Changement dans mes habitudes : un engagement à Paris le lundi matin me fait prendre ce vol de l’après-midi. C’est une occasion rare d’espérer voir le paysage à l’est de la route aérienne, le soleil étant à l’ouest, et j’apprécie l’humour au second degré d’AF qui avant l’OLCI ne me propose que des sièges qui ne me conviennent pas : les seuls sièges au hublot disponibles à droite sont gênés par le réacteur (8F) ou par l’aile (11F à 15F). Je choisis le moins mauvais : le 8F, sans inquiétude excessive…

… car je sais d’expérience qu’il y aura bien quelques bons sièges au hublot à l’arrière, or je n’ai aucune hésitation à sacrifier un quart d’heure au débarquement pour avoir un bon hublot.

Avant de dévoiler le plan de cabine, AF ne désespère pas de me voir débourser 189 EUR pour avoir un siège à l’avant de la cabine. Outre que le tarif est extravagant (étant Elite+, j’ai déjà accès au parcours SP et au salon) pour n’avoir en net qu’un repas amélioré et un siège milieu neutralisé, imaginer que je vais payer pour voir si je peux avoir un siège au hublot relève de la plus grande fantaisie. J’ai été particulièrement amusé par l’encart « Nouveauté » en haut à droite, car la seule nouveauté, c’est que le tarif est récemment passé de 169 à 189 EUR.

Grazie, ma non grazie , comme dirait un de mes fidèles lecteurs.
Remarquez, cette restauration en J est peut-être raffinée, mais elle ne sera pas kascher. Ni hindoue, végétarienne ou adaptée à un diabétique, sans parler d’une improbable option halal, au vu de cette bouteille de vin. En effet, pour ce qui des menus spéciaux sur les vols CDG-ARN (dans ce sens), même si selon AF la restauration à bord devrait contribuer au plaisir du voyage, c’est fini.
Notre objectif est de faire que tout voyage sur Air France soit un moment de détente et de satisfaction. En effet, la restauration à bord devrait contribuer au plaisir du voyage. Toutefois, il m’incombe de souligner que pour certain vols entre Paris et Stockholm, les repas spéciaux ne sont plus proposés. Je comprends parfaitement, Monsieur Marathon, votre insatisfaction. (sic)

Mais justement, comme mon dernier vol AF1062 remonte au mois de janvier, je suis curieux de découvrir les éventuels changement depuis aussi longtemps à l’échelle de mes navettes.
J’aurais bien pris le RER, mais la perspective de la manutention de ma valise m’en a dissuadé, et c’est donc taxi en milieu de journée, mais ce trajet en milieu de journée ne prend que dix minutes de moins que le matin pour le vol AF1262.

La principale différence, c’est que le dépose-minute de CDG-2E est vide, alors qu’il engorge l’accès CDG2 le matin.

Un peu plus de lumière à l’arrivée au Terminal 2F que la semaine dernière,

mais pas vraiment moins de monde au PIF général, au fond à gauche

Le vol AF1062 est affiché à l’heure. Le sera-t-il ?


J’ai beau forcer sur le gabarit (j’avais pourtant mesuré ma valise ?), la mise en soute semble inévitable

Pas ici, parce que les bornes d’auto-enregistrement sont bleues

Mais là, parce qu’elles sont rouges

Mais en passant ensuite à droite, parce que pour passer à gauche, il aurait fallu débourser 189 EUR

Pff… à deux kilos près, ça passait en bagage à main. Ah bon, il faut compter aussi le sac à dos contenant mon clunker de PC portable ?

Pas sûr que le PIF m’aurait accueilli avec le sourire si j’étais arrivé avec cette valise. Remarquez, ce sans valise, je n’ai pas eu de sourire non plus, mais c’est allé vite.

Les verrières de la jetée 1

Accès à la jetée. Pour ceux que ne connaissent pas, le panneau indiquant le salon est en haut à droite de la boutique. (A la jetée 2, il y a une rampe mécanique à la place de la boutique, mais des plantes vertes qui auraient pu être des feuilles de vigne préservent la pudeur de la signalétique)

Vous croyez que vous allez cheminer facilement sous prétexte qu’on est en début d’après-midi ?

Allons, voyons, il suffit d’un vol en attente d’embarquement pour que la fluidité retrouve la normale

Les présentoirs à journaux ont été bien utilisés, mais ils ne sont pas vides. Il manque cependant un journal du soir que tout le monde connait.

Pour mémoire, un aperçu des appareils au contact au terminal 2D : CSA, Easyjet et Ukraine International.

L’extrémité de la jetée 1 n’est pas la meilleure pour le spotting au Terminal 2F

Non seulement on ne voit pas les appareils roulant de/vers les terminaux 2E et 2G, mais les vitres sont toujours aussi sales, ce qui dissuade les bons photographes de s’intéresser aux appareils atterrissant sur le doublet nord, comme cet A320 Vueling.

Quand on est au Terminal 2F, l'église du Mesnil-Amelot est l'une des celles qui méritent le plus d'être remarquées. Les parties qui la composent fixent l'admiration et sont admirées. (Louis Michelin, Essais historiques et statistiques sur le département de Seine-et-Marne, 1841)
Ce n’est pas le clocher qui a justifié le classement aux monuments historiques en 1911, car Wikipédia écrit sèchement qu’il est « extérieurement dénué de caractère »(sic). A défaut de pouvoir vous montrer au pied du clocher la nef en style gothique flamboyant tardif de la première moitié du XVI° siècle, je vous propose un A340 Air Mauritius en style 300ER tardif de la première moitié du XXI° siècle.

Les présentoirs à journaux à l’extrémité de la jetée sont beaucoup plus remplis, mais toujours pas de journal du soir.

Arrivée au salon à l’étage inférieur. Il y a un dragon pour aider à scanner son BP aux bornes automatiques, mais j’ai appris à le faire moi-même.

Juste après les dragon.ne.s (j’ai découvert l’écriture inclusive, c’est la dernière mode), je découvre enfin le dernier numéro du quotidien dont je ne citerai pas le nom écrit en caractères gothiques.

Je vais directement au niveau inférieur, mais je comprends tout de suite pourquoi le dragon m’a souhaité « bonne installation » : c’est que s’installer à un siège ne va pas du tout de soi à cette heure là. Il y a ceux qui voyagent à deux (à gauche) et ceux qui font tout pour privatiser le siège en face d’eux, avec armes, bagages et plateau non débarrassé (à droite).

Ce qui fait fortuitement la différence cette fois-ci, ce sont ces trois personnes en costume sombre à gauche, manifestement en tournée d’inspection, mais qui en profite pour demander d’autorité si tel ou tel siège ne serait pas libre, et je suis ainsi assis rapidement. Ah oui, il y a derrière le siège une prise électrique dont mes lecteurs m’ont appris à me servir.

Voyons le buffet. Voici la publicité :

… et la réalité

De l’autre côté, il pourrait y avoir tout cela :

Mais en fait il y a cela et beaucoup de vide à gauche. Wikipédia m’a confirmé qu’Okapi et AF ont tous les deux raison : on peut parler indifféremment de risoni ou d’orzo. L’orzo quinoa, c’est comme le pâté d’alouette, car le quinoa est beaucoup plus cher au kilo que les pâtes.

En 1900, le Français moyen mangeait 900 grammes de pain par jour, et AF ne l’a pas oublié

C’est le grand marronnier de la presse de cet automne 2017 : en France, qui parle de pain au chocolat et qui parle de chocolatine ? En tout cas, il y a ample provision des deux, côté nord et côté sud du salon, et AF se garde bien de froisser les sensibilités régionales en les nommant.

Il y aussi beaucoup de croissants, mais ça, ça s’appelle partout pareil.

Premier service

Et surprise ! le buffet a été regarni pour mon second service

Voici à nouveau le menu

Le saumon fumé (au premier plan) est franchement faiblard – je suis devenu un peu exigeant à ce sujet. J’ai oublié quel était l’autre choix de sandwiches pour le déjeuner, ou dans un autre franglais de navettes pour le lunch.

A côté, les crevettes avec beaucoup d’huile ont été remplacées par des artichauts avec beaucoup d’huile.

Côté desserts, ça s’est rempli également (les yaourts y étaient déjà)

Je ne vais pas avoir faim d’ici mon arrivée à mon appartement, mais oups !

Ce n’est pas parce que j’ai commencé à apprendre à manger une salade avec deux couteaux dans ce salon qu’il faut s’y astreindre.

Un café pour faire passer tout ça

Avec une part de gâteau au chocolat pour la route

Je partage cette table avec une jeune Coréenne, dont je regrette de ne pas partager la langue. Si cette table franco-coréenne est débarrassée des reliefs de mon repas, c’est parce que pendant que je me servais du café ci-dessus, ils ont lévité vers ce chariot, un peu aidés par une employée hors champ.

Pour ce qui est du spotting, ce n’est pas du tout le bon salon. Un 737 KLM s’en va

… et laisse la vue sur ce 737 Air Europa en livrée spéciale

Que voir de plus depuis cette place qui a une vue imprenable sur l’âme du salon ?

Les PAX regardent souvent ce FIDS (avec d’inutiles pages de publicité), mais il suffit de regarder un peu plus haut pour découvrir des équipements qui font le style raffiné des bureaux de l’ère moderne.
Ouïes de ventilation et haut parleur de la sonorisation, heureusement inutilisée en temps normal

Si vous avez accès à internet, c’est grâce à cette antenne en haut à droite

… et aussi à ce petit boitier de travers à droite

Les marathoniens devraient se sentir dns leur élément, mais le signal du départ n’est jamais donné.

A partir de combien de cigarettes risque-t-on d’être arrosé ?

Ce verre dépoli permet de masquer des tubes fluorescents compacts

Mais pour avoir droit à ces éclairages à tubes fluorescents droits typiques de la fin du XX° siècle, il faut être un VIP ce jour-ci

Cette réservation exceptionnelle de l’extrémité du salon est assez fréquente.


J’ai gardé le pire pour la fin : ces ouïes d’aération qui soufflent un courant d’air glacial, notamment en direction de mon siège.

Autant dire que je n’ai pas besoin du contenu de cette armoire

L’embarquement du vol AF1062 est annoncé

L’embarquement est porte F29 : on ne peut pas blâmer certains PAX inexpérimentés de se mettre dans cette queue, sauf que celle-ci, c’est pour les PAX Skypriority.

C’est au niveau de la porte que plusieurs PAX non SP sont réorientés ici ; on peut raisonnablement penser qu’ils sont de bonne foi, car il faut aller jusqu’ici pour savoir qu’elle est pour l’accès SP… et il faut bien sûr avoir entendu parler de SP.

On espère être à l’heure

Le quart arrière droit de l’avion

Je n’ai pas choisi ce siège par hasard : je savais que le hublot est bien aligné, contrairement aux rangs précédent et suivant.

La moquette est propre

Mesuré de l’aumônière jusqu’au bord de l’assise ou jusqu’au fond du siège, le pitch n’est pas généreux


L’instant GRMY avec accessoire Marathon

C’est un A321 rénové avec prise USB à l’extrémité des accoudoirs


La pluie commence : les bagages sont chargés en conteneur, sauf quelques valises isolées que je suppose être de PAX en correspondance. Un seul bagage à main avait été intercepté avant le début de l’embarquement pour mise en soute.

Avec un hublot immédiatement transformé en filtre créatif, le spotting devient mission impossible

On repousse avec six minutes de retard

Voici tout ce que je vois du Terminal 2F


L’A340 MK est arrivé au contact du Terminal 2E

Décollage piste27L, donc pas de vue sur le Terminal 1 ni sur LBG et Paris, ce qui ne change rien vue la météo.

RWY AHEAD : cet A320 Aer Lingus attend son tour

C’était bien la peine de choisir soigneusement un siège au hublot à contre-jour : quel jour ?

Je n’ai pas eu le choix des paysages à commenter sur le trajet : il faut faire avec les très rares trouées dans les nuages. La Bergsche Maas, cours artificiel de la Meuse creusé entre 1888 et 1904 de manière à éliminer les inondations provoquées par le niveau d’eau souvent supérieur du Waal dans laquelle elle se jetait.

Le confluent de la Meuse barrée (l’ancien cours de la Meuse, jusqu’en 1904), à droite, avec le Waal, le bras principal du Rhin inférieur

Zoom sur le confluent, avec au centre le château médiéval de Loevestein, construit vers 1368, qui contrôlait ce nœud fluvial stratégique.

La ville de Gorinchem, avec le pont de l’autoroute A27 sur le Waal

Le Veluwemeer et le Wolderwijd, délimités par le passage de la N302. Au premier plan, le polder constituant la nouvelle province de Flevoland, de l’autre côté, Harderwijk, dans la province de Gueldre. Harderwijk a la particularité d’être quasiment au centre géographique des Pays-Bas

Dunes de sable dans la forêt située de l’autre côté de l’autoroute A20

L’estuaire de l’Ems, avec Delfzilj (Pays-Bas) en bas et Emden (Allemagne) en haut à gauche

Emden et l’embouchure de l’Ems

C’est la fin du bien maigre menu de l’IFE extérieur ; voyons maintenant le menu du repas qui arrive justement à ce moment-là.
Les menus spéciaux sont supprimés sur les vols vers ARN, mais ils restent disponibles au retour, car AF a pris en compte le cas des PAX devenant cardiaques, diabétique, en surpoids,… pendant un séjour à Stockholm. Je vais réclamer une prime de risque à ma DRH.
Dans le sens aller, c’est donc le menu standard, un adjectif parfaitement adapté aux circonstances.

On en change pas une équipe qui gagne, et le plat chaud du vol AF1062 de ce lundi, c’est le même que celui du vol AF1262 du lundi précédant.

Que serait un poulet à la moutarde à l’ancienne sans sulfites ?

L’ensemble déballé

Et l’ensemble remballé, après avoir éliminé tous les contenus périssables.
Le pain est dans la variété mastoc, mais je pense que je survivrais plus facilement avec ce plat chaud à répétition qu’avec d’autres. Pour ce qui est du dessert, il vaudrait mieux pour ma ligne qu’on ne me suggère pas de chercher à en avoir un deuxième, avion complet ou pas.

Peut-être l’A320 assurant le vol BA879 LED-LHR, mais il était tellement loin que j’ai un gros doute.

La luminosité faiblit à une vitesse spectaculaire, car l’avion vole nord-nord-est au crépuscule.





Le coucher de soleil par le hublot à l’autre bout de la rangée

En vrai, la luminosité ressemble plutôt à cela

C’est raté pour la vue nocturne du centre de Stockholm : il aurait fallu être du côté gauche.

L’autoroute E18 et la jonction avec la route 262 à Danderyd, une banlieue nord-est de Stockholm

Les rectangles fortement éclairés sont autant de stades ; les zones sombres des forêts

L’autoroute E4 sépare Kista au premier plan de Sollentuna au second plan

Idem

Vues sous un angle différent, Sollentuna à gauche et Kista à droite de l’autoroute E4

Cette fois-ci, il ne font pas semblant de réduire l’éclairage dans la cabine avant l’atterrissage (il reste souvent un éclairage dont les reflets sur les hublots gênent passablement les photos de ville illuminée), mais c’est toujours un peu trop tard pour ces mêmes photos.

Posé des roues particulièrement dur, piste 01R

La tour de contrôle d’ARN

Le Terminal 2, plutôt flou parce que l’avion roule assez vite.

Arrivée au contact à 18h40, soit dix minutes de retard, autant dire presque rien.

Le cheminement de débarquement (à droite) longe le corridor d’accès à une autre porte (à gauche), de l’autre côté duquel se trouve la salle de livraison des bagages (il y a un autre tapis dans une salle jumelle, mais je ne l’ai jamais vu en service)

Le tapis de livraison des bagages, vu à travers cette double épaisseur de vitres

Sur le mur au fond à gauche se trouve l’écran indiquant le prochain départ de l’Arlanda Express. Il ne saute pas aux yeux et j’ai mis un certain nombre de trajets à en découvrir l’existence, d’autant que je ne faisais que passer, faute de bagage en soute. Sur le mur de gauche, ce sont les BIDS (Bus Information Display Systems), bien plus grands et mieux placés, car face aux PAX quand ils arrivent dans cette salle.

Puisque le prochain Arlanda Expresse est dans 12 minutes, je peux prendre le temps de photographier mon avion au contact.

Le sas anti-retour

Arrivée dans la salle de livraison des bagages

Les premiers bagages sortent à 19h55, soit 15’ après l’arrivée au bloc mais les priorités ne sont pas respectées.

Il y a un joyeux mélange d’étiquettes codées B (non prioritaires) et de très décoratives étiquettes jaunes qui donnent l’illusion à leur propriétaire d’être un client privilégié.

Ma valise « prioritaire » arrive alors que plus de la moitié des PAX sont partis

Six minutes de retard sur la pole position, ce n’est pas beaucoup, sauf quand on voit s’approcher le hors délai pour attraper le prochain Arlanda Express. Trois minutes, ça le fait facilement si on connait le trajet, mais je souhaite bonne chance à un PAX Skypriority qui arrive à ARN pour la première fois, surtout si étant habitué à CDG, il n’a pas imaginé qu’il puisse y avoir une borne pour acheter son billet de train ou de bus dans cette salle.

J’ai même pris le temps d’acheter un billet à l’automate avant ces escaliers mécaniques, mais j’en avais un d’avance (ce que n’a pas un primo-arrivant)

Et voici l’Arlanda Express – je pouvais prendre le luxe de rester statique sur l’escalier mécanique dans la descente vers le quai.

Merci de m’avoir lu !
Suite logique du bonus sur la mini-croisière de Stockholm à Vaxholm ici, je vous propose un petit bonus sur la forteresse de Vaxholm.

On y accède par ce ferry pour passagers uniquement qui fait des navettes à travers l’étroit chenal entre Vaxholm et son fort

La particularité de ce navire, c’est que c’est un ferry à câble

Cet enrouleur sur le côté accueille le câble électrique qui alimente les moteurs du ferry qui est de ce fait aussi silencieux et peu polluant que possible. Le câble est déroulé sur le fond du chenal de 200 mètres de large quand le ferry est côté forteresse (ou sur le trajet), ce qui laisse le passage libre aux autres bateaux.

La première fortification de cet îlot date de 1544 ; elle a été attaquée sans succès par les Danois en 1612 et par la marine russe en 1719.

La forteresse de Vaxholm a été entièrement reconstruite entre 1833 et 1863, mais le temps de terminer cette modernisation, ces fortifications étaient devenues obsolètes du fait des progrès bien plus rapides de l’artillerie.

Je n’avais malheureusement pas le temps de visiter son musée militaire.

On raconte qu’on n’a vu sourire le légendaire maréchal comte Helmuth von Moltke (le père de la modernisation de l’armée prussienne et de sa victoire contre la France en 1870-71) que deux fois : quand il apprit le décès de sa belle-mère et quand il vit la forteresse de Vaxholm.

Cela fait donc un siècle et demi que les canons de Vaxholm ne sont plus guère que décoratifs, mais les fortifications où ils sont placés offrent un beau panorama comme par exemple sur cette toute petite île privée

En Suède, les ferries sont traditionnellement jaunes, comme celui-ci nettement plus gros qui transporte des voitures entre l’île de Vaxholm et celle de Rindö, juste derrière la forteresse.

En revanche, aucun code de couleur spécifique n’est applicable aux bateaux-taxis (sjötaxi= taxi de mer) comme celui-ci.

Il est trop tard pour visiter la forteresse de Vaxholm cette année : le ferry ne circule que de mai à septembre. Mais vous pouvez aller toute l’année à Vaxholm, par le ferry depuis le centre de Stockholm, ou en bus de ville depuis une station de métro.

Merci de m’avoir lu !
Merci François pour ce FR
Tu changes tes habitudes du lundi, et tu as pu reprendre le vol qui est souvent responsable du retard de ton retour du vendredi !
La prestation est très correcte, d'ailleurs tu qualifies des 8 de corrects, personnellement, après 14 mois de prépa, un 8, c'est très bien lol
J'ai bien l'impression que pour 3/4 des cas sur FR, les étiquettes prioritaires ne sont pas respectées.
A très vite !
Ayant enregistré ma valise en soute, je ne peux pas être accusé d'avoir retardé ce vol (et surtout l'AF1063 de retour) en raison du manque de place dans les coffres à bagages :)
Les barèmes ne sont en effet pas les mêmes en prépa et en transport aérien ;)
Je préfère un bagage livré sans priorité 21' après l'arrivée au bloc à un bagage livré en priorité 40' après l'arrivée ;)
Merci, et à très bientôt pour la suite !
Merci pour ce FR :)
je prends toujours autant de plaisir à les lire qu'à regarder les photos touristiques !
Toujours autant de monde au salon mais ça passe grâce à un personnel qui n'hésite pas à faire bouger des pax peu consciencieux ...
Ces jetées sont vraiment mal pensées pour le flux des passagers ... c'est toujours une galère infinie pour rejoindre sa porte ou ne serais-ce que se déplacer ... à quand files établies comme à la paf ?!
Un vol sans histoire c'est toujours ça de pris surtout quand il n'y a pas ou peu de retard et que l'on a un impératif pro ou un désir ardent de retrouver ses pénates !!
Même expérience avec les priorités de bagages qui je crois n'ont jamais été respectées dans mon cas ...
A bientôt et au plaisir de te lire :)
Merci pour l’appréciation des bonus qui sont autant de travail supplémentaire.
C’était la première fois que je voyais du personnel faire ainsi de la place ; j’ai eu l’impression qu’ils le faisaient à l’occasion d’une visite n’ayant aucun rapport.
Le seul moyen de faire de la place pour circuler correctement dans ces jetées malgré les queues à l’embarquement serait de réduire drastiquement le nombre de sièges. Pas sûr que ce serait un plus. Je soupçonne que la généralisation de tarifs sans bagages en soute chez AF n’est pas pour rien dans cette dégradation, car par effet d’avalanche, dès que la queue se constitue, les PAX se mettent tous dedans pour avoir une chance de trouver la place.
Je ne multiplierai pas les mises en soute de valises dans le seul but d’atteindre un échantillon statistiquement représentatif des délais de livraison ou du respect des priorités !
Merci pour le commentaire et à bientôt pour le vol suivant !
Premier commentaire concis (ils sont à la mode):
Après le bouton placebo, voici l'étiquette placebo.
On n'arrête pas le progrès.
Elle a la même efficacité que l'étiquette FB Plat sur un bagage à main pour être surclassé.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce FR.
Ce salon est donc bondé même pour les vols de début de fin d’après-midi ? Incroyable. AF avait considéré un salon unique situé hôtes des jetées. Il serait temps d’accr Les surfaces car cela devient pour moi un élément repoussoir de la paxex.
On regrettera les menus spéciaux. ARN doit être la nouvelle Rome multiconfessionelle pour justifier ces repas spéciaux religieux au retour.
Merci pour le bonus. Stockholm fut la première destination privée avec Ryanair que j’ai prise. Mais à voir de préférence en été. BRRR
Manifestement, les salons du 2F deviennent sous-dimensionnés. Je crains que la solution choisie par AF soit de diminuer le nombre de PAX y ayant accès, plutôt que d'augmenter les surfaces, et le passage de Flying Blue à un modèle "revenue based" pourrait permettre de le faire discrètement, les repères habituels des seuils de statut ayant été brouillés.
C'est peut-être à mettre au même chapitre que la descente en gamme du catering sur cette ligne, effectuée en catimini.
Le spécialiste des forteresses du Golfe ne pouvait manquer de remarquer ce bonus !
Merci tardif pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
Great pictures from the lounge.
“Pour ce qui est du spotting, ce n’est pas du tout le bon salon.“
- For unknown reasons, I still like the picture.
Beautiful aerial shots throughout the flight!
Your excellent narrative techniques are always impressive.
Have a good one, see you!
I like this picture too, but wish I could have better views of the planes.
Winter makes it increasingly difficult to take pictures of the landscape en route.
Very late thanks for your comment !