Bienvenu(e)s a ce récit, qui conclut une courte mais productive visite au continent européen.
C’est ‘Retour A la Maison’. Avec notre chère Alliance Rebelle.
Sera-t ‘elle à la hauteur des attentes ??
Flight routing
- 1JL436 - Economy - Matsuyama-Tokyo -Boeing 737-8
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- 6JL46 - Economy - CDG-HND - Boeing 777-300ER
On reprend là où l’on s’était arrêté, c’est-à-dire, aux couloirs de l’aéroport d’Orly.
Pressés de regagner les guichets de l’Orlyval, qui devrait nous amener jusqu’à la gare d’Antony.

Une fois l’impôt révolutionnaire déboursé, nous attendons sur les quais l’arrivée du métro automatique.

Qui est moderne…. mais pas trop prisé en ce début d’après-midi.

Dûment déposés au terminus, on s’élance vers la plateforme du RER B, chargé de nous conduire à CDG.
Après un peu d’hésitation, on finit par identifier la bonne voie.

Le timing est très bon, car au moment où l’on débarque sur la plateforme, une rame à destination CDG entre en gare.

En prime, elle est une des ‘neuves’ (à savoir, légèrement climatisée)!!

Pourtant, à l’inverse de l’Orlyval, elle est bien remplie de voyageurs. Impossible d’envisager s’asseoir…
On doit plutôt s’occuper des valises, afin qu’elles ne bloquent pas trop le flux des passagers.
Heureusement, les rames se vident après avoir franchi le périphérique sud. Et elles resteront plutôt inoccupées jusqu’à CDG.

CDG: BOUTIQUES, SALONS et gares
Notre vol partira bien du Terminal 2, mais une ‘urgence physiologique’ m’oblige à descendre à la gare CDG-Terminal 1.
Une fois assouvis nos besoins, on se permet d’immortaliser ce drôle incident (Pour cela, on choisit d'immortaliser la plaisante architecture de cette gare).

C’est donc par CDGval que notre acheminement en transport mécanique prendra sa fin.
Au parvis de la gare Terminal 2, la ‘grande sculpture’ affichant les vols au départ est toujours là pour orienter les passants. Or, je trouve que sa large dimension, combinée au petit gabarit de sa police, le rend peu pratique. Souvent inintelligible.
(Cela est encore plus vrai depuis les hauteurs de notre loggia :-)

Alors on est bien heureux de retrouver des lieux avoisinants où tout est expliqué d’une manière moins sculpturale mais bien plus lisible.
Notre vol est affiché à l’heure et en départ des portes K.

On procède vers les comptoirs d’enregistrement.

Trois heures avant notre départ, tout est déjà mis en place et un certain nombre de co-voyageurs attend.
Les affiliés à la J1 League -la crème de la crème chez JAL ou OW- n’ont presque aucune attente.
Ceux de la J2 League -y compris votre serviteur- doivent patienter un peu. Mais ça avance plutôt vite et, entretemps, des employés de JAL parcourent la file afin de vérifier vaccinations et codes QR d’entrée au pays. Ce qui aide grandement à expédier vite les formalités.
D’après la longueur de leur file, les adhérents de la J3 League devront laisser écouler un bout de temps jusqu’à pouvoir compléter ces dernières.

Mon interlocutrice se révèlera très charmante et très efficace. Les bagages partent bien étiquetés (jusqu'à Tokyo) et tous les billets jusqu’à destination finale (MYJ) sont obtenus. Avec le sourire. Kudos to her.
Le passage aux frontières et le contrôle de sécurité se déroulèrent, bizarrement, sans encombre.
Par la suite, on cherche notre petit éden où poser nos affaires et se détendre. Mais à la place d’un salon, on retrouve un grand shopping-mall… Le ‘lieu de repos’ est difficile à dénicher parmi le tohu-bohu d’enseignes et étalages. Au fait, je dois solliciter un employé, qui m’indique aimablement le bon chemin.
Voici la voie vers le salon (qui, franchement, fait quelconque…)

Le niveau d’affliction augmente…

Comme vous l’avez surement compris, c’est la première fois que je visite les lieux.
Pour un salon à domicile, à dire vrai, je m’attendais un peu mieux: un cheminement plus soigné, une entrée plus impossante, un 'x-factor' quelque part… (Désolé pour la qualité de la photo).

C'est en vertu d’une collaboration qui remonte à -au moins- 1973, que les voyageurs de JAL peuvent utiliser les installations qu’Air France propose à ses propres clients et à ses partenaires de la Sky Team.
Une fois franchi le seuil, j’ai deux priorités : prendre une douche et me caler les joues (il est 17h et je n’ai rien mangé depuis 9h30).
La douche est reçue comme une aubaine. En plus, l’attente fut nulle et les articles de toilette offerts furent de très bonne qualité.
Pour le repas, tout d’abord, il faut trouver une place libre. Chose qui n’est pas aisée. Pendant ma perquisition des lieux, je constate que le plafond est assez bas et que la lumière naturelle baigne seulement une petite section du salon. Tout ça, ajouté à la haute fréquentation des lieux, donne une impression d’étouffement.
Finalement je réussis à trouver une place dans la partie la plus aérée du salon (niveau inférieur de la mezzanine).

Ici, il est possible de profiter de la lumière du soleil, mais les finitions rendent les vues extérieures difficiles.


Première sélection. Le tout s’avère gouteux.

Le salon se vide graduellement. La vue depuis ma table.

On ajoute un large complément sucré à notre repas. Également bon !

Ci-dessous, une des sections du salon dépourvues de lumière naturelle.

Savonné et repu, je suis prêt à accoster mon navire.
Pour faire ça, il nous faudra traverser le front de bataille commerciale.
Chapitre 1 :

Chapitre 2 :
(avec des représentants de l’empire du soleil levant encastrés dans un des empires du luxe français)

Chapitre 3 :
(où des enseignes basques marivaudent avec des enseignes subrepticement japonaises)

LE VOL
Notre vol est affiché en rouge, comme s’il était tout prêt à partir.

Mais c’est mensonger, car l’embarquement n’a pas commencé. On a tout le temps du monde, donc, pour portraiturer notre oiseau (dans la limite imposée par le design de M. Andreu et ses associés).


L’embarquement débute à l’heure où l’on aurait dû décoller. Une meilleure vue, une fois le dernier contrôle franchi.

La passerelle est claire, mais la photo est floue.

Voire, extrêmement floue (je redouble mes excuses, mais je n’ai pas d’autre cliché de l’INDISPENSABLE porte).

Je ne suis pas habitué à embarquer parmi les premiers et les réflexes de FRiste ne découlent pas encore naturellement. En plus, la fatigue de ces deux semaines intenses se fait ressentir…
Bref, je bricole un maigre argument pour tenter de justifier la pauvre description graphique de la cabine. (Qui caractérisera tout ce récit).
Shitsurei shimashita?
Néanmoins, ces limitations ne nous empêchent pas d'argumenter que l’espace est plutôt confortable pour une classe économique.

Des rangées agencées en 3-3-3 (rare de nos jours pour des B777) et fournies de sièges larges et moelleux.
Et un espacement entre rangées bien généreux, même à l’arrière de la cabine.

Voici la vue extérieure depuis mon siège, avec l’aile droite et un voisin tricolore, en B777-200.

Et la vue intérieure… Je profite de trois hublots !!! Yeah !!

Évidemment, chez nous l’espacement est encore plus généreux, royal. Aucune difficulté à regagner le couloir depuis un siège hublot. Même avec des voisins !!
(Note pertinente : je demande indulgence s’il y a des lecteurs/lectrices qui trouvent impoli mettre les pieds sur les parois. Il se peut que j’aie assimilé certaines mœurs nippones…)

L’attente est longue…
Finalement c’est avec 50min de retard qu’on s’élance vers les cieux

Au revoir Paris, France, Europe.

Il se peut que, tout à l’heure, j’aie été trop loquace lorsque j'évoquais la facilité de déplacement…
… car c’était sans compter avec l’esprit prévoyant des consommateurs japonais…

Je trouve l’attirail de ma consœur génial !!
Mais avec un tel arsenal, même dans notre rangée royale, il s’avère difficile d’atteindre le couloir sans perturber ses voisins. Par hasard, les miens se montrèrent beaucoup moins prévoyants que mademoiselle 23G.
L’écran pliable est de bonne taille mais la géovision est vieillissante (sniff !)

Comme à l’aller, le système recommande au commandant de bord une route différente a celle qu’il a décidé d’emprunter ce soir.

C’est, donc, après Venise que les beaux tabliers des JALenettes font leur apparition.
(21h40, HNEC).

J’ai oublié le deuxième choix proposé, mais je fus partant pour du poisson.
Voici le plateau tel que reçu.

Et déballé, réorganisé.

La salade… les nouilles udon kitsune… la soupe miso…. ou le plat principal (saumon et légumes cuits) ainsi que les boissons à base de raisins (alcoolisées ou pas) étaient en train de s’avérer bons, lorsque mon voisin, qui apparemment dormait, décida d’exécuter une espèce d’o-soto-otoshi.
Je suis désolé, mais là c’est du NON-NON.
Frôler les parois avec des chaussettes c’est, peut-être, une mauvaise habitude… mais, même avec de telles accoutumances, je n’ai pas le cœur de manger en face de pieds déchaussés qui pointent leur nez vers nous…

Alors, je décide de réveiller Mr. Sato (ou Mr. Suzuki) et lui demander de montrer un peu de grâce. Il acquiesce, en grognant.
Le repas peut, ainsi, bien se finir. Afin de rincer toutes ces sensations, je décide de visiter les lieux d’aisance. Bien.


JAL reste toujours très généreuse dans son offre de littérature analogique. On trouve de quoi faire passer son temps.
(Parmi cette offre papier, on découvre des instructions pour se connecter à Internet, moyennant quelques dollars -genre 19USD, pour 24h heures de connexion-)

Mais plutôt que regarder des tik-toks, il est temps de faire dodo (ou, au moins, de l’essayer).
Normalement, je peine à me reposer en avion, mais, cette fois, la fatigue m’aide à enchainer quelques heures d’assoupissement.
LES PAYSAGES
Au but d’un moment, le soleil remplace l’astre de nuit.


Quelques instants d’assoupissement après, le jour s’est levé.
Un regard furtif à travers le hublot nous montre de chouettes méandres de la Syr-Daria, qui, normalement, devrait nourrir d’eau douce kirghize la Mer d’Aral. (De nos jours, elle n’y arrive manifestement pas).

Les PNCettes de notre section se sont montrées très professionnelles pendant tout le vol, toujours attentives aux requêtes et avec de nombreux passages pour offrir des boissons ou des encas. Ceci dit, j’ai connu des échanges plus chaleureux en avion.
On avance vers orient. Ici, les lisières de la ville d’Urumqi, tristement célèbre de nos jours, entre autre, pour le harcèlement que nombre de ses habitants sont en train de subir.
Le paysage est sublime.


Pékin dépassé, la deuxième prestation est offerte.
Sur la Mer Jaune.
La-voici, dans sa version emballée.

Et déballée.

Le tout fut bon (croissant compris).
On finit notre repas alors qu’on survole la péninsule coréenne.
Ci-dessous, en premier plan, base aérienne de Suwon (armée sud-coréenne). En haut -et nébuleux-, base aérienne d’Osan (armée américaine).

La Corée de Sud a du mal à retenir les précipitations et la fraicheur de l’hiver. Ci-dessous, la station de ski Phoenix Park, dans la province de Pyeong Chang (la même qui hébergea les Jeux Olympiques d’hiver 2018). Au centre, la station de ski de Welli Hilli Park.

20 minutes après, on devine les côtes de l’archipel japonais.
Ici les lacs Shinji 宍道湖 et Nakaumi 中海, tout près de la Mer du Japon et qui enveloppent la belle ville de Matsue 松江.

Juste à leurs côtés, le magnifique mont Daisen 大山, qui a inspiré des artistes et botanistes depuis des siècles.

Toujours dans la préfecture de Tottori, ses célèbres dunes (au Parc National de San’in Kaigan 山陰海岸国立公園).

On survole les bordures de la Mer du Japon. Toutefois, et en raison du beau temps ainsi que de notre altitude, on peut entrevoir l’ile d’Awaji 淡路島, une des portes d’entrée vers l’ile de Shikoku (chez nous).
Au sol, elle est éloignée de plus de 100km de notre localisation.

La plaine de l’ancienne capitale, Miyako.

Et l’extrémité méridionale du lac Biwa 琵琶湖, la plus large extension d’eau douce au Japon.

Ci-dessous, une vue recroquevillée de Centrair, quatrième aérogare au Japon par nombre de voyageurs sur lignes internationales (huitième, toutes catégories confondues -donnes de 2019-).
Mes salutations à un célèbre contributeur du site, qui s’identifie avec cette infrastructure sous-utilisée.

Plus au sud, mais toujours dans la préfecture d’Aichi 愛知県, le beau village pécheur de Tahara 田原, sur la péninsule d’Atsumi 渥美半島. Et, en face, Ise 伊勢 avec son sanctuaire millénaire.

A partir de là, je me trouve du mauvais côté pour profiter des vues. J’imagine que le M. Fuji, avec cette lumière rasante et toute la neige cumulée pendant l’hiver, montra une belle allure ce jour-là… Dommage…
Ce n’est qu'avec une descente déjà bien entamée que je retrouve les vues.
La côte de Mishima 三島海岸, sur la péninsule de Bōsō 房総半島 dans la préfecture de Chiba.

Et la ville de Futtsu 富津, toujours à Chiba et où le fleuve Minato 湊川 retrouve la Baie de Tokyo.

S’en suit la fine tranche de terre qui donne origine au Cap Futtsu 富津岬.


A l’approche de l’agglomération tokyoïte, la baie perd des acquis naturels et gagne en acquis industriels. Ici, la centrale thermique au gaz naturel liquide Futtsu, une des plus grandes au monde et propriété de TEPCO, détenteurs aussi de la centrale nucléaire de Fukushima.

Contiguë, la centrale à cycle combinée (gaz et charbon) de Kimitsu 君津共同火力発電所.

On cale notre position au niveau du Tokyo Wan Acqualine, qui traverse la Baie de Tokyo.

Voici le umi hotaru 海ほたる, endroit ou le pont devient tunnel.

Un bateau traverse l’Acqualine.

La tour de vent (ou 風の塔), qui assure la ventilation du tunnel.

Air-to-air avec un objet volant non-identifié.

HANEDA
On est presque là, alors qu’un élégant Starflyer s’apprête à partir vers l’étroit de Shimonoseki 下関海峡 (Fukuoka ou Kita-Kyushu).

Les réservoirs de fioul de Haneda et un membre des forces de l’Empire en train de regagner sa piste de décollage.

Un seconde air-to-air, sous l’empreinte du Terminal 1 (JAL) et de la tour de contrôle de HND. Ah ! et on vient d’atterrir.

Le Skytree.

Le crépuscule, ce jour-là.

On se gare dans un des postes les plus éloignés du passage aux frontières. Une belle randonnée est assurée. Autant dire que nous ne sommes pas pressés. Mais les voyageurs qui se précipitent derrière nous le sont, et nous font rater le reportage des classes supérieures. Désolé de la piètre qualité des clichés.
La Premium Economique.

La classe Affaires.

Et la Première Classe

Nouvelle infrastructure à Haneda, les HND Airport Gardens affichent un vaste centre commercial, un ou deux chers hôtels et de chers onsen (bains d'eau chaude), emplacés sur leur toit-terrasse. Quelqu’un intéressé par des baignades sous les nombrils des oiseaux survolant HND?

Il nous faudra marcher jusqu’au bâtiment affichant le logo du Terminal 3 sur la photo ci-dessous…

La route est longue.

Et peuplée d’oiseaux exotiques.

Ainsi que des humains. En (trop) bon nombre, peut-être.

Une armée de volontaires vérifie les codes QR, sur les couloirs.
A l’époque ils étaient encore indispensables pour solliciter l'entrée dans l’archipel. Et puis, une grande queue pour franchir la frontière.
Même les détenteurs de passeports japonais étaient recquis d'attendre leur tour (chose jamais vue !)

Traverser la frontière nous prit 20min environ, plutôt respectable pour des standards parisiens, mais inouï dans un aéroport japonais.

Evidement notre bagage nous attendait sur le carrousel.

Epuisés, on attend le bus qui nous amènera à notre hôtel.

Le retour à Matsuyama se fera le lendemain et ne sera pas reporté.
Merci de votre lecture, de vos commentaires. Et bons vols à tous et toutes.
Merci pour ce FR. :)
Un très bon vol malgré quelques imperfections. Le dîner, très bien présenté, est aussi très alléchant.
Que des passagers mettent leurs pieds sur les parois, ce n'est pas nouveau comme incivilité, mais c'est bien la première fois que je lis un passager enlever ses chaussettes pendant le vol. Alors la posture...
20 minutes, ce serait plutôt un exploit. Surtout si l'avion arrive au Terminal 2E, portes M.
Ce qui est d'autant plus incompréhensible compte tenu de la configuration pax de l'appareil. Cela dit, le Japon n'avait pas dernièrement mis fin à ces contrôles "Covid" ?
A bientôt. ;)
Merci de votre lecture et commentaire.
La première prestation fut légère et de bonne facture, ce qui me convenait. Évidemment je ne m'attendais pas aux édulcorants apparus mi-repas, mais JAL n'y est pour rien.
De mémoire, ce fut début Mai 2023 le moment où les contrôles de vaccination /test furent enlevés.
Le gouvernement japonais prit son temps (plus de six mois) afin de doter les contrôles frontières de personnel suffisant pour répondre à une croissante demande...
À bientôt.
un like rien que pour avoir supporté ce voisin !
Il est bien apprécié, celui-là !! :-)
L'incident fut clos sans plus, mais c'est vrai que ce fut un petit choc.
Bon vols à vous !
Merci pour ce récit très complet. Il y a vraiment des passagers sans aucune éducation et sans respect ! Une prestation que je trouve pas mal du tout meme si la premier repas me parait léger ( heureusement le passage au salon a permis de prendre un peu d'avance. Très jolies vues de l'aile au dessus des sommets enneigés
Merci pour votre commentaire.
La première prestation fut légère mais diverse: elle inclua des nouilles, riz, nimono (légumes, konyaku), tofu, salade (gobo, radis) soupe miso et saumon. En toutes petites quantités et à manger en 'triangle'... Toutefois, les grands gourmands risquent, en effet, de rester sur sa faim après ce service.
Le salon vint en bon complètement ici.
Merci encore et à bientôt.
Bonjour et merci pour ce FR ! 1 mois avant votre vol (Feb 2023), il nous a fallu 1h30 pour passer la frontiere a NRT (en provenance de Singapour)...
La configuration 3-3-3 est vraiment confortable. La geovision reflete-elle d'état vieillissant de l'IFE en general ?
Merci pour votre commentaire.
Comme dit plus haut, depuis octobre 2022 et l'ouverture des frontières du Japon au grand public, les traverser ne fut pas chose aisée. Vraisemblablement, tout c'est amélioré récemment (Mai 2023).
Les B7773ER de JAL (ainsi que leur IFE) sont bien entretenus mais vieillots. Ils vont partir à la retraite bientôt ! A voir ce que les grands Airbus nous offrent en échange...
Merci encore.
Merci pour ce récit.
Deux prestations chaudes complètes : le cost-cutting n'est pas encore passé chez JAL.
Dommage pour les voisins sans respect, le port des chaussettes devrait être intégré aux consignes de sécurité.
Bons vols,
Merci pour le commentaire.
Dans l'ensemble du vol, le service de restauration fut plus qu'acceptable. Mais je trouve que qualité et quantité sont meilleures au départ du Japon.
C'est une bonne idée, votre suggestion ! Ça serait drôle de la voir passer sur la prochaine itération de la video de sécurité.
Merci pour ce FR !
JAL est une bonne compagnie, je suis curieux de savoir si elle mérite vraiment le prix de « meilleure classe éco » 2023 accordé par Skytrax.
La configuration 3-3-3 en classe économique sur les B77W JAL rend le vol bien plus confortable, c’est un plus car peu de compagnies ont opté pour ce choix sur le B77W, préférant mettre le plus de sièges possibles au vu de la rentabilité…
Les prestations semblent très correctes, c’est important sur des vols de tels durée, en raison des événements géopolitiques..
C’est toujours hallucinant de voir des passagers aussi irrespectueux, surtout que le passager n’est pas tout seul sans voisin…
Je trouve que l’horaire du vol est plutôt bon, il permet de ne pas le matin au Japon et de devoir lutter toute la journée qui suit…
A bientôt !
Merci pour votre commentaire.
Une reconnaissance méritée ou pas ? Je crois qu'il y a de nombreux contributeurs de ce site qui s'accordent sur le faible degré de fiabilité des notations de Skytrax (moi compris).
Le mieux c'est de voir pour soi-même. Mais ce n'est pas toujours possible.
Des données plutôt objectives: les cabines internationales des 787 JAL sont agencées en 2-4-2; celles des 777 en 3-3-3. L'espacement entre rangées est plus large que la moyenne des autres compagnies. Comme nombre de compagnies asiatiques, le service est soigné (sauf rare exception).
L'offre en contenu audio/video est plus réduite que la moyenne. Connexion Wi-Fi est offerte pour des prix plus bas que la moyenne ??
À vous de décider !
Merci pour ce report.
J’ai beaucoup aimé la rédaction, c’est vraiment sympa à lire. De là à dire que c’est le pied, il y a un pas que je refuse à franchir. Je ne ferai pas le pied de grue (de JAL) plus longtemps, j’interromps toutes affaires cessantes ce pied de nez pour me concentrer sur le vol et non cet indécent incident, pour remettre la JAL sur son piédestal.
Hormis ce comportement déviant, c’est le genre de vol qui m’aurait bien plu. Je suis de moins en moins fan des 777, mais là, en 3-3-3 en Y, ça devient tellement rare que ça mérite d’être souligné.
Les prestations servies ont l’air copieuses et savoureuses.
Des PNC au petits soins pour ne rien gâcher, JAL, c’est du solide, c’est du sérieux.
Merci pour la description géographique sur le territoire nippon.
Bons vols.
Merci pour vos gentils mots.
Je suis du même avis. La dimension technologique échappe à mon jugement (il se peut qu'il s'agisse d'un aéronef très innovant ou performant... ), mais du point de vue utilisateur, le B777 est un avion bruyant, avec des hublots riquiqui et une pression cabine perfectible. Et il est capable d'héberger un trop grand nombre de voyageurs. Heureusement que, chez JAL, ils sont bien agencés (et vivement leur remplacement !!)
Merci encore et très bons vols !!