A la fin de mon FR TLS-LYS, je vous ai laissé après l'entrée dans le terminal. Sur le trajet vers les portes U (dédiées ainsi que d'autres lettres de la fin de l'alphabet aux embarquements à pied dans des petits appareils). Sur le trajet, j'ai été intrigué par ces deux bornes à BP, flanquées de deux fauteuils roulants. Stockage dans un coin, faute de mieux ?

Ces salles au niveau du tarmac ne font pas rêver : des sièges de tôle comme j'en ai souvent vu en Chine, et surtout des couloirs de cheminements extérieurs vitrés rendant tout spotting nocturne quasiment impossible.

Voici tout ce que j'ai réussi à faire (un CRJ-700 Brit Air, donc Hop!)

Que voir d'autre ? Les sanitaires ? En voici l'accès (hors champ à gauche, ce sont les toilettes féminines).

Je n'ai jamais vu ailleurs une telle horloge indiquant le dernier passage du personnel de nettoyage.

C'était impeccable, mais il ne devait pas y avoir eu énormément d'utilisation en vingt minutes.

Pour ce qui est du coin bébé, c'est minimaliste. On peut changer une couche, point final.

Une autre particularité, ce sont des WC (messieurs et dames, respectivement) réservés au personnel de Hop! avec digicodes. C'est peut-être du mauvais esprit, mais pour moi, le message de Hop! est clair : que les PAX ne nous emm… pas !

Peu avant le début de l'embarquement, une employée passe parmi les PAX qui attendent assis pour étiqueter ainsi les bagages à main qui ne tiendront pas dans les coffres à bagages.

Embarquement, après appel des familles avec enfants, etc.

Un rappel des dimensions et poids maximum, mais ce n'était pas vérifié. Ma valise n'était pas loin de toutes les limites admises.

C'est beaucoup plus facile de photographier un CRK sans deux épaisseurs de vitres et leurs montants. On aperçoit les bagages à main déposés pour mise en soute.

C'est bien un CRJ-1000

Comme tout appareil à motorisation arrière, l'aile est très reculée

Ce PAX est certes grand, mais il montre que la cabine est basse de plafond.

J'ai trouvé les sièges confortables, nettement plus que les planches à repasser des A32x domestiques. L'inclinaison est tellement symbolique que je n'ai pas réussi à l'illustrer.

Le pitch et la largeur entre accoudoirs sont rigoureusement identiques à ceux d'un A32x AF; vous pouvez me faire confiance pour l'avoir mesuré : )

Vous ne me faites pas confiance ? Bon, vous l'aurez voulu : )

Il se met à pleuvoir après la fin de l'embarquement, et les hublots se transforment en filtres très créatifs.

La fiche de sécurité recto-verso

Vue de la cabine qui est assez pleine

Nous sommes au treizième rang dans l'appareil, mais assis au rang 14, puisqu'il n'y a pas de rang 13 chez AF et ses filiales.

Spotting à travers un hublot maculé de pluie

Et piste de décollage tout aussi stylisée

La collation est du standard AF, avec un sucré réduit de 10% à 22 grammes. Jus de pomme pour moi

Et salé très salé + jus de tomate pour Mme

Tentative de nouveau signature shot

Le sucré est bon, malgré le smiley mitigé de ce cookie.

Mon appareil photo est rarement assez sensible pour les vues nocturnes


Il n'y a qu'un PAX qui laisse sa liseuse allumée, générant des reflets qui masquent la vue sur Paris une fois l'avion aligné sur la piste d'ORY, et il fallait qu'il soit à notre rang !

De mon côté, la seule photo sauvable (la Marne)

Le winglet après l'immobilisation de l'appareil

Le personnel au sol commence à aligner les valises de cabine sorties de la soute

Un effet d'éclairage donne un nez jaune à l'appareil

Je m'attarde pour tenter de prendre des photos, discrètement car il y a parfois des employés d'ORY qui font du zèle pour faire respecter l'arrêté préfectoral interdisant les photos du tarmac.


Dernière vue de l'appareil, avec la tour de contrôle

Cheminement vers la sortie; je n'ai pas vu le début de la scène, mais ces PAX ont eu le plus grand mal à décoincer cette valise.

Ce n'était pas la meilleure manière de souhaiter la bienvenue à Paris !

Ca change à ORY : on peut changer son bébé en portant un pantalon

Mais la disposition des lieux n'a pas changé, et l'espace puériculture reste explicitement côté féminin. Je n'ai pas vu si ce jeune père s'y est aventuré.

Côté masculin, une autre innovation, banale en Extrême Orient :

… les PAX peuvent donner leur avis sur les toilettes. Mon avis était bof (au milieu) : lavabos propres, édicules beaucoup moins.

Petite tranche de vie aéroportuaire en attendant notre bagage enregistré : cet homme guette les PAX à valise pour leur proposer les services de taxis qui n'en sont pas (VTC plus ou moins déclarés, ou taxis totalement clandestins, impossible de le savoir)

Seulement voilà, quand il a réussi à harponner une PAX, s'approche une employée à gauche

… qui a manifestement expliqué à cette PAX manifestement étrangère qu'il y a un fort risque d'arnaque. J'ai flouté son visage, mais le rabatteur n'exprimait pas une grande satisfaction. Vous voyez qu'il n'était pas seul : ils étaient cinq à opérer à cette seule porte C

.. située à quelques dizaines de mètres de la sortie vers les taxis.

Comme si ça ne suffisait pas des employés d'AdP, arrive alors une patrouille de trois militaires, qui s'incrustent. C'est dur, le métier de rabatteur, heureusement que la police les laisse tranquilles.

Si j'ai eu le temps de photographier cette scène à la dérobée, c'est que nous avons attendu la fin de la livraison des bagages du vol AF7415…

… pour constater que notre valise manque à l'appel. On aura remarqué qu'il y avait 4 UM sur ce vol, mais ils n'étaient pas livrés sur ce tapis.

Donc direction le guichet idoine d'AF qui n'est pas loin, attente courte le temps du changement de poste de deux employés. Non, la valise n'a pas raté la correspondance à LYS.

Notre valise nous attendait en fait manifestement tout près derrière ce mur, et a été livrée sur le tapis pour bagages encombrants.

J'ai demandé à l'employée ce qui s'était passé :
- A cause des deux codes d'aéroport, ils ont cru que la valise devait prendre un autre vol à ORY. Ca arrive.
Et elle s'éloigne sans avoir esquissé un mot d'excuses pour la demi-heure perdue. J'étais médusé par cette désinvolture, littéralement en état de choc culturel. Je suis peut-être devenu trop oriental pour m'adapter à AF.
Sortie vers la file d'attente pour les taxis, où il y a encore des rabatteurs.

L'attente est beaucoup plus courte que les 15 minutes annoncées par un panneau au niveau du bout de la file, mais l'inefficacité de la configuration des lieux me remémore a contrario la productivité éblouissante de la station de taxi de l'aéroport de Shanghai Hongqiao (SHA), que j'avais décrite ici
C'est la fin de ce FR, et le début d'un bonus dans la lignée des précédents. Pourquoi être rentré à Paris le vendredi et non le dimanche ? La réponse se trouve le dimanche matin, avant l'aube, dans la campagne francilienne. Après mon échec à Millau conté dans le bonus du FR précédent, il fallait revenir aux fondamentaux.

Une petite foule de sportifs en tenues bigarrées se prépare. La mode était au long; le bonnet et les gants étaient très tendance, car il faisait 3°C. (Mon appareil photo spécial course ultra léger a beaucoup de mal avec les faibles niveaux de lumière).

On pouvait être un peu clown

Ou au contraire faire preuve d'élégance dans le sport. (Contrairement aux apparences, il s'agit bien d'un maillot de sport).

Les FRistes se plaignent des queues au PIF, alors que l'heure de l'embarquement approche. Pour les coureurs, c'est la queue pour les WC, systématiquement sous-dimensionnés dans l'heure précédent le top départ.

On est ici à quelques minutes du départ, derrière l'arche gonflable qui marque aussi la ligne d'arrivée. Le thème du bonus de ce FR était prévu de longue date, mais cela ne s'invente pas : cette arche est sponsorisée par AF/KL et le club de sport de FB !

C'est le marathon by Marathon que je vous propose de découvrir : )
On aperçoit une mascotte et le micro de l'animateur à gauche.

Et c'est parti ! A tous seigneurs, tout honneur : les marathoniens partent une minute avant les semi-marathoniens, dont beaucoup vont remonter le peloton des premiers.

Quand on n'a pas de nounou, il faut faire sans. Ce coureur avait bel et bien un enfant solidement emmitouflé et endormi dans la poussette. J'ai longtemps couru plus ou moins à son niveau; il a fini par me semer vers le km 35.

Le petit château de Bordes, à Cernay les Bordes

Les coureurs se dispersent dans la plaine, entrecoupée de passages en forêt. Le paysage vallonné se traduit par 320 mètres de dénivelée positive cumulée, ce qui n'est pas négligeable du tout.

Premier ravitaillement. Non seulement ils sont espacés tous les 6km, et non tous les 5 km, mais il n'y a ici que de l'eau (évidemment glaciale). Eh oh, on ne va pas tenir 42 km à l'eau claire !

Ce n'est pas une raison pour se laisser abattre, on continue.

C'est vers le km 10 que les coureurs se séparent, selon les indications de cette mignonne signaleuse.

Soulagement, les ravitaillements suivants sont beaucoup mieux approvisionnés. Vous voyez ici le menu minimal d'une compétition n'ayant pas beaucoup de sponsors : des cacahuètes, du quatre-quarts, des TUC, des abricots et des raisins secs, des carrés de chocolat et des quartiers d'orange. Pour les boissons, de l'eau et du coca-cola.

Pour un observateur extérieur, le milieu de parcours d'un marathon n'est pas très palpitant, et je fais donc un saut de vingt kilomètres pour passer à une étape cruciale de l'épreuve, surnommée le mur du 30° km par les coureurs. C'est une réalité physiologique : quel que soit votre niveau, c'est vers le km 28-30 que le corps a épuisé sa réserve de sucres lents et doit taper dans les graisses. Mais le métabolisme des graisses est un peu lent, et surtout le corps anticipe mal. S'il est parti sur un rythme trop rapide, un coureur sent brutalement ses forces l'abandonner à cet endroit. Il cherche à compenser avec des sucres rapides au ravitaillement du 30° km, mais le remède est pire que le mal, car ils ne permettent pas de tenir longtemps et cela retarde d'autant le métabolisme des graisses.
Celui qui ici continue de courir à allure à peu près stable sait qu'il terminera bien, car douze kilomètres, c'est de la petite monnaie pour un coureur de fond en forme. Celui qui s'effondre ici sait qu'il a un long calvaire devant lui, car douze kilomètres, c'est interminable quand le corps ne veut plus. C'est une spécificité du marathon, qui le rend si difficile. A contrario, le 100 km étant couru beaucoup plus lentement, le débit d'énergie est plus faible et le passage aux graisses ne se sent pas.

Mais ici, tout allait bien pour moi. Regardez la concurrente de droite : on la reverra plus loin.

Traversée d'un village, avec un radar pour inciter les usagers à ralentir, qu'ils soient au volant ou en train de prendre une photo.

Profiter de l'échauffement pour reconnaître la fin du parcours fait partie du B.A. BA de la compétition. Ce parcours se terminait par un cheminement piéton de 200 mètres le long de la route, un peu trop étroit pour se doubler, avant la dernière ligne droite de 100 mètres, trop courte pour un sprint.

Un homme et une femme me doublent à 1500 mètres de l'arrivée, ayant déjà accéléré la cadence. Je relance la machine et reviens à leur niveau dans le village. A la sortie du village, pas le choix : si je veux avoir une chance de terminer devant, c'est avant la zone étroite qu'il faut passer en tête et lancer un sprint très long. Ca passe ou ça casse.
Et c'est ici que l'une des signaleuses qu'on aperçoit au fond crie : DERNIER VIRAGE !

Tous les avgeeks peuvent comprendre la montée d'adrénaline à cette annonce si familière : l'arrivée est à quelques dizaines de secondes !

Malgré tous leurs efforts, mes deux concurrents n'avaient aucune chance face à la post-combustion déclenchée par cette annonce. La femme au haut jaune, cassée en deux, est celle qui s'est ravitaillée en même temps que moi au 30° km. L'homme à la tenue vaguement bretonne s'est bien battu, lui aussi.

Ultime ravitaillement après la ligne d'arrivée. Plus loin, à la salle de sport, il y a du thé et du café.

Il faut être givré pour courir un marathon à cette date là, car il fait trop froid et c'est trop tôt après les fêtes. Qui plus est, le sud-ouest de la France est réputé pour son foie gras et son cassoulet, mais ce n'est pas du tout le régime approprié avant une compétition. Mais comment mieux commencer l'année 2015 ? !
Merci François :)
Un vol nocturne dans un avion avec une cabine couplophile et un siège confortable, pas mal pour rentrer !:)
Agent d'escale blasé ou impoli de nature, nul ne le saura jamais, mais un petit sourire et un désolé ça ne coûte rien.
Je trouve que la station taxi fonctionne très bien à ORY moi, le temps d'attente est souvent très limité, même lors de forte affluence.
Tes rabatteurs me rappelle ceux de Kabukicho, en moins collant ! ^^
Raie plombière devant les toilettes d'Ory, belle indicatrice semi ou Marathon, au vu de ces photos, 2015 sera une année polissonne pour Mr Marathon :))
Mon entourage familial m'a copieusement plaint qu'AF nous ait contraint à ce détour via LYS. Je n'ai pas cherché à expliquer que c'était un bonus pour moi : cela relevait du fossé culturel ^^
Pour ce qui est de l'agent d'escale, j'ai eu l'impression d'une gestion purement technique d'un incident. On ne sourit pas ni ne dit désolé à une machine.
Merci pour le commentaire, avec l’œil attentif au moindre détail égrillard :)
Merci pour ce FR.
Ce terminal lyonnais n'est pas des plus plaisants mais alors de nuit il est limite glauque. Et ne rend pas la tâche facile pour les photos, quoique une fois sur le tarmac c'est autre chose !
le CRK est un appareil appréciable pour son confort et sa configuration. Peu d'inclinaison mais je ne trouve pas ça si gênant en fin de compte pour un vol court. Le catering et ce cookie, c'est nouveau ? pour le reste c'est du classique.
Un marathon plus de passion que de raison à cette époque de l'année ;) bravo déjà pour l'avoir fait aussi longtemps et pour l'explication des 30 km, je n'y aurais jamais pensé mais si un jour j'atteints les 30 km, j'y réfléchirais par avance :)
A bientôt.
Je n'ai pas trouvé ce terminal de LYS particulièrement désagréable. De là à le qualifier de chaleureux, il y a une marge considérable !
Je suis d'accord que l'inclinaison n'a aucun intérêt pour un vol aussi court, d'autant que j'ai trouvé les sièges beaucoup plus confortables que les planches à repasser des A32x.
Je ne fais pas assez de vols avec AF pour savoir si les cookies font partie des possibilités de catering.
J'ai mis longtemps (et beaucoup d'effondrements au pied de ce mur) avant de trouver dans la littérature l'explication du mur du 30°.
Merci pour le commentaire !
Merci. Une remarque cependant. UM arrival 04 : ça ne voudrait pas plutôt dire que les UM retrouvent leurs parents en porte d'arrivée 4 ?
A moins que les UM ne soient livrés sur le tapis n°4 ? :)
Non, je crois que votre interprétation est la bonne, bien qu'il y eût à peu près 4 UM à bord.
Merci pour le commentaire !
Vol à bord d'un appareil avec des allures de jet privé en configuration 2-2.
Un marathon Flying blue cela fait combien de miles au final ?
Merci pour ce FR !
Inscription au marathon à tarif MiNi, donc ça crédite zéro miles (mais ça fait un segment dans mes tablettes). Sinon, un marathon, ça fait 26 miles :)
Merci pour le commentaire !
FR instructif, merci!
Déjà l'attitude au comptoir bagages à ORY, qui me rappelle de supers souvenirs (suis peut-être devenu trop helvético-germain ou oriental moi aussi ;-)...
Ensuite le racolage des VTC et faux taxi, qui donne des allures d'aéroport de pays en voie de développement (ou de renveloppement), et n'est en rien réprimé
Sinon, le terminal regional à LYS est quand-même bien pratique pour éviter la case paxbus, même si les sièges pourraient être plus confortables (que je regrette les canapés Casimir Power de CDG-1 avant sa rénovation ;-)
Les sièges du CRK sont assez semblables, mais pas identiques, à ceux de mes Q400 adorés, et sont en en effet bien au-dessus des planches à repasser (AF devrait les vendre sous licence à Ryanair ;-)
Problème résolu; vous n'existez plus pour moi : c'est le message non-verbal que j'ai ressenti (et Mme aussi) quand cette employée a tourné les talons. J'étais abasourdi, et Mme était scandalisée.
Ce sont moins ces racoleurs à l'aéroport que le fait d'avoir accueilli chez moi des étrangers qui s'étaient fait facturer 90 € pour une course dans Paris intra-muros par un faux taxi qui me fait honte de l'absence de courage politique au sujet des taxis.
@Alcam : je me souvenais en effet de ce FR
Merci pour vos commentaires !
(suis peut-être devenu trop helvético-germain ou oriental moI aussi: j'ai fait un BOD ZRH sur Helvetic, le vol a eu plus d'une heure et demi de retard, aucune excuse à aucun moment, et des annonces à bord faites uniquement en Allemand ou pire en suisse allemand! Et une pnc presque étonnée (scandalisée?) quand je lui ai dit que je ne comprennais pas ces deux langues, et qu'une petite explication en anglais ne me semblait pas totallement illégitime.....
Merci pour ce fr et son bonus....
Merci pour ce FR dont le vol n'est finalement pas la partie la plus interessante. Lyon a ces horaires ne fait pas rêver, mais Orly encore moins, et je trouve aussi que ce racolage insupportable n'est pas digne d'un grand aéroport parisien. Sans parler de l'attitude des responsables bagages.
ENcore un beau bonus qui améliore ma culture marathonesque qui est il faut l'avouer proche de zéro.
Ma valise de cabine actuelle, griffée AF, a remplacé une valise arrivée en très mauvais état à TLS avant l'ère FR. C'était un 24 décembre très tard le soir, le PAX qui m'avait précédé au service bagages d'AF avait été odieux, et pourtant l'employée avait été irréprochable. Il ne faut pas désespérer du personnel au sol d'AF.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR terminal de ta tournée hivernale.
Un vol correct.
Je note que les rabatteurs sont plus nombreux à la sortie de l'aéroport d'Orly qu'à Ivato. Le Tiers Monde n'est pas forcément là où l'on croit.
Il est très instructif de courir un marathon devant son PC en ta compagnie ;=) On note l'absence de durian dans les fruits proposés lors des ravitaillements, manifestement ici réservés à des pax sans statut.
A bientôt pour d'autres aventures.
Je trouve que ces rabatteurs sont de plus en plus nombreux, à moins que je ne les remarque de plus en plus.
Le durian aurait l'avantage olfactif de signaler de loin la proximité du ravitaillement :)
La boisson d'après effort avait un goût abominable - on voyait la différence de tarif d'inscription au km avec la course des Pères Noël.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR:
Cabine agréable et configuration qui rend le vol correct.
Merci pour le bonus:très courageux de brûler les calories des fêtes par un marathon.
bonne année.
Il fallait bien compenser une absence totale de courage diététique pendant les fêtes ;)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR !
Pour le marathon vous avez couru combien de temps ? Le terrain était plat ou nivelé ? Dans tout les cas vous êtes bien courageux de courir durant la période des fêtes ;-)
Mon chrono est inavouable, même en prenant en compte le fait que le parcours était vallonné. Ce n'est pas du courage, mais de l'addiction :)
Merci pour le commentaire !
Le Canadair est un de mes avions préférés. Il est confortable et silencieux. Le problème vient effectivement des petits coffres à bagages.
Pour en venir à la course, les participants qui ont un statut FB Elite ont-ils droit à une file Sky Priority au départ? ;-)
Merci pour ce FR.
Aucun respect des priorités, mais dans ce sport, celui qui embarque trop vite se retrouve dans les derniers à l'arrivée :)
Soit dit en passant, je crois qu'il n'y avait pas de priorité pour les FB Elite pour embarquer dans le CRK, mais qu'est-ce que cela aurait changé ? Pas de cabine J, valises de cabine déposées au pied de l'appareil, embarquement rapide vue la taille de l'avion : aucun intérêt.
Merci pour le commentaire !
Bonsoir François et meilleurs voeux pour 2015, avec pleins de voyages et de courses.
Un CRJ sur du LYS-ORY, je ne savais pas! C'était un vol spécial?
Bonus essoufflant, je ne pouvais plus respirer en le lisant jusqu'au bout, lol
Merci pour ce partage
Il devait y avoir un CRJ-700, et j'ai découvert un CRJ-1000. LYS-ORY n'ayant d'ordinaire aucune pertinence pour moi, je ne sais pas quel est l'appareil normalement mis en ligne, mais la demande ne pouvait être que faible ce jour là, et en tout cas insuffisante pour un Airbus.
Merci pour le commentaire !
Hello François,
Je lis votre FR avec un peu de retard (Shame on me).
Vol classique et bonus assez inédit ! Toutes mes félicitations pour ce... Marathon !
A bientôt,
Mathieu F
Beaucoup lisent les FR longtemps après leur publication, mais parmi eux, rares sont ceux qui ont la gentillesse de laisser un petit mot sur le livre d'or. Merci ! :)
C'est tout à fait normal :) Surtout pour un membre aussi impliqué comme vous.
J'ai beaucoup de retard dans la lecture des FR.
A bientôt,