C’est le dernier segment d’un aller retour vers Singapour via Doha.
CDG - DOH : QR38 (A330-300)
DOH - SIN : QR944 (A350-900)
SIN - DOH : QR943 (A350-900)
DOH - CDG : QR37 (A330-300) Vous êtes ici
Curieusement, alors qu’il fallait passer un PIF lors de la correspondance aller, il n’y en avait pas au retour. Les Qataris avaient-ils des doutes prémonitoires sur la sûreté des vols en provenance de CDG vers le monde arabe ?

Cette sculpture est aussi un toboggan dont les rampes sont bien moins hautes que celui de SIN.

J’avoue ne pas comprendre l’esthétique de cet ours en peluche avachi

J’ai cru comprendre que ce n’est pas chez TagHeur qu’il faut s’adresser pour acheter cette voiture

Là, c’est une banale Porsche Panamera

Le message subliminal est-il que le trajet est long, tout aussi long qu’à la correspondance aller ? Il n’a semblé plus court que parce que j’en connaissais la durée, par expérience et non par signalétique.

A DOH, les enfants sont bien en mains aux sanitaires,

… et la stricte égalité des sexes règne pour changer un bébé.

Bref, on atteint une petite salle d’embarquement après présentation du BP et du passeport, où les sièges sont répartis par zone d’embarquement. Il y a de la place pour tout le monde…

… y compris pour un couple voulant s’assoir ensemble à proximité d’une prise électrique (il y a avait peu, mais elles étaient peu utilisées)

Je n'ai pas pu charger ma messagerie sur mon PC, tellement le débit du wifi était anémique.
Ceci est une borne d’accès à internet, avec un clavier et trackball haute résistance assez peu ergonomiques.

Ceci me permet d’afficher l’écran d’accueil de votre site favori ; il restera peu longtemps affiché après que j’ai quitté cet écran.

L’embarquement commence assez peu de temps après notre arrivée dans la salle d’embarquement, de manière ordonnée. Nous sommes dans le fond de l’appareil, donc dans le premier groupe d’embarquement.

Photo du fuselage par la fenêtre de manœuvre de la passerelle

La cabine est en 2-4-2 : QR ne facture pas le choix du siège et il suffit de ne pas s’y prendre au dernier moment pour voyager en couple sur un doublet hublot-couloir.

Mais pas aussi confortablement qu’on pourrait l’espérer, car on retrouve ce massif boitier IFE, dont les 18,5 cm de large (soyons précis !) prennent une petite moitié de l’espace disponible pour les pieds.


Le siège est en fait un peu plus large (entre accoudoirs) que les 43 cm dans le 3-4-3 des 777 AF (et des autres compagnies aériennes ayant choisi ce diagramme, telle EK).

Et comme souligné dans les commentaires du vol aller, il y a une place non négligeable au-delà de l’accoudoir jusqu’à la paroi de l’appareil.

Ma télécommande et celle du siège de Mme, pour vous en montrer le recto-verso en une seule photo. On n’en fait plus, des comme ça.

Mon accoudoir droit a perdu une partie de son capotage. Cela fait négligé, mais cela n’a pas eu d’impact sur le confort, car ce n’est pas là que repose le bras, étant donnée la position relative du dossier.

La fiche de sécurité recto-verso

Cette photo de la cabine arrière ne doit pas faire illusion : l’atmosphère feutrée de jet privé de l’A350 neuf et vide du vol précédent était bien terminée, car le vol était quasiment complet, avec notamment un groupe de présumés Indiens qui étaient assez bruyants. Deux d’entre eux qui s’étaient sans façon installés au doublet situé devant nous ont été courtoisement mais fermement remis à leurs places (au centre) par une PNC, quand les PAX ayant ces siège sont arrivés.

Repoussage avec une dizaine de minutes de retard sur l’horaire

788 QR

De même qu’à l’aller, un A320 Al Maha, filiale saoudienne de QR

738 Fly Dubai, un peu trop loin pour faire une photo correcte

Ce 747 cargo entièrement blanc m’a intrigué ; une photo à fond de zoom m’a permis d’identifier TC-MCL, appartenant à MyCargo Airlines, compagnie 49% chinoise (groupe HNA = Hainan Airlines), 51% turque. Bien que devant, l’A32x QR fait très petit par comparaison.

J’ai raté son atterrissage alors que nous attendions pour décoller de cette piste, mais mon moteur de recherche préféré m’a permis d’identifier ce 738 comme appartenant à Air India Express.

L’extrémité du terminal de DOH


Le service commence un peu moins d’une heure après le décollage

Nous n’avons pas pris d’alcool, ce qui ne dispensait pas d’immortaliser l’offre locale

Mme Marathon n’a pas hésité à soulever cette bouteille pour identifier ce vin chilien

En fin de repas, c’est ce cognac qui était disponible

Mais entre temps, il y avait eu le repas servi ainsi. Voici mon choix :

Après déballage partiel – ceux qui n’ont pas les mes FR des vols précédents remarqueront les couverts en métal.

Je ne sais pas si le fait de mettre autant de majuscules rendait ce plat plus raffiné, mais il était bon

Braised Lamb in Apricot & Cumin Sauce with Steamed Baby Potatoes with herb Butter and Peas & Carrots

Madame avait choisi le « chicken rice » (annoncé oralement, contrairement au menu papier sur les vols de/vers SIN). Mais ce qui est arrivé était un CHILI CHICKEN WITH RICE (tout en majuscules). Les anglophones savent que ce n’était pas un poulet chilien, mais un poulet au piment, que ne supporte pas Mme. Mauvais pioche, et mauvais point pour QR.

Elle aurait de plus dû le manger plus rapidement que moi, car la date de péremption était le 13/12/2016, alors que je pouvais attendre jusqu’au 13/02/2017. Ce sont des délais de surgelés.

Le paysage est d’abord masqué par les nuages

Puis se dégage au bout d’une heure et demie de vol pour dévoiler les paysages de l’ouest de l’Iran

Le panorama est majoritairement aride, mais ici, il y a assez d’eau pour avoir des champs verdoyants

La géovision fournit une localisation trop décalée dans le temps pour être utile, et c'est avec Google Earth et le chronométrage à partir du lac de barrage vu un peu plus tard que j'ai identifié a posteriori des affluents en amont de Nesare, au Kurdistan iranien.

Un barrage au confluent de la rivière Ghezel Ozan et d’un de ses affluents, en amont de Nesare

Une route part de cette agglomération en haut à droite de cette photo

… pour atteindre ce village isolé

Une longue vallée aride

Le lac du barrage Kazemi

Le barrage Kazemi, aussi appelé barrage Bukan, et initialement barrage Cyrus à son inauguration.

La PNC avait oublié de revenir nous servir les cafés demandés en fin de repas, ce qui a permis de constater un temps de réponse moins flatteur qu’à l’aller à l’utilisation du bouton d’appel.

L’indication sur les gobelets n’était pas usurpée : ces cafés étaient brûlants.

Ce retour en France aura été celui des photos air-to-air, avec celui-ci volant en sens inverse

Jet Airways ? les horaires de départ d'Europe ne correspondent pas. Alors LH ou SQ ? je remercie les commentateurs pour leurs suggestions

Le lac salé d’Ourmia, au sud-ouest de Tabriz, à l’extrême ouest de l’Iran

La chaussée et le pont (rongé par le sel) qui traverse le lac, reliant les villes de Tabriz et Ourmia.

Les montagnes à la frontière irano-turque


Après le plus grand lac iranien, le plus grand lac turc

C’est le lac de Van, dans le Kurdistan turc

Une curieuse baie hélicoïdale, et juste après à l’ouest

…le Mont Süphan, un volcan culminant à 4058 m d’altitude


Le petit lac Nazik, à une vingtaine de kilomètres du lac de Van.

L’avion survole ensuite un paysage montagneux, en suivant une trajectoire presque parallèle à la côte de la Mer Noire, à une centaine de kilomètres de celle-ci


C’est bien après être arrivé à destination que j’ai découvert que mon téléphone, laissé allumé par inadvertance, avait accroché un réseau turc.

L’éclairage coloré de la cabine

La deuxième prestation est aussi décevante que sur les vols précédents.

Les photos qui suivent ont une petite histoire. Ma photographite aigüe n’est pas passée inaperçue de la PNC qui nous servait. Cela a dû la travailler, car au bout de trois bonnes heures de vol, elle venue me demander avec une courtoisie aussi exquise que son sourire pourquoi je prenais autant de photos. J’ai expliqué le principe de FR (elle en avait entendu parler), et l’ai rassurée sur ma probable évaluation des PNC : elles étaient vraiment au top, qu’il s’agisse de l’accueil à bord, de la gestion de l’incident des PAX pas à leur place ou du service (et j’avais aussi observé les PNC dans l’autre couloir).
Cela ne gâtait rien (mais n’entre jamais dans mon évaluation) : elle était de plus ravissante, avec un maquillage très soigné que j’ai admiré avec Mme.
Il n’empêche que par la suite, elle s’est arrêtée à mon niveau pour poser avec ces plateaux, d’eau puis de café, ayant rapidement ajusté au millimètre la disposition des objets. On ne saurait être trop prudente quand on sait que le travail est observé ainsi. Mais si son superviseur lit ceci (ou plutôt la version anglaise qui suivra), qu’il sache que les PNC sur ce vol font partie de l’élite de la profession.


La géovision affiche à la fois la trajectoire du grand cercle et la trajectoire réelle.

La cabine vue de l’arrière, avec le décalage dû au passage en 2-3-2 à cause du rétrécissement du fuselage à l’arrière de l’appareil.

Air-to-air avec un appareil volant dans la même direction…

Et plus rare, avec deux avions volant dans des directions presque opposées


Les distances et l’éclairage déclinant ne permettaient pas de les identifier

Mais ce n’est pas fini :

Ce quadriréacteur va passer en sens inverse suffisamment près

… pour identifier un 747 à la bosse de sa carlingue, et c'est Numero_2 qui m'a suggéré qu'il pourrait s'agir d'un appareil Air Bridge Cargo.

Il n’y aura rien de plus à voir jusqu’à l’atterrissage. Sans réelle surprise, il y a comme à l’aller un A330 Kuwait Airways au contact du Terminal 1.

La pluie et la nuit interdisent tout spotting supplémentaire

Sortie de l’avion à 21h18, soit ETA + 38’. L’appareil est A7-AFL, entré en service en 2004.

La queue est assez longue pour les passeports européens, mais le sas PARAFE procure un coupe-file apprécié aux citoyens français qui en connaissent l’existence.

Montée à travers les tubes du terminal 1

Je n’avais pas vu cette étiquette Rapid Transfer à l’enregistrement à DOH. La valise nous est arrivée 23 minutes après notre sortie de l’avion, un chrono honorable pour CDG.

Repartir de CDG1 par les transports en commun n’est pas plus plaisant qu’à l’aller : CDG-VAL, puis achat d’un billet et crédit sur un passe Navigo (car on a changé de mois) retardé par un distributeur en panne, et nous arrivons sur le quai en ratant de peu un train direct pour Paris. La rame qui est stationnée ici ne va nulle part.

Le baiser (KISS) de la SNCF va se faire attendre : près d’une demi-heure sur ce quai à l’éclairage blafard, sans autre information que les mots « train retardé » sur cet écran.

A Singapour, nous avons franchi exactement 6 marches d’escalier sur l’ensemble du trajet, celles qui à l’entrée de tout accès extérieur au métro le protège comme à Taipei contre les pluies torrentielles. Toutes les autres dénivelées ont été franchies en escalier mécanique ou en ascenseur.

A Paris, le total a été de 50 marches à la montée et 23 à la descente, par l’itinéraire le mieux équipé qui n’était pas le plus court. (Les 23 marches à la descente, c’était un escalier mécanique en panne…)
C'est la fin du récit aéronautique de ce FR, et faute d’avoir de quoi vous proposer un bonus touristique nouveau sur Doha ou Paris, je vous propose un bonus un peu décalé sur Singapour qui était la destination de notre voayge. Singapour, c’est une ville plus multiforme que certains peuvent l’imaginer, à l’instar de ce paysage urbain hétérogène.

Bien sûr, vous pouvez aller voir le zoo de Singapour, ou, plus inhabituel, le Night Safari : c‘est un autre zoo qui ne se visite que la nuit, pour voir des animaux nocturnes en situation. L’éclairage similaire à celui d’une nuit de pleine lune exige souvent un matériel photo très sensible que je n’ai pas.

Babirusa (Babyrusa babyrusa)
Mais quand il est suffisamment immobile, un léopard (panthera pardus) peut apparaître dans des conditions réalistes.

Les flamands roses étaient trop mobiles au Night Safari, et c’est au Jurong Bird Park, un superbe zoo ornithologique, qu’il faut aller pour en voir au mieux.

On peut pénétrer dans certaines des volières, tellement grandes que l’on n’en voit les limites qu’en regardant le ciel. Ce goura de Scheepmaker (Goura scheepmakeri) tente de nous faire comprendre qu’il est ici chez lui, en écartant ses ailes pour se grandir et nous interdire d’aller sur cette passerelle.

Sans avoir besoin d’aller dans l’une des réserves naturelles du centre et du nord de l’île, la nature est exubérante à Singapour en raison du climat équatorial. Les jardinières des passerelles piétons en ville débordent de fleurs toute l’année.

Les autoroutes peuvent se prendre des airs de route de campagne bordées d’arbres imposants.

En centre ville comme dans les zone résidentielles, le stationnement est payant, parfois de manière électronique, et parfois avec un système assez archaïque de coupons prépayés à perforer selon la date et l’heure et placer derrière le pare-brise.

Un automobiliste a cru pouvoir s’en dispenser : si c’était sa première infraction (depuis combien de temps, je ne sais), il s’en sera tiré avec cet avertissement sans frais.

En revanche, je doute que le conducteur de cet autre véhicule ait fait preuve de la même mansuétude : en se garant illégalement sur un emplacement pour bus en face du temple Tian Hock Keng, il a obligé le car à l’arrière-plan à gêner le trafic pour décharger ses passagers.

Cette voiture photographiée au vol n’était pas en infraction, car c’était un dimanche : sa plaque rouge indique qu’elle ne peut circuler en semaine de 7h à 19h, sauf paiement au coup par coup d’une taxe de 20 SGD. Ces véhicules sont assez rares, car le rabais de 17 000 SGD sur le COE (« Certificate of Entitlement », le document qui autorise à posséder un véhicule de telle catégorie pendant dix ans) ne compense pas leurs contraintes d'horaire autorisé. (Le tarif du COE varie beaucoup selon l’offre et la demande, mais est de l’ordre de 80 000 SGD pour un petit véhicule).

L’autocollant à droite de la plaque d’immatriculation de ce taxi indique que le conducteur honore le souvenir de Lee Kuan Yew (1923-2015), l’homme qui a « fait Singapour ».

La natalité à Singapour est faible, et les autorités s’en inquiètent depuis longtemps (avec quelquefois des dérapages eugénistes). Cette campagne de publicité incite les couples à ne retarder excessivement leurs projets d’enfant, car la fertilité décroit quand l’âge avance, qu’il s’agisse des hommes du côté droit de ce taxi

… ou des femmes du côté gauche.

Un passage piéton protégé par un feu de circulation, c’est bien. Mais si la voie est large, une personne à mobilité réduite pourrait avoir du mal à arriver de l’autre côté… sauf qu’ici, avec un badge sans contact dédié, on obtient un « vert piéton » prolongé. La technologie existe ; il suffisait d’y penser, et de le faire.

La sécurité de Singapour passe aussi par la prévention, avec un contrôle de sécurité des gros bagages à chaque entrée de métro. Mais quand nous sommes partis vers l’aéroport, l’employé a ciblé notre bagage à main, beaucoup moins lourd et encombrant, peut-être pour montrer que nous étions contrôlés sans se donner trop de travail (un vague contrôle visuel en soulevant quelques objets).

La prévention, ce sont aussi des campagnes de publicité dont le visuel évolue d’une année sur l’autre, mais dont les thèmes restent les mêmes, contre les différentes formes d’arnaque par internet, ou contre les offres trop avantageuses pour être honnêtes.


« C’est arrivé près de chez vous » : ce panneau à proximité d’une station de métro dans une zone résidentielle alerte qu’il y a eu par ici une victime de chantage aux captures d’écran d’internaute imprudemment dénudé.

La police singapourienne a une branche entièrement dédiée au travail de prévention. Reconnaissables à leurs T-shirts blancs (et non bleus), ils vont au contact de la population pour les mettre en garde contre d’éventuels risques.

Ces policiers nous ont spontanément abordé, car ils ciblaient les femmes et les personnes âgées (la présence de Mme me permet d’imaginer que c’est le premier critère qui a été déterminant ;). Ils étaient particulièrement sympathiques et disposés à parler de leur mission.

Il distribuaient ces objets à leur interlocuteurs (surtout des femmes, car c'était l'heure des sorties de bureau) : un calepin dans un étui de plastique mettant en garde contre les usuriers clandestins (ah-long 阿窿 en cantonais), et une petite lampe torche anti-agression émettant une sirène si l’on tire sur sa dragonne.

Ainsi va la vie à Singapour, dont la prospérité est basée aussi sur une absence de salaire minimum, mais qui attire pourtant de très nombreux travailleurs étrangers, assurant un faible coût de la main d’œuvre de base. Dans ce pays au niveau de vie très élevé, je suis allé chez ce coiffeur au tarif standard de 10 SGD (6 EUR) pour une coupe simple. La coiffeuse parlait avec son collègue en mandarin avec un accent que je trouvais étrange : elle s’est révélée être malaisienne (et a changé de langue quand elle a découvert que je suivais leurs échanges). Elle faisait évidemment partie de la nuée de navetteurs malaisiens habitant à Johor Bahru, de l’autre côté du pont.

Les Singapouriens, eux, ont souvent les moyens de voyager, grâce notamment à des LCC dynamiques qui ne lésinent pas sur la publicité, ici dans le métro.

Un indice pour notre prochaine destination de vacances ?

Merci de m’avoir lu jusqu’ici !
Merci pour ce FR.
Un vol en demi-teinte avec QR, du boîtier IFE volumineux à la géovision approximative en passant par le catering inattendu et le service au ralenti.
Heureusement que les PNCs étaient aux petits oignons.
Le air-to-air à la compagnie mystère semble être un avion Jet Airways / 9W.
Et le 747 ressemble fort à un appareil Air Bridge Cargo.
A bientôt.
Merci pour le commentaire et la rapidité de ces identifications. J'avais Jet Airways "sur le bout des doigts au clavier" sans parvenir à m'en souvenir :)
Merci pour ce FR très bien rédigé mais qui ne me réconforte pas dutout sur mon prochain voyage sur le vol retour de cet appareil (CDG-DOH). avez vous eu l'occasion d’apercevoir la J ? était-ce la vieille cabine aussi ? Je trouve cela honteux que QR propose deux produits différents sur ses avions, c'est un peu comme jouer à pile ou face quand on reserve avec eux d'autant plus que mes vols en 777 ont été changé par des A330-300/200.
pour l'avion à identifier cela me semble être 9W aussi mais ça m'etonne parce que les vols partent à 11h de CDG/AMS/LHR et devraient ainsi se trouver bien plus loin. un retard ? pour le cargo je ne pourrais dire mais l'idée de Numéro_2 colle parfaitement avec les photos trouvés sur internet.
Merci et à bientot
Je n'ai pas du tout vu la J, ni à l'entrée, ni à la sortie de l'avion, chaque fois par la deuxième porte de l'appareil.
Bien vu pour les horaires des vol 9W; je m'en remets à plus pointu que moi sur le sujet pour confirmer l'hypothèse.
Merci pour le commentaire
Je pencherais donc plus pour du LH ou du SIA qui ont des queues similaires, mais dans ce cas pour trouver le vol c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin !
Bonne continuation ;)
amicalement Pierre Jean
Il aurait fallu un appareil photo plus performant que le mien; cet avion était quand même bien loin !
Je croyais que marathon allait liberer ce pauvre ourson à Doha :)
Cabine qui accuse un peu son âge.
Très belles vues aériennes.
Merci pour ce FR !
Difficile d'emporter cet ourson en bagage à main ! :)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR!
Décidément assez gros boîtier IFE, pour pas grand chose dedans...
Le catering, dommage pour la fausse note pimentée.
Merci, pour encore un très bon bonus!
À bientôt!
Ce boitier IFE illustre l’évolution des IFE, des éans cathodiques collectifs à la VOD contrôlée par une électronique invisible car miniaturisée. Une décennie a suffi pour ringardiser complètement cette génération d’équipement.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR !
Le parcours arrivé (comme la plupart des gds aéroports) peut être longuet.
Le boîtier est vraiment génant effectivement. Le hublot se paye au prix fort mm si ce n'est pas en numéraire !
'Cela fait négligé, mais cela n’a pas eu d’impact sur le confort', perdre un moteur sur 4 également et pourtant on verrait les choses différemment ! Les apparences dans l'aérien jouent, c'est aussi le reflet d'une certaine rigueur, attention au détail qui diffuse au sein d'une entreprise.
A bord le service semble de bon niveau hormis pour les cafés. Catering correct mais l'absence de menu s'accomode mal de plats sortant de l'ordinaire !
Intéressant bonus façon tranche de vie à Singapour !
Le transport hectométrique devrait réduire la marche, mais guère le temps de trajet de bout en bout, à cause de l’attente et de sa position en hauteur .
Bonne réflexion sur la rigueur de la maintenance ; il est impossible au PAX lambda de trancher. Le seul indice est qu’en vingt ans d’existence, QR ne semble pas avoir eu d’accident au sens aéronautique du terme.
Seul le fait que Mme ait pris le mauvais choix pour elle a attiré mon attention sur le fait que ce plat chaud pouvait poser un problème à qui n’est pas « tout terrain » au plan alimentaire.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR!
Bien d'avoir poliment mis les choses au point au début du vol pour éviter le cauchemar avec les voisins de devant.
Un peu déçu par ce catering QR^^ pourtant d'habitude si bon!
La fin de service est dure à juger ayant été repéré comme FRIste :)
Un IFE pas folichon et sutout trop encombrant, un cauchemar en cas de sieste :(
Je ne savais pas que QR indiquait le poids des valises sur une étiquette largement plus lisible que les bagages tag.
Bonus intéressant sur Singapour,qui à l'image de Dubai ou Zurich (je prends les autres places financières comme exemple) nécessite un respect précis de nombreuses règles de vie. Celà augmente l'attractivité aussi.
Bonne journée :)
Le vol et le service étaient suffisamment avancés quand je me suis dévoilé pour que l’évaluation soit pertinente.
Un PAX de grande taille, ce que je ne suis pas, pourrait réfléchir à deux fois avant de choisir un siège au hublot et avoir la double peine d’un boitier IFE très gênant et d'un IFE décevant.
Ces étiquettes pour bagage lourd (entre 23 et 32 kg ??) ne sont pas spécifiques à QR. Des étiquettes très similaires, indication de poids compris, ont été mises sur mes bagages de +/- 32 kg lors de mon retour définitif de Taïwan. sur KL
Ma vision des contrôles et contraintes assurant la stabilité de Singapour est limitée par la brièveté de mon séjour en simple touriste, même si mes amis sur place m’en ont dit plus sur ce qui concerne un résident.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour cet épisode terminal.
L'excellence des charmantes PNCettes de saurait masquer l'insuffisance du "hard product" qatari hors d'âge. Si les sièges duos non surfacturés sont une bonne surprise, l'imposant boîtier d'IFE en constitue une fort mauvaise.
Le service principal paraît très correct, pour peu que l'on ait été correctement informé de ce que l'on allait recevoir.
L'ennui au cours de la croisière est évité par la disponibilité de l'IFE naturel qui nous offre de beaux paysages.
"C’est le lac de Van, dans le Kurdistan turc"====> ne dit-on pas "Turquie de l'Est" à Ankara? ;=))
"Les Qataris avaient-ils des doutes prémonitoires sur la sûreté des vols en provenance de CDG vers le monde arabe ?" ===> ou n'étaient-ils que trop bien informés...
Bonus décalé mais fort intéressant qui rappelle que "SIN is a fine city."
A bientôt!
Un avion qualifié hors d’âge après une douzaine d’années d’exploitation,: les technologies et les attentes des clients évoluent vite. Mais le fait que la non-facturation du choix du siège soit vu comme une bonne surprise montre à quel point ces suppléments masqués sont entrés dans les (mauvaises) mœurs des legacy européennes.
Bel IFE naturel… et pas d’obligation de fermer les hublots (on connait mon opinion à ce sujet)
L’Asie m’a habitué au caractère parfois politiquement sensible de dénominations géographiques que j’utilise en connaissance de cause.
Laissons aux chaînes d’information en continu le soin de d’émettre des hypothèses en l’absence d’information concrète.
Merci pour le commentaire !
Salut Marathon,
Très beau FR (encore une fois... ;) )
Je pense que l'avion mystérieux est un Airbus A330 Jet Airways qui est peut-être partis de Bruxelles car il me semble que Jet Airways a un hub à Zaventem et font aussi des vols en continuation vers Toronto etc...
Cela dit c'est juste une hypothèse...
A +
Le "hub" 9W de BRU a été déménagé à AMS depuis début avril.
Merci pour le commentaire élogieux, et à Numero_2 pour le contre-argument rapide.
Bonjour et merci pour le FR,
QR vient souvent en A330 ? C'est sûr que les PNC de QR sont plus attentionées que celles d'Air France (pas toutes mais presque).
L'avion mystère est soit un Jet Airways en retard, soit un Thaï Airways.
Merci pour le fr !
PS: Combien y a-t-il d'heures de vol entre CDG et DOH ? Merci pour la réponse !
Il y a trois vols CDG-DOH quotidiens, en B777, A380, A330, respectivement.
Le temps de vol à l'horaire est plus ou moins de 6h30 au départ de CDG, 7h dans le sens inverse.
Merci pour l'hypothèse TG (la liste s'allonge ) et pour votre commentaire !
Merci pour ce récit François!
La cabine semble assez dépassée quand même, avec un siège et un IFE old school, dommage pour une cie qui se veut 5 étoiles ^^
QR rattrape les petites erreurs grace à la qualité des ses PNCs...
Les coupons prépayés sur les voitures ressemblent à des cartons pour jouer au Bingo :p
Incroyable aussi cette portion d'autoroute dans la "forêt"!
Merci encore! A+
Le contraste entre les cabines des A330 et A350 QR est effectivement saisissant.
Ce système rustique de paiement du stationnement a l'avantage de faire l'économie de l'installation et de l'entretien de parkmètres; il est bien adapté à cette ville très particulière où ne circule quasiment jamais de voiture venant d'ailleurs.
Il suffit de zoomer sur Google Earth pour s'apercevoir que la plupart des terre-pleins centraux d'autoroute de Singapour sont plantés d'arbres de belle taille.
Merci pour le commentaire !