Avis du vol entre Maupiti et Papeete en classe Economique avec Air Tahiti

Entre 2 routings internationaux, j’insère un voyage professionnel avec Air Tahiti.
Celui-ci présente plusieurs intérêts :
- Je rajoute une destination non encore reportée : Maupiti
- Je présente pour la première fois l’ATR 42-600 d’Air Tahiti

[PPT – MAU, VT 730, ATR 42-600, classe éco, 17 mars 2015] CLIQUEZ-ICI [MAU – PPT, VT 733, ATR 42-600, classe éco, 20 mars 2015] Annulé Remplacé par [MAU – PPT, VT 7331, ATR 42-600, classe éco, 21 mars 2015]
C’est maintenant

Voici le vol retour de ce séjour à Maupiti. Pour un petit bonus touristique sur cette ile au charme intense, voir le FR du vol aller
VT 733 : RDV manqué
Lorsqu’approche l’heure de ce vol retour le vendredi après midi, le temps commence franchement à mal tourner. Tout le monde sur l’île s’attend à ce que le vol soit annulé. Mais malgré le temps gris, le vent qui commence à souffler fort et la pluie qui débute, je prends le bateau communal effectuant la navette entre le village sur l’ile centrale et l’aéroport situé sur un motu, en compagnie du personnel au sol Air Tahiti

Les bagages sont bien chargés

Et on part sous la pluie

Arrivé à l’aéroport, tout le monde se précipite dans l’aérogare

Le petit snack est fermé

Nous voici devant le guichet d’enregistrement

Malgré la très forte incertitude sur le maintien de ce vol, l’enregistrement est effectué et voici ma carte d’embarquement

Nous sommes à environ 20 minutes de l’arrivée de l’avion en provenance de Papeete via Raiatea, et un petite accalmie toute relative s’installe

Les pompiers en profitent pour faire une inspection de la piste, et je me dis que la chance sera peut être avec moi

Mais le temps se dégrade à nouveau

Nous attendons, l’avion est en stand by à Raiatea, en attendant une fenêtre météo favorable… qui ne viendra pas, c’est même tout le contraire

Le vol est finalement annulé, il faut reprendre le bateau communal vers l’ile centrale, sous la pluie et dans le vent
VT 7331 : Top départ
Le lendemain matin, le temps s’est amélioré et la pension me transporte au quai du village

Le bateau qui a déjà fait une rotation pour le personnel Air Tahiti revient chercher les passagers

Arrivée à l’aérogare sous un temps bien plus clément et surtout bien plus sec

Enregistrement vite effectué

Et voici une nouvelle carte d’embarquement pour ce nouveau vol

A l’extérieur aux abords du petit snack, c’est bien plus sympathique qu’hier

Les pompiers font leur inspection

Et voici l’ATR 42-600 qui arrive. J’ai de la chance, il y a 2 exemplaires de cet avion dans la flotte, et pour ce vol retour j’ai un appareil différent du vol aller.

Le voici au parking

Embarquement

F-ORVC baptisé Te Ra’i Moe (le rêve céleste)

Revoici la cabine Armonia de la série 600 des ATR

J’aime beaucoup le rendu des couleurs choisies par Air Tahiti : cuir gris clair remonté de quelques touches de couleurs, dont les ceintures de sécurité rouges. Sobre et classe

Le siège est vraiment slim par rapport à la précédente génération

Le design du siège est travaillé pour améliorer l’espace pour les jambes

Le résultat est probant, avec le même nombre de sièges que dans la génération 500, le legroom est meilleur

Le rangement du magazine de bord et des prospectus se situe derrière la têtière

Petite tablette

Contenu de l’espace de rangement

Manquent les consignes de sécurité qui restent au niveau de l’ancien emplacement de la pochette

Les consignes au plafond : l’icône « interdiction de fumer » a laissé sa place à un symbole « éteignez vos appareils électroniques »

Racks à bagages

La commande de l’inclinaison du siège est mieux intégrée à l’accoudoir

Pour les PNC, écran tactile de commande des annonces

Nous démarrons avec à peine quelques minutes de retard sur l’horaire, dernière vue sur l’aérogare

Sur le quai de l’aéroport

Demi-tour dans la raquette en bout de piste sur le lagon

C’est parti pour un premier saut de puce vers Raiatea qui se fera à travers les nuages

J’ai connu des arrivées sur le lagon de Raiatea bien plus colorées et lumineuses

Encore un demi-tour dans la raquette

Et tout le monde débarque

Je me vois remettre une carte de transit pour remonter dans l’avion à destination de PPT après 30 minutes d’arrêt

L’aérogare de Raiatea subit manifestement des travaux d’agrandissement

A l’intérieur rien de neuf pour le moment

Voici la cause de cet arrêt plus long que de coutume : l’oiseau a soif, c’est l’heure du goûter

Puis nous réembarquons

Retour dans la cabine

Je choisis le coté droit pour ce retour sur PPT

Têtière

Illustration du petit recline proposé par ces sièges, bien agréable (par rapport à une planche à repasser d’un vol métropolitain par exemple)

Vue sur la cabine qui est maintenant quasiment remplie à 100 %

Le temps se lève petit à petit et permet de meilleurs clichés qu’à l’arrivée.
Village d’Uturoa avec la marina au premier plan

Passe Te Ava Piti

Gros sur l’hôtel Hawaiki Nui qui vient de fermer : des travaux de rénovation importants auraient été nécessaires pour lui rendre son charme d’antant, le propriétaire a préféré jeté l’éponge

Dernières vues sur l’extrémité sud de Raiatea

Service du jus d’ananas

Notre route plus à l’ouest qu’à l’accoutumée nous permet d’apercevoir Maio, une île repliée sur elle-même, accessible seulement en bateau, et où les non résidents ne sont tolérés que quelques heures ou jours. Il est interdit pour un étranger d’y acquérir des terres. Maio est réputée pour la confection des toits en pandanus. 2 petites lagunes intérieures ont de reflets vert clair qui ne ressortent malheureusement pas sur ces photos

Puis nous arrivons à PPT en longeant la cote ouest de Tahiti
Vallée de la Puunaru

Marina Taina

Hotel Intercontinental

Le début de la matinée a été très pluvieux et venté à Tahiti

Je quitte l’appareil non sans un dernière photo du tatouage de la cloison avant gauche

Bye Te Ra’i Moe

Un Gulfstream IV privé canadien sur le tarmac

Un classique A340 ATN

Et enfin un 757 pour des tours du monde VIP grand luxe (pour une visite, c’est PAR LA)

Fin de ce petit intermède Air Tahiti, avant un prochain voyage qui me mènera autour du monde