C'est le premier segment de mon retour de vacances de Noël. L'été dernier, je faisais confiance à Air France, et j'ai acheté des A/R sur AF pour aller à Toulouse fin septembre et à la fin de l'année. Nos vols ORY<>TLS de septembre ont été annulés pour cause de grève. J'avais choisi le vol de 17h pour rentrer de TLS le 2 janvier, celui qui était le moins cher.

Ce n'était pas une bonne idée, car ce vol bon marché a été annulé, sans qu'une raison soit fournie. Trois vols annulés sur quatre : c'est une fiabilité tiersmondesque.
Après nous avoir reprotégés sur un routing TLS-LYS-ORY, AF nous a envoyé deux courriels pour nous informer que ces vols TLS-LYS et LYS-ORY étaient annulés. A l'époque, ma confiance envers l'informatique d'AF était déjà assez relative et cela ne m'a pas inquiété.

Ils ont été envoyés le 11 septembre, anniversaire d'un jour funeste dans le monde du transport aérien.

Mais en cliquant sur le lien, le routing via LYS n'avait pas bougé.

Cet amateurisme est pittoresque dans un pays exotique, mais ne fait pas sérieux quand on a l'illusion d'être dans l'élite mondiale.
Mme n'était pas éloignée de penser que j'avais suscité cette annulation pour effectuer des vols que je n'aurai probablement jamais l'occasion de faire, tout particulièrement LYS-ORY, une liaison qui est beaucoup plus rapide et pratique en TGV pour nous. Sa spécialité à elle, c'est plutôt la reprotection sur un vol direct, et elle a très bien compris que je n'avais pas levé le petit doigt dans ce sens.
TLS-LYS sur AF semble être un plan B par nature, car le seul FR posté à ce jour sur cette liaison l'avait été pour cause de grève de contrôleurs aériens… il y a quatre ans.
Remarquez, que l'on fasse naïvement confiance à AF ou à EZY, il est impossible de mon expérience des derniers mois d'effectuer le trajet TLS-ORY sur le vol pour lequel j'ai acheté un billet. Car à peine avais-je acheté le billet de retour de notre compagnon de voyage de l'aller pour le 26 décembre, les PNC d'EZY déclenchaient une grève pour ce jour là.

Je n'ai pas attendu de recevoir l'avis du PAX concerné, et j'ai immédiatement utilisé la possibilité de se reprotéger sur un autre vol quelques heures plus tard, car je me doutais qu'il n'y aurait pas de la place pendant longtemps.
Il n'y avait guère de trafic quand je l'ai amené à TLS à son vol, mais j'ai eu largement l'occasion de voir des appareils volants pas loin de là cette semaine, comme cet EC-145 de la gendarmerie.

Ce n'était pas bon signe de le voir là, car cela voulait dire que l'EC-135 du SAMU est déjà en mission. D'ailleurs, il est arrivé une heure après.

Il y avait beaucoup de trafic à l'hélipad de l'hôpital de Purpan, mais pas le genre qui fait plaisir à voir, quand on sait pourquoi ils volent.
Mieux vaut continuer ce pré-bonus touristique toulousain avec quelques vues de grand beau temps sur le Pont Neuf, qui à l'instar de son homonyme parisien, est le plus vieux de la ville.

De là, on aperçoit l'église des Jacobins

… et celle néo-classique de la Daurade

Cette brasserie à l'extrémité du pont a accueilli des FRistes de passage

Le déjeuner a duré si longtemps que Papoumada, Alcam et les Marathon étaient de loin les derniers à quitter ce lieu.

Après cette longue introduction, il est temps de venir au fait, et à la restitution de la voiture de location à TLS.

Cheminement vers le hall C où a lieu l'enregistrement de notre vol

Mme a aussi accès à l'enregistrement Skypriority, pour quelques mois avant son atterrissage définitif au statut Ivory.

C'était marginalement plus rapide, et surtout potentiellement source de moins de problèmes, car bien que son numéro FB soit renseigné, tous les courriels que nous avons reçus rappelaient qu'elle et moi avions droit à zéro bagage en soute, nonobstant son statut FB-Silver. Je n'avais plus beaucoup d'illusions sur l'informatique d'AF.

Au comptoir à l'ancienne, avec une employée courtoise. Un seul BP pour les deux vols, ce que je trouve plus pratique (c'est toujours l'autre qui se présente sous ma main quand il y en a un par vol).

Contrôle semi-automatique des BP (puisqu'il y a une employée), puis contrôle manuel par une employée qui oriente vers les différente queues du PIF.

Attente quasi-nulle au PIF : c'est un jour et une heure de faible trafic. L'employé sympathique parle anglais avec un accent arabe assez français (à moins que cela ne soit un accent français mâtiné d'arabe) à la PAX qui me précède.

Il n'y a pas de détaxe dans un vol intérieur, ce qui n'empêche pas Mme de faire un détour (infructueux) dans ce magasin.

Les habitués de TLS le savent : quand on prend beaucoup d'avance pour s'enregistrer sur un vol de jour, on peut profiter de l'occasion unique de voir des appareils que l'on ne voit pas ou rarement ailleurs en Europe.
Comme cet A319 EZY…

… et cet A320 AF

Enfin non, ce qui compte, c'est l'arrière plan. Mieux vaut être là le matin, et mieux vaudrait avoir un beau soleil, mais cela valait mieux que de la pluie. J'ai forcé les contrastes pour lutter contre le contre-jour et la lumière déclinante – le résultat est ce qu'il est. On commence donc par les Beluga, avec quelques rondelles d’avions qu'ils ont transportées.

A340 (utilisé par Airbus pour des essais ?)

Il fait un peu démodé par rapport à cet autre appareil d'essais, l'A350 XWB en version carbone

Ceux-là sont déjà en livrée partiellement QR – la queue restera-t-elle ainsi ?

On aperçoit aussi une brochette d'appareils plus standard en attente de livraison à des clients asiatiques, avec de gauche à droite Hainan Airlines, Singapore Airlines, China Southern Airlines, et China Eastern Airlines

Le même China Eastern pas encore entièrement peint, Air Asia, et Cebu Pacific (merci Saraoutou et Thai-cnx)

Aerolineas (re-merci Saraoutou), et plus loin, un ATR42 Liat (Antigua) et un ATR72 Wings (Indonésie)

Curieusement à l'écart, deux A330 libyens (Libyan Airlines et Afriqiyah Airways)

Ayant épuisé le sujet Airbus, un peu de promenade dans le terminal, avec cet espace enfant

Le terminal, vaste, lumineux et spotter-friendly

Une boutique qui fait dans l'aérien, le rapport avec le vin qu'elle vend est cependant ténu.

Allons en porte, puisqu’on nous le demande

Par un long couloir roulant

Ce sera cet A320 (F-GHQM)

On ne descend pas à l'étage inférieur

Mais on arrive dans cette salle d'embarquement dont je n'ai pas fait un panoramique, mais il est manifeste que le taux de remplissage sera faible.

Soit c'est un échafaudage, et ce n'est pas sérieux, soit c'est une volonté d'empêcher les photos, et c'est hostile, soit c'est une œuvre d'art, et c'est raté.

Il y a un accès internet gratuit, illimité par tranches de 30 minutes. Les prises électriques sont très peu nombreuses, mais elles existent (à l'arrière plan, immédiatement à droite de l'écran)

Il y a quelques unes ici; l'architecte d'intérieur ne s'est sûrement pas installé ici pour essayer le confort de sa réalisation.

Les toilettes sont immaculées

Il y a un espace puériculture, avec un plan de travail probablement pas très confortable pour un bébé, mais facile à laver. Le four micro-onde pour chauffer un biberon est un bon point.

Ce que j'ai trouvé adorable, c'est le siège de WC taille premier âge.

25 cm de haut, c'est un record !

Encore un peu de spotting, avant et après l'embarquement.
Arrivée d'un A320 Air Corsica

A320 Aigle Azur

CRK Air Nostrum

E-190 KL aux couleurs Skyteam

Scène typique de faux contact, typique d'un LCC : les PAX descendent par un escalier sur le tarmac pour embarquer par des escaliers, aux deux extrémités pour aller plus vite. Cela économise la location d'une passerelle : 38,59 € (tarif 2014), soit un peu plus de 20 centimes par PAX pour un A319 tassé à la manière Easyjet.

L'embarquement se fait par cette passerelle vitrée. Je ne les ai pas vus, mais Mme a pris des journaux (Le Monde, le Figaro, la Dépêche du Midi), tous inévitablement très creux à cette période de l'année.

La zone fret, vue avant et pendant le roulage, avec un 767 Star Air,

757 DHL, immatriculé en Allemagne

Un Jumbolino TNT et deux 737 (Hermes et un inconnu)

Décollage rigoureusement ponctuel, après un roulage bref sans le moindre arrêt, et vue sur la ferme aux Beluga

Puis l'agglomération, avec de même la chaîne des Pyrénées à l'horizon


Virage pour découvrir la plaine dans le brouillard

Wingtip fence, côté gauche.

Dès que la consigne lumineuse est éteinte, profitant de ce que l'avion est très peu rempli, je me déplace. Vue du réacteur côté droit

Et surtout une belle vue sur les Pyrénées au loin


Wingtip fence, côté droit (avec un peu de traitement d'image, je l'avoue)

L'avion est vraiment très peu rempli : 60-70 PAX, m'a dit le CC. A quelques exceptions près (PAX à statut?), les passagers sont dans la moitié arrière de la cabine, sans doute pour des raisons de centrage, sans être pour autant tassés dans un minimum de rangs.

Le pitch, bon, vous le connaissez, c'est du A32x AF standard

Le galley arrière de cet appareil en configuration domestique est minimaliste – il n'y a pas de cloison à l'arrière gauche.

A propos de galley, la collation n'a pas changé : c'est 150 ml de coca + 20g de sel (ou presque, tant ces gâteaux sont salés) pour Mme

Et un café instantané avec très peu d'eau, donc très serré, et 22g de cookies pour moi. Tiens, on a deux grammes de moins de sucré qu'en 2014 ? Il n'y a pas de petites économies.

J'ai bien fait de me déplacer rapidement pour prendre des photos extérieures : le temps se couvre en même temps que la nuit tombe au dessus du Massif Central. Quelques turbulences très modérées : la consigne lumineuse est allumée et ne sera plus éteinte.


Je dispense les géographes d'identification des lieux survolés, m'en étant moi-même dispensé (la neige n'aide pas à trouver des points de repère)



L'A46 (contournement est de Lyon) ? Le trafic est dense dans les deux sens, mais fluide.

Arrivée au bloc avec 5 minutes d'avance. Le vol suivant est à la porte U2, que la signalétique indique à 5 mn de marche de là. Ce sera pour le FR suivant, et il est temps de passer au bonus.

Le 25 décembre est un jour sans aucun intérêt particulier, ce qui m'oblige à recourir au vol annulé de fin septembre pour vous proposer un bonus touristique. Car le 26 septembre, TLS n'était qu'une étape pour atteindre Millau. MPL est plus proche, mais TLS s'imposait pour y retrouver un cousin. Pourquoi aller à Millau fin septembre ? Pour faire Millau, bien sûr !
Je pressens que tous les FRistes ne connaissent pas cette expression, ce qui va allonger l'introduction à mon bonus.
Autant l'avouer, être marathonien n'a plus aucun intérêt pour briller dans un dîner en ville. C'est devenu d'un banal absolu. L'engouement pour cette distance est tel que le marathon de Paris affiche complet cinq mois à l'avance, les dossards pour le marathon de Berlin sont tirés au sort dix mois à l'avance… c'est dire à quel point la discipline s'est vulgarisée. Qui plus est, après quelques dizaines de marathons, l'ennui guette et l'on a envie de sortir de la routine. Certains bifurquent vers le triathlon et d'autres vers l'ultra-fond, c'est-à-dire les courses dépassant 42,195 km.
Dans le paysage assez morcelé de l'ultra-fond français, une compétition écrase toutes les autres, au point d'être qualifiée de mythique : Millau. Les 100 km de Millau sont le Graal de tous les ultrafondeurs français. Connaissez vous une autre discipline sportive où les deux tiers des pratiquants français, tous niveaux confondus, se mesurent dans une seule épreuve ouverte à tous ?
Par fidélité aux principes de ses créateurs d'origine, il n'y a ni prime d'engagement ni prime aux vainqueurs, et c'est l'une des clés de l'ambiance exceptionnelle qui y règne. (Même cause, même conséquence, c'est vrai aussi des Meetup de Flight Report :).
C'est de très loin le plus populaire, mais aussi le plus redoutable des 100 km français, avec 1 000 m de dénivelée, presque entièrement dans la deuxième moitié du parcours. Mon meilleur temps à Millau est supérieur d'une heure à mon record personnel établi sur parcours plat.
Ce dernier samedi de septembre, les 2 600 coureurs (dont 1 000 pour le marathon) quittaient le parc de la Victoire, au centre de Millau, pour rejoindre la ligne de départ, située à un bon kilomètre de là pour ajuster la distance.

Deux des très rares coureurs déguisés, vus avant le départ. Ils couraient bien malgré leur accoutrement : j'en ai revu un à St Affrique, 70 km plus loin.

Un panneau quelque peu décalé sur la courte section de voie rapide empruntée à la sortie de Millau. A moins qu'il ne s'agisse du kilométrage approximatif jusqu'à l'arrivée.

J'ai pris la photo ci-dessous à l'un des points de vue les plus évocateurs du 100 km de Millau : la foule des coureurs avec le célèbre viaduc au fond. BESMRS reconnaîtra une antique caténaire Midi dans la verdure.

L'un des atouts de Millau, ce sont les paysages superbes le long du parcours, tout particulièrement dans la première boucle en aller-retour sur les deux rives du Tarn en amont de la ville.

Après le premier ravitaillement, mon cousin s'éloigne comme convenu, à la poursuite de son propre objectif.

Sur un 100km, la dispersion du peloton permet généralement d'autoriser les suiveurs en vélo. Mais ici, les coureurs sont tellement nombreux que c'est vers le km 8 que les cyclistes attendent leurs coureurs, regroupés par numéros de dossard et par épreuve pour faciliter les rendez-vous.

Ravitaillement tous les cinq kilomètres, comme sur toute course sur route, avec un choix qui n'a rien à envier à celui des courses les mieux dotées. Vous n'aurez jamais des PNC et un catering pareil sur un vol d'une douzaine d'heures en éco.


Jeune et moins jeune, le public ne ménage pas ses encouragements aux compétiteurs

Une douche improvisée vers le km 30. Ce n'est pas de refus, car la chaleur constitue l'une des difficultés à Millau, et non des moindres.

Retour à la case départ dans le parc de la Victoire à Millau. C'est l'arrivée pour les marathoniens, mais ce n'est que le début des difficultés pour les cent-bornards.

Car ce célèbre viaduc marque le début de l'enfer pour qui a présumé de ses forces dans le trop facile marathon qui n'est qu'un prologue de l'épreuve.

En plein cagnard, sans la moindre ombre, à part celle fugitive du tablier, c'est par une montée à 8% que la route fait un raccourci en aval de Millau.

La descente qui s'ensuit ne procure qu'un cours répit, car après St Georges commence l'interminable montée du col de Tiergues.

Victimes de crampes, les coureurs sont de plus en plus nombreux à faire appel aux masseuses présentes à certains des points de ravitaillement.

C'est vers le km 55 que j'ai vu la tête de course (pas ce coureur isolé), car la deuxième moitié du parcours est un aller-retour entre Millau et St Affrique.

St Affrique, au km 71. La nuit est tombée depuis une heure, alors que j'aurais dû arriver à temps pour y récupérer à la consigne avant l'obscurité ma lampe frontale et mes vêtements pour la nuit.

Il y a bien sûr un ravitaillement à cette étape, mais ce sera le dernier pour moi.

Vaincu par la chaleur,

…l'entraînement encore insuffisant depuis mon retour définitif en France,

et la fatigue des jours précédents (merci aux grévistes d'AF !),

je rends mon dossard et je monte dans l'un des cars navette. J'aurais pu continuer jusqu'à Millau sans craindre le hors délai, mais marcher toute la nuit faute d'être encore capable de courir et arriver au petit matin ne m'intéressait pas.

Parmi la trentaine de rescapés dans ce car, deux coureurs emmaillotés de couvertures de survie sont hissés par des membres des équipes médicales d'urgence. Le car navette passe par chacun des postes de ravitaillement répartis tous les 5 km pour ramasser les éclopés.

Et mon cousin, que j'avais entraîné dans ce défi ? Mieux affuté que moi, il est allé jusqu'à l'extrême limite de ses forces pour améliorer de vingt minutes le record familial. Mais épuisé, pris de crises de tétanie, grelottant et vomissant, il a prolongé son premier cent bornes par un séjour de quelques heures dans l'un des salons J d'Air Croix Rouge, échappant quand même à l'upgrade en lie-flat dans un SMUR de SAMU Airlines.

Il n'était pas le seul : sur 2600 coureurs, entre 400 et 600 passent en général entre les mains des services d'urgence médicale (kinés exclus), d'après l'un des sympathiques animateurs de ce salon, soit un sur quatre à six selon les conditions météo.
Il y a des courses qui ne sont pas à la portée de votre voisin de table lors d'un dîner en ville. Mais si vous n'avez jamais fait Millau, vous ne pouvez pas tout à fait comprendre pourquoi je reviendrai une autre année au parc de la Victoire, le dernier samedi de septembre.

Avant de passer à la conclusion de ce vol, et puisque s'ouvre une nouvelle année…
A tous ceux qui courent le monde, à pied ou dans les airs
A tous nos conjoints qui subissent nos absurdes routings et prises de photos
A tous ceux qui nous content un monde en plein envol, et à tous ceux qui nous lisent
A tous ceux qui font de Flight Report le plus beau site de l'aérien sur terre
J'adresse mes meilleurs vœux pour 2015 !
Merci beaucoup pour le partage. Effectivement les compagnies inconnues ont été reconnues il y a une minute.
Superbe bonus des 100 bornes !!!
Merci pour le commentaire; à bientôt par FR interposés ou de vive voix !
Merci François !:)
Je te souhaite une bonne année 2015 et des vols non modifiés mais la c'est trop demander :)
TLS est le paradis des spotteurs de baby Airbus. La ferme Beluga décidemment égraine un très joli caviar ^^
Vol classique salé salé café, mais superbe vue sur les Pyrénées
Un bonus très original comme d'habitude ou l'on apprend qu'avoir des crampes c'est cool aussi !:)
Il est malheureusement rare que je parte de TLS de jour.
Il y a peut-être des raisons non-sportives à l'engouement pour la course à pied ;)
Merci pour le commentaire !
Merci beaucoup pour ce FR et surtout pour ce beau bonus, félicitations à vous malgré l'abandon à un kilométrage déjà étourdissant ! :)
Je découvre quelques nouveautés au pif du hall D, que je n'avais même pas remarquées en passant dans le coin fin décembre…
Le programme 2015 devrait avoir quelques segments inédits... en vols et en course à pied. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce beau reportage!
On va finir par ne plus faire confiance à aucune compagnie avec ces grèves à répétition... Sinon un vol classique. 70PAX sur un avion de 171 places, c'est vraiment peu. J'espère que ce n'est pas la norme sur cette liaison. Etonnent quand même parce qu'il y a peu de concurrence cette ligne (pas de TGV en particulier).
Bravo pour les 100km. Faut oser le faire. Je ne savais même pas que ça exister!!
A bientôt!
Que l'avion soit aussi vide n'était pas étonnant : c'était un jour à très faible demande, au milieu du pont du 1er janvier.
Le 100 km, c'est une discipline très confidentielle, avec seulement douze compétitions programmées en France en 2014. Mais le succès de Millau, où tout a commencé en 1972, ne se dément pas.
Merci pour le commentaire !
Sympatiques bonus: Toulouse, Airbus, Millau et son marathon, bravo!
Content de voir que vous n'avez pas fini sur une civière ;-)
Lyon-Toulouse a quand-même quelques TGV directs, qui mettent environ 4h. Pas très rapide, mais vu l'éloignement de LYS par rapport à Lyon, le fossé n'est pas si énorme.
Je n'étais pas non plus très beau à voir à l'arrivée de mon premier cent bornes ;)
En effet, avec un temps de parcours de 4h, le train chatouille le marché de l'avion.
Merci pour le commentaire !
Merci Marathon avec ce FR qui illustre bien ton pseudo :-)
Je te souhaite également une bonne année et bravo pour ce bonus marathonien !!!
Je n'ai pas choisi ce pseudo au hasard ;)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce partage.
Décidément il est difficile de voyager entre TLS et PAR.
Beau bonus et surtout chapeau pour la course à pied.
Encore bonne année 2015.
Une accumulation de coïncidences, mais je ne pouvais pas m'empêcher de le relater.
Merci et à la prochaine rencontre !
Merci pour ce joli FR !
Un très beau bonus touristique, avec de belles images. Un vol avec une très belle vue sur les Pyrénées.
Vol sans encombre avec AF, seras-ce la même chose pour le LYS-ORY ? A suivre...
AF n'a pas fait un sans-faute pour le TLS-ORY dont le FR est posté. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
C'est vraiment pas de chance. A croire que la Navette ne veut pas de vous ;)
J'ai déjà fait LYS-ORY en point à point, en CRK. Et en fonction de là où on vit en région parisienne, ca vaut largement le TGV.
Un vol sympathique en 320 AF.
Par contre, c'est la première fois que je vois un A320 sans cloison entre la porte arrière et les sièges! Air France a donc décidé de la supprimer pour pouvoir ajouter des sièges. Malicieux.
A bientôt (à la rencontre de BKK?)
Bien sûr, l'avion peut être plus pratique si les aéroports sont plus faciles d'accès que les gares respectives, mais ce n'est pas mon cas.
Malheureusement, nos impératifs professionnels nous interdisent de prendre le moindre jour de congé au moment de la rencontre à BKK.
@Sierra Golf : je n'avais pas réalisé que c'est le 2° plus ancien A320 d'AF, avec 23 ans d'exploitation chez IT puis AF. Belle carrière !
Étrange en effet l'absence de cloison mais vu qu'il s'agit du GHQM (un très vieux 320 ancien Air Inter) ceci explique surement cela...
Merci François pour ce FR.
A quelques dizaines de minutes près nous eussions pu nous croiser à TLS. Tu as pu bénéficier d'une météo un peu plus découverte que moi ce qui t'a permis un superbe spotting Airbus.
Visite presque exhaustive de TLS... à faire aboyer Icare de plaisir ou de jalousie à jouer avec son nonos? =)
Un vol correct.
Le système informatique d'AF, nouveau paraît-il, n'est pas maîtrisé par tous.... teasing pour de prochains FR.
Faire Millau est déjà une épreuve. Mais le faire tout en réalisant le photo-reportage qui va bien... bravo !
Belles photos des quais de Garonne ensoleillés en ce dernier lundi de décembre qui fut l'occasion d'une très agréable rencontre.
A bientôt !
Il n'y a pas que l'informatique d'AF qui génère des couacs (teasing aussi).
Je connais bien le parcours de Millau, et je savais donc à l'avance où prendre des photos.
Au plaisir de se revoir !
Merci pour ce FR.
l'intérêt de Toulouse est réellement la possibilité de voir des appareils que l'on croise pas souvent ailleurs ! Pour le reste c'est un aéroport fluide en ce jour de ton passage.
joli spotting donc mais pas d'A380 en vue cette fois ? au passage, le EZY qui embarque devant la passerelle est un A320 (pour le reconnaître j'applique la technique de Leadership, à savoir la livrée EZY directement écrite après la porte d'embarquement sur A319 et après 3-4 hublots sur A320, la double porte d'évacuation n'étant pas suffisante sur cette compagnie pour les distinguer ;)
vol ensuite classique et agréable avec si peu de pax. 22g pour les galettes, on va voir si on va tomber plus bas cette année.
joli bonus qui évoque bien une de tes passions et ton pseudo :)
A bientôt.
Avec une écrasante mauvaise foi, je peux prétendre avoir vu que l'appareil EZY en faux contact était un A320, un A319 n'étant évoqué qu'à titre d'exemple :):)
Pas crédible ? OK, je sors, non sans avoir remercié pour le commentaire :)
Merci pour ce FR sur un vol pas si classique et le beau reportage sur Toulouse. Très beau bonus sur Millau, je ne connaissait pas ce type d'épreuve, je suis admiratif.
Et très bonne année avec de beaux vols.
Les routings de certains des avgeeks sont aussi incroyables pour mes amis coureurs que certaines de leurs compétitions aux avgeeks. C'est la magie d'internet qui permet de découvrir nos passions respectives.
Merci pour le commentaire !
Tu as une carte Flying Blue statut Chat noir ? :)
Vol classique et sympathique rencontre à Toulouse.
Millau pour moi son viaduc et maintenant cette course mythique.
Merci pour ce FR et meilleurs vœux pour cette année 2015 !
Mme a une carte Chat Noir Platinum, comme je l'ai rappelé dans la conclusion d'un épique WE taïwanais ici : http://flight-report.com/fr/report-2677.html
Merci pour le commentaire et les voeux !
Merci pour ce FR et son bonus épique! Et ravi d'avoir partagé ce déjeuner toulousain qui fut fort sympatique!!
Merci, au plaisir d'une autre rencontre FR :)