Avis du vol entre Seychelles et Praslin Island en classe Economique avec Air Seychelles

Bonjour à toutes et à tous.

L'introduction

Suite de mon week-end aux Seychelles, Ceci est le segment aller d'un vol dans la journée sur l'île de Praslin.
vous pouvez retrouver les vols précédents :
DXB-SEZ en B77W sur EK Y
Parce que je reste deux jours sur place et que lézarder sur la plage n'est pas vraiment "mon truc", il fallait bien occuper la seconde journée du weekend.
Or, le seul site classé Unesco du pays se trouve sur l'île de Praslin que l'on peut atteindre après un court vol en Twin Otter avec Air Seychelles (HM).
Autant joindre l'utile à l'agréable pour 120 EUR.
Un peu cher pour ce que c'est, mais la destination n'est pas réputée être bon marché.
D'autant qu'il n'y avait plus de disponibilité en billet prime avec le programme Etihad Guest, partenaire de HM.
L'avantage est qu'il y a de très nombreuses rotations entre SEZ et PRI.
La commande n'a pas abouti sur internet pour une raison inconnue. Il a fallu que j'appelle aux Seychelles le service client. Après un premier appel trop laborieux : communication mauvaise, accent créole à couper au couteau (mais en français), le second appel sera en revanche hyper fluide et efficace jusqu'à la réservation du siège dans ces tout petits appareils.
A noter que l'équipe de FR a déjà reporté ce vol SEZ PRI dans le cadre d'un publireportage où il fait mention d'un service particulier pour les pax sur vols intérieurs moyennant … finance.
Vus les prix pratiqués, je n'a pas donné suite !
Curieusement : à aucun moment ce service n'a fait l'objet d'une présentation/publicité dans le terminal domestique…

Le prélude.

Pas de salon dans le terminal domestique de SEZ.
Vous allez voir pourquoi.
De toute façon, je viens de perdre mon statut silver sur EY… qui aurait pu me donner accès si jamais cela avait été le cas.
Je gare mon véhicule de location sur le parking de SEZ qui présente l'avantage d'être gratuit. Très étonnant sur une île avec autant de touristes et si peu d'espace.

L'entrée ne paye pas de mine. C'est le moins que l' on puisse dire.
Elle se trouve à environ 50 mètre de SEZ partie internationale. Les transferts sont donc très rapides (et le passage est couvert, ce qui peut s'avérer utile !).

Les comptoirs sont au nombre de 4 seulement.
L'agente qui s'occupera de moi sera super sympa et me recommande de ne pas entrér en zone airside car "il est beaucoup trop tôt".
En fait je suis arrivé quasiment à l'heure limite d'enregistrement (HLE).
Mais nous verrons que ce conseil était avisé car le retard fut important.

Pas de salon et pas grand chose à voir à faire à SEZ même.
En revanche, ce Skyshop m'intrigue au plus haut point.
En fait il s'agit d'un petit café opéré par cette entreprise connue de catering.
Elle fait office de seule buvette à proximité immédiate du terminal domestique.

Petit faux air de salon AF, en somme (avec bcp d'imagination !).
Je prends une boisson facturée 25 SCR, soit 1,7 EUR. Pas donné.
Documents de voyage.

Illustration de la compression d'une canette pour réduire le volume des déchets en avion et ailleurs.
Indispensable pour une bonne marathonisation d'un catering aérien.

Ayant épuisé le sujet, je rejoins le terminal airside à l'approche de mon heure d'embarquement théorique.
Il n'y a aucun FIDS pour les vols domestiques qui ont l'air d'être traités au fur et à mesure de la disponibilité de la flotte des twin otters.
En théorie, le wifi propose le wifi gratuit mais cela ne fonctionnait pas…

Vue sur l'unique machine de PIF et 50% de la zone d'attente airside.

Et l'autre partie, avec une miniscule échoppe.
La salle est climatisée et il y a des toilettes mais on se marche dessus tellement c'est petit.

Un autre wifi est accessible mais payant.

L'autre refuse obstinément de fonctionner.
Car mine de rien, les minutes passent, les vols partent mais mon vol n'est toujours pas annoncé par l'employée d'Air Seychelles qui ouvre l'embarquement à intervalles réguliers.

Heureusement, nous avons vue sur le tarmac, là où les appareils arrivent, embarquent et repartent.
Cela fait de l'animation.

A chaque embarquememnt, une video des consignes de sécurité est diffusée sur un écran plat.
Pas bête.

Dieu qu'on s'ennuie !
Le tampon des Seychelles.

Et quelques clichés des moustiques.

Un 320 UL vient changer le menu.

12h00, soit déjà 35 minutes de retard et rien en vue.
Aucune annonce…

Le flight report

C'est finalement avec une heure de retard qu'on finit par embarquer.

On entre dans l'appareil par une mini passerelle.

La cabine.

Et me voilà à mon siège.

Le 1A a une vue imprenable sur le cockpit.
Le 1B est plus centré mais ne dispose pas de hublot.

Le pas est riquiqui. Même en bulkhead.

Test marathon.

Test horatius.

Pas moins de 4 vomito bags (un de caché). Cela promet !

La notice de sécurité.

Et à 12h40, on se mets en branle.

Manipulations.

La piste est dégagée.

Et c'est parti. Le bruit au décollage est assez intense.

Mais on se retrouve dans les airs très rapidement.

Décollage direction sud.

Vue sur SEZ.

On traverse quelques fins nuages sur le trajet.

Praslin est déjà en vue. En fait on peut voir l'île depuis l'île principale de Mahé.

PRI.

Vue imprenable sur l'eau turquoise.

Mais aussi sur la piste. Je suis aux premières loges.

Touchdown.

Et demi tour.

Pour rejoindre le termminal de PRI.

On débarque très rapidement d'un twin otter.

Le destrier de la matinée.

Le terminal de PRI fait nettement moins boui-boui de campagne que certaines casemates des Fidji qui comptent parmi les sauts de puce les plus emblématiques de mon flight log.

Oui, c'est bien ce que vous croyez.

Reste à choper un taxi.

Le bonus

Contenu masqué : Cliquez pour afficher

La vallée de Mai abrite l'une des rares colonies de coco de mer.

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Merci de m'avoir lu.