Avis du vol entre Paris et Prague en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous. Après Amsterdam et Göteborg, je vous emmène à Prague pour mon avant-dernier FR (teaser?). Mêmes clients qu'en Suède, c'est donc du mini archive puisque nous sommes le 4 avril 2017. Et c'est Air France qui me transportera sur forte suggestion de votre serviteur Monsieur le soussigné okapi auprès du client qui m'achètera le billet. J'étais certes tenté par OK. Avec un tel code IATA, la compagnie ne peut pas mauvaise mais côté horaires, cela ne me convenait pas vraiment et comme c'est pour du boulot, je préfère avoir de la marge. De plus, si AF part du 2F à CDG, OK, quant à elle charge ses passagers au 2D. Et puis le vol de retour qui pouvait faire l'affaire était en code-share et opéré par AF. Donc…#airfranceisintheair une fois de plus.

C'EST PARTI !

De retour de Suède, j'ai passé mon semi week-end à Paris. Pas question d'aller à Milan pour revenir prendre mon avion à Paris 36 heures après. Quelques lessives, une bonne bouteille de Fronsac et un peu de lecture ont eu raison d'un dimanche déjà bien écourté. Je profite du temps libre pour m'enregistrer en ligne via l'application Air France. Pas de chance, on essaye de me refiler un siège couloir. Pourtant, il me semblait avoir été clair, pour moi c'est hublot, et rien d'autre.

Du 16C, non merci. Il y a bien de la place disponible en J mais cela ne m'intéresse pas aujourd'hui.

Je choisis donc la dernière place avec hublot le plus au fond de l'appareil…

Le jour J, mon nouveau BP s'affiche sur l'écran de mon iPhone. J'ai du temps devant moi, pour une fois.

Allez, c'est parti, on est mardi matin et je m'offre un tour en métro ligne 14 et RER B.

Ce dernier me file sous le nez à Châtelet. Je prends le suivant, qui sera direct.

Arrivé à CDG2, je constate que les escalators sont encore une fois à l'arrêt. Pratique pour ceux qui ont des bagages à trimbaler dans les escaliers…

Une heure et 15 minutes après être sorti de chez moi, je retrouve un vieux copain…

Arrivé avec tout le temps qu'il faut pour ne pas stresser, je file vers le bandit manchot de la zone Sky P.

Il me délivre mon gain du jour en un rien de temps. C'est beau la technologie!

Puis je me rend en "zone rouge" déposer mon bagage. Accueil très cordial, c'est normal, c'est pour les nantis (ou à la rigueur ceux qui,comme moi, se la pètent avec une carte plaqué argent 925!). La fugueuse repart en ballade.

Il y a beaucoup de monde au PIF. Toujours pas d'accès N°1 pour moi. Cet avantage me sera concédé une fois que le bon Midas aura changé mon argent en Gold. Au rythme actuel de mes voyages, ce sera assez vite acquis. L'attente estimée ce jour est de 10 minutes. Je peine à y croire mais tout se passe rapidement. Les agents sont aussi efficaces que bien élevés (une nouveauté de cette année dirais-je).

Je suis airside en effectivement à peine plus de dix minutes. Direction la porte F27.

Mais avant, livrons-nous à une activité essentielle: vérifier la présence et le bon fonctionnement de la fontaine d'eau potable: Test H2Okapi

Test réussi. Cela n'empêchera pas un tweet quant au prix de ce breuvage si nécessaire à la survie de notre espèce malgré les multiples tentatives de spéculation financières qui font qu'un litre d'eau coûte beaucoup plus cher qu'un litre de kérosène. Heureusement que l'on peut se faire escroquer en toute sécurité et sans contact!

Tiens, la zone est en plein chambardement, Ça fait très classe vu d'ici…

Passage au kiosque? Franchement, si je suis pour la liberté de la presse, rien ne me poussera à en profiter aujourd'hui. Faut soit être un sportif de gauche soit catho droitier, à moins d'être postier néerlandais. Heureusement que j'ai l'appli AF Press et un bon bouquin.

J'embarque un "Le Monde" qui traînait tout seul. Mieux que rien.

Embarquement.

Prévu à l'heure. C'est aussi le titre d'un film que j'ai déjà vu et revu. On en connait la suite. Les promesses…

Les SP sont appelés en porte. J'y vais, le passage est poli. Ça débouche sur une passerelle bien connue.

Un engin bien pratique est prêt à l'action.

Et voici l'instant nez (avec de la colle sur les vitres…)

Et l'incontournable instant porte, en deux versions

Accueilli très courtoisement à l'entrée de l'appareil, je me dirige vers le fond à gauche comme indiqué si gentiment par la CC. Ah, mince, je suis allé trop loin.

Euh, non! Ça c'est pas du bon côté!.

Alors ça doit être ici…
Les sièges sont propres et plutôt jolis.

Bah oui, c'est bien ici mais il manque quelque chose! Le PNC du fond me regarde et me demande si j'ai bien trouvé mon siège. Oui mais, ma mine désappointée est notoire.

Et voilà, je me suis fait avoir comme un bleu en oubliant que la dernière rangée sur les A320 d'Air France n'a qu'un demi-hublot. L'horreur. C'est que sur Milan, on n'a plus droit qu'à du BabyBus. L'A320 et le 321 c'était avant, quand la ligne faisait recette. Va falloir être sportif pour faire des photos aujourd'hui.

Râler ne sert à rien. Mais quand même, ce siège n'est pas dans l'axe!

Et le pas, à fond de cale, c'est comment me demanderez-vous? J'ai la nette impression que c'est un peu plus serré qu'à l'avant.

Quant au test Horatius. On pourra dire que c'est propre pour ne pas chipoter.

Par contre, pour le test Marathon, on n'y est pas du tout…

Il y a même un reste de précédent voyage dans l'aumônière adjacente avec un indice sur le routing d'avant notre vol

Omettre de photographier la patère pourrait provoquer des jérémiades chez certains fétichistes…

Parce que nos certitudes ne tiennent parfois que grâce à de petites choses, tous les détails ont leur importance!

D'ailleurs, un contrôle de la tablette révèlera qu'elle est suffisamment propre pour y accueillir ma bouteille d'eau Suédoise aux couleurs de mon dernier événement.

Bon, la vue à l'extérieur reste quand même possible. Ce FR ne sera pas un échec total, l'honneur est sauf.

D'ailleurs, si ces Messieurs les bagagistes veulent bien charger ma valise, cela m'arrangerait beaucoup une fois rendu à destination.

ALORS, ON S'EN VA?

Embarquement terminé! J'adore cette phrase et celle qui suit aussi: "PNC aux portes, armement des toboggans et vérification de la porte opposée."
Un copain vient s'installer à côté de nous…

Mais comme il ne nous plait pas, on s'en va voir ailleurs!

Opération repoussage conclue avec brio par les maîtres repousseurs de CDG. Bravo les gars!!! Du travail d'orfèvre.

Les dealers de sucré-salé sont à l'oeuvre sur la plateforme sans être inquiétés par la maréchaussée apparemment.

Avanti!

Direction la piste du jour.

En passant devant le siège social de la compagnie avec, en prime, un essai des commandes de vol. Heureusement que ce n'est pas en BAe 146, ils pourraient s'en offenser!

Coucou dans les bureaux! Y'a quelqu'un qui travaille ou vous êtes tous occupés à lire des flight-reports?

Et le commandant de bord nous fait son annonce de bienvenue. En français, en anglais (très bon) et, surprise, en tchèque qu'il parle couramment. C'est bien la première fois que cela m'arrive. Je dois avouer que c'est aussi la première fois que je vais à Prague avec Air France. D'habitude, c'était AZ ou OK depuis FCO ou MXP.

Vue sur un monstre sacré…

Puis ce sera virage à gauche vers le seuil de piste de la 08L

Que nous atteignons après 6 minutes de roulage.

PNC, DÉCOLLAGE!

Prise de vitesse pendant qu'un A320 British Airways atterrit sur la parallèle

Et en l'air nous sommes!

Le soleil essaye encore de percer à travers de multiples couches de crasse. Un peu de turbulences pendant la montée et un ciel magnifique, pour mon plus grand plaisir!

Les PNC sont libérés pour le début du service. Ça tombe bien, j'ai faim et soif!

Nous volons plein quasiment plein est.

Moi qui suis plutôt habitué à virer à droite cap sud est à la hauteur de SXB ou un peu avant en direction de ZRH, ce maintien de cap me semble inhabituel. Tout autant que l'absence de montagnes sur ce vol. Pour passer le temps, un peu de lecture?

Nourrir son esprit, c'est bien mais qu'en est-il du ventre?

À TABLE!

N'ayant pas encore d'accès salon, je n'ai pas souhaité profiter des tarifs avantageux et des offres fantastiques que les nombreux bars et autres espaces de restauration présents à CDG 2F offrent aux voyageurs. J'aurais certes pu inclure certaines de mes dépenses en voyage dans des notes de frais mais je préfère ne pas abuser de la générosité de mes clients. On m'a appris très tôt qu'il ne faut pas mordre la main qui nous nourrit et le choix du transporteur et de l'heure du vol justifient qu'à l'aller, j'attende que le service à bord commence. Le voici justement!

- Monsieur, souhaitez-vous un sandwich?
- Oui, avec plaisir. Sauf que je regarde ce qui m'est tendu et là, couac, c'est au jambon. J'explique poliment au steward que je ne mange plus de viande. Il s'excuse et me propose l'alternative: carottes, courgettes et fromage frais.
- Je ne veux pas faire le compliqué de service mais sauriez-vous m'indiquer l'éventuelle présence de fromage de chèvre? Je suis allergique au lait de cette animal. Le gentil steward vérifie et me dit que rien n'est indiqué de précis à ce sujet. Je prends, de toutes façons, je m'en apercevrai dès l'ouverture de l'emballage.

- Souhaitez-vous boire quelque chose?
- Du vin, s'il vous plait ainsi qu'un verre d'eau.
Le tout est donné avec le sourire. Ma première rencontre avec ce sandwich est intéressante. Frais et goûteux. Simple et bien réalisé. Pas de trace caprine, ce n'est pas nocif alors j'approuve totalement. Le vin quant à lui n'est certes pas un grand cru, mais pour un rouge de classe éco, il fait l'affaire. Ça me change des biscuits salés qu'Alitalia se borne à nous servir.

Santé, Flight-Report!

N'en déplaise à Gordon, je n'enverrai pas de SOS!

Quand le steward passe récupérer les déchets et me refiler un café, il s'excuse de sa bévue de tout à l'heure. Je lui explique que ce n'est pas grave. J'ai juste décidé de ne pas manger de viande pendant un mois à compter de mon anniversaire et qu'il me reste encore un peu moins de deux semaines pour décider de la suite à donner à ce nouveau régime.
- Plus de poisson non plus?
- Monsieur, je ne suis pas encore disposé à renoncer au caviar ni au saumon fumé! Le PNC éclate de rire puis me demande si c'est dans le cadre du carême. ??? Je n'avais pas réalisé un seul instant que je pouvais passer pour un enfant de chœur à quelques jours de Pâques! Je lui explique que, Dieu merci, je suis athée et juste un peu soucieux de mon bien-être physique. Point d'interdits religieux dans mon alimentation, juste un retour aux sources et une meilleure hygiène de vie. Il comprend parfaitement et me souhaite bonne chance dans ma démarche. Je lui répond que tant que la tentation charcutière se limitera à mes vols à bord d'Air France, l'alternative servie aujourd'hui m'aidera à maintenir ma nouvelle ligne de conduite ;-)

Přílety

Un repas, un peu de lecture ainsi qu'un peu de musique contribuent à faire passer rapidement ce voyage. Le CdB nous informe que nous allons débuter notre descente vers PRG. Atterrissage prévu dans une vingtaine de minutes. À destination, la météo n'est pas fameuse en ce début d'après-midi. Les nuages et le vent contribuent à rendre cette approche assez turbulente, pour mon plus grand plaisir. Il est temps d'attacher les ceintures.

Un coup spoiler pour nous ralentir

Et nous sommes prêts à écumer la crête de ces nuages…

Le CdB a prevenu, il y aura des turbulences pendant l'approche. Tant mieux! Et encore un coup de spoiler pour atténuer les effets de la turbule. On commence à voir un bout de campagne sous les nuages. Prague porte bien son surnom de Paris de l'est. C'est la grisaille qui nous attend.

Les flaps et le train sont sortis. Les PNC sont priés de s'asseoir pour l'atterrissage.

Finale et courte finale.

Et nous nous posons sur la piste 06

Nous libérons la piste; Il suffit d'un court roulage pour arriver à notre point de parking.

Aegean au contact.

Dès que l'avion est arrêté, tout le monde se lève pour…sortir. On a parfois l'impression que c'est d'une course qu'il s'agit ou bien les passagers sont ils si traumatisés par leur expérience en vol qu'il souhaitent vite retrouver leur condition de piéton?

Je laisse la cohue se débrouiller et j'en profite pour regarder l'homme des pleins connecter son camion citerne aux réservoirs de notre Airbus.

Pendant ce temps, les conteneurs à bagage sont sortis. J'espère juste ne pas être perdant à la loterie aujourd'hui.

Un dernier échange avec les PNC restés au fond de l'appareil et je prends congé, en bon dernier, comme souvent. Ceci me laisse l'occasion de photographier une dernière fois cette cabine quasiment vide.

Je prends congé également des deux autres PNC ainsi que du commandement de bord en le complimentant pour sa maîtrise de la langue locale. Le destrier du jour (fuselage shot)!

Et puis la passerelle, quasi vide elle aussi pour quelques dernières photos. C'est si agréable de ne pas se faire crier dessus pour cela!

N'importe quel GPS pourra confirmer notre position

Bye bye, à jeudi soir!

Je débarque dans le terminal au même niveau que celui des départs. La non-séparation des flux m'étonne beaucoup. Je remarque également un nombre important de passagers pour le vol de retour vers CDG.

Un peu de spotting s'impose. Très peu, en fait. C'est plutôt désert dans le coin. Heureusement que Prague génère suffisamment de trafic pour remplir un A380 selon Emirates. L'aéroport joue dans la cour des grands!

Comme à Göteborg, ici aussi c'est un français qui annonce!

J'ai déjà repéré le lounge où attendre sagement mon vol de retour dans trois jours…

La présence française continue…

L'incontournable Costa, le café attendra…

Les chinois sont dans la place!

Direction la sortie. Je suis agréablement surpris par cet aéroport. La dernière fois que j'y suis passé, c'était moins bien ou alors comme il faisait déjà nuit je n'y ai guère prêté attention.

Même si l'offre peut sembler alléchante, je n'ai aucune intention d'acheter des terrains premium en République Tchèque. Je ne fais que passer et je veux juste récupérer mon bagage.

Pour moi, ce sera au tapis 24 que je pourrais récupérer ma valise.

La voici, justement. Elle en aura vu du pays en dix jours. Si elle pouvait parler la fugueuse…

Direction la vraie sortie, sous l’œil vigilant de la douane tchèque. Pas de contrôle pour moi. L'habit fait le moine.

Je retrouve un homme à la pancarte avec mon nom dessus; j'embarque dans sa Mercedes, direction mon hôtel, le Panorama.
Au boulot!

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Bonus Prague.
Quelques rares photos de la ville. Pas eu le temps d'en profiter pour cause boulot. Je me suis juste accordé deux heures en ville après la fin de mon événement pour y faire un tour et respirer autre chose que l'air en boite de l'hôtel.

Je passe au distributeur retirer un peu d'espèces. On ne paye pas par chèque dans cette République.

Un tour en métro.

Certaines stations sont vraiment en profondeur…

Mais la décoration est assez jolie.

Il y même de la pub #avgeek pour une destination lointaine…Sydney via la Chine avec Skyteam

ou bien une autre, plus proche, genre la Suède avec qui l'on sait.

Prague est une ville étonnante. Si un jour j'arrête d'y aller pour des conférences, j'aurai le temps d'en apprécier la beauté.
Ceci n'est pas un mégot.

Fin de la courte ballade. Retour à l'hôtel récupérer la valoche
Bonus #avgeek
Le vol de retour ne sera pas reporté. Vol de nuit, sans rien à voir par le hublot. Juste quelques photos d'un excellent aéroport où le wifi est gratuit et de haut débit, comme la bière locale.
Une fois rentré à l'hôtel, je commande un Uber Pop. Le chauffeur et ses araignées arrivent rapidement. Faut pas être phobique pour monter dans sa voiture. Il y a des modèles d'insectes partout sur le tableau de bord et deux ou trois qui pendouillent ça et là. Quant aux tatouages, bonjour finesse! Heureusement que ça roule bien et qu'il ne parle pas anglais. Je suis délivré pile devant le terminal en moins de 30 minutes.

Après une pause clope rapide, je pars en quête de la zone d'enregistrement puis joue les touristes dans cet aéroport spotter-friendly.

Passage par un bandit manchot multi-compagnies. Retrait de la carte d'embarquement

Direction la zone dédiée AF pour abandonner ma fugueuse, rouge elle aussi.

Puis direction la jolie terrasse pour les spotters idolâtres.

Malheureusement, pas assez d'avion et les vraies photos que j'avais faites ont été effacées malencontreusement. Il y a également une exposition sur la vie aéroportuaire locale…

… ainsi qu'un espace pour enfants, à éviter si possible ;-)

Et puis, il y a aussi un espace pour les grands, à fréquenter si possible.

D'ailleurs, ça tombe bien, je vais changer du liquide. Que faire avec un billet de 100? Je ne vais tout de même pas le ramener à la maison!

J'ai donc pris une limonade locale ;-)

Cet aéroport dispose d'un wifi, gratuit de surcroît; le plus performant que j'ai pu tester dans tous les aéroports européens. La procédure d'accès est très simple:

Le résultat est éloquent!

Ma limonade s'est évaporée, il est temps de passer airside. Je vais aller tester le lounge repéré à l'aller. Heureusement que je ne voyage pas avec Vueling aujourd'hui, c'est toute une école qui embarque!

Passage sous les écrans. Les départs du lendemain sont déjà affichés.

Direction le PIF, passé rapidement. Je brave partiellement l'interdiction de photographier l'endroit.

Une fois de l'autre côté, force est de constater que les options de distractions sont assez limitées: on peut soit prier, soit changer des couches. Pour la première option, je passe mon tour, quant à la deuxième, j'ai déjà donné.

Tiens, Paul a créé des emplois ici aussi!

Mesdames, si le shopping n'a plus de secrets pour vous…

Vous devinerez que le sponsor local ne pouvait être autre que?

Par contre, pour le spotting à cette heure-ci, c'est raté.

C'est bien maigre tout ça!

La question du soir: Mais ou est donc ornicar?

Mon Airbus est en route. J'ai du temps à tuer. Et tout ça m'a donné soif. Ça tombe bien, les deux fontaines fonctionnent, cela va de soi. N'est-ce-pas AdP?

Mais si l'on cherche quelque chose de plus consistant, voici le lounge auquel ma carte de crédit me donne accès. Le nom du proprio me rappelle mon premier job, pour une boite qui fabriquait des voitures spacieuses et surtout des missiles…Milan. Douce et pacifique reconversion?

Mon portefeuille est un hommage à mes amis et nouveaux maîtres.

Un dernier coup de spotting? Planefinder n'a pas menti. L'avion est là, ponctuel.

Mais je suis ici pour m'envoler donc je rejoins la file Sky Priority. L'embarquement a commencé.

Instant voisin du soir (Air Dolomiti)

Instant nez

Instant porte

Ce vol est plein. Décollage à l'heure et montée rapide vers notre altitude de croisière. Le repas prévu ce soir? Un sandwich connu et un jus de raisin familier sans oublier le café servi avec le sourire.

Vol sans histoire, atterrissage plus ou moins à l'heure. La traditionnelle cohue pour quitter l'avion.

Je file récupérer mon bagage. Tiens un pax Platinum Utimate…

Ma valise est sortie en dernier, comme moi. Zéro attente!

Nettoyage (décapage) en cours. C'est bon pour la note propreté ce soir.

En sortant vers mon RER j'ai une pensée pour le fournisseur local de tickets et le gestionnaire de l'endroit. Les escalators sont encore HS…Ce sera moins bon pour la note accès ;-)

Fin de ce vol. Si je n'avais pas perdu mes photos du retour, j'aurais peut-être pu vous faire un flight-report décent, peut-être…

Merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈