Avis du vol entre Paris et Osaka en classe Economique avec Air France

Bonjour,
Un vol vers une destination qui m’a fait rêver pendant de nombreuses années, le Japon. A lire vos reports, à suivre vos conseils, fin novembre nous avons décidé de vider nos comptes Flying B, jamais utilisés depuis plus de 15 ans de laborieuse accumulation, le prix de la fidélité. Nous allons en agence AF, Paris porte Maillot, afin d’avoir le maximum de conseils. J’avais regardé sur internet et ne voyais pas trop de solution pour le vol retour qui tombe au moment du golden week japonais, fin avril. Plus les jours passaient moins il restait de possibilité de rentrer sans faire brûler la carte bancaire.
La charmante et très professionnelle personne qui s’est occupée de nous a contacté un agent FBlue qui, par téléphone, nous a dégoté une optimisation de nos miles pour cet AR. Elle nous a conseillé de prendre les sièges L et J afin d’optimiser les chances d’avoir une rangée de 3 pour nous 2. Nous avons suivi son conseil.
Donc aller direct avec AF, c’est ici, et vols retour avec China Southern, escale à Guangzhou, un peu long en temps mais peu élevé en miles.
Je tiens à remercier Arnaud R. ainsi que Adrien-Maxime pour leurs conseils (et tous ceux qui ont décrit leur bonus sur le Japon). Ce fut une véritable découverte, un enchantement et sûr, on y retournera

Samedi 16 avril 2016, début des vacances de printemps en région parisienne. Notre vol AF 292 est à 13 h 45, cela nous laisse le temps de se préparer et de rejoindre CDG depuis Paris ouest sans se lever à l’aube, un samedi. Toujours aussi difficile de rejoindre le terminal E avec ses barrières à la dépose minute

Sans attente impression des étiquettes bagages à une borne.

On part le plus léger possible

Les documents de voyage

Le grand espace de dépose automatisée des bagages avec un agent qui dirige et donne des coups de main. On a attendu 15 minutes entre l’impression des étiquettes et la dépose des bagages. Beaucoup moins de monde qu'à droite pour l'enregistrement "classique"

Deuxième valise

Au sortir de la zone de dépose, je doute que le taux de réponse soit élevé vu l’emplacement et l’envie pressante de rejoindre la zone d’embarquement. J'ai appuyé sur le bouton vert clair

Vol prévu à l’heure

Ça coince un peu au parafe. Le monsier dégarni à lunettes est entré une première fois. Ça n’a pas fonctionné il est donc ressorti. Sa femme est entrée à son tour avec le passeport de son mari en main à l’intérieur du sas ! C'est alors que j'ai fait cette photo. Nous sommes passés le plus vite possible sans attendre le dénouement.

Pour nous c’est à gauche. Les toilettes du hall K après le PIF étaient infectes, totalement indignes

On prend un verre et on mange un morceau sur le pouce. Service défaillant car un peu dépassé avec l'affluence à cette heure du déjeuner au corner Naked du hall K.
Une vue de notre avion pour Osaka, B 777 – 200.

L’embarquement a commencé. On se pose quelques minutes pour manger avant de rejoindre la porte tout à côté. On n’a pas vraiment eu le temps de trainer

Un coup d’œil rapide aux informations

En version originale

Après un contrôle d’identité et scan des cartes d’embarquement, sans bip, à nous les vacances avec F-GSPN, déjà 15 ans, du 5 déc 2000. Il arrive d’Orly ce matin où il était en maintenance et avant à Cayenne. Et non contrairement à ce qui est indiqué sur le site AF il n’y a pas tout le temps des cabines Best vers Osaka. Un peu déçu.
A bord, ai posé la question à notre hôtesse qui a appelé son supérieur. Celui-ci est parti dans une explication que sur Tokyo oui tous les vols sont en best mais pas sur Osaka seulement certains jours de la semaine. Hum, j'ai du mal regarder cette page sur le site dédié Air France et lire les communiqués de presse du mois d'octobre 2015… (ami PNC, pour réviser, c'est par ici)

Vers la deuxième porte

Rechargement

Pour une fois il n’y a personne devant nous, plutôt rare

Une dernière avant d’embarquer

Accueil sympathique et souriant en porte avec indication de notre rangée. Nos sièges pour les 12 heures à venir

Ce n’est pas récent ! Dommage.

L’embarquement se poursuit. On croise les doigts pour qu’il n’y ait personne qui vienne s’assoir au siège K entre nous. En espérant que l’on puisse conserver le siège du milieu libre.

Au cas où vous auriez oublié comment c’était avant

Le contenu pochette avec le magazine du mois d’avril 2016, la carte de sécurité et le vomito logotypé

La double page du magazine présentant la flotte AF & Co avec 3 rubriques, la flotte AF, court-courrier Hop Air France et Transavia

Les coffres à bagages offrent encore de la place

Notre environnement , nous sommes partis

Les consignes mais avec l’écran quadrillé ça a un peu moins de charme.
Le drame.
Alors que nous commençons à rouler, arrive une hôtesse gradée rouge et parlant russe et disant d’un air autoritaire « cette dame est à cette place ». La dame en question, russe, ayant en main un gobelet avec du champagne et arrivant du galley arrière. L’hôtesse nous prend pour des débutants ou quoi. Donc mon ami se déplace pour se rapprocher, la PNC est surprise qu’il se déplace, "ah vous voyagez ensemble !?!!" Fini notre espace augmenté. Il est vrai que l’avion était plein à 100 % mais pas pour les GP. La PNC explique à sa protégée qu’elle va lui servir le repas à cette place mais qu’ensuite lorsqu’on éteindra les lumières elle pourra aller dormir en classe avant et qu’ensuite elle reviendra à cette place pour le petit déjeuner. Cool pour elle. En attendant la PNC ne nous a pas proposé de verre d’accueil ! Ah que serait Air France sans ses travers, c'est à cela qu'on la reconnait

Arrivée d’un 380 Emirates avec le sticker de l’expo 2020

XL à l’arrivée, AF au départ

Alors que nous étions proches des pistes sud, nous remontons devant cette brochette pour rejoindre le doublet nord, vers la 27 L

On n’est pas les premiers. Oh oh, les nuages arrivent

Place OK

Américain arrive

C’est parti. Il est presque 14 h 00

Il commence à pleuvoir sur la région parisienne

On pivote

On arrive au ciel bleu

Près d’une demi-heure après le départ, distribution du menu, serviette et sachet avec casque, masque pas basque

Hum, qu’est-ce qu’on va manger ?

Et oui ce n’est pas très grand comme écran et en plus il y a des reflets du plus bel effet

Pour l’instant, champagne sur Air France tant qu’il y en a en éco avec 10 g de crackers

Hommage au chef, pas de logo sur le gobelet plastique

Rehommage

Maintenant que les photos sont faites je peux gouter aux saveurs exquises et incomparables de cette fabrication unique de crackers

Non ce n’est pas la PNC qui fait voyager son amie. C’est une digne représentante de la compagnie nationale

Le plateau arrive avec notre choix japonais pour le plat chaud

Plat de bœuf, sauce au curry, riz Nishikhi, petits pois, pommes de terre et carottes

C’était assez bon. Il ne reste plus que le dessert mais j’attends le café. Ah c'est maintenant qu'une PNC repasse avec le pain. C'est pas un peu tard ?

Pendant ce temps, il faut beau sur la Scandinavie

Distribution des formulaires d’immigration et douane

Le soleil va se coucher

Après quelques films et avoir somnolé nous voici arrivé ici. Pour une fois je n'ai pas dormi profondément. Passage des PNC durant le vol avec verre d’eau, au moins à 2 reprises, ainsi qu'une glace.
Alors que j’arrivais au galley arrière, quelques PNC partaient se reposer dans leur espace réservé.
Entre temps notre squatteuse est partie. Elle a été remplacée par le fils du commandant ou copilote (il était avec eux 2, seuls, aux contrôles immigration) qui a fait une bonne partie du voyage en jumpseat et qui voulait se reposer (nous en avons parlé lorsque j’ai vu la place occupée par ce jeune homme et non plus la dame russe) Il a ensuite été invité à se diriger vers l’avant . Je ne me souviens plus quand. En tout cas notre voisine russe est revenue avant le petit déjeuner.

Il reste encore un petit bout de chemin

Le plateau du petit déjeuner. Une fois de plus je n'ai pas touché à la capsule du jus d'orange, le carré de pain est mou, le pain au lait itou

Version floue sans opercule, épinards, omelette. Je n'aime pas trop les épinards plein d'eau et l'omelette seulement si elle est bien cuite. Ce n'était ni l'un ni l'autre ! Donc fromage blanc et compote et gelatine au gout fraise ce n'est pas beaucoup. Pas de repasse pour le pain

On approche

Très beau millefeuilles de nuages

Mer agitée, Osaka au fond éclairé, KIX sur son ile ruineuse est sur la partie supérieure droite de l’image

On arrive, plus qu'un virage, beaucoup de vent qui agite bien l’avion

Arrivée au Japon, une première

Classique

La tour de KIX

Quelques locaux et régionaux

Arrivée en porte

Une dernière

Depuis l’intérieur de l’aéroport

C’est très lumineux. Le cheminement de sortie à l'étage

Une meilleure vue de notre avion à Osaka

On va prendre une navette automatique entre les aérogares pour rejoindre la sortie

A la sortie de la navette, avant de descendre vers la zone d’arrivée

Pause pipi avec ce premier autocollant surprenant affiché au-dessus de la cuvette

Un tampon souvenir de l’aéroport (à l’étage départ) sur mon carnet de voyage puis on se dirige vers la gare de l’aéroport pour prendre le train qui va nous conduire à Kyoto. Des personnes attentionnées au guichet d'information. On ne peut payer qu'en cash les billets de train, et pas beaucoup de distributeur dans la gare de KIX

Rame de train bien décorée

Pour le passionné, vue avant du train qui nous a menés à Kyoto. Comme il y avait beaucoup de vent, les trains se croisaient uniquement en gare. Certains annulés. Nous avons mis près d'1 h 30 au lieu de 45 minutes pour faire le voyage avec ce train « express »

Notre trajet

Et pour terminer une version animée

En bonus, quelques images, cartes postales de Kyoto

Le Temple d'or

Le Temple d'argent qui, à la différence du Temple d'or, n'a pas été recouvert

Le Chateau Nijo

Le Temple Kiyomizu-dera, sur pilotis

A bientôt.
Merci de m'avoir lu jusqu'ici.