Bonjour à vous !
Je vous présente aujourd'hui la première partie d'un vol vers Jogjakarta avec Air Asia.
Je ne suis pas fan des low-cost, surtout pour des trajets de plus de deux heures. Ca me gave de devoir faire attention au poids - 7kg seulement en cabine avec D7 donc avec un pc portable on est assez limité - de devoir toujours rajouter des sous, de pas avoir d'espace ou d'IFE. Mais bon, je ne voyage pas tout seul et le prix proposé par D7 est vraiment très attractif : 140 EUR par personne.
Evidemment, comme c'est une low-cost, je n'ai pas payé ce prix là mais en rajoutant un bagage à 20 kg, un a 25, le fait de choisir sa place et de payer en carte, j'en ai eu pour 450 EUR à deux ce qui reste très peu cher. De plus, j'étais alors sur Shikoku et donc un depart depuis Osaka m'arrangeait beaucoup plus que depuis Tokyo.
Bref, j'arrive à l'aéroport vers 19h via le train semi-express qui, bien qu'assez rempli au debut, se videra au fur et à mesure des stations.

En arrivant, je croise l'express qui lui ne s’arrête qu'à une ou deux stations après Osaka.

L'aéroport d'Osaka est plutôt grand et lumineux. Petit moment nostalgie puisque la première fois que j'ai quitté la France, c'était pour atterrir dans cet aéroport, il y a 14 ans…

Pour nous, c'est à droite.


La zone des départs se trouve au quatrième étage, ce qui permet d'avoir une belle vue du terminal depuis l'escalator.



L'enregistrement se passe assez bien même si l'attente sera longue même au comptoir web check-in (environ 30 minutes). Le passage sera encore plus long pour nous puisque D7 a fait une faute sur un nom et doit ressortir je ne sais pas trop quoi. Toutefois, des erreurs ça arrive et la personne au comptoir était sympathique.
Récupération du boarding pass qui est fait avec un papier de type "papier toilette", vraiment une qualité très bas de gamme.

Espace fumeur très propre avant le passage de la PAF/PIF

Deux entrées pour la zone airside. Celle du nord est blindée de monde (notamment à cause du vol D7), celle du sud est totalement vide. On prend la sud. Résultat : on passe les contrôles en cinq minutes et on arrive airside.


Les départs de la soirée. Notre vol est bien indiqué, il arrive d'Honolulu où D7 a crée récemment un nouvelle ligne en cinquième liberté entre Osaka et Hawaï.

Embarquement en porte 38, donc on prend un petit train pour y accéder.

L'embarquement commence vers 21h10 avec un respect des priorités puisque les vols D7 offrent une petite classe business ainsi qu'une zone "Quiet' (sans enfants ou familles) qui embarquent en premier.

Certainement la plus mauvaise photo jamais prise d'un avion, mais au moins on voit la file d'attente.

Les sièges.
D7 a choisi, low cost oblige, une configuration en 3-3-3 donc 9 sièges de front au lieu de 8 normalement. La largeur des sièges est ainsi plus réduite mais très franchement, avec une corpulence "normale", ça ne pose pas de problème pour s'asseoir. Par contre, dès qu'il s'agit de bouger les bras, on tape vite dans le voisin.

Au premier rang, des sièges avec un meilleur pas mais plus cher. Toute la rangée restera vide.

Le pas est franchement pas affreux. Je fais 1m88 et j'ai trouvé ça convenable. Alors évidemment, on est pas extrêmement bien installé mais je m'attendais à bien pire.

Pas d'IFE mais possibilité de louer des tablettes avec des films pour une dizaine d'EUR (il me semble).

Le plafonnier est propre comme le reste de l'avion.

Le réseau Air Asia qui couvre une bonne partie de l'Asie, notamment du sud-est.






Le BOB n'est vraiment pas cher et on peut payer (au moins) en MYR, JPY ou KRW. D'autres monnaies sont surement acceptées mais je n'ai pas demandé.
Il y a aussi un magasine de bord complet et assez intéressant avec des informations sur les destinations proposées par D7 ou des reportages. Bref, le même type de magasine qu'on retrouve dans les "vraies" companies.


Juste après le décollage, qui s'est fait à l'heure, les PNC - qui par ailleurs auront été très bien durant tout le vol - ont replié les tablettes des sièges "premium" pour éviter les squatteurs.

Contrairement au reste de l'avion, la tablette et le siège de devant sont un peu sales sans que ce soit dramatique.

Une demi heure après le décollage, on nous apporte un plat chaud et de l'eau. Pour être honnête, je n'avais aucun souvenir d'avoir payer pour ça, ça devait être compris dans la formule avec les bagages.
Je n'ai pas vraiment faim mais je ne refuse pas de la nourriture gratuite. Le plat se révélera étonnamment bon, juste suffisamment épicé pour être bon sans brûler le palais.


Visite des toilettes après une heure de vol. Elles sont propres et le resteront au moins jusqu'à une heure avant l'arrivée.


Le rideau séparant la zone "lambda" de la zone "quiet". Le vol se déroulera sans problème et sans surprise jusqu'à Kuala Lumpur où il arrivera avec 45 minutes d'avance (D7 voit large dans ses horaires).

Une vue un peu plus propre de l'appareil.

La suite est à venir plus tard !
Merci pour votre lecture.
Merci pour ce bon FR!
A bientôt.