Avis du vol entre Stockholm et Paris en classe Economique avec Air France

Ce soir, je voyage léger (comprendre : avec uniquement mon sac à dos pour PC), et le siège 7A que j’ai eu avant H-30h, donc uniquement dans la zone Skypriority de l’avion, me convient. Avec une valise, j’aurais certainement choisi un siège à l’arrière. On notera que c’est un A321 et qu’il n’y a que deux rangs de J : avec les beaux jours, la clientèle s’accroit et devient principalement « loisirs ».

Trajet banal en Arlanda Express depuis le centre-ville

Et je commence tout aussi banalement par du spotting landside depuis le terminal 3. Au menu en cette fin d’après-midi, deux Bae ATP Nextjet et un ATR72 SAS dont l’embarquement vient de s’achever, côté nord

Côté sud, un autre ATR72 SAS

Et un Saab 340 Nextjet

Arrivée d’un autre Saab 340 Nextjet

Les fenêtres rondes à l’extrémité du corridor landside du Terminal 3 permettent de varier la vue vers le sud

Au fond, ce sont les habituels 757 DHL en zone de fret

Et le guère moins habituel 757 UPS (photographié ici plus tard)

Revenons côté nord, donnant sur la face sud du Terminal 4, généralement utilisée par des 737 SAS et Norwegian Air Shuttle : ici des 737-700 SK

Et un 737-800 DY

Ils vont et viennent ; inutile de constituer une phototèque des appareils qui se succèdent au sol et au décollage. C’est la piste 19R qui est utilisée pour les décollages, ce qui n’incite pas à s’attarder (l’éclairage est beaucoup plus favorable en fin de journée quand ce sont des atterrissages piste 01L)

Ce n’est pas une raison pour ne pas immortaliser le roulage et l’envol de ce C-130 suédois, déjà vu à ARN.

Au Terminal 2, KLM est venu avec un 737-900 en livrée Skyteam (et BA avec un 767 comme d’habitude)

C’est tout pour aujourd’hui, direction le terminal 2 où quelques personnes attendent landside des PAX.

Le vol AF1062 est prévu à l’heure, ce qui est de bon augure pour le mien.

Il n’y a pas foule, pas de changement à ce sujet

Ces chariots à bagages masquent le fait que la queue était négligeable à l’accès au PIF

Ce qui rendait tout aussi négligeable l’avantage procuré par l’accès Skypriority. Cet avantage a même été négatif, car il donne accès à la file de gauche du PIF, où je me suis trouvé derrière un PAX manifestement porteur d’un stimulateur cardiaque, que l’on a donc fait contourner le portail de détection de métal avant de le palper longuement, retardant d’autant le passage du non-porteur de stimulateur cardiaque que je suis, alors que le flux était normal côté droit.
(Je ne parle ici que d’une poignée de minutes : il n’y avait pas de quoi fouetter un chat)

Airside, je constate que l’embarquement est terminé pour le 739 KLM

Ce qui fait qu’il n’y a pas de queue devant la boutique duty-free en face de la sortie du PIF.

Il y avait du saumon fumé, mais il était convenu cette fois-ci que je n’en rapporterai pas. En revanche, justifiant ainsi le terme de breadwinner (ou plutôt de breadbuyer, car Mme n’est pas « au foyer » parisien et encore moins stockholmois) , il était aussi convenu que je rapporte du pain suédois qui a supplanté la baguette française dans le sus-mentionné foyer parisien. Je l’avais cependant acheté dans mon épicerie de quartier où il est beaucoup moins cher et ne pose aucun problème de conservation.

Cette photo est destinée à montrer d’une part que le terminal est assez vide airside, et d’autre part que les Suédois n’ont pas d’état d’âme à autoriser le port du hijab par une employée au contact du public.

Le 767 BA est au contact à une porte ne facilitant pas la photographie.

J’ai sous-exposé cette photo pour faire apparaître la livrée de ce CRJ-1000 Croatia Airlines

Ayant épuisé les joies (toujours assez limitées) du spotting airside, je passe à l’étage

Direction le salon Aurore (le seul du Terminal 2)

J’ai été médisant dans mon précédent FR : ce salon ouvre suffisamment tôt pour permettre d’y prendre un bol de muesli avant d’embarquer sur le vol AF1463, avec un horaire qui pique salement les yeux à 6h30.

En face de l’accueil, le présentoir de journaux rangés par pays

Le Monde et le Figaro pour la France

Il y a aussi des magazines disposés sur deux crédences, mais je n’en ai photographié qu’une ; l’autre est plutôt orientée newsmagazines.

Il n’y a pas beaucoup de monde, mais il ne faut quand même pas espérer avoir une table pour soi tout seul ; je trouve très inconfortables les tabourets de bar que j’ai essayés et rapidement abandonnés.

Le salon est suffisamment calme pour faire un somme sur un canapé, après avoir s’être déchaussé comme tout Extrême Oriental qui se respecte.

Cette fois-ci, l’heure de la fin du buffet froid sonne plus tard que d’habitude, et il y a encore des plats chauds : lasagnes, cubes de pommes de terre rissolées, boulettes de viande (ces deux derniers sont des plats de base de l’alimentation suédoise).

Il ya aussi un assortiment de viande froide et du fromage de base

Ainsi que des légumes pour salade

Ce n’est pas le jour pour être allergique (cela tombe bien, je suis plutôt diabétique cette semaine^^), car il n’y a pas de pain sans gluten

Pour raison professionnelle, j’ai déjeuné à une heure que même un Espagnol aurait jugé un peu tardive (mais un peu précoce pour un dîner suédois) et je n’ai vraiment pas faim. Pour les boissons, je m’en tiens au duo jus d’airelles et café.

J’ai découvert qu’il y a une deuxième machine à café au fond du salon – les Suédois ont la médaille d’argent de consommation de café par habitant, loin cependant derrière les Finlandais qui ne sont pas près de perdre leur médaille d’or.

Le salon a des baies vitrées qui donnent d’un côté sur l’accès au PIF : il n’y a toujours pas grand monde, mais plus beaucoup de vols au départ de ce terminal non plus.

A ce sujet, il est temps de descendre à la porte où l’A321 AF est arrivé (en arrière-plan, un énième 738 DY s’éloigne).

Tout ça pour l’accès Skypriority ?

Non, il y a en fait deux queues parallèles. C’est beaucoup plus raisonnable pour l’accès SP.

L’embarquement tarde un peu, en raison de la prise en charge préalable d’un PMR en fauteuil roulant. En attendant, comme je me suis mis prématurément dans la queue au lieu d’attendre qu’elle commence à bouger, je télécharge de la presse sur l’application d’AF qui offre des titres adaptés à sa clientèle. Je n’ai pas pris le temps d’en lire dans l’avion, mais le lendemain du vol, c’est beaucoup plus intéressant qu’un Paris Match millésimé juin 2016 disponible chez mon coiffeur (remarquez, AF permet aussi de télécharger le Paris Match de la semaine, si vous trouvez que vous valez mieux que 中国新闻周刊)

Bon, en fait, il y aussi ceci.

Vus depuis la passerelle, un vrombissant Saab 340 Nextjet

Et un beaucoup plus silencieux, car moteurs arrêtés, ATR72 Danish Air Transport

Fuselage shot

Les pleins sont en cours

L’instant porte pour le Père Fouettard (insider joke)

Et arrivée à ma place, décalée par rapport aux hublots qui en revanche sont propres.

Test Marathon : pas impeccable, mais acceptable en 7B

Test Horatius : échec en 7B, avec ce sachet de sucre oublié dans l’aumônière

C’est un A321 rénové ; je me demande combien de PAX connaissent l’existence de cette prise USB à l’extrémité de l’accoudoir

Car le pitch serré n’offre guère de recul pour regarder ainsi l’accoudoir (mesure depuis l’aumônière)

Voici ce que cela donne entre l’aumônière et le fond du siège.

Deux rangs de J seulement : c’était prévu

Repoussage à l’heure

Un Bae ATP Nextjet stationné au large

PNC, préparez-vous pour le décollage

Derrière, je ne sais pas comment ça se dit en finnois

Puis en suédois ou danois

Et enfin en norvégien

Début de la prise d’élan : appareils Eurowings et SAS

Un A321 Swiss, devant un 738 DY et un appareil Blu Panorama

Vue générale des terminaux 4 à gauche et 3 à droite

Le terminal 3 (raccordé par le « corridor de spotting ») à gauche et le terminal 2 à droite
Au premier plan, un 738 DY

Il n’y a plus qu’un Airbus Air Berlin pour TXL au contact du Terminal 2, à la porte 68 tout au bout

La zone de fret avec ses trois 757. Au fond, la piste 01R/19L

Zoom sur la piste 01R/19L, les parkings long terme et au premier plan à gauche le 747-200 transformé en hôtel

C’est un A32x Aeroflot qui vient d’atterrir piste 01R

On s’éloigne : ARN est largement entouré de forêts

Mauvaise nouvelle n°1 : PAX6A est un envahisseur, en inclinant son dossier

Mauvaise nouvelle n°2 : PAX6B est un envahisseur, en squattant largement l’accoudoir commun. On verra cependant par la suite que ce désagrément ne sera que temporaire.

L’autoroute E4 vers Stockholm

Le château de Rosersberg, résidence privée de la famille royale

Stockholm au loin

En zoomant (ou en regardant bien), on peut voir des structures intéressantes

A commencer bien sûr par BMA, l’aéroport historique de la ville, aujourd’hui presque uniquement domestique faute de pouvoir allonger la piste. Les aficionados reconnaitront le Globe Ericsson (une salle polyvalente) à la limite supérieure de la photo, et dans le coin supérieur droit l’arc du viaduc ferroviaire des voies en provenance de Stockholm Sud.

Södertälje sur un étroit fjord raccordant le lac Mälaren à la mer, franchi par un pont par l’autoroute E20.
(Jusqu’ici, ce sont des photos non retouchées ; le manque de lumière et le filtre bleu massif que constituent dix kilomètres d’air nécessitent en croisière un traitement d’image plus ou moins puissant pour les rendre lisibles)

Pour cet aller-retour, c’est le menu pour PAX diabétiques (curieusement appelé « menu diabétique ») que j’ai choisi.On voit tout de suite que la quantité de nourriture n’est pas plus généreuse que dans le cas du plateau normal, de même taille et encombré de la même bouteille d’eau.

Ce menu diabétique n’est pas inspiré, avec une insipide volaille trop sèche (du poulet ou de la dinde ?) accompagnée de riz et de brocolis. Je n’ai jamais mangé aussi souvent de brocoli que depuis que c’est AF qui me nourrit deux fois par semaine : c’est un légume bon marché qui est très facile à manger avec une fourchette en plastique, même en cas de turbulences. Avec cela, il y a quatre crackers que je connais déjà pour être beaucoup trop salés pour moi (mais il y a un sachet de sel et un autre de poivre si ça ne suffisait pas), et deux tranches de pain noir que j’apprécie, sur lesquels il est possible d’étaler une portion de fromage fondu et 8 grammes de margarine. S’ajoute à ce menu pour diabétiques un sachet standard de sucre (hum…) et un rectangle non moins standard de chocolat à 70% de cacao, donc 30% de sucre (re-hum…).

Le diabète m’a beaucoup déçu sur ce trajet retour, alors que c’était un bon plan à l’aller. Qui plus est, ma belle-famille qui s’est convertie depuis longtemps semble devoir suivre des rites médicaux assez contraignants et peu vendeurs.
Pendant mon repas, et donc bien avant celui des autres PAX, il y a eu une annonce de turbulences (purement théoriques ; je n’ai rien senti) : PAX7B qui s’était assoupi se réveille et fait signe à PAX7C de relever sa tablette, montrant son inexpérience du voyage aérien. PAX7C lui fait comprendre que l’annonce standard ne demandait rien de tel et n’a pas obtempéré.

Ranger tout les emballages (et aussi les quatre crackers) dans la barquette qui fut chaude était facile. Le chocolat a très longtemps attendu le café qui n’est arrivé qu’avec le service normal, à peu près vingt-cinq minutes après le plateau… et avec un plateau ordinaire, car ce n'était pas la même PNC, et le fait que j'ai déjà reçu mangé et rangé un menu spécial lui a totalement échappé :)
J'en connais qui auraient mangé un deuxième repas sans vergogne, mais je n'ai décidément pas très faim ce soir.

Cela faisait longtemps que ces emballages avaient rejoint l’aumônière, et je commençais à avoir assez soif (j’ai demandé aussi un verre de jus de pomme).

Ce menu spécial a beaucoup intrigué mon voisin : cela a été l’occasion de rompre la glace avec lui. Oui, ce gentleman qui avait une génération de plus que moi était totalement novice en voyage aérien, mais il n’en avait pas moins une conversation intéressante, avec une vision certes un peu passéiste du monde d’aujourd’hui, mais exprimée de manière courtoise et ouverte aux échanges de vues.
Ma photographite aiguë l’a aussi intrigué (d’autant que depuis le siège milieu au crépuscule, on ne distingue vraiment rien du paysage que je vais vous détailler, après le passage d’un A321 Finnair en sens opposé : c’est le vol AY874 (CDG-HEL), assuré par OH-LZD (merci Flightradar24). La meilleure explication que je lui ai donnée, ce qu’identifier des amers au cours de vols extrêmement répétitifs est une manière de passer le temps. Photographier le paysage ou en profiter mieux en le regardant ? le débat est resté ouvert, mais je trouve que j’en profite mieux en le connaissant de mieux en mieux grâce aux photos prises de vol en vol.

La couverture nuageuse est continue sur la Suède, et se dégage pour révéler le pont du Grand Belt entre les îles Seeland (à gauche = à l’est) et Fionie (à droite = à l’ouest) .

L’ouvrage commence côté Fionie par un pont mixte routier – ferroviaire, jusqu’à l’îlot de Sprogø

Et se poursuit par un pont routier suspendu, le troisième plus long du monde, avec un très généreux tirant d’air de 65 mètres pour ne pas créer d’obstacle à la navigation : il s’agissait notamment de ne pas créer d’obstacle au remorquage des plate-formes d’exploitation pétrolières dont les chantiers navals finlandais se sont fait une spécialité.

Les trains supportant beaucoup moins bien que les véhicules routiers les oscillations et vibrations d’un pont suspendu, c’est par un tunnel que les voies ferrées rejoignent Korsør.

Les installations pétrolières de Cuxhaven, au bout de l’estuaire de l’Elbe

La centrale électrique au gaz de Meppen-Hüntel, désaffectée depuis l’an 2000. La tour de refroidissement de 13 mètre de haut a été ornée en 1994 d’une fresque représentant la carte du monde : elle serait la plus grande du monde selon le livre Guiness des records.

La frontière entre l’Allemagne (à droite) et les Pays-Bas (à gauche) suit ici le cours du Rhin sur environ 5 kilomètres, depuis les deux nuages jusqu’en haut de la photo.

A peine plus loin, le dernier pont allemand sur le Rhin avant qu’il n’entre aux Pays Bas, et la petite ville d’Emmerich am Rhein

Deux centrales électriques au charbon au loin au bord du Rhin :

La centrale de Duisburg-Walsum

Et la centrale de Voerde

A deux pas de la frontière germano-néerlandaise, un méandre raccourci sur la Meuse, traversé par l’autoroute A77, entre les communes de Beugen et Heijen

L’ancienne base aérienne De Peel (EHDP), qui n’a quasiment jamais eu d’activité aérienne : elle a été construite à l’origine comme base de secours de l’OTAN. Elle a été transférée en 1993 à l’armée de terre, et l’une des pistes a été conservée comme base civile de planeurs.

Quasiment à l’extrémité sud-est des Pays-Bas, la centrale au gaz de Claus, au centre de cette photo

L’aéroport de Kempen (EHPD), le plus actif d’aviation générale des Pays-Bas, tout particulièrement utilisé par l’aviation d’affaires, en raison de sa proximité avec Eindhoven

Juste de l’autre côté de la frontière, la base aérienne belge de Kleine Brogel (EBBL)

La ville belge de Hasselt, à 25 km au nord-ouest de Maastricht

Rien à faire, je n’ai pas identifié ces trois tours de refroidissement, au loin à peu près plein est de Hasselt

L’instant BESMRS est cette fois-ci consacré à ce TGV circulant en UM (non, ça ne veut pas dire Unaccompanied Minor !) en direction de Paris sur la LGV Est, juste après avoir croisé la ligne classique à Ocquerre.

Mary sur Marne, et sablières dans la boucle de la Marne sur la rive opposée

Éclairage de soleil couchant sur le réacteur gauche

Il y a du monde qui se croise en altitude au-dessus de l’Ile de France

Meaux, dans un méandre de la Marne

Un A319 AF en descente parallèle vers le doublet sud de CDG : c’est le vol AF7715 NCE-CDG, assuré par F-GRXK

La petite commune de Juilly

Le Collège de Juilly, internat allant du primaire au lycée, a fonctionné presque sans interruption de sa création en 1638 jusqu’à sa fermeture apparemment définitive, pour raisons financières, en 2012.

CDG2 en vue : les halls M et L du Terminal 2E, et les deux jetées du Terminal 2F, facilement repérées par les projecteurs éclairant le tarmac

Le village du Mesnil Amelot, enserré entre le périmètre de l’aéroport et des zones d’activités qui en dépendent.

Le double taxiway entre le Terminal 2F au fond et le doublet nord sur lequel atterrit l’avion

Les halls M et L du Terminal 2E

Un 777 China Eastern roule vers la piste 27L

Touché assez doux piste 27R

OK, ce n’est pas parfaitement cadré et c’est assez flou, mais qu’espériez vous de la photo de la rotation d’un appareil, prise depuis un appareil en fin de freinage, alors qu’il est presque dix heures du soir ?

777 Pakistan International Airlines assurant la liaison CDG-LHE via BCN, et A32x Wow Air qui repartira à KEF.

A320 Lufthansa, assez flou parce que l’avion roule un peu vite dans une lumière décroissante

Deux A310 de l’armée de l’air

777-300ER TAM, devenue LATAM

L’éclairage tricolore du Terminal 1 est encore discret avec cette lumière ambiante

Les voies et la station du CDG-Val au Terminal 1

A320 Aer Lingus au contact

Un 737 Egyptair

La crise diplomatique entre l’Arabie Saoudite et le Qatar n’impose pas un détour significatif à cet appareil qui passera par l’espace aérien iranien avant d’atteindre DOH.

737-800 Smartwings, A320 Vueling et A320 Nouvelair stationnés au large

Cet oiseau de légende est définitivement figé au décollage

Dernier virage, avec un A318 AF au contact en face à la jetée F2

Ponctualité irréprochable à l’arrivée au bloc

Les valises seront livrées au tapis 23

… mais elle ne sont évidemment pas encore là quand j’arrive en salle de livraison

Par ici la sortie de cette immense salle où l’on accède par une extrémité ou l’autre, suivant la jetée où l’avion est arrivé au contact.

Un peu d’attente à la station de taxis, faute de taxis, mais aucun rabatteur pour des concurrents travaillant aux marges de la légalité, voire franchement en dehors de celle-ci.

La luminosité est un peu juste pour cela, mais elle me permet quand même d’immortaliser depuis le taxi le bâtiment en amande du Sheraton, coincé en plein milieu de CDG2 : il faut être à l’heure et au solstice d’été pour pouvoir prendre cette photo à l’arrivée du vol AF1063.

Merci de m'avoir lu !