Avis du vol Alitalia Rome Casablanca en classe Economique

Compagnie Alitalia
Vol AZ876
Classe Economique
Siege 10F
Avion Airbus A320
Temps de vol 03:15
Décollage 26 Jul 15, 22:40
Arrivée à 27 Jul 15, 00:55
AZ 301 avis
flyingjapans
Par 2219
Publié le 18 octobre 2015
Bonjour,

Après un long mois d'absence (pas facile avec les cours à côté), voici finalement la suite de mon routing d'été, qui va nous emmener à Casablanca sur ce qui a sans doute été l'un des pires vols de l'année.

  1. Genève-Rome (Alitalia, Airbus A319, Economy)
  2. Rome-Casablanca (Alitalia, Airbus A320, Economy) VOUS ETES ICI
  3. Casablanca-Paris CDG (Air France, Airbus A320, Business)
  4. Paris CDG-Tokyo HND (Air France, Boeing 777-200ER, Business)
  5. Tokyo NRT-Paris CDG (Air France, Boeing 777-300ER, Business)
  6. Paris CDG-Dusseldorf (Air France by Cityjet, Avro RJ-85, Business)

Avant de se lancer dans le vif du sujet, j'avais une appréhension certaine à l'idée de prendre ce vol. Bien évidemment, je n'avais pas le choix niveau horaires : il y a bien un vol Rome-Casablanca partant en milieu d'après midi, mais ne connectait pas avec le vol en provenance de Genève (d'ou ma critique récurrente sur la pauvreté des fréquences au sein du réseau Alitalia). En effet, en surveillant les jours précédant le départ le vol AZ876 sur flight-radar, j'avais découvert qu'il était en retard quasiment 3 jours sur 4. Et même à l'heure ou j'écris ces lignes, en octobre, les retards semblent être toujours aussi réguliers :

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Au final, ce vol avait quasi systématiquement des retards d'au moins 30 minutes au départ, avec un retard à l'arrivée dans une fourchette de 30 minutes à 2h. Déjà que l'arrivée à 00h55 fait mal, nous étions attendus à l'arrivée et l'idée de prendre un vol constamment en retard était somme toute gênante.

Mais à quoi ces retards en cascade sont ils dûs ? Bien sûr, il y a l'hypothèse que le vol étant en fin de journée, et les marges aux escales se réduisant petit à petit pour faire face à la concurrence, les retards s'amoncèlent au fur et à mesure que la journée avance, et les vols qui en font le plus les frais sont ceux du soir. Ceci suffirait il à expliquer un tel nombre d'irrégularités ? Nous allons le voir ensemble…

Après avoir passé l'après midi à Rome, assisté à la sinophonisation du Vatican et mangé quelques parts de pizza blanche, nous revenons aux alentours des 19 heures à Fiumicino, en taxi (24 euros par personne car nous étions deux).

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Arrivée à Fiumicino, récupération d'un bagage à main à la consigne, puis c'est là que les ennuis commencent.

Fiumicino est découpée en trois terminaux : T1, T2 et T3. Les vols Alitalia sont répartis de manière très floue en International / Domestique, dans les T3 et T1 respectivement, sauf qu'avec Schengen, ce découpage ne veut plus rien dire. Mais de toute façon, notre destination étant CMN, la question ne se pose pas : ce sera donc le terminal 3.

Ca tombe bien, car la consigne ou notre bagage avait été laissé se trouve au terminal 3. Il n'y a en principe qu'à remonter un étage pour passer le PIF et la PAF et c'est terminé. Je consulte néanmoins le FIDS devant la file menant au poste d'inspection filtrage : il y a au total quatre panneaux d'affichage, un pour les vols partant du T3, un pour ceux partant du T1, et un pour ceux partant du T1 ET du T3 (quel intérêt sérieusement ??), et mon rythme cardiaque s'accélère quand je me rends compte que le vol de 22h40 pour Casablanca ne figure sur aucun d'entre eux.

Au final, après avoir demandé à un comptoir d'information ou dire Casablanca sur vol Alitalia à 22h40, ne suffit pas car il faut avoir le numéro de vol en tête, le vol est bien prévu à l'heure et on nous invite à franchir la sécurité au… Terminal 1 ! Décidément, c'est à ne rien y comprendre, mais je crois bien que quand il en vient à FCO, la logique de tous les jours telle que nous la connaissons se perd.

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Passage de la sécurité en 10 minutes, puis nous nous retrouvons airside pour un chemin assez sinueux.
Depuis mon dernier passage à FCO, en effet, le transport hectométrique reliant le T1 aux départs non-schenghen a été fermé et il faut dorénavant suivre un cheminement jusqu'au bout des portes B (ce qui est loin d'être pratique vu l'étroitesse du terminal et la fréquentation à ces horaires), descendre d'un étage puis passer un contrôle de police de fortune ou les policiers sont installés dans des baraquements temporaires.

On embarque ensuite dans un bus qui nous mène, finalement, au niveau des départs non Schengen. Mais l'aventure n'est qu'à moitié terminée…

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Nous arrivons finalement au salon, dont j'ai eu beaucoup de mal à remémorer de quel côté du carré central se situait l'entrée !

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L'offre est toujours limitée et insipide, en aucun cas suffisante pour qui souhaite se restaurer convenablement avant un long vol (ou un court vol ou la nourriture serait dégueulasse… ca existe aussi !)

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Le salon est toujours aussi peu reposant entre ces teintures orange pâles et vert qui font mal aux yeux, sa petitesse qui fait qu'il est rapidement bondé et le fait qu'il soit mal agencé qui donne l'impression que des fauteuils ont été ajoutés un peu n'importe ou pour palier au manque de places assises.

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Comme je l'avais soulevé lors de mon précédent passage, pas d'ordinateurs (entre le manque de lumière naturelles et les teintures flashy des parois, Alitalia perdrait beaucoup en frais d'ophtalmologie s'il y en avait !) mais une imprimante.

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Nous nous contenterons de quelques (mauvaises) pâtes et quelques verrines de dessert (plutôt bons par contre), tout en scrutant le

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L'heure d'embarquement approche, avec l'heure de vérité : le vol sera t-il en retard ?

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Pour un embarquement à 22h10, il commencera en fait vers 22h30, ce qui est bien trop peu pour un départ à l'heure, mais encore raisonnable pour un retard résorbé.
Lors de l'annonce de l'ouverture de la porte, un goulot d'étranglement se forme autour de la porte, les passagers étant pressés de rentrer dans l'avion, mais les cerbères veillent au grain en appliquant de manière stricte les priorités.

Après passage du portique, nous fonçons à pleine charge dans ce que nous pensons être un avion, pour finalement y trouver… un bus !

Ca aurait été trop beau… Mais c'était prévisible : Alitalia préfère réserver les portes aux vols long courriers partant sur cette plage (AUH, GRU, EZE…) et relègue les vols vers le Maghreb ou le proche Orient sur des parkings à 10 ou 15 minutes de trajet.

De plus, j'ai remarqué à de nombreuses reprises des familles avec poussettes (au moins une dizaine dans mon seul bus sans exagérer !) et des personnes âgées, autant de catégories de passagers nécessitant du temps et des attentions particulières au moment de l'embarquement qui n'ont d'autres effets que de ralentir de manière exponentielle (rapporté au nombre important de passagers appartenant à ces catégories) le processus, et donc de créer du retard. Alitalia pourrait palier à de problème en proposant de l'assistance, des convois dédiés pour ce type de passagers… Mais il n'en est rien.

Arrivée dans l'avion qui semble avoir été préparé pour un éventuel début de somme.

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Le deuxième bus mettra environ 15 minutes à arriver, et à ce moment là, on se dit que les gens vont attacher leurs ceintures, que le commandant va mettre les gaz et décoller.

Mais non !

Là commence un spectacle digne d'une commedia dell'arte : malgré la fermeture des portes et l'annonce d'accueil du commandant de bord invitant les passagers à s'asseoir pour un décollage rapide, les gens se lèvent et se baladent comme si on était dans un bus, puis une femme se dirige vers le rideau de séparation avec la classe affaire et commence un échange musclé entre la passagère assise à la dernière rangée de classe affaire et celle debout. La CC arrive pour régler l'échange : la personne stipule qu'elle avait un siège en classe affaires et qu'elle a été downgradé, ce à quoi la CC répond en lui montrant la PIL qui fait preuve d'autorité.

L'échange n'en finit pas et la CC (francophone par ailleurs ce qui est un bon point) se bat seule de manière très diplomatique pour essayer de trouver un compromis, mais au bout d'un moment la passagère se refuse à aller s'asseoir et l'échange en vient presque aux mains.

J'ai été très choqué de voir qu'hormis la CC, les membres d'équipage étaient aussi mous les uns que les autres et tous ne faisaient qu'assister à la représentation plutôt que de venir au secours de leur collègue et essayer de grapiller quelques minutes.

La CC réussit finalement à calmer le jeu et à renvoyer la femme en colère (vu son énervement, que je comprends si il y a vraiment eu downgrade, si elle avait pu cracher du harissa partout, elle l'aurait surement fait) à son siège au fond de l'avion.

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Cette fois ci, comme bien souvent dans l'aérien, c'est une multitude de facteurs qui, mis bout à bout, causent un retard conséquent : sur une route ou le nombre de passagers ayant besoin d'assistance sont nombreux, les circonstances ne facilitent en rien le départ à l'heure (embarquement par bus et multiples escaliers pénalisant pour les familles nombreuses et les personnes âgées, gestion des incidents à bord très moyenne qui ne fait qu'énerver tout le monde et empirer la situation…).


Après 1h de retard sur l'heure prévue, il nous est finalement possible de décoller au beau milieu de la nuit, alors que je jette un dernier oeil aux côtes italiennes en maudissant l'absence d'organisation de FCO.

Les lumières restent tamisées et le formulaire d'immigration est distribué, je le remplis immédiatement

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Par la suite, un plateau repas est distribué par un PNC, qui se contente d'écouter les choix de boissons sans même les demander.

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Pas la peine de s'éterniser dessus : ce plateau était vraiment dégueulasse. On est bien loin des appétissantes tomates mozza imprimées sur le porte couverts en plastique. Trois tranches de dinde, des bâtonnets de carottes, du blé (insipides) et des quartiers de pomme (pareil). Le pompon vient de l'espèce de boule blanche située sous les tranches de dinde : j'ai eu peine à savoir ce que c'était, si tant est qu'il y avait quelque chose derrière ces 300 grammes de beurre recompactés dans une sphère.

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Je m'endors en ayant seulement avalé les tranches de dinde et les carottes. J'ai d'ailleurs sûrement rêvé de tomates mozza, mais à peine ai-je eu les temps de les manger dans mon rêve que la réalité me rattrape… nous arrivons sur Casablanca, à 1h13, soit seulement 18 minutes de retard !

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Nous nous amarrons en porte, puis débarquons. Arrivés à la PAF, la file Convives de marque (dont le nom m'a bien fait rire après autant de complications), était fermée, nous sommes donc obligés d'attendre dans la file normale qui va assez lentement, surement du fait du manque d'effectifs à cette heure.

La livraison des bagages sera une vraie torture elle aussi. C'était à prévoir du fait d'une longue correspondance. L'employé étant seul pour décharger les bagages du chariot sur le tapis, des passagers viennent l'aider en criant safi safi safi safi. Nos bagages arriveront seulement vers 2h du matin.


Merci de votre lecture.
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Verdict

Alitalia

3.5/10
Cabine6.0
Equipage5.5
Divertissements0.5
Restauration2.0

Casa Alitalia Piazza de Populo

5.2/10
Confort6.0
Restauration4.5
Divertissements4.5
Services6.0

Rome - FCO

2.8/10
Fluidité1.5
Accès3.0
Services1.5
Propreté5.0

Casablanca - CMN

6.4/10
Fluidité5.0
Accès6.5
Services7.5
Propreté6.5

Conclusion

La notation de ce vol ne devrait plus avoir aucune surprise pour vous.

Commençons par la ponctualité : le retard au départ a été d'une heure, l'embarquement chaotique et la gestion du vol catastrophique (si downgrade il y a eu, la cliente aurait dû être prévenue au check in, ce qui aurait transposé la perte de temps en dehors du vol. 1,5/10

Pour le reste, il était intéressant de noter ce vol car il correspond à une tranche de temps de vol assez difficile à évaluer. Ce n'est ni un moyen courrier classique, ni un long courrier pour autant. Faut il offrir une prestation chaude ? Les personnes sans statut ne risquent-elle pas de s'être arrêtées avant pour diner ? Mais les personnes avec statut espérant diner au salon ne sont elles pas restées sur leur faim ?

- Dans tous les cas, une prestation telle que servie sur ce vol de 3h horaires est inacceptable. La voie qu'a suivi Air France (boite type bento et sandwich chaud) me parait une être une très bonne alternative. 2/10

- Pas d'IFE ni de lecture à bord. 0,5/10

- Au niveau des PNC, j'ai eu plus de mal à noter. D'un coté, j'ai trouvé la gestion de l'accident de déclassement très bien géré par la CC avec les moyens qu'elle avait, mais les autres membres d'équipages étaient aussi mous et indélicats les uns que les autres (lors du service le PNC a pris le pain avec ses mains... même sur TGV lyria ils utilisent une pincette !). Ce sera finalement un 5 + 0,5 de bonus pour la maitrise parfaite du français à bord. 5,5/10

- Cabine standard sur A320, assez austère. 6/10

A bientôt pour la suite.

Informations sur la ligne Rome (FCO) Casablanca (CMN)

Les contributeurs de Flight-Report ont posté 4 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Rome (FCO) → Casablanca (CMN).


Pratique

La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Royal Air Maroc avec 7,1/10.

La durée moyenne des vols est de 2 heures et 52 minutes.

  Plus d'informations

9 Commentaires

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  • Comment 148833 by
    watchbird BRONZE 444 Commentaires
    18 minutes de retard et seulement 1.5 sur la ponctualité c'es très très trop sévère de mon point de vue. Sur un vol qui a sur l'exemple mentionné 10 minutes de retard en moyenne cela ne paraît ni dramatique, ni scandaleux. La culture méditerranéenne ne valorise pas autant que vous la ponctualité...
    Au final un vol sans histoire particulière !
    • Comment 327179 by
      flyingjapans AUTEUR 1349 Commentaires
      Comme dit en conclusion, la note ne reflète pas seulement la quantification du retard mais aussi tout ce qui va avec : sa gestion, si quelque chose aurait pu être fait pour l'éviter.
      Je ne l'ai pas mentionné dans le FR (je l'ajouterai au passage si j'ai du temps de libre), mais le temps de vol est grandement surestimé : il semble mettre 2h30 et non 3h05, soit près de 35 minutes de surestimation.... Au final cela ne fait que masquer un peu le problème d'irrégularité récurrent que rencontre ce vol.
  • Comment 148834 by
    cobra 3582 Commentaires
    Merci pour ce fr :)

    Pas d'explications alambiqués pour expliquer cette bizarrerie, le feu dans le T3 a déplacé toute l'activité de Check in AZ au T1 puis reprise partielle vers le T3. La sécurité a longtemps été retenue au T3. Problême de signalisation certains, et de désorganisation semi conjoncturelle :)).

    Pour le reste pas si dur, zone Shengen pour AZ c'est la Porte B du T1, pas plus.
    MC hors Shengen AZ en G (gros avions) ou en H (aille c'est nul:))) pour le reste. Le transport hectométrique n'a jamais rejoins le T1 mais joint le T3 du satellite aux portes G.
    Au portes B, pour rejoindre les portes G et H, tu as désormais un bus, situé entre les portes B27 et B30. Il te fais gagner 10 minutes facile, quand ton cheminement est bon...
    FCO pas simple pour un non habitué? Sans blagues lol

    L'offre du Borromini est clairement naze en ce mois de juillet (mais a été amélioré depuis). Pâtes moyennes? Oui, Af fait mieux au 2F ^^

    Le siège est pas mal, et a une bonne assise...ensuite les goûts et couleurs pour la déco...

    Bonne gestion de la CC, mais un personnel indolent et peu concerné c'est aussi le chantier difficile de EY !:)

    Le plateau n'est pas si mal pour un vol Europe...mais si c'est pas bon autant donner des crostini dorato... Je n'ai pas vu d'annonce sur une amélioration de la prestation en MC...snif

    18 minutes de retard...correct...1,5 , tu as la main lourde..

    A bento ^^

  • Comment 148835 by
    jules67500 GOLD 6149 Commentaires
    Merci pour ce FR Kristof !

    Transit via FCO = gros bordel. Pourtant, je crois qu'Ilyes adore toujours cet aéroport vu ses multiples passages ^^

    Salon qui ne donne vraiment pas envie, il reste du boulot à Etihad pour changer AZ !

    Embarquement à l'italienne.

    Repas pas appétissant du tout, c'est triste...

    En clair, éviter AZ sur MC durant les heures de repas...

    A+ !
  • Comment 148836 by
    PAT62 4953 Commentaires
    Offre salon correcte, la décoration rappel les années 70's.

    Plateau repas, cela devient plutôt rare sur les vols Eco en Europe.

    Merci pour ce FR !
  • Comment 148837 by
    aurel-lil 4202 Commentaires
    Merci pour ce FR !

    FCO = Faire Ch**r Obstinément si l'on s'en tient aux initiales de son code Iata tant par moment cet aéroport tout le sentiment contraire du plaisir de voyager qu'on peut avoir^^

    pour ce qui est du salon, tout est dit, je passe !!

    et quant au vol, il est juste à oublier. La bonne nouvelle, c'est que l'on fait pas souvent pire que cet ensemble et que ton vol suivant a dû te paraître d'un luxe enchantant :)

    A bientôt.



  • Comment 148844 by
    Guguk 44 Commentaires
    Bonjour et merci pour ce FR qui donnerait presque envie de prendre le train! 😊 Mais pour aller à CMN c est pas gagné!
  • Comment 148846 by
    ilyes 1785 Commentaires
    Merci pour ce FR,

    L'horaire ne présageait rien de bon, et on n'est pas déçu...

    J'ai arrêté de chercher de la logique à FCO. Pour avoir exploré cet aéroport dans tous les sens, c'est peine perdue.

    Dommage que les pâtes n'aient pas été à ton gout - compte tenu de l'heure tardive, je comprends qu'elles étaient moins fraiches.

    Tu fais parti des heureux privilégiés à avoir eu le priority boarding à FCO : jamais vu ça sur mes vols pour TUN.

    Comme tu le soulignes, les vols pour l'Afrique du Nord ont le privilège du pax bus. 15 minutes tu exagères, mais tu en as bien pour 7 minutes chrono.

    Le catering ne mérite même pas une photo : bon à jeter.

    Au moment ou j'écris ce commentaire, le vol AZ 876 est déjà prévu avec un retard de 15 minutes. Décidement...

    A bientôt pour la suite,
    Ilyes

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