To Berlin on airberlin.
Herzlich Willkommen !
Mes vacances d’été : après un petit citytrip à Hambourg avec Lufthansa via Frankfurt début juillet, me voilà reparti à nouveau vers l’Allemagne, cette fois-ci à destination de Berlin (mon dernier séjour là-bas étant assez récent, Octobre 2013).
Il s’agit donc maintenant d’un aller-retour en vols directs vers Berlin-Tegel avec une nouvelle compagnie pour moi : il s’agit d’Air Berlin, désignée sous le nom airberlin ou airberlin.com et détenue à 49,9 % par Ethiad.
1- INTRODUCTION :
Depuis de longs mois je savais qu’un membre de ma famille proche allait passer l’été dans la capitale allemande. L’idée de lui rendre visite n’était donc pas nouvelle, et pourtant : fidèles à nos habitudes, nous avons (avec mes parents) finalement réservé ce voyage seulement 15 jours avant la date de départ, ce qui signifie des tarifs peu attractifs car élevés en dernière minute.
De Paris à Berlin, quatre compagnies se dispute le marché : AB, AF, LH & U2.
Au départ de Paris CDG : Air France et Lufthansa proposent souvent des tarifs similaires autour de 130 euros voire même 100 euros, cependant chez Air France le tarif peut désormais être un Mini et ce n’est pas une bonne affaire.
- Air France propose de nombreux vols tout au long de la journée ce qui est pratique pour les correspondances, il faut veiller à prendre les vols à l’heure des repas pour avoir un sandwich ou une viennoiserie pour échapper au sucré-salé.
- Lufthansa (jusqu’à trois vols par jour) reste comme même la compagnie proposant à mes yeux le meilleur rapport qualité-prix sur PAR-BER avec tous les services classiques et un snack amélioré façon lunch-bag avec sandwich, yaourt, chocolat et bonbons. Cependant ceci est bientôt terminé avec l’arrivée de Germanwings reprenant la ligne dès septembre, et c’est bien dommage.
Ces deux compagnies ont l’avantage d’atterrir pour l’instant (avant fermeture) à l’aéroport de Berlin Tegel (TXL), beaucoup plus proche de Berlin-Mitte que son homologue Berlin Schönefeld (SXF).
Au départ de Paris ORY Sud : easyJet et airberlin.
- easyjet propose trois rotations par jour entre Paris et Berlin SXF, ce dernier étant un aéroport low-cost horrible et assez éloigné du centre de Berlin, mais surtout situé en zone C du réseau de transport BVG ce qui oblige d’acheter un ticket correspondant. Le vol du matin est très matinal avec un départ à 06h45 ce qui oblige à se lever tôt et ce n’est pas très agréable, d’autant plus que le vol est sans intérêt sauf si, bien sûr, le prix suit, ce qui n’est pas toujours le cas.
- airberlin (deux vols par jour) qui est une propose une vraie alternative à Air France ou Lufthansa en terme de service (tout est inclus : miles, snack et bagage) alors qu’elle peine à se débarrasser de son ancienne image de low-cost. Cependant les prix sont souvent excessifs et les horaires ne sont pas adaptés certains jours comme le samedi (premier vol vers 14h30).
Ainsi en vols secs une petite recherche aux dates sélectionnées avec Matrix Airfare donnent les résultats suivant : les plus bas prix étant en vol direct et tournant autour de 230 euros soit près de 100 euros de plus de ce qu’on peut trouver en s’y prenant à l’avance.
Cependant, nous avons trouvé par l’intermédiaire d’un voyagiste en ligne un combiné vol + hôtel nous permettant de voyager avec airberlin à l’aller et un choix de la compagnie au retour entre Air France et airberlin : j’ai choisi airberlin car l’horaire en début de soirée permettait de profiter de la dernière journée et aussi pour la proximité d’Orly, habitant dans la banlieue Sud de Paris.
Le combiné nous a permis de faire un peu d’économies, puisque il aurait était hors de question de prendre airberlin en vols secs : une simulation sur leur site m’indiqua que le prix total des vols pour trois personnes dépassait largement le prix de notre forfait avion + hôtel.
C’est après cette longue introduction que je vous présente l’itinéraire pour le moins simple, mais je découvre une nouvelle compagnie qui a déjà conquis certains membres du site et j’évite ainsi easyJet, ayant déjà donné quelques mois auparavant sur cette ligne.
Je vous invite à (re)découvrir mon SXF-ORY avec U2/EZY qui fut une horreur.
http://flight-report.com/fr/report-5253.html
- 1- Paris, Orly Sud (ORY) – Berlin, Tegel (TXL). airberlin, Boeing 737-800 - Operated by TUIfly. [VOUS ÊTES ICI]
- 2- Berlin, Tegel (TXL) – Paris, Orly Sud (ORY). airberlin, Boeing 737-800. [AS SOON AS POSSIBLE]
Ce récit commence avant le vol : airberlin propose avant l’ouverture de l’enregistrement en ligne (30 heures avant le départ) d’acheter quelques extras comme des plats chauds concoctés par le chef de Sansibar Sylt (pour exemple la currywurst est à 6,50 euros) ou le choix du siège à bord à des prix exorbitants : 11,99 euros par siège normal et 25,99 euros pour un siège nommé XL aux issues de secours. D’ailleurs, quelques jours avant le vol, vous ne pouvez acheter que des sièges XL, quelle arnaque.
Bref, l’enregistrement en ligne sur le site airberlin.com est très fluide et clair : effectué à 03h du matin soit une heure après son ouverture, j’ai pu sélectionner des sièges à l’avant et avoir les numéros de séquence 001, 002 et 003 !
Lundi 04 Août 2014, il est 07h30, et après 15 minutes de taxi, me voilà sur le nouveau parvis de l’aérogare Sud : le résultat est plus que satisfaisant et c’est surtout propre.

Je me dirige muni de ma carte d’embarquement imprimée au format A4 aux comptoirs d’enregistrement 41-43 ouverts pour notre vol AB8155 et il y a un peu de monde devant moi. Deux comptoirs sont ouverts pour les passagers Economy, en plus d’un autre pour les passagers à statut OW sachant qu’il n’y a pas de Business Class à bord.

L’enregistrement traîne alors que je n’ai qu’une seule valise à déposer et pas de file bagage drop-off. J’observe à loisir l’agente d’Alyzia s’énerver avec des passagers ayant des excédents à payer puis des clients asiatiques ayant un défaut de réservation. Entre l’agente qui hurle en anglais « Je ne peux pas enregistrer vos valises » puis « je ne vous donne pas vos cartes d’embarquement » et sa superviseur qui hurle « Personne ne prend les sièges 6 Alpha et Bravo », cela donne une bonne ambiance.
Après une demi-heure d’attente, je suis reçu par l’agente peu sympathique encore énervée par les passagers précédents et dépose enfin ma valise. Je n’ai donc pas une très bonne impression laissée par la sous-traitance au sol, le bag-drop a été très pénible et mal organisé pour un unique vol avec maximum 186 passagers. Assez perdu de temps, direction les portes Schengen B, à l’étage supérieur.

Heureusement, il n’y a personne à cet horaire et le contrôle est effectué en moins d’une minute : les agents nous attendaient.


Direction la porte B15 qui est située à l’extrémité ouest de l’aérogare qui est par ailleurs déserte.

L’explication se trouve sur l’écran des départs très axés sur les compagnies à bas coûts : nous sommes le dernier vol du créneau des départs matinaux easyJet et Transavia avant la nouvelle vague de midi. D’ailleurs airberlin.com semble une des rares compagnies utilisant les portes B d’Orly Sud exceptées TVF et EZY.
À la manière des low-cost toujours, l’embarquement est annoncé en cours alors que ce n’est pas le cas !

Il n’y a pas grand chose à faire malgré les efforts de décorations et de renouvellement entrepris ces dernières années : cependant il y a un bien sympathique espace lecture avec des « tablettes » permettant l’accès aux quotidiens du jours ce qui compense l’absence de presse offerte par airberlin !


Juste en face, un petit salon :

On arrive dans la « rotonde », c’est bien entendu désert mais beaucoup plus calme (et agréable de ce fait) que lors de mon dernier embarquement à 06h00 avec easyJet vers Berlin-SXF où c’était bondé avec des gens assis à même le sol.

Ordinateurs à dispositions. Côté boutiques, juste un Relay et un Buy Paris et quelques cafés.

La Wifi illimitée depuis le 1er Juillet 2014 me permet de prendre la photo corporate.

Côté spotting, G-EZUZ d’easyJet pour Toulouse, l’embarquement est clos et le personnel au sol imprime la liste des passagers tout en discutant avec un passager qui a manqué le vol …

Embarquement clos pour le vol easyJet de 07h10 à destination de Venise, avec une heure de retard.

Un ATR42-500 de HOP-Airliner (F-GPYF).

Un A319-100 d’Aigle Azur (F-HBMI).

Ensuite, voici un B737-800 de Transavia (F-GZHM).

Sans oublier cet A320-214 d’Air France (F-GKXK).

G-EZUZ au repoussage pour Toulouse.

Et enfin un bel A330-300 (F-HZEN) de Corsair International.


L’embarquement est enfin annoncé un peu en retard à 08h25 soit 20 minutes avant le départ. Il s’agit d’un embarquement par groupe, étant dans le groupe D car mon siège est le 06F à l’avant de l’appareil, j’embarquerai dans les derniers.

Voici une vue sur mon appareil, un Boeing 737-800 (D-AHFS) datant de 2000 portant une livrée inhabituelle puisque toute blanche avec un petit titre « airberlin ». Vous pouvez d’ores et déjà apercevoir sur le nez la mention operated by TUIfly ce qui explique la livrée blanche : l’avion étant aux couleurs de TUIfly l’année dernière, il n’a pas encore été repeint.

Il est 08h43 et ça bouchonne dans la passerelle alors qu’il y a encore des passagers derrière moi : un départ à l’heure semble improbable.

L’accueil par le steward chef de cabine est sympathique mais sans plus et je regagne rapidement mon siège 06F que voici, entre temps le commandant de bord nous souhaite la bienvenue et nous invite à profiter du vol.

Cinq minutes après mon installation à bord, la porte est fermée et nous sommes prêts au push-back qui s’effectue avec quatre minutes de retard, à 08h49 : belle performance, cependant il y avait encore des passagers debout dans l’allée et tout le monde n’était pas installé.
L’équipage tente de se dépêcher pour ranger la cabine et les derniers bagages avant le décollage. À noter que je n’aurai pas un avion récent avec « SkyInterior » (introduit chez AB sur les B737-700 et 800 neufs à partir de 2011) à mon plus grand regret. Néanmoins je m’étais fait à cette idée dès la veille car l’application de l’aéroport de Berlin donne les immatriculations des appareils.

Repoussage face à Orly Ouest avec le trafic d’Air France à Paris-Orly : nous avons vue sur un A321-100 d’Air France (F-GZMB).


Démonstrations de sécurité sur les écrans centraux en allemand sous-titrées en anglais. À noter que cette vidéo est celle d’airberlin faite pour les vols « operated by TUIfly » : l’hôtesse de la vidéo en uniforme airberlin évolue dans une cabine aux couleurs de TUIfly (sièges rayés blancs et bleus) que nous n’avons pas à bord de cet appareil.

Rapide roulage vers la piste 24 pour un décollage face à l’Ouest : ici à Orly-West, un A340-300 d’Air France en préparation pour Cayenne Félix-Éboué.

Belle lumière ce matin, entre nuages et éclaircies.

Lining-up, le décollage s’effectuera dans la foulée. L’avantage d’être à l’avant est d’entendre le « roar » des moteurs dès la rotation.

C’est parti pour 1h45 de vol.
[VIDEO DU DÉCOLLAGE À VENIR]
Bye bye la capitale qui profite des derniers rayons de soleil avant de subir une première semaine d’Août en mode « piscine ». Vue sur la Tour Montparnasse dans le lointain.

Le sud-ouest de la capitale avec le début de l’autoroute A10 au niveau de la gare de Massy-Palaiseau.

L'airshow est mis en service sur les écrans, tous les appareils moyen-courriers d’Air Berlin sont équipés d’IFE ce qui est un bon point par rapport à la concurrence sur cette ligne.

On ne se lasse pas de ce genre de vue. À noter qu’il s’agit de mon troisième vol en B737, les premières expériences moins glamour étant sur Ryanair sur LRH-DUB-LRH !

Le pitch, correct pour mon mètre 65 mais plus faible que sur d’autres compagnies, pour les plus grands, faites attention. Il faut savoir qu’il y a 186 sièges à bord alors que l’appareil est homologué pour maximum 189 PAX comme chez RYR, donc plutôt de la haute densité.
Remarquez l’espace gagné par le placement de la pochette en haut du siège, mais je déplore l’absence de vide-poches aussi en bas comme chez Lufthansa.

Ce genre d’informations pratiques qu’on aime bien.

Le fameux winglet airberlin.com rouge … heu blanc cette fois-ci, désolé.
À ce moment là une annonce est faite pour nous annoncer le service à bord aujourd’hui : il y a d’abord une annonce purement low-cost pour la boutique de bord nous annonçant accessoires, sucreries diverses puis les snacks chauds payant « by Sansibar Sylt » avec passage de trolley qui n’aura pas de succès évidemment.

Mais le service « free of charge » est aussi annoncé ensuite, avec choix de boissons et pour tous les vols avant 10 heures, le choix entre un pretzel salé ou un petit pain aux raisins.

D’ailleurs, le service arrivera vite étant au début de la cabine : une hôtesse s’avance avec un trolley proposant boissons puis le chef de cabine suit avec un autre trolley à boissons servant de réserve mais aussi chargé du snack. Je prends un café servi avec le sourire il faudra attendre dix minutes pour avoir le solide qui a pris du retard car étant au four.

Le steward s’avance en présentant les deux modèles de pain en démonstration : « This one or the second one ? » puis une fois le choix fait, sort le pain du sachet plastique mis au four. Voici le pain aux raisins qui était bon et tout chaud.

Au final, la prestation était bonne et du même niveau quantitatif qu’Air France à la seule différence que le pain était chaud et non congelé mais bien moindre que Lufthansa. Le commandant de bord fait une annonce pour nous annoncer une vue sur Frankfurt am Main.
Hi again, FRA !


Contenu de la pochette.

Vue sur la cabine équipée de sièges Recaro d’ancienne génération « presque planche à repasser ». En cuir et inclinables, ils sont parfaits pour 1h40 de vol mais certes un peu durs pour des plus longues durées comme TFS ou PMI voire la Turquie. Néanmoins, il n’y a pas de vrai appui-tête réglable, une chose que l’on ne fait plus avec la

Têtière en cuir siglée airberlin.com d’un bel effet.

Des courts métrages et dessins animés sont présentés en alternance avec la géovision, il n’y aura qu’une page de pub pour le programme de fidélité Topbonus en début de descente ce qui est agréable en référence aux publicités intempestives chez Austrian.

Pour avoir le son, il faut avoir des écouteurs d’avion à deux branches au niveau de la prise et j’avais prévu le coup d’autant plus qu’on a accès aux canaux musicaux comme dans les LC à l’époque sans PTV. Sinon des écouteurs sont vendus pour 3 euros.

La descente est amorcée …

Ce que confirme l’écran, on approche de Berlin Tegel pour une approche face à l’Ouest, malheureusement je serai du mauvais côté pour une vue sur la ville.

D-AHFS s’aligne, et là malheureusement, du fait de la pression je ressentirai d’un coup des picotements près de la paupière de l’œil droit, comme si on m’enfonçait des aiguilles. Résultat, j’aurai mal aux sinus durant les deux jours qui suivront.

En approche finale, vue sur les banlieues nord de la ville :
Le quartier de Niederschönhausen au second-plan en plus du nord de Pankow au premier plan avec la piscine du même nom. Sur la gauche de la photo se trouve le château de Schönhausen, les arbres correspondant au parc.

Un stade à Reinickendorf.

En courte finale, Bezirk Reinickendorf et la ligne de métro U-Bahn 8.

[VIDEO DE L’ATTERRISSAGE À VENIR]
Puis on dégage la piste nord avant de traverser la sud pour regagner le terminal C d’airberlin.

Vue typique de Berlin TXL « Otto Lilienthal » qui continue à nous accueillir depuis plus de deux ans déjà après sa fermeture théorique.

Dernier virage, les bus nous attendent déjà.

Arrêt complet à 10h22 avec trois minutes d’avance sur le programme. Notre voisin est un A321-200 d’AB, D’ABCH.

Le débarquement sera rapide étant à l’avant de la cabine, salutations de l’équipage qui tend un carton avec des les fameux cœurs en chocolat au lait du chocolatier berlinois Rausch, un peu leur signature et c’est sympathique.

Dernière vue sur notre appareil blanc avant de s’engouffrer dans le bus …


Qui nous déposera même pas 20 mètres plus loin. Voici à ma sortie du bus devant la porte des arrivées sans zoom la vue sur mon avion pour vous montrer la distance. Bien sûr tous les passagers ont applaudit à l’arrêt du bus, c’est marrant. Certes ce sont les règles, mais l’usage d’un bus pour une telle distance est comique.

Arrivé directement dans la salle de livraison des bagages, au moins le cheminement est très rapide … Le terminal C est en fait un hangar au toit tôlé qui a été construit du fait de l’augmentation du trafic.

Mon chocolat Raüsch.

S’en suit un chaos comme j’en ai rarement vu. Nous sommes arrivés au stand à 10h22 et en arrivant dans la salle des bagages, il n’y avait aucune livraison en cours. Les derniers bus sont arrivés, et tout le monde attend devant le tapis. Le vol d’Ibiza qui a atterrit une dizaine de minute après nous est livré sur le même tapis.
Ce dernier ce met en marche pour livrer les bagages prioritaires du vol d’IBZ, un comble puis plus rien. Nous devons attendre jusqu’à 11h dans ce hangar exigu à l’éclairage blafard pour que le tapis se déclenche à nouveau … pour livrer d’autres bagages du vol d’IBZ !
À ce moment là d’autres passagers arrivent, il y a trois vols qui sont livrés sur le même tapis. Les passagers du vol AB8155 de Paris ORY s’impatientent, il y a juste 5 sièges dans la salle et surtout des PAX en correspondance courte qui ont laissé leur poussette à l’entrée de l’appareil et livrée sur le tapis …

Aucune nouvelle sur les écrans sur l’heure de livraison, les gens s’énervent et le personnel de l’aéroport nous invite à nous rapprocher du comptoir Lost & Found du sous-traitant GlobeGround Berlin qui est la société de handling d’Air France-KLM également. Sauf que ce comptoir se trouve landside évidemment.
Mon père se rapproche d’un agent de l’aéroport qui appelle au téléphone GlobeGround Berlin. « Les bagages seront livrés prochainement », répondent-ils.
À 11h20, je vois arriver derrière les lamelles en caoutchouc du tapis un petit tracteur avec les chariots à bagages, puis entends le choc des valises déposées sur le tapis. Effectivement, les valises de notre vol apparaissent, 1 heure après notre arrivée.
Mais qu’ont-ils fait avec nos valises pendant 1 heure ? Une fois landside, je suis allé avec ma famille au comptoir GlobeGround Berlin, la dame peu compréhensive nous a donné un formulaire à remplir, non merci en fait.
J’ai contacté le service client Air Berlin sur twitter, avec comme seule réponse « We apologize for the inconvenience ». Comme un autre passager du vol le disait sur Twitter, des excuses ne suffisent pas.
Ainsi s’achève sur une très mauvaise image mon petit vol entre Paris et Berlin, du moins je suis content d’avoir récupéré ma valise car airberlin semble avoir des problèmes de perte de bagage à TXL.
Bis gleich und auf wiedersehen !
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Merci de ce FR sur un trajet que j'ai reporté ici récemment également sur AB. Dommage que la livraison des bagages vienne gacher une impression favorable Une heure c'est hallucinant vu la distance qui sépare l'appareil de la salle de livraison ! Ce n'est pas très organisiert tout cela !
Je garde un bon souvenir de ce vol effectué avec eux et un mauvais de mon retour sur EasyJet !
Je partage ton avis sur Orly SUD qui a fait de gros progrès , il faut dire que l'on partait de loin. Il reste cependant quelques zones vintages qui jurent avec les parties modernisées. Le parvis extérieur donne une image positive en arrivée et on est loin du trottoir minable qu''il y avait avant . Mais ca c'était avant !
Merci pour ce récit. airberlin est en effet une de mes compagnies préférées car elles cumulent les avantages des majors (enfin pour ce qu'il en reste avec bagages gratuits et snack à bord) avec ceux des low-costs avec repas amélioré notamment. Petit correction néanmoins, seuls 29.21% appartiennent à Etihad. A partir de 30% la loi allemande oblige à formuler une offre d'achat sur la totalité du capital. Pour le reste TXL est un désastre et malheureusement l'ouverture de BER a encore été repoussée à 2016...
merci pour ce FR
je vous trouve TRES gentil avec la notation du service de Berlin..;o))
Merci pour votre lecture,
En effet concernant le service je pensais avoir saisi une note inférieure mais apparemment ce n'est pas passé. Je corrige de suite. Merci et à bientôt.
Merci pour ce fr !:)
ORY de ce côté à été sympathiquement rafraîchit ^^
Airberlin en effet, semble une compagnie très correct, une low cost plusplus.
Le siège semble manquer d'un peu de confort, et pas de pochette pour ranger ses petites affaires.
Bob qui a l'air correct. Sansibar Slyt, on se croirait dans Games of thrones ^^
J'adore la zone de collecte des bagages !:)
TXL est un des pires aéroport que j'ai foulé, et la fois ou j'y avait été, j'avais aussi attendu une heure des bagages !:)