Avis du vol entre Toulouse et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous et ravi de vous retrouver.
Comme tout bon ex-élève pas tout à fait sorti du giron de l’école, le temps de la rentrée est venu. Je dois donc rejoindre TNR en cette extrême fin du mois d’août. Je vous ai narré dans le premier épisode du routing aller que vous pouvez retrouver ci-dessous :
Préambule :
Pour (re)découvrir l’épisode 1 : TNR – SMS : c’est par là !
Pour (re)découvrir le palpitant épisode 2 : SMS - TNR : c’est ici !
TNR – NBO reporté ici
NBO-CDG Business Class : c’est ici
Contraintes et opportunités ayant présidé au choix de l’itinéraire.
Les prix en aller simple étant de toute façon déraisonnables, l’achat d’un billet prime pour le retour s’imposait également. Mes deux impératifs : un coût en miles « raisonnable » et un vol de nuit sur le LC. Comme à l’accoutumé, AF en configuration COI et en période de vacances scolaires est hors de prix. Reste KQ. Problème, le vol CDG-NBO est un vol de jour qui oblige à passer la nuit à NBO en vue de la correspondance pour TNR. La solution passe par AMS. Si l’impératif « horaire » est respecté, le montant en miles est déraisonnable au départ de TLS : 200 000, rien que ça ! Par contre, on retombe à 75 000 au départ de CDG. J’achète donc le billet en ajoutant quelques 200 euros. A ce stade de ma réflexion, j’envisage de rejoindre CDG par la route puisque je peux rendre mon véhicule TT n’importe où sans pénalité financière. Puis, la date approchant, je ne suis pas sûr d’avoir envie de partir très tôt où de passer une nuit à CDG. J’achète donc en mai un TLS-CDG. N’étant pas du tout sûr que mes bagages seront enregistrés pour TNR depuis TLS puisque je suis sur deux réservations différentes, je joue la sécurité et décide de partir de TLS par le vol de 10h35 et non à 13h45.
A l’heure où je débute la rédaction de cette série, l’aéroport de TNR est bloqué par la grève des personnels au sol de MD : ceux-ci refusent d’accomplir leur travail d’handling agents pour le compte des compagnies françaises car ils accusent la France d’être responsable du maintien de MD dans l’annexe B de la liste noire européenne. Plus tôt dans la semaine, le vol AF a été dérouté sur RUN ; SS a annulé ses vols. A priori KQ n’est pas français ou européen. Beremos…
Ce premier FR retour nous conduit donc de TLS à CDG. Rien d’extraordinaire a priori, sauf qu’il y a toujours des surprises, agréables ou pas à faire partager.
Place donc au FR qui, une fois n’est pas coutume, ne se terminera pas par un bonus ;-)
Arrivée à TLS aux alentours de 8h30 en ce 29 août. La météo est à l’image de l’été 2014 : pourrie.

Le tram n’est pas encore opérationnel.

Direction le hall C où sont effectués les enregistrements d’Air France et Hop.

Vue générale des lieux.

Affluence assez forte en ce vendredi matin mais ce n’est plus le grand rush.

Passage par la borne

Puis direction les comptoirs Sky priority.

Je suis fort sympathiquement accueilli –à double titre- demande s’il est possible d’enregistrer mes bagages jusqu’à TNR et reçois comme réponse un « avec plaisir » ponctué d’un très joli sourire. J’eus donc pu partir 3 heures plus tard.
C’est d’ailleurs au cours de la longue attente consécutive à CDG que je rédige ce FR.

Rien de particulier à signaler à TLS hormis que la boutique chère à Icare est fermée.

Mon vol est annoncé à l’heure et je m’efforce de ne pas laisser trainer mes bagages à main.

Ambiance estivale… on se réchauffe comme on peut.

L’escalier menant au niveau arrivé est orné d’un fac-similé médiéval.

« Voici comment nous boutâmes l’Anglois… »

Il est temps de rejoindre le PIF. Afin de ne pas sombrer dans l’ennui, j’utilise cette fois-ci celui du hall B.

Peu de monde. Néanmoins, l’agente en faction me prie d’utiliser le parcours Skypriority dont la mise en place en ce lieu me paraît récente.

Me voilà rapidement airside. Je note un net progrès dans l’attitude des préposés aux contrôles à TLS.

Je déambule tranquillement vers le salon. Lorsque je prends cette photo, un agent de sécurité vient très poliment me demander de ne pas photographier d’installations de sécurité –il y en a une derrière la baie vitrée- et qu’il n’y a aucun souci avec les avions. Je le remercie de sa courtoisie.

Je trouve un lieu à partir duquel spotter.
Beluga n°3.

Alors que je photographie ces appareils en cours de production…

…je suis interpelé par un agent Easy-Jet en faction à la porte à proximité dans l’attente de la préparation d’un embarquement qui m’indique qu’il est interdit de photographier. Je lui fais remarquer qu’un agent de sécurité vient juste de m’indiquer le contraire ! Il campe sur ces positions et je profite de la discussion pour réaliser ce cliché.
Quelqu’un connaît-il cette compagnie qui met une jolie dame sur la queue de ses avions ? Cobra ?

Agacé par le personnage –Icare conformera le sens du relationnel passager des équipes d’Easyjet à Toulouse- je lui demande de bien vouloir me produire l’arrêté préfectoral interdisant la prise de photo afin que je puisse le respecter. Et je prends cette dernière photo de ce poste d’observation.

Je prends congé poliment de ce « cher monsieur » qui semble d’ailleurs comme surpris que le ton ne monte pas de mon côté et pars à la recherche du point de spotting le plus proche.

Voici la quasi-totalité des A350 existants en fin de processus de certification.

Quelques A340.

AF est omniprésent.

La Place autour de laquelle s’agencent les diverses boutiques du hall D.

Les écrans et la perspective vers le hall C.

La star locale.

Direction le salon.

La cerbérine souriante vérifie mon éligibilité à ce lieu très secret. Je pose mes affaires et entreprends ma tournée photo de l’offre. Activité facilité par la quasi-vacuité du lieu. Quand soudain un cerbère que je n’avais pas vu venir vient me dire sur le ton de celui qui est sûr de son autorité qu’il est interdit de photographier. Je lui fait part de a surprise puis lui explique la raison de ma frénésie photographique, le rassure sur le fait qu’aucune personne n’est photographiée, lui rappelle que le salon a déjà été reporté à plusieurs reprises sur FR ; il appelle son chef et me prie d'effacer les photos du salon qui est une entreprise privée. Je n’ai d’autre choix que de m’exécuter, le priant de m’indiquer si lui ou son patron ont honte de l'offre. Je n’oublie pas de lui indiquer que je saurai faire à cette bêtise toute la publicité qu’elle mérite.
Ainsi, ceci sera la seule photo du salon. Pour ceux qui veulent en voir davantage, Marathon en a réalisé une visite exhaustive lors d’un FR TLS-ORY.

Lorsque la mention “dernier appel” apparaît sur l’écran du salon, je rejoins la porte 31 et constate que l’embarquement a pris du retard.
Les priorités sont respectées.

Le couloir.

A bord de l’A319 qui va me conduire à CDG.

La célébrissime « planche à repasser » qui convient parfaitement à des vols de moins de deux heures.

Mon siège.

La vue depuis icelui.

L’espace « entre les jambes. »

Les bagages sont encore en cours de chargement.
S’il ne pleut plus, le soleil ne daigne pas accompagner ces derniers instants toulousains.

Nous débutons notre roulage.
Air China chère à Numéro 2 et Korean future amie d’Alcam ?.

A 350 ayant participé au tour du monde certificatif.

A350 XWB.

A 3?? Skymark à l’atterrissage.

Nous décollons à l’heure.

L’épaisse couverture nuageuse ne permettra pas de prise de vue aérienne des installations toulousaines.

Au-dessus des nuages.

Parfois on entraperçoit le sol.

L’association Nescafé-Mère Poulard entre en scène

Un paysage de type bocage à défaut d’être breton.
Néanmoins, vu que pour aller de TLS à GVA Alcam a survolé ORY, pourquoi ne pas passer par la Bretagne entre TLS et CDG ? ;-)

Les éclaircies ne sont que de courte durée.

Wingtip.

Gobelet et porte-gobelet également circulaires.

Nous commençons la descente.

Openfield et habitat groupé.

Une ville plus importante.

L’aire urbaine parisienne approche.

Les nuages sont à nouveau denses.

La visibilité ne s’améliore qu’en approche finale.

Le roulage dure une dizaine de minutes. Il nous donne l’occasion de rencontrer :
-cet A380 AF.

-cet A380 TG.

-cet A330 TK-007

A380 Emirates pour Dubaï.

B757 de la nouvelle Compagnie.

Même si le cadrage est mauvais, un FR est toujours honoré par la présence de Concorde.

Le siège de AF où l’on est censé négocier dur pour éviter une grève dans deux semaines.

Quelques A32X AF.

La même chose aux couleurs Zizijet –je demande pardon pour la photo à qui de droit ;-) – et Finnair.

La gare TGV et le Sheraton.

Nous sommes tout proches de notre point de stationnement au 2F.

Notre voisin en cours d’avitaillement.

Nous sommes en porte à l’heure.
Vue de notre A319 depuis la passerelle.

Me voilà donc à CDG où m’attend une escale de 4 heures. La conséquence en sera la publication la plus rapide de ma part d’un FR.

Merci de votre lecture et à bientôt !