Bonjour. On se retrouve pour un aller-retour de week-end familial de pont sur Brest.
Pas énormément de photos.
La veille enregistrement, les 2 places délivrées sont à l'arrière, 25 C et D, pas possible de changer au tarif mini. Ce n'est pas bien grave mais c'est l'avant dernier rang.
Chargement de la presse magazine via l'application Air France. Très pratique.
Le vendredi 8 mai, garé au parking du P0 au tarif week-end. Un peu de monde à Orly mais moins qu'il y a quinze jours où à l'occasion d'un week-end prolongé à Toulouse, l'aérogare 2 était comble, c'était la fin des vacances scolaires avec appel des gens dans la queue pour les destinations aux départs les plus imminents !
Revenons à notre vol, Orly va renouveler son offre restauration avec un Red Hippo (testé plusieurs fois celui du Cnit à La Défense c'est tout à fait correct quoique un tarif un peu élevé).
Photo d'une antiquité, dénommée l'Astrolable, symbole d'Orly Ouest.


A une borne, je regarde si on peut changer de place. Il reste 2 places 5 C et 6 C à l'avant. On conserve nos places.
Le tableau des départs avec le notre, au hall 1 chez les ibères.


Une photo (autorisée) d'une vitrine de pâtisserie parisienne renommée de la rue Royale aussi connue pour ses macarons. Ouch les prix….Tartes fraises ou framboises à 6,50 euros pour disons 3 bouchées et demi. Ça peut faire mal.

Sans attente nous passons le PIF, sommes dans la zone des départs Ibéria, Vueling avec une annulation du vol pour Rome. C'est pourquoi nous avons vu beaucoup de monde à faire la queue au comptoir de la compagnie.
Nous sommes un peu en avance, assez de temps pour profiter du wifi gratuit par Aéroport de Paris pour immortaliser la photo corporate du moment.

On reste un peu à l'étage avant de rejoindre la salle un peu exiguë du rez-de-chaussée pour l'embarquement.

Je photographie notre avion, F-GRZF, un CRJ 700 de 13 ans et non 1000 comme prévu, en descendant l'escalier.


Et tout à coup que vois-je… le temps de me lever de mon siège, de dégainer l'appareil photo l'A330 de la Présidence se fait tracter.


Pendant que nous patientons une personne donne aux voyageurs ayant des bagages cabine volumineux, dont moi, une étiquette numérotée dont elle déchire le talon quelle me tend et le reste qu'elle accroche à la poignée du bagage.
Annonce que l'embarquement prend un peu de retard. Nous attendons des personnes pour venir sécuriser notre passage via le tarmac.
Je tends la feuille d'embarquement (vu la taille difficile de dire carte) et bip, lumière rouge… pas de surclassement ça n'existe pas sur ce vol. C'est que nous passons de l'arrière à l'avant, rangs 5 et 6 C avec mention manuscrite. Cool à l'avant. Mais nous sommes séparés, on verra à bord. C'était les 2 sièges disponibles lorsque nous avons regardé sur la borne en arrivant à Orly.
Vient ensuite l'un des meilleurs moments pour moi de ces vols, la marche sur le tarmac. On traverse une route avec un feu pour le passage piéton. Il y a des personnes qui assurent la sécurité de chaque côté de la route. Je n'ai pas sorti mon appareil photo.
Quelques photos depuis le tarmac, je n'ai pas eu de remarques.



On dépose ses bagages cabines volumineux sur un chariot car les coffres du CRJ sont minuscules.
Accueil toujours sympathique.
Direction le rang 5. J'aime bien cette cabine, petite, assez intime, le cuir vieilli plutôt bien.


On négocie avec une passagère pour être ensemble, elle perd son hublot mais elle préfère (si, si ça existe !). D'autres personnes changent de place dont une qui était séparée de son collègue de travail. Bref, tout va bien.
Ma vue.

La carte Hop avec le logo Brit Air (la marque n'a pas disparue) Cette photo a été prise avant la négociation du changement de siège.
Pas de presse dans la pochette.

Mon nouveau siège avec le pitch correct pour moi.

Un signe qui donne une idée de l'age de l'appareil.

Au revoir monsieur

J'aime beaucoup cette photo

En route pour la piste, les Corsair attendent leurs portes

C'est parti vers l'est. Il ne fait pas bien beau en ce début mai (la vidéo du décollage à voir plus bas).


20 minutes après le départ, la collation est servie, jus de pomme et sachet de galette pour moi. Le service toujours agréable et pro sur Brit Air

A peine le temps de boire le verre qu'il est temps de descendre.

Arrivée sur la région brestoise avec un rayon de soleil et quelques turbulences qui ont apporté le silence en cabine.



Atterrissage à 11 h 50, les pompiers sont de sortie.

Un B717 Volotea en provenance de Bordeaux ou Montpellier pour la saison.


Un frère qui vient de Lyon je suppose

Notre destrier qui a bien travaillé.

Mon panneau d'arrivée brestoise

Le vol aller et retour en image animée
A suivre pour le vol retour
Astrolabe d'Orly Ouest symbole des années 70.
Un vol avec des airs de jet privé direction la Bretagne.
Prestation HOP simple mais appréciable.
Kenavo et merci pour ce FR !
Merci Patrick pour ton commentaire.
Hop a fait le job.
Merci pour ce FR vers la Bretagne.
Un saut de puce tout à fait correct sur HOP.
La carte Hop avec le logo Brit Air (la marque n'a pas disparue) : Effectivement, la marque commercial n'existe plus mais l'entreprise existe encore et opère ses vols pour le compte de HOP. La mention Brit Air est obligatoire sur la Safety Card puisque le vol est assuré par Brit Air.
Sympa ce 717 à BES.
Si vous repassez à BES, faites moi signe, j'y suis en stage jusqu'en Septembre.
A bientôt,
Merci pour votre commentaire et les précisions.
Oui la poste italienne à l'ouest... ce n'est pas courant.
Pour l'instant rien de prévu vers Brest mais si c'est le cas je vous contacte.
Kenavo