Suite de mon escapade italienne dont le pourquoi du routing est expliqué en introduction du FR du vol aller : CDG - GOA : AF1516 c'est là
Ce récit est celui de mon retour chez moi, une notion assez mal définie ces temps-ci, justifiant ou non d’intégrer le troisième segment ci-dessous : GOA – FCO : AZ1392 (E175) Vous êtes ici FCO – CDG : AZ332 (A321) beaucoup trop tard ce soir là CDG – ARN : AF1262 (A32x) pas si tôt que cela, mais quand même trop tôt le lendemain matin
J'ai eu du mal à trouver la page permettant de m’enregistrer sur le site d’AZ, mais après pas mal de tâtonnement, j'ai atteint ce diagramme des places disponibles dans l’avion. La position de l’aile manque dans ce schéma de l’avion, or c’est un paramètre important pour qui veut prendre des photos du paysage.
Heureusement, il y a seatguru.com (merci à lui) ; comme on débarque assez rapidement d’un appareil en 2+2, être vers l’avant n’était pas un avantage particulier, surtout dans la perspective d’attendre le vol suivant dans un aéroport après la nuit tombée. De toute façon, elles étaient payantes. J’ai choisi le 24A, sans guère d’espoir que le siège voisin resterait libre puisqu’il y avait deux paires de sièges au couloir libres derrière. Côté gauche pour avoir la vue sur Gênes après le décollage présumé vers le nord et virage vers le sud.
La question suivante a beaucoup m’amusé ainsi que mes collègues italiens, car non seulement AZ définit un troisième genre (c’est très dans l’air du temps), mais il est précisé qu’il n’est pas possible de changer de sexe après enregistrement en ligne, ce qu’ils ont jugé pourtant possible dans des pays autres que le leur. Je serai curieux de savoir si AZ considèrera mon sexe comme définitif, AF ayant régulièrement des doutes à ce sujet, mais il faudra attendre un peu pour le savoir (teaser, au sujet de la compagnie aérienne, pas de moi !).
Après une journée et demie de travail, retour en taxi (honnête) à GOA
Ayant largement le temps, autant en occuper un peu à revenir en arrière sur cette rampe d’accès, pour spotter ce 737-700 de Global Jet Austria
Et plus loin, derrière une clôture, une rangée d’oiseaux dont je connaissais l’existence par l’étude de guides ornithologiques spécialisés, mais que je n’avais jamais vus, même dans un zoo.
Hélas, le maillage du grillage de la volière était beaucoup trop serré pour les arriver à les photographier de manière satisfaisante, d’autant plus qu’il y avait une haie basse, mais presque continument impénétrable empêchant de s’approcher de la clôture.
La seule trouée dans la haie permettant de s’affranchir des grillages permettait uniquement ce cliché en vue arrière de ce Piaggio P-180Avanti, à la configuration très innovante et (parait-il) au spectre sonore désagréable bien que réglementaire.
Un peu plus loin, et au contraire faciles à photographier, ces pélicans au principe pourtant sympathique sont généralement de très mauvais augure quand ils prennent l’air, car une superstition méditerranéenne bien ancrée les associe de manière tenace aux incendies de forêt en été.
On est bien content d’avoir quelques Canadair CL-415 chez soi, mais on préfère qu’ils restent au sol.
Il était peu probable d’en voir un décoller à cette saison, ou pour un entraînement à cette heure-là, et je suis revenu au terminal, qui n’est pas bien grand.
Il faut dire que ce n’est pas le trafic en soirée qui risque de l’encombrer : quatre vols en tout et pour tout de 18h25 à 20h05 et c’est fini pour la journée. Non, LH ne dessert pas Monaco où je n’ai connaissance que d’un héliport, mais Munich.
Le contrôle du BP au PIF est par auto-scan libérant des portillons, mais justement, le code barre de mon BP imprimé après l’OLCI ne passe pas.
Pas de problème, il suffit d’aller à l’extrémité du terminal (ce qui ne fait pas bien loin) pour en obtenir un autre (on ne peut pas changer de sexe, mais on peut changer de BP un fois enregistré en ligne).
Les queues étant inexistantes, je n’ai pas tenté une BLS et j’ai obtenu des BP traditionnels pour ce vol et le suivant (car je me doutais que l’impression serait jugée également trop médiocre), et aussi un sourire, une denrée rare dans le monde du transport aérien italien. On notera que rien n’interdit de fumer à bord selon ces BP où le pictogramme d’une cigarette n’est pas barré par un X comme d’habitude.
Retour au PIF, en passant près de ces sièges d’attente landside
Il n’y a pas grand monde au PIF, mais il n’est pas très efficace, car les employés ne font passer les bagages à main d’un voyageur dans la machine que lorsque le précédent a été entièrement validé OK, et bien sûr, celui qui me précédait avait conservé quelque chose de beaucoup trop métallique dans sa poche (peut-être un téléphone, j’ai oublié). Airside, voici tout ce que l’on pouvait voir de l’avion qui est déjà là.
Les toilettes sont raisonnablement propres, mais l’une des stalles n’a plus de papier hygiénique.
L’embarquement est annoncé, mais tarde à être lancé (un FB-Silver est apparemment un nobody total chez AZ).
Pendant l’attente, malgré plusieurs tentatives, j’ai échoué à me connecter à internet sur le wifi gratuit de l’aéroport ; je n’ai pas réussi à aller plus loin que cette page.
A peine plus de vue sur l’appareil dans la première moitié de la passerelle
Combien de temps AZ sera-t-elle simple « partenaire » d’Etihad, qui possède 49% de ce vilain petit canard boiteux de Skyteam ? En attendant, accueil très froid en porte.
Deux rangs de J, dans lesquels il ne semble y avoir eu que deux PAX
Un rang standard de la classe éco
Face arrière du siège une fois assis en place ; la classe éco est pleine, ou quasiment pleine.
Il n’y a cependant pas de problème majeur de place dans les coffres à bagages, malgré leur gabarit réduit : beaucoup de PAX avaient le look parfait de l’homme ou de la femme d’affaire qui rentrait après un déplacement de la journée, avec une petite sacoche contenant son ordinateur et quelques documents. Avec mon sac au dos contenant mon PC et 24h de change que j’ai mis à mes pieds, j’étais au-dessus de la médiane dans ce domaine.
Le pitch (24 cm à la Marathon du siège précédent jusqu’à l’assise du siège, 70 cm à la Saraoutou jusqu’au fond du siège) : pas très généreux, mais un A32x AF vous offre moins que cela.
Pour ce qui est de la largeur entre accoudoirs, à plus de 26 cm, on est au-dessus de ce qu’un A32x ou un 737 peut offrir, même chez AF qui a rétrécit le couloir.
La fiche de sécurité recto – verso. Les démonstrations de sécurité et la vérification de la cabine sont faites avec un visage concentré et à la limite du sévère, comme si ce vol de jour par beau temps était aux limites de l’enveloppe de sécurité de l’appareil.
Repoussage à peu près à l’heure. L’avion remonte la piste jusqu’à la raquette pour s’aligner
Et décollage vers le nord
Avant de tourner à 180° au-dessus de la mer
Vue générale du port et de l’aéroport
GOA et la ville de Gênes à l’arrière-plan
GOA, tel que photographié
… et après renforcement du contraste
L’air est beaucoup trop brumeux pour espérer profiter de la vue sur la côte avant le coucher du soleil. Bien essayé, mais c’est raté.
C’est a posteriori que j’ai identifié la petite péninsule à l’extrémité de laquelle se trouve Portofino
Le catering est limité à une boisson, distribuée sans l’esquisse de l’ébauche d’un sourire. Manifestement, les PNC n’étaient là, ni pour le plaisir, ni pour faire plaisir.
Effets de soleil couchant et de météo que le CdB annonce menaçante à FCO, avec risque de devoir attendre un peu avant d’atterrir
Roulage relativement court et stationnement au large
Photo pas très nette d’un A319 AZ depuis mon siège
La J, juste avant de débarquer,
… et avant de passer devant une PNC dont le visage m’a rappelé que le sourire n’est pas à l’ordre du jour chez Alitalia ces temps-ci. Le supplément économique du Figaro lu le lendemain dans ma navette suédoise est éloquent à ce sujet.
A32x AZ pris depuis le haut des marches de l’escalier mobile
Pas beaucoup de temps pour prendre des photos sur le tarmac, car je suis parmi les derniers à débarquer et le PAXbus qui est archi-complet est au ras de l’avion.
Une fois que les PAX se seront tassés pour ces derniers PAX, il démarre et fait un long trajet jusqu’à cette porte d’accès au terminal.
C’est la fin de ce FR, la suite appartenant au FR du vol suivant. La suite est un bref aperçu du centre historique de Gênes où j’ai passé deux heures en début de soirée.
Bonus : Cliquez pour affichermasquer
Le centre historique de Gênes est construit sur un site très escarpé. A droite de ce tunnel routier, un tunnel piéton aboutit à la station inférieure d’un ascenseur public dont la station supérieure est juste à droite de la tour blanche ci-dessous.
La voici
Elle accède direction au Belvédère Castelleto qui offre un point de vue panoramique sur la ville
Il offre un point de vue différent des palais qui bordent les rues Balbi et Garibaldi – les Rolli, ainsi appelés parce qu’un tirage au sort attribuait à tour de rôle aux familles aristocratiques génoises possédant ces palais l’honneur d’héberger les dignitaires de passage dans la ville à partir du XVI° siècle.
Le Palazzo Rosso, l’un des 42 palais des Rolli classés par l’Unesco au titre du patrimoine mondial de l’humanité, vue d’en haut :
Et vu de la rue
La mairie de Gênes, au 9 de la rue Garibaldi
Le contraste de luminosité ne permet pas de montrer simultanément les étages inférieurs, dans l’obscurité ci-dessus, et le troisième étage ci-dessous.
Le même bâtiment, depuis le belvédère, identifiable par sa sculpture qui le couronne
Illustration de la dénivelée, une passerelle raccorde le toit d’un immeuble au pied du belvédère.
Le palais ducal, place de Ferrari
Le même, côté place Giacomo Matteotti
Hors champ à droite de la photo ci-dessus, l’église de Jésus, Saint Ambroise et Saint André
Une pizza capricciosa pour tenir la route
Et le même palais ducal de nuit
Pour finir, à deux pas de là, la cathédrale Saint Laurent
Au coin à droite, un cadran solaire original
L’un des deux lions en bas du parvis
Au tympan, le Christ en majesté, entouré des symboles des quatre Evangélistes, au-dessus d’une mise au tombeau.
Quelques détails des chapiteaux extérieurs
Et la rosace centrale
Merci de m’avoir lu !
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Verdict
Alitalia Cityliner
4.9/10
Cabine8.5
Equipage2.0
Divertissements5.0
Restauration4.0
Genova - GOA
8.3/10
Fluidité9.0
Accès10.0
Services6.0
Propreté8.0
Rome - FCO
7.9/10
Fluidité7.5
Accès8.0
Services6.0
Propreté10.0
Conclusion
E-170 à l'aller ou E-175 ici, c'est un appareil agréable pour son diagramme 2+2 et un confort de siège qui n'a rien à envier aux A32x et 737. Il ne faut guère espérer plus que le magazine de vol sur ce court vol intérieur, mais c'est nettement moins que l'offre de presse papier et en ligne d'AF / Hop! pour un vol similaire. J'ai décompté un demi-point de confort pour la fatigante "musique d'ambiance" infligée après arrivée au contact. Le catering limité à une boisson et surtout la soupe à la grimace de l'équipage de bout en bout ne m'ont pas laissé un souvenir ébloui de ce vol.
GOA bénéficie de sa taille réduite; il y a une station de train de banlieue assez proche. En revanche, je n'ai pas réussi à me connecter à internet, et l'absence de papier hygiénique dans un WC montre que le ménage ne passe pas assez souvent.
J'ai trouvé FCO beaucoup moins agréable que les notes permettent de le transcrire; ce sera détaillé dans le FR du vol suivant. La note de fluidité sanctionne un transfert par PAXbus bondé, long et n'offrant pas d'opportunité de spotting.
8 LIKESLIKER POUR REMERCIER L’AUTEURMERCI ! FLIGHT-REPORT LIKÉ
Soupe à la grimace all italiana. Dommage mais guère étonnant. L'agonie d'AZ n'en finit pas. Joli backtracking qui souligne le problème de FCO en tant que hub européen : sa position. Alors qu'elle fait complètement sens en tant que hub national. A bord, le confort est standard. Le catering vraiment limité c'est un vol domestique où la concurrence low cost est féroce. On se consolera avec le segment addtionnel.
La position géographique de FCO n’explique pas tout : LHR est excentré dans ses marchés domestiques et européens et fait néanmoins partie du peloton de tête en Europe. Ce qui fait souvent la différence dans une court vol intérieur européen, c’est l’accueil des PNC, qui justement n’était pas à la hauteur. Ce n’est pas cette expérience qui me fera choisir AZ dans une course aux segments. Merci pour le commentaire !
L aéroport de genes semble assez triste , tout autant. Que le ton de ce vol ou les pncs sont sinistre , même si ca va mal un petit sourire pourrais permettre de garder les clients! Dommage pour les photos de la rivierzma italienne Catering minimum , prestation donc myenne.
GOA n’est pas très passionnant, mais ça passe. En revanche, « sinistre » est un adjectif assez approprié pour qualifier l’ambiance de ce vol. Merci pour le commentaire !
The Avanti P180 and the CL 415 saved the day in terms of plane spotting. I wish it had been less hazy, but it was great to see the airport and the city. Thanks for the comment !
C'est clair, AZ ne fait plus du tout rêver et va finir, au mieux, comme EN, une sorte de "low-cost".
"Non, LH ne dessert pas Monaco où je n’ai connaissance que d’un héliport, mais Munich." Tout à fait d'accord avec vous. D'autant plus que les hélicoptères d'Héli Air Monaco ou de Monacair ne desservent même pas Gênes.
Je suis frappé à quel point les PNC peuvent changer l’expérience de vol ou bien ou en mal, à partir d’un hard product standard. Merci pour le commentaire !
Bonjour Marathon, je trouve personnellement l'aéroport de Gènes pas terrible Que se soit Alitalia ou leur Filliale Cityliner en ce qui me concerne, je vous conseille de ne plus les prendre !
Bonjour Marathon. Jolis les "Avanti". C'est vrai qu'avec leur bec de canard et la position de leurs moteurs, ce sont des avions atypiques. Il faut les entendre voler avec ce son si caractéristique. Bonne pioche même si le grillage rendait le spotting difficile. L'aéroport de Gênes est tristounet, quant à la carte d'embarquement sans le X sur l'icône de la "sigaretta", j'ai demandé récemment à une employée check-in si c'était une nouvelle trouvaille d'Alitalia pour économiser sur l'encre. Elle a bien rigolé quand je lui ai expliqué qu'un génie comptable avait du calculer que si l'on multiplie le nombre de croix par le nombre de cartes d'embarquement imprimées, à la fin de l'année, l'économie réalisée est plus que substantielle. Pour le reste, bienvenu dans le magnifique monde d'Alitalia. Les personnels sont discrets, leurs interactions avec les passagers inexistants pour bien des cas comme ça, le jour où la compagnie disparaîtra, ils ne nous manqueront pas. C'est qu'on pourrait s'affectionner! Presta à bord à l'image de celle de mes vols Palerme sauf qu'au moins, il y avait des sourires. D'aucuns soupçonnent toutefois une manœuvre consistant à leurrer les spectateurs pendant que le management procède à une restructuration interne profonde tout en invoquant un risque de faillite. Merci pour le bonus. À bientôt!
Ces Avanti appartiennent à des institutions gouvernementales (armée de l’air, douanes, etc.) qui n’aiment guère les photographes et les intrus. Cette clôture était déjà mieux qu’un mur opaque. Excellente, l’hypothèse de l’économie de l’encre sur le BP ! :) L’Italie ne fait pas partie de mes destinations courantes ; aéronautiquement, je ne le regrette pas. Merci pour le commentaire !
Merci Marathon pour ce FR hors de tes sentiers suédois battus et pour ces images très intéressantes des Piaggio Avanti. Pour avoir eu la chance de voler une fois à bord de ce type d'avion (avec la Pan Européenne, sur les terres de Chevelan) je dois dire que son ramage se rapporte à son plumage : aussi insolite dedans que dehors. A bientôt.
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18 Commentaires
Soupe à la grimace all italiana. Dommage mais guère étonnant. L'agonie d'AZ n'en finit pas.
Joli backtracking qui souligne le problème de FCO en tant que hub européen : sa position. Alors qu'elle fait complètement sens en tant que hub national.
A bord, le confort est standard. Le catering vraiment limité c'est un vol domestique où la concurrence low cost est féroce.
On se consolera avec le segment addtionnel.
Ce qui fait souvent la différence dans une court vol intérieur européen, c’est l’accueil des PNC, qui justement n’était pas à la hauteur. Ce n’est pas cette expérience qui me fera choisir AZ dans une course aux segments.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce nouveau FR.
L aéroport de genes semble assez triste , tout autant. Que le ton de ce vol ou les pncs sont sinistre , même si ca va mal un petit sourire pourrais permettre de garder les clients!
Dommage pour les photos de la rivierzma italienne Catering minimum , prestation donc myenne.
Merci pour le commentaire !
Great spotting shots at Genoa with lots of interesting aircraft.
Interesting cabin calculations as always :).
Excellent aerial shots with the sun setting.
Have a good one, see you!
I wish it had been less hazy, but it was great to see the airport and the city.
Thanks for the comment !
C'est clair, AZ ne fait plus du tout rêver et va finir, au mieux, comme EN, une sorte de "low-cost".
"Non, LH ne dessert pas Monaco où je n’ai connaissance que d’un héliport, mais Munich." Tout à fait d'accord avec vous. D'autant plus que les hélicoptères d'Héli Air Monaco ou de Monacair ne desservent même pas Gênes.
A bientôt :)
Merci pour le commentaire !
AZ semble avoir du mal effectivement, j'avais entendu que c'était une question de mois avant de devoir vivre à crédit...
Confort standard, avec ces mesures toujours aussi précises ^^
Enfin, ces PNC peu souriant(e)s ne sont pas très plaisants : j'aime à dire que les PNC font passer un bon vol en général s'ils sont souriants et bons.
Je vais lire la suite !
Merci pour le commentaire !
Que se soit Alitalia ou leur Filliale Cityliner en ce qui me concerne, je vous conseille de ne plus les prendre !
TRAVELULYSS
Merci pour le commentaire !
Pour le reste, bienvenu dans le magnifique monde d'Alitalia. Les personnels sont discrets, leurs interactions avec les passagers inexistants pour bien des cas comme ça, le jour où la compagnie disparaîtra, ils ne nous manqueront pas. C'est qu'on pourrait s'affectionner! Presta à bord à l'image de celle de mes vols Palerme sauf qu'au moins, il y avait des sourires. D'aucuns soupçonnent toutefois une manœuvre consistant à leurrer les spectateurs pendant que le management procède à une restructuration interne profonde tout en invoquant un risque de faillite. Merci pour le bonus.
À bientôt!
Excellente, l’hypothèse de l’économie de l’encre sur le BP ! :)
L’Italie ne fait pas partie de mes destinations courantes ; aéronautiquement, je ne le regrette pas.
Merci pour le commentaire !
Merci pour le commentaire !
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