Bonjour à tous,
Bienvenue à bord de la machine à remonter le temps. Après vous avoir emmené de CDG à TLS, je vous propose de redécouvrir le produit KQ LC que je n'ai pas publié depuis décembre 2023 en vol de nuit et octobre 2024 en vol de jour.
Rappel de l'itinéraire à rebours :
Enchainement de vols
- 1KQ112 - Affaires - Nairobi –> Paris - Boeing 787-8
- 2
Le vol en provenance de DZA se voit attribuer une passerelle. Le débarquement est d'autant plus rapide que je suis à l'avant.

Peu de monde en ce milieu d'après midi et le PIF est franchi rapidement.
Je vous épargne un nouvelle série d'images des couloirs de NBO et vous retrouve directement dans le salon Pride.
Si les lieux n'ont pas changé, le buffet a été réorganisé depuis mon dernier passage début octobre 2024.
Les marmites et leurs chauffe-plats sont désormais à droite de la partie restauration.

A la place se trouve un stand de Kebab à la demande;

On peut également obtenir des pâtes et des sandwiches.

Le long des vitres, une partie du salon accueille le bar et le buffet des desserts.

Ici les fruits.

Là les pâtisseries. Je note un net progrès en ce qui concerne ces dernières.

Alcools et café sont servis au bar. Au premier plan la marque d'eau KQ produite et embouteillée dans l'usine de la compagnie, remplace l'eau DASANI du groupe Coca Cola. Le changement est supposé réduire les coûts et être bon pour l'environnement.

L'eau gazeuse est toujours achetée à un fournisseur externe.

Instruit avant le vol vers BKK effectué dix mois plus tôt du catering limité à bord des vols du soir, je décide de dîner vers 20h. Le kebab étant épuisé, je demande un plat de pâtes que j'accompagne du sud-africain de service. Et de l'eau Quench destinée comme son nom l'indique à apaiser la soif.

Je termine par ce dessert.

Je rejoins la porte à l'heure théorique de l'embarquement et découvre que celui-ci va s'effectuer par bus.

Les bus tardent à arriver, les gens s'impatientent et un sympathique chaos contre lequel les agents KQ ont décidé de ne rien faire, s"installe.

Nous passons devant un premier appareil.

Voici notre 788. Un premier bus a déjà vidé son chargement.

Il n'est évidemment plus question de priorités. Heureusement pas de cri "no photo" alentour. Cela me rappelle les embarquement à TNR dans les vols AF en direction de Paris.

En attendant, je vous présente notre plus proche voisin.

La lente montée des marches me permet de vous proposer cette image du GEnx-1B 70/75 gauche.

Le fuselage.

L'instant P réglementaire.

Au sommet de l'escalier, virage à gauche vers la cabine business avant.
La plupart des pax étant d'ores et déjà à bord, je limite la prise de photo. Les nouveau lecteurs trouveront sans mal des images dans de précédents reportages.

Mon siège avec l'armement classique.

Le casque.

Ca couverture et le coussin rejoignent le sur matelas entreposé dans l'ottoman. Le pas(rafe) est bien sûr très généreux.

Le remps de cette petite visite, l'embarquement se poursuit.

Les PNC proposent le verre d'accueil : champagne et eau pour moi.

Puis c'est le tour du menu des réjouissances, en français.

Il existe trois façons de faire passer le solide : boissons sans alcool.

Bières et alcools forts.

L'immuable cave KQ.

La prise de commande est réalisée avant le décollage. Celui-ci intervient avec une heure de retard suite à cet embarquement chaotique.
Le service se met en branle une vingtaine de minutes après le départ.
Vue générale du plateau.

J'ai opté pour la brochette de poulet. Elle se conjugue au singulier comme la crevette LH.

La tarte à la crème aux amandes et au citron.

Tout ceci n'est pas particulièrement premium et confirme qu'il vaut mieux ne pas oublier de dîner au salon. Le repas terminé, la cabine est plongée dans la pénombre. On compte davantage de dormeurs que d'insomniaques. Il est vrai que le programme de l'IFE n'est pas séduisant.

Nous approchons de Marseille lorsque le petit déjeuner est servi.

Le plateau tel que déposé par la PNCette sur la nappe brodée. On trouve du grand classique :

Des fruits frais.

Jus et yaourt aux fraises.

Le plat chaud est servi dans une assiette trop grande pour le plateau. Immangeable.

Nous survolons le sillon rhodanien lorsque ces mémorables agapes s'achèvent.

Il reste encore une petite heure de vol et nous accuserons un retard d'au moins trois quarts d'heure ce qui va tendre la correspondance.

Le soleil se lève.

Nous faisons le tour de Paris pour rejoindre le circuit d'atterrissage. Celui-ci se passe sans encombre, le roulage est long et nous atteignons notre point de stationnement avec une heure de retard. Le passage à la douche du salon semble compromis. La correspondance des bagages se fera-t-elle sans heurt?
La réponse est déjà publiée dans le FR suivant. Je prends congé avec cette vue de notre 788.

Merci de votre lecture et à bientôt !
Une prestation pas si convaincante au final, mais le salon est de bonne facture (comparativement à ce que j'ai pu voir et vivre ailleurs en Afrique).
Le siège à l'air confortable malgré qu'il en soit pas au gout du jour. Il est vrai qu'il y a surement mieux pour moins cher (mais pas en vol direct alors).
Merci pour le FR !
Hello Franck
Le salon n'est pas mal du tout, et l'offre nourriture très correcte.
A bord, je vais te surprendre mais j'aime bien ces vieux fauteuils et les immenses ottomans, c'est bien mieux que les boites à pieds serrés.
Si tu n'as pas aimé le catering, la présentation s'en sort bien.
Le retard n'a pas été comblé et la correspondance se trouve impacté.
LISA faisait des siennes à CDG, Paris vous aime...
Merci l'ami pour le partage, à bientôt.