Bonjour à tous, et en particulier aux FRistes les plus acharnés et / ou curieux !
Pourquoi ? Déjà pour la compagnie assez peu reportée et la ligne inédite mais surtout pour une exclusivité de taille : j'ai l'honneur de vous présenter le premier FR en vol "de jour" sur Enter Air, pour des raisons que vous allez découvrir rapidement et dont je me serai bien passé…
Mais commençons par le commencement, avec un horaire qui pique vraiment les yeux, et encore un peu plus quand il s'agit de laisser sa voiture au FlyPark de Louvre qui recommande un checkin…3h avant le repoussage !
Du coup l'arrivée à l'ancien terminal 9, rebaptisé T3 (pour dissimuler son éloignement d'à peu près tout ce qui bouge à CDG ?) aux alentours de 3h45. Oui c'est tôt…
Un chariot qui ne roule pas puis un autre avec une roue carrée, on plonge directement dans le cocktail détonnant CDG + charter.
Entrée dans le hangar avec un FIDS aux destinations qui respirent bon le soleil et les palmiers pour la plupart, du moins pour celles qui évoquent quelque chose ^^



Direction les comptoirs d'enregistrement après quelques vérifications d'usage auprès du tour operator. À défaut d'être très rapide l'employé est aimable. Notre vol est l'un des premiers de la journée donc il n'y a pas grand monde à l'enregistrement pour le moment

Certains ont passé la nuit dans le terminal apparemment !.. C'est assez surréaliste et indigne d'un aéroport d'un pays développé…

Direction maintenant le PIF, passé en 2 minutes chrono, avec là aussi un employé aimable.
Question boutiques… Pas de quoi rêver, l'offre se compose en tout et pour tout d'un (petit) Duty free, d'un Relay et d'un Prêt à Manger…
Pour ce qui est des sièges il y a ce qu'il faut à cette heure matinale

Architecture du T3

Documents de voyage

Tout allait bien jusque là mais les choses se gâtent avec la mention 'vol retardé' qui fait son apparition sur l'écran, sans plus de précisions..

Ma voisine de sièges parle d'un retard de 2h dû à de mauvaises conditions météo à Funchal, mais elle s'en fiche d'être en retard parce que "ça fait peur d'atterrir là-bas"… je veux bien mais j'aimerai surtout avoir des infos officielles quant au retard effectif. Flightradar24 ne montre aucun mouvement à Funchal, où il est à peine 4h du matin, ce qui ne m'apprend donc rien.
L'appareil semble bien être présent sur le tarmac parisien, avec 2 congénères aux dérives bien éclairées par le soleil levant qui se reflètent de l'autre coté du terminal.

La photo corporate pour patienter…

6h arrivent, rien de neuf. Puis le temps passe alors que la fatigue de cette courte nuit commence à se faire sérieusement sentir… 8h, toujours rien de neuf alors même que des 3 737 EnterAir présents sur le tarmac ne reste que notre 737-800…

Vers 9h je demande plus d'infos a une employée de handling de CDG, qui me parle de mauvaises conditions météo à… Barcelone. Certes la rotation est CDG-FNC-BCN-FNC-CDG mais quand même, pourquoi ne pas aller jusqu'à Funchal dans ce cas..?!
Flightradar24 ne montre toujours aucun mouvement à FNC, où il est maintenant 8h… pas bon signe.

On continue à regarder le temps passer, jusqu'à ce que vers 10h (oui oui, vous avez bien lui) un (le ?) responsable de la compagnie pour la France daigne expliquer vaguement que les conditions météorologiques à Funchal (pas à Barcelone…) sont trop mauvaises et qu'il nous tiendra au courant. Tous les passagers auront soit disant droit à une indemnisation de 12€ en tant que petit déjeuner. Dans les faits ce sera un pain au chocolat et un jus d'orange, pour un prix constaté inférieur à 8€ au Prêt à Manger…
C'en est trop… Après un coup d'œil rapide sur Flightradar24 et sur le site de l'aéroport de Madère qui montrent tous deux que divers appareils se posent dorénavant sans encombre à FNC (737, A319 et même 757), j'aurai une explication assez musclée avec le dit responsable, appuyé par quelques autres "avgeek" adeptes de FR24. Ce à quoi on nous répondra que l'autorisation d'atterrir ne leur a pas été attribuée (pas étonnant, l'avion est toujours coincé à CDG…) et qu'EasyJet et autres sont irresponsables de se poser là-bas au même moment… autant dire que ses propos n'auront guère calmé l'ambiance qui commençait à s'échauffer dans le T3 !




Ensuite rien de neuf, à part un énigmatique et provoquant "je l'espère Monsieur" à la question de mon père sur la possibilité de décoller le jour même. Excédés par l'attitude hautaine et méprisante du personnel au sol nous en remettrons une couche, là encore appuyés par d'autres passagers. Réponse : aucun de nos avions ne vole dans cette zone au dessus de l'Atlantique en ce moment. Permettez-moi d'en douter un peu…

On continue cette interminable attente dans un terminal bruyant et totalement bordélique lorsque l'activité bat son plein, avec des files d'attentes qui slaloment entre les sièges.
Maigre compensation, à 13h nous aurons droit à ce repas immonde, pour ne pas dire pire. Sensé valoir 20€ mais en coûtant à peine plus de la moitié… tant pis pour la régulation européenne qui impose un dédommagement à hauteur de 20€…


Et soudain, alors que plus personne n'y croit et que tout le monde se renseigne sur ses assurances, l'obligation de rerouting éventuelle en cas de défaut de la compagnie etc, l'embarquement est annoncé depuis le 2e satellite du T3 ! Autant dire que l'annonce est accueillie avec une clameur digne d'un stade de football anglais, qui fait se retourner tout le terminal vers "notre" porte d'embarquement qui ne le sera finalement même pas.
Réalisé sans trucage.

On embarque dans le PAX bus. Vue sur le trafic du T3

Notre 737-800 vu depuis le PaxBus, étant donné l'interdiction des photos sur le tarmac que je n'étais pas très chaud pour enfreindre vu la situation…

Quoique, photo volée à la volée ;) Vous noterez au passage que l'appareil est impeccable, repeint récemment et bien nettoyé.

Accueil souriant par deux ravissantes hôtesses polonaises et installation en 13A (heureusement que nous ne sommes pas superstitieux dans la famille !). Là encore la cabine est en bon état même si les plafonniers trahissent l'âge de l'appareil.

Le pitch n'est pas si catastrophique que ça.

Avant le décollage le responsable (celui avec qui je me suis déjà engueulé 2 fois…) fait son apparition pour présenter ses excuses au nom de la compagnie bla-bla-bla mais aussi pour nous informer de l'éventualité d'obtenir un dédommagement par le biais du Tour operator. Tiens donc…
On repousse avec 9h15 de retard pour rejoindre assez rapidement le seuil de piste en passant près du Concorde.



A380 Qatar au contact au T1

On se lance alors que ce 777 brésilien atterrit en parallèle.

Quelques vues sur Paris, La Défense et les banlieues environnantes avant de passer au dessus du plafond nuageux et de mettre le cap sur la côte Atlantique.






Même en mode avion et sans aucun réseau wifi, mon iPhone tiendra lieu de géo vision (aucune idée du pourquoi ni du comment !).

Île de Noirmoutier

Ile d'Ieux (?)

Vue panoramique des environs

Safety card


Charter oblige, toute consommation servie à bord est payante mais les prix restent raisonnables. L'occasion de prendre une bonne vodka polonaise pour (essayer d') oublier le retard !

Le sujet se devant d'être abordé, les hôtesses sont tout simplement superbes, sans aucun doute l'équipage le plus charmant que je n'ai eu sur un quelconque vol, pas même WizzAir (tiens, encore une compagnie d'Europe Centrale)… Toutes parlent l'anglais avec un léger accent polonais et deux d'entre elles parlent très convenablement français. L'uniforme et le chignon sont irréprochable. Et en prime le service est fait avec le (joli) sourire :)

Après cette vodka-pomme je somnolerai jusqu'à ce qu'on approche de Madère… n'y voyez aucun lien avec ce qu'il y avait dans mon verre mais plutôt avec le lever à 2h du matin ;)
Survol de l'île de Porto Santo, dont l'aéroport, constitué d'une unique et très longue piste, sert de solution de repli en cas de situation météo défavorable à FNC et de réserves de kérosène en voie d'épuisement après un long circuit d'attente.

Parlons-en justement, puisque nous tournerons pas loin de 30 minutes pour cause de l'aéroport saturé et du vent fort qui a effectué son retour.
Bon cette fois c'est la bonne. Survol de la pointe Sao Laurencao et descente calme jusque là.
La suite de l'approche est nettement plus intéressante, entre les fortes turbulences et le virage serré à 180° durant laquelle on ne voit plus que la mer par les hublots de droite et le ciel par ceux de gauche. Terre en vue à gauche de nouveau, et un gros trou d'air pour la route avant un atterrissage que les pneus n'ont pas du apprécier, acclamé par les applaudissements de la cabine qui succèdent à quelques cris. En bref une approche mémorable pour un aéroport qui n'a pas usurpé sa réputation !




Vue sur l'unique terminal et le trafic 100% charter du moment.


Et on débarque finalement près de 10 heures après notre heure d'arrivée théorique ! Dernière vue sur notre 737 (que l'on aura pu admirer depuis ce matin 6h…) avant de rejoindre le terminal à pied.

Pas de doute nous sommes au Portugal, l'autre pays du coq !

Le terminal offre un bel aperçu de l'immensité de l'Atlantique.


Et voilà où nous sommes à 18.37 heure locale…

À la prochaine pour le retour !
Merci pour ce FR...
Vraiment pas de chance! Je suppose que ce sont ces incompétents de Swissport qui ont géré la situation au sol à CDG?
La bonne nouvelle au moins, c'est qu'en vertu des lois européennes, vous aurez droit à une belle compensation de plusieurs centaines d'euros.
Le plus aberrant c'est quand même qu'au final, personne ne connait la raison exacte de ce retard énorme...
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Je ne sais pas auprès de quelle société de handling sous-traite EnterAir. Mais dans tous les cas la compétence des employés de la compagnie était encore plus critiquable que celle du sous-traitant malheureusement...
Quant aux lois européennes j'y ai bien pensé mais même pas, puisque la compagnie nous a fourni une communiqué officiel qui stipule un cas de force majeure (aléa climatique) qui les exonère donc de tout indemnisation ! Nous aurons donc eu en tout et pout tout 50€ de dédommagement par passager grâce à l'assurance complémentaire souscrite à l'achat du voyage... J'ai hésité à entrer dans ces détails dans ce FR mais je n'ai pas eu trop le temps de rechercher les attestations fournies par la compagnie... Je reviendrai dessus dans le FR du vol retour.
et ben... quelle galère ce départ. merci pour le FR.
Merci pour ce partage. Un vol pour le moins mouvementé . Le plus agacant est vraiment l'atitude du personnel au sol qui se moque franchement de vous avec des explications bidons. C'est souvent le cas pour les low cost ou charters qui n'ont que très peu d'appareils et des représentants muticompagnies pas très compétents.
Dommage car l'expérience à bord est plus que correcte avec des PNC qui ont beaucoup d'alluer et semblent très pro.
Merci pour ce FR sur une compagnie peu reportée.. et on comprend pourquoi !
Quelle mauvaise expérience.... Je suis désolé pour vous.
"C'est assez surréaliste et indigne d'un aéroport d'un pays développé…" : Ces passagers ont peut être une correspondance de quelques et n'ont pas les moyens (ou l'envie) de payer une chambre d'Ibis à 150€ la nuit. Cela n'a rien à voir avec le niveau de développement du pays...
A bientôt :)
Merci pour le commentaire !
En un sens vous avez raison, mais d'un autre côté le fait que ces malheureux dorment à même le sol découle directement de l'absence quasi total de sièges en salle d'enregistrement à CDG, ce qui, j'insiste, n'est pas digne de l'image que se doit d'avoir un hub international, même en terminal 'low cost'.
A Singapore, il y a des transits hôtels à 18 EUR ... Cela est bien donc dû à l’incompétence de CDG ... ou au lobying des hôtelliers....
Merci pour ce FR !
Un retard aussi important est la catastrophe ! Les PNC/PNT n'ont pas donné d'explications à bord ? Heureusement que les hôtesses relèvent le vol !
A bientôt
Merci pour le commentaire.
La seule explication donnée a été la météo, mais au vu de FR24, c'était surtout un prétexte très opportun à mon avis...
Une compagnie d'Europe de l'est qui, avec des coûts d'exploitation (salaires..., certains pilotes sont des novices qui payent pour avoir le droit de voler) et des avantages fiscaux a pu tuer les compagnies françaises charter, XL Airways (en moyen-courrier), Air Méditerranée, Axis, Blue Line et j'en passe... Merci l'UE !
A la lecture de ce FR vous pouvez aisément imaginer que je ne porte pas, mais alors pas du tout, EnterAir dans mon coeur. Mais je n'en perds pas pour autant toute objectivité et bonne foi. Déjà, croyez moi ce n'est pas un pilote novice en 'pay to fly' qui va atterrir à Madère, ou alors il ne le fera qu'une fois ! Quant aux coûts d'exploitation, plutôt que de sans cesse remettre en cause cette pseudo concurrence déloyale venue d'Europe de l'Est et Centrale, il serait peut être bon de s'interroger sur le pourquoi des coûts opérationnels aberrants de nombre d'entreprise françaises, et pas seulement dans l'aérien d'ailleurs. Surtout que si l'on se focalise sur ce qui a coulé XL Airways ou Air Méditerranée, c'est plutôt l'expansion de Ryanair et surtout EasyJet, entreprises de droit britannique rappelons-le. Et enfin, si le fait de payer moins d'impôts que le taux en vigueur en France constitue un avantage fiscal, alors le monde entier est un paradis fiscal !
Bref, dans tous les cas merci pour la lecture et d'avoir exprimé votre opinion :)
Votre FR était très bien, il n'y a rien à redire là dessus.
Pour Air Med et autres je ne crois pas qu'il s'agit directement de EZ ou FR. les TO ne bossent quasiment pas avec ce genre de LCC qui préfèrent vendre directement les billets. La part de marché des TO a un peu baissée mais cela n'a pas empêchée Enter Air ou Smartwings de s'implanter. Niveau fiscalité il y a d'énormes progrès à faire en France. Il faut aussi se poser la question sur ce que ces compagnies rapportent à la France : elles ne créent pas de vrais emplois et ne payent pas d'impôts mais ont pris le marché d'autres entreprises qui auraient été susceptibles de créer de l'emploi et de payer des impôts. Bref, les autorités se tirent une balle dans le pied avec leurs grands principes libéraux.
Je reconnais qu'en matière de Low Cost MC les TO travaillent plutôt avec...TO qu'avec EZY ou RYR, ou aussi avec Thomson (groupe TUI donc c'est plutôt logique). Mais mon point de vue était plutôt qu'il n'y a pas uniquement des compagnies Est européennes en jeu...
Par contre lorsque vous dites que ces compagnies ne créent pas d'emplois en France et n'y paient pas d'impôts (à part les taxes d'aéroport) c'est intrinsèquement vrai, mais en poussant le raisonnement jusqu'au bout, Emirates, Qatar Airways ou American Airlines n'en créent pas plus et ne paient rien de plus. Doit-on pour autant les interdire d'opérer sur le sol national ? Et si AF se trouvait soudainement bannie des UAE pour les mêmes raisons (même si personne ne paie d'impôts là-bas !), que diriez-vous ? Personnellement (et je ne doute pas que vous l'ayez compris) je pense que protectionnisme économique et transport aérien ne font pas vraiment bon ménage, mais ce n'est que mon avis bien sur !
Merci pour ce FR très instructif.
La cause météo du retard a tout du "pipeau" puisque toutes les autres compagnies ont opéré ce jour là à FNC avec des appareils similaires. Mon petit doigt me dit qu'Enter Air n'avait pas de pilote à jour de sa "qualif" FNC disponible à l'heure du départ et qu'ils ont dû en acheminer un depuis une autre base ou quelque chose comme ça. Ce n'est pas de la météo, c'est de l'inorganisation. Je pense que si vous vous donnez la peine de réclamer directement votre indemnité légale (400€/personne) au titre du règlement EU261 à la compagnie en Pologne, avec copie au bureau des passagers aériens de la DGAC, vous gagnerez. Enter Air est dans le collimateur des autorités françaises depuis un moment. Elle a d'ailleurs eu un B737 immobilisé au sol à CDG l'été dernier car elle devait plus d'un million d'€ à l'Etat au titre des amendes pour avoir opéré la nuit à CDG sans avoir les slots adéquats et elle faisait la sourde oreille quand elle recevait les relances.
Assistance au sol défaillante, mensonges aux passagers, résistance abusive lors d'infractions à la réglementation, voilà ce que le consommateur charter français reçoit désormais en échange d'une réduction de 30 à 50€ sur le prix d'un A/R vers FNC, car c'est à peu près ça l'écart de coûts (salaires, charges sociales et avantages divers du PN, le reste c'est kif kif) entre un B738 exploité par une compagnie des pays de l'est et une compagnie française.
Et ce n'est même pas compensé par des hôtesses certes très jolies, car sur ce plan là on a aussi ce qu'il faut en France !
Bonjour, merci pour la lecture et pour ce commentaire détaillé !
J'avais envoyé un mail à EnterAir faisant allusion à cette réglementation quelques jours après être arrivé à FNC, mail pour lequel j'ai reçu une réponse dans les 2 semaines, se basant sur l'article 5 de la dite réglementation EU261/2004 et la convention de Montréal définissant les cas de force majeure qui permettent aux compagnies aériennes de ne pas indemniser les passagers (ce qui sera appuyé par une déclaration officielle de provenance trouble (émise par FNC ou EnterAir avec la complicité de FNC ?)). Mais peut être ai-je commis l'erreur de ne pas mettre en copie la DGAC dans ce mail...
Je reviendrai en détails sur cet échange de mail dans mon FR retour (j'aurai dû attendre avant de poster celui-là pour y ajouter ces données, tant pis...) !
Je suis assez d'accord avec votre (avant) dernière phrase, mais c'est bien l'inconvénient des tour operator, les compagnies sont bien souvent...pourries (cf Flash Airlines à Sharm-El-Cheik dans le pire des cas...) et les vols avec des horaires insupportables qui plus est...
Merci pour le FR
Je suis allé à Madère en Octobre 2015. L'atterrissage a été très sportif ! IL faut une qualification spéciale pour un pilote qui atterrit à Funchal ( et c'est justifié ! )
C'était un vol Transavia avec escale à Porto. La qualité du vol était inférieure+ pitch ridicule+ perte de temps à Porto , sans parler des hôtesses !!! Mais bon 9 h de retard+ manque de réaction commerciale, ça plombe tous les avantages.
Merci pour la lecture et le commentaire !
La géolocalisation de votre iPhone n'utilise pas le réseau téléphonique (donc peu importe qu'il soit en mode avion), ni un accès internet (donc peu importe qu'il n'y ait pas de wifi à bord), mais uniquement les signaux reçus des satellites GPS. Si la sensibilité de votre téléphone est suffisante pour les capter à l'intérieur de la cabine, il n'y a rien d'étonnant. C'est ce qui permet d'utiliser des navigateurs off-line sur leur tablette ou leur smartphone, dans des pays étrangers où les frais de roaming seraient prohibitifs.
Merci pour ce récit en mode galère, lu longtemps après les faits !
Merci Marathon pour la lecture et pour ces précisions d'ordre techn(olog)ique !