Malaisie, Singapour et Manille où aller au Cambodge, Kuala Lumpur ou Singapour, et Manille. Ce qui m'incite à choisir le pays Khmer, se sont les 2 hôtels Raffles, celui de la capitale et celui de Siem Reap, ( Angkor ), surtout que les prix hors saison sont très attractifs, il ne me reste plus qu'à me décider entre la Malaisie et Singapour, je regarde sans trop d'espoir les prix pratiqués dans le fabuleux et mythique Palace Raffles de l'île état. Certes, ce n'est pas donné, mais je dispose d'un matelas de point All Accor qui me permet de réserver 2 nuits dans l'établissement préféré à Singapour, de la jet set mondiale,

Je compte passer 7 nuits au Cambodge : 2 à Phnom Penh, 3 à Sihanoukville la station balnéaire du pays, et 2 à Siem Reap. Pour se faire, je réserve des aller-simple de BKK à PNH, et KOS vers SAI, avec des compagnies cambodgiennes et SAI vers SIN, en direct avec SQ, les 3 segments seront effectués en Y, ( Singapor Airlines demande plus de 1000 € l'A/S en J, entre SAI et SIN à cette période ! ), j'ai seulement pris l'option : Sélection du siège payant, près des issues de secours à 38 €…

Je termine le trip à Manille à l'hôtel Admiral MGallery, en face de la marina avec 3 nuits à la clef. Il était possible de m'y rendre directement depuis Singapour avec : Philippine Airlines, Cebu Pacific, Scoot et Singapor Airlines, les tarifs en éco. s'étalent de 86 € avec la low cost de SQ, à 190 € avec la maison mère. J'élimine d'entrée Scoot et ses horaires de la muerte, Cebu Pacific, ou l'on est serré comme des sardines, les 3 vols quotidiens effectués par PR, ne le sont pas à des horaires convenables, reste SQ et ses 6 vols quotidiens… Finalement, je choisi un aller simple en Y avec MH, de SIN à KUL et un second A/S toujours avec Malaysian en J, entre KUL et MNL, avec un départ à 10h00 de l'hôtel, c'est cool.

Il y aura des remaniements de vols durant le voyage, j'en parlerais en préambule dans les reports concernés…

Comme mentionné plus haut, je devais voyagé seul … Deux mois avant le départ, ma fille m'annonce quelle a été licenciée et que sont moral descends dans les chaussettes, je lui propose de m'accompagner en Asie afin de lui changer les idées, sa réponse est immédiate, c'est oui ! Je lui prend un billet au départ de GVA, ( elle habite dans la Drôme près de Valence ), avec l'itinéraire suivant : GVA - BKK // MNL - GVA, avec LX à l'aller via ZRH, et TG au retour via BKK, puis OS de BKK à GVA via VIE, le tout en Y, il est généreux le paternel mais ne possède pas la banque de France !

Les vols intra Asie sont identiques aux miens, sauf le billet SIN-MNL, via KUL acheté en éco. J'ai dû aussi modifier toutes les chambres d'hôtels, passant de lit king size à deux lits simples…

C'est le moment de passer au deuxième récit du voyage.

Première modification d'un vol

La veille du départ, à 20 heures alors que je suis sur le point d'aller dîner, ( à l'hôtel Best Western Linate ), ma fille m'appelle et me dit que son vol ZRH - BKK vient d'être annulé ! Swiss lui propose de la re protéger gratuitement sur un vol LH, via MUC le jour même. Elle accepte évidemment cette option. Ses vols sont décalés de quelques heures par rapport à ceux annulés, au lieu d'arriver 30 minutes après moi à Bangkok, ( 9h45 ), elle se pointera à 13h50, avec 40' d'avance sur l'horaire initial, prévu à 14h30 !

Depuis le 1er mai, la Thaïlande demande pour entrer sur son sol, un QR code sanitaire, (délivré gratuitement), ce dernier est téléchargeable 72 heures maximum avant la date d'arrivée dans le pays. Par précaution j'ai imprimé le document, en plus de l'avoir enregistré sur mon téléphone… Prévoyant le Chevelan.

Retour à CDG

A la suite d'un excellent moment passé en compagnie de mon ami, je reprends le métro à la station " Anvers " à 13h45, puis le RER à la Gare du Nord, comme souvent je compte large pour me rendre à l'aéroport…

Une fois de plus j'ai eu le nez creux ! En effet, 300 mètres avant l'entrée en gare du Bourget, le train s'arrête en freinage d'urgence, un signal d'alarme a été tiré. Le Mécanicien annonce qu'il est obligé de remonter tout le train pour son inspection, et que l'opération va prendre un peu de temps. Il revient une dizaine de minutes plus tard… Nous rejoignons en mode dégradé la station du Bourget à 25 km/h, règle de la marche à vue, ( les cheminots du site savent de quoi je parle).

La poignée à été tirée suite à l'agression d'un passager étranger. La rame est immobilisée en gare et nous sommes invités à prendre le train suivant arrivant sur le quai opposé. La bonne nouvelle est que le RER est direct jusqu'à la station du Terminal 1 de CDG. Je descends au terminus. En tout le retard n'exédera pas 20 minutes.

Le mythique FIDS du Terminal 2, m'indique que le vol AF198 vers Bangkok part de la jetée L du Terminal E.

Un très long cheminement commence pour me rendre sur place.

Arrivé dans le Terminal E je jette encore un oeil, ( rassurez vous je l'ai récupéré ! ), sur les écrans.

Pour accéder airside, je dois traverser une bonne partie de l'immense hall, emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne…

L'entrée de la file prioritaire se situe derrière l'horloge Rolex.

Pour se repérer il suffit de lever bien haut la tête.

Si l'accès lambda est relativement fréquenté, celui dédié aux pax prioritaire est désert, le passage par la PAF n'est qu'une formalité ultra rapide via Parafe, c'est toujours un temps précieux d'économisé !

CDG Terminal E, jetée L airside

J'emprunte ensuite le VAL pour me rendre vers la jetée L.

j'en profite pour saluer le personnel de l'aéroport, les deux employé(es) sont surpris et me réponde par un " Bonjour" sur le bout des lèvres.

Après un trajet de quelques minutes me voici au bon endroit, le train continu vers la jetée M. Comme dirait ma douce moitié, " Dior j'adore ".

Je dois passer le PIF qui ne me prends qu'une poignée de minutes, ici aussi le fast track est efficace, rien à changé depuis mon dernier passage, 15 jours plus tôt…

L'embarquement doit débuter dans une heure, j'ai le temps de passer au salon afin de me doucher. Le Monsieur chargé comme une mule s'en va à Tahiti, l'heureux homme !

Salon Air France de la jetée L

L'accueille courtois de la part de deux employés m'enchante, je ne traîne pas dans l'immense salle clairsemée…

… Et me dirige directement vers les douches, dont l'accès est libre.

Les lieux sont vastes et propres. Serviette et drap de bain sont disponibles, ainsi que quelques amenités. 

C'est propre, frais et dispo que je quitte la salle d'eau, il ne me reste que quelques minutes pour profiter du salon, ma sélection très sobre…

Cheminement vers la porte L30

Le verre d'eau avalé je prends le chemin du Terminal, la porte d'embarquement se trouve au fond de la jetée.

Vue sur les opérations, le terminal E regorge d'empennages " code barre ".

Le célèbre chat de la jetée L, afin de ne pas le réveiller il est explicitement demandé aux gens de ne pas l'escalader.

Voici le bel oiseau destiné à me conduire en Thaïlande.

L'embarquement n'est pas encore lancé, il y a du retard à l'allumage.

L'embarquement

Les premiers à être appelés sont sans surprise, les PMR et les familles avec des enfants en bas ages.

Suivent les nantis des zones 1 et 2, cette file est très chargée.

Les fauves sont lâchés, ça n'a pas l'air sur la photo mais l'attente sera courte, je scanne mon BP quelques minutes plus tard.

Encore un arrêt avant de pouvoir pénétrer dans la passerelle, l'embarquement est bien organisé avec un couloir réservé aux pax prioritaires, et un autre pour… Les autres !

C'est avec une infinie lenteur que nous accédons dans le finger vitré.

Tentative d'un quart de fuselage shot.

Et d'un 3/4 " Instant porte ".

La vie à bord

L'accueil au seuil de la porte par un couple de PNC est fort aimable, je suis dirigé prestement vers mon siège.

La cabine tape dans l'oeil, je la trouve très jolie.

La Business Class affiche complet aujourd'hui.

Un bel oreiller et une couette sont disponibles.

La boite à pieds, arrgh ! Ce n'est pas l'idéal…

Un rangement profond se trouve près de la boite à pieds.

Platine de boutons concernant le réglage des positions du fauteuil, la lampe, et l'appel du personnel de cabine.

Un écran tactile s'affiche en doublon avec la platine précédemment citée. 

Derrière le portillon siglé de l'hippocampe se cache une bouteille d'eau et le casque, ainsi qu'un miroir et un étui, parfait pour loger une paire de lunettes.

La têtière réglable.

Le plafonnier réduit dans sa plus simple expression.

L'écran de l'IFE s'avère être de très bonne taille.

Le casque est de bonne facture.

Prise USB et chargeur de téléphone .

N'ayant pas de veste à ranger je laisse le cintre en évidence, ce dernier sera récupéré par l'une des hôtesses de passage.

Kit fiche de sécurité et sac vomito.

J'active les caméras.

La trousse de courtoisie est distribué à la fin de l'embarquement.

En voici son contenu.

La résolution de l'IFE est de bonne qualité, la géovision fonctionne normalement. Le CDB annonce un départ retardé d'une heure, selon la formule habituelle : " Suite à l'arrivée tardive de l'appareil ".

Les pleins de carburant sont en cours, les passagers sont invités à ne pas attacher leur ceinture de sécurité.

L'embarquement se termine, tandis que Germaine courtement vêtue est la dernière à s'installer…

Le verre d'accueil est alors distribué, sur un vol Air France j'opte toujours pour le Champagne !

Les menus sont à présent distribués.

Le Chef triplement étoilé Régis Marcon et La meilleure pâtissière de France Nina Métayer, sont les ambassadeurs du catering actuel proposé par AF.

Au menu du dîner…

Pendant le vol.

1h30 avant l'atterrissage…

Le sommelier Xavier Thuizat s'attèle à la carte des vins.

Le Champagne "Pommery Brut Royal" a été sélectionné.

Les vins blancs au programme de ce vol : " L'indomptable de Cigalus 2022 " et " Chablis 2023 Les Chanoines "

Les vins rouges : " Pessac-Léognan 2019 Chênes de Bouscaut " et " Crozes-Hermitage 2021 Les Maysonniers M. Chapoutier ".

Pour l'apéritif la carte propose du Gin, je suis sauvé ! On remarque que la marque de la Vodka reste mystérieuse !?

Si je devais choisir entre une bière Kronenbourg et le Pays Flamand, je prendrais la Belge, une fois !

Cognac, Calvados et Armagnac restent des digestifs ancrés sur les cartes des menus de la plupart des compagnies aériennes. Les eaux minérales sont françaises, les sodas américains et les jus de fruits ???

Choix de cafés, thés et chocolats complètent l'offre des boissons chaudes.

Un oshibori rafraîchissant est distribué.

Nous repoussons accusant l'heure de retard annoncé par le cockpit, le film des consignes de sécurité est diffusé dans la foulée.

Ce Boeing 777 est en cours d'avitaillement.

Le roulage s'effectue sous les nuages, l'orage guette.

 15 minutes sont nécessaires pour rejoindre le doublet nord, c'est parti pour 11 heures de vol.

Les deux tours et le Terminal 1 en fond d'image.

Décollage vers l'Est, quelques turbulences surgissent.

Juste avant d'entrée dans la crasse…

Je lance le premier film " Monsieur Aznavour ", biopic fidèle à la vie et la carrière du célèbre artiste franco-arménien.

Après un large virage à 180°, nous survolons l'Est de la France, l'Allemagne, l'Autriche, le sud de la Hongrie et le nord de la Croatie.

C'est à ce moment que le service de l'apéritif commence, je choisi un Gin Tonic, élémentaire mon cher Watson… Les mini crêpes fourrées complètent l'ensemble, je n'ai pas accepté l'amuse bouche à base de fromage de chêvre, bêêêh.

A table !

Le dîner suit l'apéro une trentaine de minutes plus tard, la nappe en tissu est dressée sur la tablette dépliée.

Le plateau composant les entrées tel que déposé.

Les couverts sont en métal logotés AF.

Légumes verts et coulis d'herbacées, dos de truite saumonée et crème de raifort.

Duo de salades.

Baguette et pain de campagne.

J'ai commandé le plat chaud lors de la réservation du billet : "Boeuf braisé et jus acidulé, Flan de carottes épicées et champignons."

Eau gazeuse Perrier et vin rouge Pessac-Léognan accompagnent les agapes.

Je décline le fromage mais m'octroie 2 desserts, " Plaisir croquant noisette et caramel " + " Sorbet de fruits rouges ".

Je termine le festin avec un expresso et un Cognac, la dose d'alcool accordée ne me fera pas tituber dans les couloirs de l'avion…

Le repas se termine aux confins de la mer noire. Sur ce vol, les PNC sont très prévenant(e)s, sympathiques et souriant(e)s.

Ensuite je positionne le siège en full flat et essaye de fermer les yeux, une sieste de quelques heures et le visionnage d'un deuxième film m'amène tranquillement vers l'heure de l'éclairage de la cabine, signifiant le service du petit déjeuner. Une serviette brûlante est distribuée.

Le plateau m'est apporté une dizaine de minutes plus tard, l'équipage est toujours aussi charmant.

Des turbulences se font sentir au dessus du Myanmar, j'ai opté pour le Flan aux champignons et épinards, qui s'avère particulièrement délicieux.

Le Capt'ain avait annoncé lors du départ à Paris, une météo orageuse et une température de 27° à l'arrivée à Bangkok, le temps est plus clément que prévu, mais nous n'allons pas nous en plaindre…

Le paysage caractéristique de la plaine centrale thaïlandaise, reconnaissable entre tous, ce doit être la 76 ème fois que j'atterris à BKK depuis mon premier trip au pays du sourire, en 1993 ! ( Avec AOM en Y, à bord d'un DC10-30 ). A l'époque, l'actuel DMK était la porte d'entrée dans la cité des anges, souvenirs, souvenirs…

En finale au dessus des champs inondés, le ciel se couvre à nouveau.

Nous touchons les roues sur la piste située à l'ouest de l'aérogare. Le retard a été partiellement rattrapé… 

L'avion quitte la piste au niveau de la caserne des pompiers.

Le taxi longe le Terminal ou plusieurs oiseaux TG ont élu domicile, la pluie fait son apparition.

L'heure de pointe est écoulée, l'aéroport semble désert où presque.

Le débarquement

L'Airbus stoppe devant la porte E7, deux passerelles sont connectées à la carlingue de l'avion.

Je suis dehors parmi les premiers, deux PNC saluent les passagers… La distance entre le point de stationnement et les postes de l'immigration avoisine 900 mètres ! Heureusement que le transport hectométrique fonctionne…

Le flot des voyageurs s'accumule à mesure que l'on approche du but.

A gauche les files pour les passagers des classes économiques, à droite celles réservées aux VIP et nantis des classes affaires et Première

Pour être admissible aux comptoirs VIP, il faut simplement présenter sa carte d'embarquement mentionnant la classe de voyage, AF ne distribue pas de coupon " Fast Track " à bord de l'avion. Les pax détenteurs de status Gold et supérieurs, mais voyageant en Y et W ne sont pas éligibles à la file prioritaire…

L'attente au comptoir est négligeable, l'agente regarde furtivement le QR code affiché sur mon téléphone, une photo et l'emprunte de 4 doigts de la main droite plus tard… Je me retrouve dans la salle de livraison des bagages. La PAFwomen n'était pas spécialement accueillante, mais a quand même timidement répondu à mon " Every good day", en franchissant l'aubette.

La salle de livraison des bagages arbore une belle frise exposée sur le mur de séparation des deux halls.

Le tapis 14 alloué à Air France est situé à l'opposé de l'immigration, gulps !

Si GVA, MAD et CDG sont à la traîne concernant le délais de livraison des bagages, BKK et SIN sont à la pointe ! Ma valise arrive en priorité moins d'une dizaine de minutes après mon arrivé sur les lieux. Chapeau bas, Mesdames et Messieurs les bagagistes…

Ma fille n'arrivant qu'aux alentours de 14h30, j'ai tout le loisir de rejoindre mon hôtel situé près du stade national, en plein centre ville. 

Comme toujours depuis de nombreuses années, j'utilise le City Express et le BTS pour relier l'aéroport à Bangkok down town, au tarif d'environ 1,80 € de bout en bout, durée ; Moins d'une heure ! Qui dit mieux ?

Merci de m'avoir lu, à bientôt pour la suite du routing.