Avis du vol Air France Paris → Stockholm en classe Economique

J’ai choisi à l’avance le siège 6A, et à l’OLCI, c’est le seul qui peut me convenir, les hublots étant mal alignés aux rangs 5 et 7 dans les A32x d’AF. Et bien sûr, c’est du côté gauche qu’il faut être dans ce vol pour éviter le contre-jour.

Ce 17 juillet, la période des vacances estivales a bel et bien commencé, et la circulation est fluide pour Paris… pour tomber sur un bouchon à partir de la bretelle d’accès vers CDG. Les premiers concepteurs de CDG n’ont pas dimensionné les accès routiers pour les besoins à long terme, ni envisagé initialement une desserte ferroviaire, mais c’est celle-ci qui roule le mieux à partir de là.

Le chauffeur de taxi a beau contourner CDG-2 par le nord, en prenant la direction du 2G, il n’arrive pas plus rapidement au 2F qu’en temps normal.

Il n’y a cependant pas foule au 2F

Le vol AF1262 est annoncé à l’heure, une promesse qui n’engage à rien

Les bornes à l’extérieur du dépose-bagages Skypriority sont de couleur rouge : le statut d’élite commence là, même si n’importe quel PAX peut les utiliser.

Exceptionnellement, j’ai une valise à enregistrer en soute, moins en raison de son poids qu’à cause de son contenu, l’éthanol dilué à 12% en solution acqueuse étant bien trop dangereux pour être transporté en cabine

L’employée propose de m’éditer un BP papier, ostensiblement pour pouvoir y coller au dos le talon de l’étiquette bagage, à moins qu’il ne s’agisse pour elle de pouvoir griffonner dessus (un tic des agents d’enregistrement du monde entier), ce que mon BP sur smartphone ne permet pas de faire.

Le passage du PIF est plus lent que d’habitude, car c’est une clientèle certes Skypriority, mais néanmoins familiale, avec doudous et peluches encombrants. Qui plus est, l’employée à l’écran de contrôle de ma file quitte son poste de travail sans prévenir, et c’est quand la queue qui s’est immobilisée s’allonge en amont que le personnel s’inquiète de la chose et s’interpelle à très haute voix pour savoir qui doit prendre le tour. Ce n’est pas une perte de temps importante, mais ça ne fait pas très professionnel.

Un A321 AF en livrée Skyteam dont je reparlerai

Les bacs à journaux offerts par AF sont correctement approvisionnés

Ceci n’est pas la queue pour entrer au salon indiqué par le panneau à droite, mais pour embarquer porte 48, rendant difficile l’accès au salon.

Enjoy a drink ? Je voudrais bien, mais ce jour-ci, à Paris, on vit beaucoup plus d’amour que d’eau fraîche : cette fontaine n’a pas été réparée depuis la semaine dernière.

Il ya un complément de journaux ici pour ceux qui ont réussi à atteindre les escaliers mécaniques à l’extrémité de la jetée qui donnent accès au salon. (Il y a des travaux au niveau inférieur qui bloquent la circulation des PAX au niveau inférieur. Normalement, on ne devrait pas avoir à passer par là, ni à faire tout un périple pour atteindre les WC publics comme je l’ai décrit dans ce FR.

Accueil courtois de la borne, en suédois pour me mettre dans l’ambiance à destination

Le chariot de vaisselle sale, incontournable signalétique de l’escalier vers le niveau inférieur

Ce n’est pas bondé au niveau inférieur

Mais le buffet, lui n’est pas bondé du tout de nourriture.

Je suis probablement arrivé précisément au mauvais moment, mais je n’ai pas envie d’attendre à jeun sans savoir combien de temps.

Retour donc au niveau principal où c’est un peu plus garni

Je ne suis pas venu ici pour des prunes

Mais aussi pour du muesli qui cette fois-ci n’est pas caché

En revanche, je ne m’intéresse pas à ces crackers que je soupçonne être trop salés

Ni à ces confitures que la législation en vigueur impose pour qu’elles aient le droit de s’appeler ainsi d’être trop sucrées à mon goût

Voici en conséquence ma sélection

Un bref aperçu des lieux recto

Et verso

Les fauteuils, inadaptés à la consommation de nourriture

La jetée 2, c’est celle qui est la plus spotter friendly, et je ne reste pas au salon jusqu’à l’annonce de l’embarquement. Le point stratégique, c’est l’extrémité de la jetée, qui cette fois-ci n’est pas bondée

Mais ne vous laissez pas abuser par cette photo

En vrai, on voit surtout la crasse qui n’est jamais nettoyée sur les vitres d’extrémité, comme si ça faisait partie de l’image de marque du Terminal 2F.

Une mise au point à l’infini est assez efficace pour nettoyer les vitres quand on peut s’en approcher pour photographier un 318 AF (mais regardez le ciel : il y a des nuages gris de formes un peu étranges)

Un A320 Air Serbia

A320 Easyjet

738 KLM en livrée rétro

Arrivée à la porte 47 pour l’embarquement

La chasse aux bagages à main à mettre en soute a été bonne

Le retrojet KLM au contact (remarquez que les vitres sont plus propres sur les côtés de la jetée – je les ai vues être nettoyées, l’employé prenant soin de ne respecter la patine des vitres d’extrémité).

L’A321 AF en livrée Skyteam de face

… de trois quarts

… et vous n’aurez pas la photo de profil. Car quand je l’ai pris, je n’ai pas particulièrement prêté attention à un « Monsieur, Monsieur… ! » répétitif. Je pensais qu’on hélait quelqu’un n’ayant pas vu qu’il avait laissé tomber un objet par terre.

Long story made short, à peine plus longue que ça d’ailleurs, il y avaient trois policiers à la porte de l’avion, et c’est moi que l’un d’eux interpelait : “les photos sont interdites ici!”. J’ai immédiatement effacé la dernière photo, sans montrer mon appareil et sans surtout chercher à contester l’intérêt de cette interdiction : je ne tenais pas du tout à ce que ce policier vérifie mon appareil et me fasse effacer tout mon spotting. Il n’était d’ailleurs pas du tout agressif ; il était même au contraire aussi souriant et sympathique qu’il est possible de l’être : en quelques phrases échangées avec le sourire, lui comme moi étions d’accord : nous n’étions pas là pour discuter des règlements ni pour nous pourrir la vie mutuellement.

Que faisaient là ces policiers ? Ils ont quitté la passerelle par l’escalier vers le tarmac à la fin de l’embarquement, mais sont restés en faction dans leur voiture banalisée précisément jusqu’à ce que l’avion commence à repousser. Comme ils ne contrôlaient pas les PAX embarquant (à part les malchanceux amateurs de photos de sites stratégiques), je suppose qu’ils avaient discrètement fait embarquer un quidam par ce même escalier et qu’ils étaient restés jusqu’à ce qu’ils aient l’assurance qu’il n’en sortirait pas avant le décollage. En d’autres termes, une discrète reconduite aux frontières, un peu inattendue quand il s’agit d’un vol vers la Suède.

La photo ci-dessus a été prise bien sûr de ce hublot qui est bien aligné (c’était prévu) et propre (ce n’était pas garanti).

La moquette et l’aumônière sont elles aussi propres, mais c’est moins crucial

La clientèle de ce vol du lundi matin a changé du tout au tout : une clientèle manifestement « vacances », âgée pour ce qui est des Français (des retraités), jeune pour les Suédois (des adolescents avec leurs parents).

Mme 7B : J’ai dû demandé à la dame où était mon siège parce que sans mes lunettes, je n’y vois rien, je vois le numéro 78, mais ça ne devait pas être ça.
Mme 7A : Ah non, il n’y a pas de numéro 78 dans un avion. Ça va au maximum jusqu’à 30 dans les plus gros.

Remarquez, dans un A320 comme celui-ci, les numéros de rang s’arrêtent à 30, et elle n’avait pas tout faux, car même s’il y a plus de 30 rangs dans les nombreux appareils d’AF plus gros que l’A320, il n’y a pas plus de rang 78 que de rang 13 dans un avion d’AF : dans ses A380, la numérotation saute du rang 73 en J à 81 en Y+ juste après.

Annonce du CdB :
Attente d’une dizaine de minutes pour respecter le créneau de décollage qui nous est imposé. A l’arrivée, le temps est nuageux, avec une température de 15°C.
Il annonce aussi un temps de vol de 2 heures : il doit y avoir un assez fort vent favorable.

(Les policiers attendent patiemment dans leur voiture, vitres ouvertes parce qu’il fait plus chaud à CDG qu’à ARN)

On finit donc par repousser : le très sensible A321 en livrée Skyteam a disparu, mais à défaut, je peut proposer ce 737 Air Europa qui me propose de sentir la différence avec les photophobes forces de l’ordre de CDG. (Le retrojet KLM est toujours là, mais l’angle de vue n’a guère changé)

La brochette multicolore des appareils au contact au Terminal 2D : Air Serbia, Easy Jet, Bulgaria Air, Air Malta, Air Baltic, Austrian Airlines et Finnair, avec pour faire un bon poids F-GSPR, un 777-200ER AF en provenance de HAV, en train d’atterrir en arrière-plan sur le doublet sud.

La jetée 1 du Terminal 2F

L’extrémité de la jetée, dont je trouve l’esthétique très « science-fiction des années 70 »

La toiture de la gare TGV et RER : il n’y avait pas de budget ici pour faire de la recherche architecturale, rétro ou non.

757-200 Delta Airlines

CRJ-900LR Adria Airways

L’accès routier au Terminal 2 s’est dégagé : c’est plutôt dans le sens des départs que c’est encombré maintenant

A320 Nouvelair

A330-200 Air China, en livrée Star Alliance, au contact

A330-200 Air China, en livrée ordinaire, au contact

Et A330-200 Air China, en livrée ordinaire, au large

A340 et A310 de l’armée française à leur parking habituel, et 767 United

757-200 La Compagnie

La photo est médiocre (plus médiocre que les autres ?^^), mais cet A340 Mahan Air qui finit d’atterrir est moins banal que les autres appareils visibles ce jour-ci

On suit un A319 tchèque

Cet avion ne décollera plus

A380 Singapore Airlines, habituel à cette heure là

737-700 SAS

A321 Swiss

777-300ER Eva Air, en livrée Sanryo Family

Ceci n’est pas une allégorie des relations germano-turques actuelles (A320 Lufthansa et A330-300 Turkish Airlines)

L’autre A380 habituel au Terminal 1 à cette heure ci (Thai Airways)

Le 767 United déjà aperçu

Au loin (en zone de maintenance ?), 777 Air Austral et A340 Air France

Encore plus loin, A320 aux couleurs d’Aéroport de Paris, utilisé pour la formation du personnel

Le trafic sur le doublet nord est une succession d’atterrissage piste 09L et de décollage piste 09R

Arrivée d’un E-175 Belavia

Départ d’un Dash 8 Luxair

Arrivée d’un 737-700 SAS en provenance d’OSL

Départ d’un A321 Lufthansa vers FRA

Arrivée d’un A320 Nouvelair

Départ d’un A320 Vueling vers CPH

Cet E-175 Flybe rompt l’alternance entre arrivées et départs

Arrivée d’un 757-200 United en provenance d’EWR

Le cabrage de l’appareil avant le toucher et la forme des winglets m’évoquent un oiseau en train de se poser.

Voici l’oiseau posé au sol

Comme vous l’avez deviné, le 757 attendait que nous ayons décollé pour franchir la piste 09R/27L. Virage vers le nord, permettant de voir CDG en arrière

La Mer de Sable et l’abbaye de Chaalis
(Pour tout ce qui suit, mes lecteurs feront facilement la différence entre les quelques photos brutes et les autres dont j’ai renforcé le contraste,comme celle-ci)

Les nuages masquent une grande partie du paysage pendant ce vol. On fait donc l’impasse sur le nord de la France pour passer directement en Belgique avec, dans une trouée, la base aérienne belge d’Ursel (EBUL),

Goes

Traversées par la N257, des écluses aux allures de gerridé

Les immenses installations portuaire de Rotterdam, à l’embouchure de la Meuse

Le centre de Rotterdam

Et en haut de la photo ci-dessus, l’aéroport de Rotterdam (RTM), que je vois correctement pour la première fois

L’ancienne base aérienne de Valkenburg (LID), qui disparait peu à peu du paysage

Voici la même, deux mois plus tôt

AMS

Zoom sur les terminaux entourés de pistes d’atterrissage

Il faut profiter rapidement de la vue sur le centre historique d’Amsterdam : la couverture nuageuse se referme

La route aérienne choisie est nettement plus au nord que d’habitude, ce qui offre une bonne vue de Borkum, la plus à l’ouest des îles allemandes de la Frise

L’aéroport de Borkum (BKM)

On passe tellement près de Juist qu’il est impossible de voir cette longue île d’un coup en entier.

La très modeste agglomération se trouve au centre de l’île

L’aéroport (JUI) se trouve vers l’extrémité est.

Début du service derrière le rideau

C’est un menu standard qui m’est déposé alors que je croyais avoir commandé un menu sans allergènes pour cet aller-retour ? (C’est du connu sur ce vol, puisque je l’ai déjà décrit dans ce FR, mais AF avait oublié de le charger pour le vol de retour décrit dans cet autre FR, et dans un souci d’exhaustivité, il me semblait nécessaire de faire un nouvel essai).

Je demande (courtoisement) des explications à la PNC qui vérifie la PIL sur sa tablette et me dit que non, il n’y a rien à mon sujet. J’ai admiré le tact avec lequel elle a suggéré que je pourrais avoir oublié de valider ma commande sur internet. Après avoir clarifié que je n’ai aucune allergie, mais simplement envie de rompre la monotonie des repas standard dans ce vol hebdomadaire, j’en reste là dans ce vol.

Mais sitôt rentré, je constate sur le site d’AF que je ne peux pas commander de menu spécial pour le retour. Qu’à cela ne tienne, j’envoie un message demandant s’il est possible de me le réserver. Réponse rapide et étonnante : ce menu n’est pas disponible sur cette ligne ! (alors que j’en ai eu un, cf. le FR déjà référencé). L’employée me propose à la place un menu végétarien (Ce n’est pas du tout la même chose, car justement, il y a beaucoup de végétaux allergènes) et tant qu’à faire, je demande un menu végétarien sans œuf ni produits laitiers, non que j’y sois allergique, mais parce que celui-ci dans sa version dîner manquait à ma collection.

Reste l’énigme sur cette commande : l’avais-je effectivement oubliée ou pas validée, ou aurait-elle été annulée sans crier gare par AF faute de disponibilité ? C'est plusieurs jours après le vol, en m'enregistrant pour le vol de retour, que j'ai découvert cet avis sur la page d'AF consacrée à ma réservation. Je n'ai reçu aucun courriel ni SMS, ce que je trouve assez moyen, car dans l'avion, l'impression ressentie était que j'avais commis une erreur ou un oubli et que je n'avais qu'à m'en prendre qu'à moi-même.


En attendant, il ne faut pas se laisser abattre, et voici ce menu déballé

Je ne suis pas allergique au céleri ; je ne l’aime pas mais je n’en ai pas explicitement décelé le goût dans ce Poulet au pesto rosso et risotto affiché contenir du lait et du céleri. En revanche, je n’aime guère le pesto et je n’ai pas aimé ce plat.

Tout ceci se compacte facilement (y compris le gobelet de carton), et avec tout cela, je n’ai pas besoin de le glisser dans l’aumônière avant le débarrassage.

On arrive en effet aux îles de la Frise du Nord, avec Amrum

La trajectoire étant favorable, je croyais avoir mes chances pour une photo de Sylt, mais ces nuages épars n’aident pas

Au moins, j’aurai eu (tout juste !) une vue de son aéroport (GWT)

L’île Samsø (Danemark)

La côte suédoise approche, et avec elle une couverture nuageuse dissuasive

Veka, au centre de la photo. Il y a trop de nuages pour espérer voir Halmstad et son aéroport, vers la limite supérieure de la photo.

C’est un bon exemple de météo où la petite ville de Nässjo fournit un bon point de repère pour savoir où j’en suis.

Bonne nouvelle, la météo se dégage enfin

Ce qui permet de faire un coup double à Norrköping

Il y a en effet deux terrains d’aviation : l’aéroport de Norrköping (NRK) à l’est, qui n’a qu’une liaison quotidienne toute l’année avec MUC, plus des vols charter et saisonniers.

Et la base aérienne de Norrköping (ESCK) à l’ouest : elle n’accueille plus de vols, mais une piste a été conservée en état opérationnel.

Un aéroport plus important se cache dans ce paysage :

Pas à Oxelösund, sur la côte

Mais au nord-ouest de Nyköping

C’est l’aéroport de Nyköping, abusivement appelé « Stockholm Skavsta » alors qu’il est à 100 km de la capitale, utilisé principalement par Ryanair, spécialiste incontesté des aéroports au nom commercial géographiquement fantaisiste, mais commercialement vendeur.

L’archipel quasiment inhabité au sud de Kälvik

L’île Askö, à la forme très spécifique

A la périphérie de l’agglomération de Stockholm, l’ancienne base aérienne de Tullinge (ESCN), désaffectée et partiellement lotie

Sur la rive sud de Stockholm, ceci est l’immense cimetière de Skogskyrkogården et ses plus de cent mille tombes dispersées sous ses arbres.

Ce ne sera pas un atterrissage piste 01L ou 01R, et donc la descente est un peu à l'est de Stockholm, offrant une vue générale du centre-ville, avec l’île Södermalm au centre

Tele 2 a trouvé utile de rappeler son nom sur ce stade aux PAX en approche d’ARN, contrairement à Ericsson qui sponsorise le globe, mais a quand même trouvé de la place pour son nom sur la toiture voisine.

De bas en haut, les viaducs ferroviaires en provenance de la gare de Stockholm Södra (Stockholm Sud) sur Södermalm, le viaduc de la ligne rouge du métro et la succession de viaducs de l’autoroute E20.

Au centre de Södermalm, l’immeuble semi-circulaire dessiné par Ricardo Bofill à Medborgarplatsen (« La Place des Citoyens »). Dans le quart inférieur droit, la Grande Mosquée de Stockholm, dont la toiture vert sombre se distingue des toits de tuile qui l’entourent.

L’église Sofia au sommet de sa colline verdoyante (en été) et au premier plan le musée des transports.

En haut, Gamla Stan avec le massif palais royal à droite avec le Parlement juste à côté, mais sur une île distincte. Au centre, l’île Skeppsholmen à laquelle est amarré le trois-mats af Chapman, transformé en auberge de jeunesse. Au premier plan, l’île Djurgården, avec les pylônes du parc d’attraction Gröna Lund, une partie du musée en plein air Skansen et à droite le Musée Vasa et le Musée Nordique.

Impossible évidemment de faire l’impasse sur la photo aérienne de BMA

On s’éloigne vers le nord

La piste désaffectée de l’ancien aéroport de Barkaby (ESKB)

Au centre de cette photo, Kista, un souvenir pour l’un de mes lecteurs.

Les immeubles en arc de cercle abondent dans le grand Stockholm, comme ici à Täby

Un FR AF1262 by Marathon n’étant pas complet sans air-to-air, voici in extremis un 737 qui s’éloigne d’ARN.

Atterrissage piste 26 : voici le parking distant le long du taxiway, avec le MD-82 de formation du personnel aux couleurs de Swedavia, cachant deux des CRJ-200 stockés, une Caravelle à gauche

Mais le plus intéressant, c’est ce 787 BBJ, arrivé le 13 juillet de HKG.
Exploité par Deer Air, l’une des compagnies aériennes du groupe HNA (Hainan Airlines, …), c’est l’avion idéal pour un voyage Flight Report, grâce à son autonomie frôlant les 10 000 miles avec 40 PAX à bord. Tous les détails de son aménagement sont ici.

(Comptez 74 kUSD de l’heure, quand même… )

Si vous êtes branché VIP, mais un peu moins fortuné, ce DC-8 aménagé en version corporate est peut-être encore en état de voler.

En revanche, il faudra commencer par remettre en place les moteurs de ce MD-80

On passe aux avions plus souvent empruntés par le grand public, avec ce CRJ-900LR SAS

A320 Nouvelair, 737-700 SAS et 787-900 Norwegian Long Haul

A330-300 SAS

Dash 8-400 Air Baltic

A320 Lufthansa

777 Thai Airways

CRK croate déjà vu plusieurs fois à ARN

738 Primera Air

A320 Aeroflot

787 Qatar Airways

738 Norwegian Air Shuttle sur le départ, devant la verrière de Sky City, la zone commerciale landside entre les Terminaux 4 et 5.

Une belle brochette de biturboprops : Fokker 50, Saab 340, ATR72, exploités par trois compagnies aériennes différentes (Amapola Flyg, Nextjet, SAS).

Photos individuelle

On tourne le coin du Terminal 3 et on découvre le Terminal 2

Gros plan sur un Saab 340 Nextjet à proximité du Terminal 4

L’A320 Wow Air pour KEF est encore en contact : on est raisonnablement à l’heure

TF-NEO est bien un A320neo

737-900 KLM

Arrivée d’un A321 British Airways (non, je n’ai pas rehaussé le contraste de la photo !)

Comme j’ai un bagage en soute, autant aller à la mezzanine qui domine la salle de livraison des bagages. L’arrivée des PAX est au fond à droite, les distributeurs de billets de bus et de train sont le long du mur à droite et la sortie landside est à gauche. Il y a un deuxième tapis symétrique hors champ à gauche.

La mezzanine est un cheminement d’arrivée de quelques portes pour vols domestiques, mais on peut aller à contre-courant sur la partie « utile » pour les spotteurs. On commence avec ce Fokker 50 Amapola Flyg :

Bae ATP Nextjet

Saab 340 Nextjet

Les inséparables Dupond et Dupont en version jaune : 757 DHL

Entre temps, l’A320neo Wow Air a repoussé

Le moteur de l’A320neo ? Il y a surtout un gros ventilateur :)

Il s’éloigne après avoir fait demi-tour

J’avais six minutes pour le prochain bus pour Bromaplan, ou huit minutes pour le prochain Arlanda Express

Ma valise est livrée avec respect des priorités, sortie landside

… où le vol de Paris est affiché avec 10 minutes de retard à l’arrivée : le vent favorable a bien aidé

… et je rate d’un chouïa le bus : ce sera le train, plus rapide de bout en bout, mais par grand beau temps, j’aurais bien pris le bus.

Cette fois, personne dans l’escalier mécanique à écarter pour arriver juste à temps

Ce sont pour beaucoup les vacances, et je vous propose cette fois-ci en épilogue un petit bonus parisien en forme de clin d’œil, ni avgeeek ni même touristique.



Merci de m’avoir lu !