Bonjour
Bienvenu(e)s au troisième volet du criterium estival à la pêche de FOP. Cette étape se distingue pour accueillir l’épreuve d’endurance de cette série. (Pour se faire une idée de l’ambiance imprégnant les rounds précédents veuillez consulter les liens ci-dessus).
Flight routing
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PRELUDE
Nous sommes à Naha, capitale du royaume des Ryuku et destination de l’aventure dépeinte en ce récit (qui se déroule, donc, en forme de boomerang).
Une baignade rafraîchissante sous les regards des automobilistes…

et une très, très bonne soupe-aux-nouilles locale…

servent pour mettre à ton le corps afin d’affronter la journée du lendemain, qui se présente bien chargée.
Oui, car la gloutonnerie (en FOPs, rendus plus appétissants par les autorités compétentes afin d’envouter les bâfreurs -parmi lesquels se trouve un serviteur-), provoque des errements saugrenus. Déplacements insensés considérés sous un prisme purement rationnel et dignes de réprobation de la part des apôtres des causes environnementales.
Emporté par l’avidité, à un moment donné j’allai jusqu’à envisager un double aller-retour OKA-HND dans la même journée, mais finalement je me dis que c’était peut-être excessif. Pourtant, au dire des forums en ligne, celle-ci n’est pas une pratique insolite parmi les nécessiteux….
Finalement, un laconique aller matinale (en vieillissant repressentant washingtonien) sera suivi d’un retour dans l’après-midi en…… TARA-TARA……toulousain printanier YEEEEEEAAH!!! Pimpant destriers garonnais (A-350) que je talonnais depuis leur arrivée dans l’archipel en 2019. Avec véhémence (et l’épaulement morale de mes suppliques aux kamis locaux) je lancerai un pari de surclassement de 1.000 ou 8.000 yens. Je volerai donc en classe J ou ’Faaa-sou-to’ classe, en fonction de la bienveillance des dames au comptoir et des disponibilités. Mais pour connaitre mes fortunes il faut tout d’abord se rendre à Tokyo.
ON Y EST (TOUT PRES)
Un abrupt saut spatio-temporel nous dépose dans les -longs- couloirs de Haneda (Terminal 1, quartiers généraux de l’Alliance Rebelle) où je vais presser mes pas afin de devancer la rude concurrence et pouvoir parlementer en toute tranquillité avec les [gentilles] gardiennes des forteresses.

Les kamis semblent me sourire aujourd’hui car, en effet, j’ai pu obtenir le sésame qui ouvre les portes des révérences ultimes, des sourires éternels ou des affections fugaces… YEEEEEEAAH!!! -a nouveau-. (moyennant, c’est vrai, les quelques 60 euros requis pour profiter du paradis).
Comblé comme un enfant à la sortie de l’école à qui on offre un macaron aux myrtilles, je retourne aux longs couloirs post-control-sécurité et rumine comment occuper les deux heures qui suivent.

Evidemment, j’ai carte blanche pour faire une visite chez les anges guettant la stratosphère et profiter à volonté des fameuses tireuses ainsi que des vues dégagées. Je peux également -et comme dans tous les grands aéroports du monde- faire usage de mon porte-monnaie et acheter des choses. (Néanmoins la sélection de commerçants est, dans cette aérogare, singulière et intéressante, puis leur emplacement n’est pas encombrant). Autrement, je peux regarder la télé -des grands écrans diffusant les chaines nationales sont omniprésents- ou m’asseoir dans un fauteuil et lire un livre.
Finalement je choisirai cette dernière option. La grande générosité de mon banquier local me permet de profiter d’un espace ample, agréable et dépourvu d’écrans.

Une sélection appétissante de boissons (non-alcoolisées) est offerte, même si les amateurs des subtilités aromatiques et des goûts raffinés du café feront mieux d’opter pour une bonne tasse de thé ou des jus de fruits fraichement pressés.
L’espace est ample et serein et l’agencement me convient.

Ceci étant un salon d’aéroport au Japon, on ne va pas manquer un comptoir face aux fenêtres donnant sur le tarmac.

Et même si on opte pour un fauteuil à l’arrière on a pensé à nous en surélevant le sol afin de dégager les (belles) vues.

Qui, au-delà des pistes, incluent le Mt. Fuji (par temps dégagé) et le terminal international (récemment renommé Terminal 3).

Voici un jeune membre de la famille toulousaine, fraichement adopté par l’Alliance Rebelle. Je voyagerais en compagnie de sa mère ou de son père. Ce fiston porte les couleurs -ou plutôt les visages- d’Arashi, bande de garçons célébrissime au Japon et dont leurs aptitudes musicales ou d’interprétation m’échappent toujours (mettant en doute mes sensibilités artistiques, surtout lorsqu’on les confronte à celles de beaucoup, beaucoup de mes confrères japonais).

Par ce temps maussade, un jus de tomate et un chocolat chaud feront l’affaire. Jadis il était possible d’amener des encas et s’offrir un petit festin -on peut trouver de très bon mets à emporter dans les boutiques des terminaux domestiques de Haneda-. Hélas, le virus eut raison de ça aussi.


Bien discret, celui-ci est le seul écran dans tout le salon, intégré dans l’emprise d’un poteau et caché derrière un verre ultra reflétant. Sa seule fonction est celle d’afficher le flux des départs. D’une manière efficace et sobre. J’aime bien. (En réalité il est beaucoup plus lisible que ce que l’image ci-dessous ne le laisse pas entendre).

Puisque j’ai encore du temps et que j’envie de boire un café sans regretter de l’avoir fait après-coup, je fais un passage fugace chez les anges du paradis. Après les révérences et sollicitudes sempiternelles, je procède rapido-presto et assouvis mon appétit en caféine.

Voici le graal des cieux: un vol de 3 heures en flambant A350 (format inhabituel car agencée pour de courtes distances) En plus, je suis assis bien, bien devant et collé à une belle fenêtre. Le seul hic: je voyage du mauvais coté. Les bonnes vues et l’abri du soleil sont a retrouver chez les fortunés des fauteuils K.

Une dernière prise dépeignant les compagnons de mon destrier d’aujourd’hui.

ON Y VA
Je flâne dans les allées du terminal en m’approchant de notre porte d’aujourd’hui (n. 10). Nous y sommes. Mais…, …, …,

Mais NOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!!!!!!

J’inspecte de plus près tout ça. Incrédule. Époustouflé.

DAMN IT!

Certains pourraient trouver soulage du fait de voyager dans un aéronef jamesbondien, mais ce swap ne m’arrange vraiment pas!
Ouff! Au moins la Première classe a été conservée…

C’est avec la tête basse et en grommelant que je rejoins l’ultime control de billets, déjà presque vide.

Une rotonde limpide sépare les flux des passagers.

Cette fois c’est à gauche.

Le promenoir est également immaculé et sobre. La publicité -toujours de produits financiers, va savoir pourquoi- n’encombre (pas trop).

Combo de portes et console (vidéo), triptyque vraiment populaire parmi les habitués de ce site. Le personnel à bord est absent mais les passagers sont déjà là.

Mes quartiers pour les heures à venir seront moins chic que prévu, mais le mécontentement se dissipe petit à petit. Le décollage est imminent et le plaisir de voler à nouveau s’infiltre sous la peau, comblant toute affliction.

En commençant par l’arrière cette photo nous montre: instructions pour réussir sa connexion Wi-Fi en vol, sac en carton imperméable à usage universel, note sécurité devenue cible de collectionneurs depuis la mise à l’écart de ces appareils Boeing -équipes des moteurs P&W-, batterie lithium à recharge de périphériques et une trousse intrigante….

… contenant une paire de pantoufles (très confortables, d’ailleurs).

Et c’est à ce moment que fait son apparition mon ange gardien d’aujourd’hui. J’ai malencontreusement oublié son nom mais on pourrait parfaitement l’appeler ici Kunimo-san, surtout pour la placer aux antipodes de Monique (jamais rencontrée en personne -si ma mémoire ne me trahit pas-, mais célébrissime dans ce site).

Du côté gauche, la vue est beaucoup moins engageante et le diorama du décollage s’annonce terni.

Pour autant on arrive à faire nos adieux à Someity et Miraito.

Et puis on enfile la piste.

DANS L'AIR
C’est rare. Voici la première fois que je décolle depuis la piste B (ou 04). Je ne sais pas si c’est dû au temps épouvantable ou au changement récent des routes à l’approche de Haneda. En tout cas, ça nous offre de très belles vues du feu terminal international (T3 aujourd’hui).

Qui semble avoir été pris d’assaut par les forces de l’Empire…

On rentre tout de suite dans les nuages et comme prévu, les vues à travers les hublots ne donnent qu’un dense amalgame de blancs et gris. Pour compenser cette monotonie, je vous offre une petite escapade [voyage dans le voyage]: une panoplie de tonalités, un délice, un (petit) extase ! dont on peut profiter lors qu’il fait beau et que l’on est assis du bon côté de l’avion.
(PARENTHESE)
C’est comme Hiroshige ou comme Hiroshi Sugimoto.
Ou comme tant d’autres (grands) artistes ayant été touchés par ces paysages…
Les mots ne font que souiller le tableau.
Bon appétit.








(FIN PARENTHESE)
De retour à la réalité, Kunimo-san nous apporte le -cette fois-ci- bien nommé oshibori. Toujours entourés de nuages, le festin débute.

Afin d’explorer l’éventail de l’offre liquide chez JAL, j’opterais aujourd’hui pour des nectars européens. Autant le dire tout d’abord : ce n’est fut pas le choix le plus judicieux.

La fixation généralisée pour les boissons gazeuses reste toujours une énigme pour moi. Et leur subtilité m’échappe grandement. Mais je crois avoir goûté des champagnes plus délicats que celui-ci. Aux experts d’en juger. Le gobelet en plastique n’aide pas à rehausser le ton de l’ensemble…

Lors de l’arrivée du repas, les bulles seront remplacées par d’eau-de-vie plate. Et calabraise. Bof-bof

Le repas sera identique à celui pris la veille, car c’est sur la même route en dans la même plage horaire. Ce petit hommage à la préfecture de Kochi fut autant gouteux que la veille.

Par temps normaux, les menus de la Première chez Japan Airlines changent trois fois par mois et varient en fonction de l’horaire (trois plages horaires: -10h30/10h30_16h30/+16h30) et de l’aéroport de départ (Haneda ou pas Haneda). Le choix abord se limite, donc, aux boissons.

Au moment des faits, la pandémie avait enlevé les verres, les tasses et le renouvellement quasi hebdomadaire des repas (l’offre resta inchangée pendant tout le mois). Aux dires des habitués, le service reprit ses allures habituelles quelques semaines après ce vol.

Depuis des années JAL domestique essaie de mettre en valeur les régions et ses petits producteurs. Chaque mois une préfecture occupe le centre de la scène : des mets -rares, et finement choisis- sont offerts (en classe avant), une partie des menus est conçue par des restaurateurs locaux, des articles sont publiés dans le magazine de vol, etc., etc. Je trouve sympathique cette initiative qui a l’air d’être une opération gagnante-gagnante (on est vraiment persuadé de partir découvrir les magnifiques lieux et gouts présentés).

La cabine se prépare pour une petite sieste. Elle est plus large et beaucoup moins intime que celle des B767. Si je devais choisir, j’opterais pour l’exiguïté. Mais le choix ultime pour un vol domestique restera toujours les flambants oiseaux toulousains (manqués de près cette fois-ci).

Pendant que mes voisins somnolent ou travaillent j’échange agréablement avec Kunimo-san, partageant le bonheur d’être dorloté dans les airs, ma petite frustration par le rendez-vous manqué et mes plans de visite dans le Royaume des Ryukyu. Un vrai moment amical.
Elle part me préparer un (bon) café et l’agrémente d’une emblématique grue et des mots sympathiques.

Le recto de la carte fait un peu vintage. J’aime bien.

Les nuages se sont dissipés et l’azur s’est ajouté au gris dans l’échelle chromatique. Mais on reste toujours dans des tonalités sobres. Le ciel et l’OCEAN sont vastes. (Les plus fins observateurs reconnaîtront néanmoins des silhouettes terrestres mais elles s’affichent d’une manière très, très subtile, élégamment enrobées par les altocumulus ?? cirrus ??)

Notre aventure approche donc à sa fin. Voici les côtes des Ryukyu, cette fois-ci relevant tout sa splendeur. Plus concrètement, on aperçoit l’extrémité occidentale du village de Motobu 本部町 -ou se situe le fameux aquarium Okinawais- alors qu’on survole l’île d’Ie 伊江島. Mais ce qui m’intéresse ici c’est ce qui se passe à droite.

On vous présente le premier suspect: la petite île de Sesoko 瀬底島 en pleine transformation (essor foncier ou destruction environnementale, selon les points de vue). -Hilton supplante de petites cabanes cachées dans la végétation par des barres d’une dizaine d’étages-.

Et sa petite soeur, l’île de Minna 水納島, inhabitée jusqu’au début du 20eme siècle car dépourvue de source d’eau, mais visitée par plus de 100.000 touristes annuellement de nos jours. Jadis elle était considérée un utaki 御嶽 ou haut lieu sacré dans les croyances autochtones [Ryukyu Shinto 琉球神道]. Le sera-t-elle toujours, en dépit des hors-bord, pirogues et divers paragliding la sillonnant et tracassant?

S’en suit une courte séquence autour du très photogénique cap Zamba, déjà répertorié dans le récit précèdent mais qui, sous une belle lumière, nous montre son charme sans pudeur.



La descente est extrêmement douce et on plane longtemps avant d’apercevoir les contours de Naha et sa baie fortement réaménagée.

Jouant au chat et à la souris depuis un bon moment, notre copinerie avec le sol finit par payer et on est très près de nous embrasser.

Ça-y-est, amitié rétablie

L’océan nous sépare encore de notre destination finale…

Avant de rejoindre notre porte, on cède courtoisement le pas à nos complices s’envolant vers Kyushu.

Ils y sont presque.

Très souvent, un moment magique.

On s’éloigne de l’océan. Ce qui veut dire qu’on s’approche de la maison.

Avec les frontières de facto fermées, l’activité dans le terminal international est proche du néant. Seulement des individus égarés apportent des notes de couleur dans cette morne ambiance.

On franchit discrètement les lignes ennemies

Et on est accueillis pas les nôtres.

Qui sont venus nombreux pour l’occasion, grands et petits, jeunes ainsi que vieux.

Et à la sortie de la passerelle, paff!, une gifle retentissante; plein dans la joue: c’est avec une de ces beautés que j’aurais dû faire le voyage…

Néanmoins, en dépit d’une cabine moins charmante qu’initialement prévu l’expérience fut forte agréable. Et les dévouements de Kunimo-san hissèrent ce déplacement utilitaire et essentiellement avare (quête de points du programme de fidélité) a l’échelon de souvenirs [aéronautiques] remarquables.
Le tropique nous accueille à nouveau, avec toutes ses couleurs.

Eparpillées dans presque tous les coins du terminal.

Une visite éclair à la terrasse d’observation nous donne seulement deux clichés dignes de partage. Le trafic était vraiment épars et j’avais grande hâte de rentrer en ville et profiter de l’île de Honto.


Merci beaucoup de m’avoir suivi jusqu’ici. On se donne rendez-vous au prochain chapitre de ce championnat estival aux FOP chez JAL.
C’est en voyant ce genre de FR que je me promets que j’irai au pays du soleil levant un de ces jours. Je comprends la déception du changement d’appareils que nous redoutons tous !
Merci pour ce super FR !
Merci pour le prompt et gentil commentaire. Le Japon est une belle destination, et les visiteurs sont très (souvent) bien pris en charge. N’hésitez pas à vous envoler et nous rendre visite !!
Merci pour ce FR. :)
Un vol domestique on ne peut plus banal au Japon mais une vraie parenthèse exotique pour le site. :)
Monique était surtout un pseudo ; elle pouvait être à bord aussi bien d'une compagnie occidentale qu'orientale. Cela dit, je pense qu'on pourra certainement adopter ce pseudo pour évoquer l'autre moitié...
Entre la cabine flambant neuve de l'A350 et celle de ce 777, il n'y a pas photo en effet. A ce propos, l'appareil est un 777-200; d'une part il n'y a que 4 portes contre 5 pour le 777-300ER, d'autre part, on peut voir le type d'appareil sur la safety card.
Superbes paysages aériens.
A bientôt. Ou plutôt devrais-je dire: sayonara. ;)
Merci pour le commentaire et pour les remarques techniques. Le type d’aéronef a été modifié. On sent bien que vous êtes un fin connaisseur de leur différences et subtilités. Il faudra commencer tout de suite à réviser pour se mettre au jour ?
Merci pour ce FR.
J'ai changé le type d'avion et la classe (domestic first).
Et le salon a été rajouté dans la base.
O rage o désespoir , le changement d'avion en dernière minute, la difficile vie d'ageek.
Un style toujours aussi agréable à lire.
A bientôt
Merci toujours pour la réactivité et le support. En effet, on a tendance à créer des crises et drames là ou, vu avec recul, il n’y a vraiment raison. Mais ca fait du bien d’épicer un peu, de temps en temps, ses émotions, n’est-ce pas ?
Merci pour ce FR. Du champagne en gobelet plastique...
L'A350 est le plus beau des aéronefs ?
Bonne soirée.
Oui! Longue vie au A350!!!!
Comme déjà évoqué, je ne suis pas un adepte des boissons gazeuses, mais même avec de l’eau plate, le gobelet en plastique est déplorable.
Merci pour ce nouvel opus nippon.
Un changement d’appareil peut être bon ou non ici c’est pas de chance.
Merci pour ce partage.
À bientôt
Merci Quentin pour le commentaire. Oui à première vue, le changement d’appareil n’est pas une bonne affaire ici. Néanmoins, en rétrospective, il se peut qu’il ne fût pas si mauvais que ça. Je suis presque certain que si l’aéronef avait été maintenu le pari du surclassement n’aurait pas été gagné (l’A350 était [est] une espèce très, très prisée à l’archipel nippon parmi les [nombreux] amateurs d’aviation). Mais personne ne m’annonça le changement lors des démarches d’upgrade…
Ahlala passer de l'A350 au B777, c'est vraiment dommage (enfin pour les avgeeks comme nous, j'imagine que la plupart des gens n'en ont rien à faire) ! Le repas a l'air délicieux, on aimerait avoir de tels plateaux sur des lignes intérieures en Europe... Seul le verre en plastique pour le champagne fait tâche, mais ce n'est pas le principal.
Merci AK pour ces mots gentils. Oui le gobelet en plastique est un point noir, mais, comme vous le dites, il est une petite goutte dans l’océan de bonheur qui fut ce voyage.
Merci Soranotabi pour ce récit toujours alerte qui est votre signature et pour vos beaux clichés qui se passent effectivement de littérature...
Il semble effectivement qu'il vaille mieux retenir le solide que le liquide mais l'important était déjà atteint, la Feurste à 60 euros... et les sièges font très classe dans cette tonalité.
Heureusement, il existe de nombreuses anti-Monique, et le voyage prend tout de suite une autre dimension quand on est choyé avec bienveillance.
Loin de moi l'idée de retourner encore le couteau dans la plaie mais effectivement l'expérience à bord du A350 est un must, je guetterai avec attention vos prochain FR et je gage que vous arriverez enfin à vos fins !
Et quel dépaysement...
Bons vols à vous Soranotabi !
Merci pour ce mots gentils, Wax-san ! Oui, cette fois-ci l’écart gustatif entre solide et liquide fut considérable. Pourtant, les breuvages nippons que je choisis lors du vol précèdent furent exquis. Et les attentions de Kumino-san servirent pour faire disparaitre les regrets dans le choix alcoolique.
A350 ou pas d’A350, c’est peut-être une question existentielle des passionnés (cinglés ??) d’aviation. ?
Merci beaucoup pour le partage !
Quelle jolie prestation sur ce vol domestique, c'est de la domestic first certes, mais l'ensemble fait franchement envie et est vraiment qualitatif.
A bientôt.
Merci, Señor Esteban. Ça fait plaisir de lire de tels louanges et encouragements de la part d’un contributeur si illustre. A bientôt.