Bienvenue sur cette suite de mon 4e week-end estonien ! Cet épisode sera légèrement avare en photographies, mes excuses pour cela.
Après un vol de pré-acheminement sans encombre, me voici paré à voler vers le plus nordique des pays baltes… Mais avant, pour ceux qui souhaitent un petit retour sur la création du routing, c'est par ici :
Le routing et autres informations passionnantes
Un billet multidestination AF/KLM à 225€ avec départ le samedi 10 mars avec LYS-AMS-TLL (avec KLM et airBaltic en code-share KLM) combiné à un retour le lundi 12 mars MXP-LYS au matin, pour être à Lyon avant 8h, afin d'être à l'heure à une formation particulièrement importante à mes yeux à 9h30 à Limonest (mon emploi du temps est calculé au plus juste…).
Pour rallier Tallinn à Milan le dimanche 11 mars au soir, je pars comme lors de mes deux trajets de novembre sur le vol Easyjet TLL-MXP, à l'horaire très pratique (19h05 -> 21h10) et au tarif très doux (32€61). On ajoute à cela une nuit au Moxy Milano Malpensa à 80€, et on arrive à un routing au tarif raisonnable de 380€ parking à LYS compris. Le tout est réservé en décembre.
Mais, rappelez-vous, j'ai une sérieuse tendance à rencontrer des problèmes sur mes récents voyages… Et ce trajet en sera une parfaite illustration. Quelques semaines après ma réservation, je trouve dans ma boîte à lettres électroniques une délicate missive de la compagnie anglaise…
Je vous passe les nombreuses insultes qui me viennent à l'esprit à la lecture du courrier. J'arrive le samedi à 13h40, plutôt crevé après un réveil à 4h du matin, repartir le dimanche à 14h40 réduit énormément l'intérêt du week-end, puisque je compte visiter la capitale estonienne surtout le dimanche… Ca sera donc une annulation du vol Easyjet…
Mail au service client U2, re-mail au service client U2, réponse 2 mois après le premier mail, et j'obtiens sans plus de difficultés le remboursement du prix du billet, avec des petites excuses en prime.
Pour remplacer ce vol pour Milan, peu de solutions, plus précisément, peu de solutions pas chères ! Une seule en vérité propose le combo "départ tardif + pas trop cher", il s'agit de la compagnie nationale estonienne et de la compagnie nationale polonaise, qui proposent pour 148€ un départ à 18h de Tallinn, arrivée 18h30 à Varsovie (vol Nordica en CRJ900). Après 1h30 dans l'aéroport de Chopin, départ 20h pour Milan MXP, arrivée 22h10, réalisé par Lot en ERJ175. Pour l'hôtel, je remplace le Moxy (qui est situé face au terminal 2) par le Sheraton (face au terminal 1, d'où j'arriverai et partirai), pour 40€ de plus.
Voilà donc le routing tel qu'il est prévu au moment où débute ce trajet…
1. KLM KL1412 : LYS – AMS (Economy, B737-800) le 10 mars 2018 => C'est par ici
2. airBaltic BT622 : AMS – TLL (Economy, B737-500) le 10 mars 2018 => Nous en sommes là3. Nordica LO788 : TLL – WAW (Economy, CRJ900) le 11 mars 2018
4. Lot LO321 : WAW – MXP (Economy, E175) le 11 mars 2018
5. Hop! A54501 : MXP – LYS (Economy, ERJ145) le 12 mars 2018
3. airBaltic BT314 : TLL – RIX (Economy, Q400) le 11 mars 2018 => Cliquez là
4. airBaltic BT693 : RIX – CDG (Economy, CS300) le 11 mars 2018 => Et enfin, cliquez ici
Tout comme pour le vol précédent, ce segment AMS - TLL est exactement similaire à celui que j'avais réalisé en novembre : Mêmes horaires et même type d'appareil prévu. Seul l'appareil en lui-même sera peut-être différent, airBaltic disposant de cinq 737-500…
Lors de l'enregistrement en ligne, réalisé sur KLM, j'ai hérité du siège 6A… Impossible de modifier ce siège en ligne ou au comptoir AF/KLM à l'aéroport. 6A, une place acceptable, me direz-vous.
Sauf que non. Outre le fait que je n'aime pas être "bloqué" entre le hublot et l'éventuel voisin en siège du milieu, la rangée 6 a un défaut majeur : Elle est située au niveau d'une jonction dans la carlingue et ne dispose donc d'aucun hublot. Ce qui en fait donc la pire place qui soit… Ma mission, que j'ai acceptée, est donc de faire changer, mon siège pour, si possible, un siège couloir… Il me faudra donc user de mes charmes au comptoir d'embarquement.
Curieusement, lors de l'enregistrement, KLM affiche cette information dans le champ "Repas" du vol :
J'ai un sérieux doute sur le fait qu'airBaltic me serve un "Repas Tasty Blue", mais bon… On ne sait jamais :)
Le vol, tout aussi passionnant que les informations ci-avant
A l'arrivée de mon vol KLM en provenance de Lyon, les écrans indiquent un départ en porte B31 pour mon vol pour Tallinn…
Je reçois un appel de ma mère qui me confie une mission de la plus haute importance : Lui ramener un calendrier sur Amsterdam, ou sur les peintres flamands. Me voilà donc embarqué pendant une demi-heure à parcourir toutes les boutiques au petit trot pour lui trouver ça… La mission sera un échec.
Après cet intermède, je reprends mon cheminement vers les portes B, ici, au début du couloir de liaison entre la jetée C et la B. A droite une boutique de produits typiques néerlandais. J'ai beau proposer à ma mère de lui ramener une meule de Gouda plutôt qu'un calendrier, elle refuse. Dommage…
Mon appareil photo a du mal à éviter les reflets, mais voici ce qui est présent au contact des portes B : Un Embraer 190 Austrian, un Airbus Swiss, ce qui me semble être un Airbus Czech Airlines en livrée Skyteam, et enfin, le Boeing 737-500 airBaltic qui est arrivé en provenance de Tallinn il y a 20 minutes environ.
L'embarquement n'est prévu que dans 25 minutes, et le décollage dans 1h05, airBaltic ne joue visiblement pas sur le timing serré des escales, contrairement à la plupart des low-cost…
Arrivée en jetée B, je me rends au niveau inférieur, dédié aux paxbus. C'est bien chargé, avec plusieurs embarquements en cours. Malgré la foule, les WC ici sont souvent plus propres qu'ailleurs, car situés en dehors des cheminements…
Mais ça reste, comme tout l'aéroport, bondé, et donc pas non plus nickel. Et en plus, une seule (petite) patère offre la possibilité au voyageur chargé d'accrocher ses affaires pour éviter qu'elles ne trainent au sol.
Bref. La porte B31 étant quasiment en bout de jetée, je fais bon usage des trottoirs roulants. C'est plus calme qu'en B-inférieur ou qu'aux portes C par ici…
Après une dizaine de minutes de cheminement à un rythme très tranquille depuis le cœur de Schiphol, j'arrive en vue de la bête du jour. Un Adria Airways s'est parqué à côté entretemps, tandis qu'au fond, les portes C sont monopolisées par le maître des lieux…
Sans plus attendre, je vais au comptoir où l'une des hôtesses au sol m'accueille avec un grand sourire et s'occupe immédiatement de ma demande, afin de me placer sur un siège couloir. Elle cherche quelques instants, me dit "Je vous mets sur un siège en issue de secours, vous aurez plus de place !" (l'issue de secours est normalement facturée par Airbaltic, logique pour une low-cost), et me rend mon passeport accompagné de mon nouveau billet.
J'ai décidément une bonne étoile qui m'accompagne sur ce trajet, ça change de d'habitude ! Voilà donc les documents de voyage, avec ce nouveau billet qui me satisfait pleinement.
Je m'installe juste à côté de la porte… Qui est plutôt mal située puisque juste à côté de l'extrémité du tapis roulant, et du fameux "Mind your step" qui retentit toutes les décasecondes environ.
Une file prioritaire est matérialisée d'après les écrans, mais son utilité est toute relative…
A 9h40, l'équipage commercial arrive en porte, discute un peu avec les hôtesses au sol, et leur indique de commencer l'embarquement dans 5 minutes, le temps qu'elles se préparent.
A 9h45, l'annonce d'embarquement pour les voyageurs handicapés et familles avec jeunes enfants est réalisée. Forcément, tout le monde se lève et s'avance vers la ligne de contrôle des billets. Les hôtesses répètent l'annonce et font signe aux gens que ce n'est pas leur tour, tout le monde retourne s'asseoir.
9h47, l'annonce d'embarquement pour tous les voyageurs, sans respect de priorités, est réalisée. Nous sommes très exactement deux à nous lever, passer le contrôle et attendre devant la porte de la passerelle, qui est fermée. Les hôtesses refont une annonce, toujours personne qui bouge. Elles font des signes aux gens, toujours personne qui bouge.
Tout aussi interloquée que nous, l'une d'elle vient nous ouvrir la porte de la passerelle, en nous souhaitant un bon voyage, à deux dans l'avion visiblement… Lorsque nous nous engageons dans la passerelle, il n'y a toujours personne qui a bougé de la zone d'attente. L'être humain est fantastique, parfois.
Les passerelles sont aveugles…
J'embarque donc en premier dans l'appareil, accueilli avec le sourire. Le passager embarquant juste derrière moi étant un passager J, j'ai tout mon temps pour réaliser une photo floue de la cabine de ce 737-500. J'aime bien cet appareil, qui fait vraiment très petit et mignon…
Je m'installe à mon siège. Le rang 9 sur cet appareil ne contient que deux sièges, le troisième étant supprimé pour permettre d'utiliser la sortie de secours.
Finalement, après une petite minute, le reste des passagers arrive en masse ! L'embarquement commence bien, avec un couple de jeunes qui s'engueulent au milieu de l'allée, bloquant tout le monde par la même occasion, pour savoir qui de Monsieur ou Madame ira côté hublot…
Bon, revenons à nos moutons. Le pitch de mon siège est très bon !
Les sièges sont des Recaro, avec porte-revues en haut du siège. Le confort est assez bon, mais ça manque de têtière réglable…
Autre avantage des sièges en issue, le siège de devant ne s'incline pas. Certes, le mien aussi, vu que la rangée 10 est aussi une issue de secours, mais ça ne me gêne guère…
En dix minutes, l'embarquement est terminé (juste avant 10h). S'ensuit une longue attente sans aucune informations de la part de l'équipage… Tout le monde se regarde dans le blanc des yeux. A côté de moi, ma voisine dégaine ZE. J'hésite à lui piquer, histoire de me la jouer mogoy.
En attendant, une PNC vient faire le speech habituel aux issues de secours. Enfin, "speech" est un bien grand mot, puisqu'elle se contente de pointer la safety card du doigt en nous demandant de la regarder.
Regardons donc !
J'ai de sérieux doutes sur le fait qu'un néophyte trouve avec cette maigre intervention et cette petite safety card toutes les informations nécessaires pour réagir correctement en cas de problème…
Pendant ce temps, des verres de bienvenue sont distribués aux deux passagers en J. Il me semble qu'il s'agit de verres d'eau, sans certitude, je n'ai vu que du coin de l’œil.
L'attente se prolonge, toujours aucune info… Je note que la soute à bagages est toujours ouverte, peut-être attend-on des bagages de passagers en correspondances courtes (pas les passagers puisque l'embarquement a été annoncé terminé).
Du coup, penchons nous sur le reste du contenu de la pochette, avec le magazine de bord, qui s'intéresse ce mois-ci à la capitale portugaise.
La flotte airBaltic est assez réduite, avec seulement 4 modèles différents. Mais pour l'instant, je n'en ai testé qu'un seul, le 737-500 !
Le réseau est par contre bien étendu en Europe, avec pas mal de villes desservies en direct…
Petit zoom sur deux nouvelles destinations depuis Riga : Bordeaux et Lisbonne (d'où la une du magazine).
Complétant la carte du réseau, ce petit guide horaire détaillé, un format que j'apprécie beaucoup (mais qui ne convient qu'aux petites compagnies… Je pense que le guide horaire de Lufthansa ou d'Air France prendre un quart du magazine de bord).
Enfin, les habituelles statistiques d'Airbaltic. Curieusement, la ponctualité est indiquée au départ. La mesure à l'arrivée me semblerait nettement plus intéressante à afficher (avec en plus peu de raisons qu'elle soit plus mauvaise que celle au départ).
Ah, ça s'active dans la cabine ! Les coffres à bagages sont fermés… Je remarque d'ailleurs qu'ils ne sont pas tout jeunes.
Idem pour le plafonnier, qui montre quelques signes de faiblesse au niveau des lampions.
Après 30 minutes d'attente, la porte de l'appareil est enfin fermée, et nous repoussons à 10h36, avec 16 minutes de retard donc. Aucune information quant à la raison du retard… Le message de bienvenue nous informe juste d'un temps de vol de 2 heures. L'arrivée à l'heure est compromise, mais le retard devrait donc rester léger.
Les démos sont réalisées, en anglais, et nous commençons le roulage à 10h40. Le roulage est très court puisque nous décollons de la piste 24, situé à quelques centaines de mètres de notre position de parking. Décollage à 10h48, après un peu d'attente le temps de laisser partir 4 autres avions devant nous. Endormissement du rédacteur du présent FR dans la foulée…
Je me réveille bien plus tard, alors que nous sommes en croisière. Je reprends la consultation du magazine de bord. S'il est intéressant pour ses infos "avgeek" assez détaillées (sur la compagnie, les destinations, la flotte, etc), il brille par son manque d'intérêt pour le reste : Plus des deux tiers du magazine sont composés de publicités ou, ce que je trouve pire, d'articles promotionnels pour des restaurants et autre lieux de débauches. Seuls les quelques articles "réels" sont un peu intéressants. Dommage, ça aurait pu occuper mon vol.
Toutefois, notons l'édito, qui présente fièrement la récompense gagnée par la compagnie aux ATW Awards. J'ai parfois l'impression qu'il y a autant de "récompenses" que de compagnies aériennes… ^^
Allez, il est l'heure de partir en promenade, direction le fond de l'appareil ! Vue sur la cabine du plus petit modèle des Boeing 737 "Classic", assez remplie sans être complète, environ 80% de la Y est occupée à vue de nez. C'est assez calme… Le voyage en avion a toujours un effet particulièrement soporifique, c'est l'heure de la sieste !
Le but de la promenade : Les sanitaires, qui sont plutôt propres (Benoit, tu peux scroller donc).
Par contre, quelque chose attire mon regard…
… Mais oui, ces écriteaux sont bien bilingues français-anglais ! Tout comme la signalétique extérieure des WC d'ailleurs, qui indique "Toilette occupée".
Eh oui, je suis à bord du 737-500 YL-BBD, qui vole pour airBaltic depuis 2004… Mais qui a été livré neuf à Air France en 1999, et a volé pendant 5 ans sous les couleurs de la compagnie nationale française, avec l'immatriculation F-GJNU, avant d'être retiré de la flotte en mars 2004 ! Décidément, je ne suis jamais bien loin de mes premiers amours aéronautiques…
De retour à ma place, mon voisin en profite pour se rendre lui aussi aux WC, me permettant de réaliser cette vue "artistique" de l'aile sans winglet… Nous survolons alors le sud de la Suède, mais la couche nuageuse empêche de toute façon de faire du tourisme vu du ciel.
Bien que j'ai loupé le service BoB, passé pendant mon sommeil, je jette un oeil à la carte, qui est située à la fin du magazine de bord. Au passage, évidemment, aucun signe du repas "Tasty Blue" promis par KLM sur ce vol lors de l'enregistrement en ligne. Petit bug, heureusement que je savais à quoi m'attendre… (Si j'en avais le courage, je ferai une réclamation tiens !).
Les prix sont dans la gamme habituelle, donc très élevés, surtout pour les boissons…
Les plats ne donnent pas spécialement envie… C'est assez curieux, airBaltic propose un appétissant service en ligne "airBaltic Meals" qui a l'air assez intéressant (possibilité de réserver avant le vol, pour 15€ environ, un menu avec un vrai plat chaud), à l'image d'Austrian avec Do & Co. Mais dans la carte "de base", rien ne donne envie dans les plats chauds…
Bref, rien de bien passionnant. Par conséquent, je sombre à nouveau rapidement dans un profond sommeil. Vous l'aurez compris, si vous n'avez pas vu grand chose du produit airBaltic à bord (enfin, du BoB airBaltic plutôt), vous saurez au moins qu'on dort particulièrement bien dans les avions lettons, surtout en issue de secours !
Je suis à moitié réveillé par l'annonce de début de descente à 13h23 (heure estonienne), avec un atterrissage annoncé dans 25 minutes. Quelques minutes de retard seulement donc, c'est raisonnable. Je me rendors juste après, et suis finalement vraiment réveillé par le contact des roues avec le tarmac enneigé, à 13h47.
Le roulage est assez long pour Tallinn, la passerelle met un peu de temps à s'approcher, et le débarquement traîne, avec un coffre à bagages récalcitrant qui refuse de s'ouvrir. Un membre de l'équipage vient rapidement débloquer la situation, et me voilà enfin dans la passerelle de l'aéroport de Tallinn, au sol jaune caractéristique.
Il est 13h57, j'en déduis donc que nous sommes arrivés en porte avec environ 10 minutes de retard… Ca vaut bien un 8/10 pour la défunte note ponctualité, non ?
En Estonie, avoir une grosse voiture est encore synonyme de réussite. C'est donc au tour de cette française de s'exposer dans le terminal…
Mais ce qui m'intéresse à ce moment, ce n'est pas les voitures…
… Ni les avions, qui ne sont d'ailleurs pas légions sur le tarmac, mis à part un CRJ900 Nordica et un Boeing 737 indéterminé au parking…
… C'est plutôt se qui se cache au bout de ce sombre couloir !
Welcome ! Madame m'attend sagement derrière ces portes, elle est arrivée peu avant en car depuis sa ville d'adoption, Narva.
L'aéroport de Tallinn n'est pas des plus passionnants landside, nous nous dirigeons donc, après une sobre effusion de joie, vers la station de tramway, située au bout d'une passerelle à quelques dizaines de mètres de la zone des arrivées. Le printemps n'est plus très loin, mais en Estonie, il fait encore bien froid, la tenue de Madame en témoigne. Pour ma part, après 7h dans les avions et aérogares bien chauffés, le passage à l'ère glaciaire est douloureux.
Heureusement, bien que fabriqués en Espagne par CAF, les tramways tallinois disposent d'un chauffage efficace. Le trajet pour rejoindre le centre prend une vingtaine de minutes, pour 2€ (le tarif d'un aller simple pour tous les transports en communs de Tallinn).
Vous me croyez quand je vous dit qu'il ne fait pas chaud début mars, en Estonie ? Même si l'aspect esthétique n'est pas des plus réussis à mon goût, j'aime toujours le concept de cette structure avec quelques destinations accessibles depuis TLL…
Et c'est ici que je vous laisse. On se retrouve dans quelques jours (j'espère !), avec le retour de ce week-end estonien, et quelques péripéties dont je me serai bien passé…
A bientôt, n'hésitez pas à commenter !
Salut Robin
Finalement tu te retrouve un super siège, le pied !
J'ai bien aimé l'épisode du couple qui s'engueule pour savoir qui sera au hublot, ils avaient quel age ? et qui a bénéficié de la fenêtre ?
Fausse alerte concernant le catering offert au Silver que tu es...
Ce vénérable B737 rempli bien sa mission, mais qu'est ce qu'il est gourmand en kérosène !
J'aime bien la carte des destination qui est très claire, ça change de celle de KLM...
AI publie aussi les horaires dans son magazine de bord, j'aime bien.
Un bon vol
Merci pour le partage, à bientôt !
Hello Hervé ! Merci pour le commentaire :)
Oui, j'ai de la chance avec Airbaltic en général... J'aimerais bien pouvoir tester les sièges "normaux" pour une fois ^^
Ils avaient la trentaine ! Je crois que c'est Monsieur qui a hérité du hublot, mais sans certitude (vu ma lenteur pour écrire les FR en ce moment, mes souvenirs sont un peu vagues, et comme je n'avais pas pris de note sur le résultat du conflit sur le moment...).
Je n'espérais pas grand chose du catering de toute façon, même pour un Platinium c'est la diète sur les vols Airbaltic vendus par KLM !
La différence de consommation entre les 737 et les CS300 est effectivement assez impressionnante... Mais le 737 a plus de charme :)
A bientôt !
Carte claire et horaires des vols, c'est tout l'inverse de KLM, on a toutes les infos dont on a besoin pour préparer un futur voyage :)
Merci Robin pour le partage !
Un vol en 737-Classic ça devient rare maintenant aussi en Europe, toujours drôle de retrouver de vieux appareils AF qui travaillent très bien ailleurs malgré leur âge.
Tu as bien fait de ne pas prendre de plat chaud à bord, autant leur catering pré-commandé est excellent, autant les plats à bord sont des barquettes industrielles sans aucun intérêt gustatif.
A bientôt !
Salut Stephan, merci pour le com' :)
Ca se fait rare effectivement... Ça a un certain charme, ces vieux coucou sans winglet. J'aime bien l'idée d'avoir pu regarder passer ce Boeing au dessus de chez moi, de son temps chez Air France, quand j'étais gamin.
De toute façon, mon appétit n'était pas spécialement important, j'étais trop crevé pour avoir faim...
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR,
Un FR dans une cabine vintage digne de celles proposées par PS en Europe.
Des sièges plutôt confortables mais une offre BoB loin du rêve...
A mon sens l'offre Ryanair avec burgers et autres est de loin l'une de celle qui parait la plus sympa.
Bien pour la photo des hygiènes LOL
L'architecture de TLL me laisse de marbre...surement de l'art ou il faut voir celà sous un autre angle!
Bonne journée à toi et à bientôt
Salut Benoit :)
Cabine bien vintage effectivement, ça a pas mal de charme je trouve. Tant que c'est confortable et bien entretenu, ça me va...
L'offre BoB est vraiment basique et manque de modernité ou d'originalité... Je n'ai jamais pris Ryanair, mais vu le concept de la compagnie, aucun doute sur le fait qu'elle sait faire un BoB nettement plus attirant.
L'espèce d'oeuvre d'art devant TLL rend peut-être mieux en été... Parce que là, entre le sol blanc et le ciel gris, on ne peut pas dire que la structure soit bien mise en valeur :)
Merci pour le commentaire, a bientôt !
Merci Robin pour ce FR
Mais le 737 a plus de charme :) => pour moi c'est l'inverse on dira que le CS300 est plus féminin alors...
Encore un coup de chance pour une bonne place et sans payer.
L'offre du BOB n'est pas particulièrement alléchante, il y a bien plus de choix en précommande.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire :)
Ou bien c'est que je préfère le charme de l'ancien ! Mon opinion sur le CS300 est un peu plus mauvaise à cause de son confort plutôt... moyen, malheureusement. Et pas seulement parce que je n'ai que des bonnes places en 737 !
Oui, la précommande est bien mieux, c'est d'ailleurs curieux que ça ne soit pas plus mis en avant que ça.
A bientôt, j'espère pouvoir lire tes FR prochainement ^^
Merci pour ce FR qui me rappelle de bons souvenirs, puisque j'ai pris (et reporté) cet avion précis il y a environ un an, avec un ressenti très proche du vôtre ! A bientôt !
Merci pour le commentaire !
J'avais lu votre FR avant mon premier vol sur airBaltic justement ! J'ai loupé la plaque d'immatriculation "Air France" dans le galley arrière d'ailleurs.
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR !
Le charme du 737 classique t'a envoûté lors de ce vol avec Air Baltic !
Bon bah après c'est du Air Baltic, qui plus est avec un BoB pas très alléchant : dommage.
A bientôt !
Merci pour le com' Jules !
Oui, j'adore ces bons vieux 737-500 "old school", sans winglet au bout des ailes ! Alors si en plus ils sont d'ex-français... ^^
BoB moyen, au final, je m'en fiche un peu vu que je n'avais pas faim du tout ^^ Le vol reste agréable, quand on dort les 3/4 du temps :P
A bientot !