Suite et fin de mon déplacement dominical à Amsterdam. En photo de couverture, le plus fidèle ami de l'homme et aussi, accessoirement de l'okapi. J'avais prévu autre chose mais un oubli de ma part ne vous fera pas voir d'emblée un endroit qui, comme le récite la publicité officielle, est synonyme de détente, divertissement et qui offre des boissons et en-cas composés d’ingrédients sains. Allons bon! Vous n'êtes pas du genre à croire tout ce que la pub raconte quand même? Ou bien vous êtes juste un peu curieux et avez cliqué sur ce FR pour voir l'okapi souffrir les affres de la famine? Bon, comme vous êtes sympa et que mon statut me donne droit à un invité, je vous fais rentrer mais faudra pas venir vous plaindre après, on est bien d'accord?
Petit rappel pour ceux en manque de phosphore…
1. Couché l'okapi! Couché —> Un clic ici ou là suffit pour relire ce petit chef d’œuvre en 787 mais vous pouvez aussi cliquer ici^^
2. De bonne poire ————-> Ici
3. Des millions de pixels —> C'est là, ici, maintenant, tout de suite!
Je vous avais laissés entre l'aéroport et l'hôtel après une séance de spotting statique. Les promesses faites à l'étage seront-elles tenues?
En descendant vers mon point de rendez-vous, j'étais tombé sur cette invitation pour toute la famille. Un moment spécial qu'ils disent! Une visite de l'aéroport en bus? J'aurais préféré la faire avec Flight-Report et une bande de joyeux FR-istes!
En parlant de famille, voilà un truc qu'il vaut mieux que je ne mette pas chez moi… J'y reviendrai dans un prochain FR.
Je n'ai pas eu beaucoup de chemin à faire depuis le Sheraton Schipol. Le gros du travail était déjà fait en amont, ayant téléchargé les planimétries qui nous intéressaient et puis je connais l'endroit. Ce que j'apprécie vraiment des Hollandais, c'est leur sérieux sur le plan professionnel. Comme on dit en anglais, ils sont du genre "no-nonsense". Par contre, au niveau gastronomique, ils ont encore de sacrés progrès à faire. Allons voir si l'alliance avec Air France leur a permis d'apprendre à cuisiner. Mais d'abord, direction les bornes pour s'enregistrer. En fait, j'ai juste besoin de la version papier de ma carte d'embarquement. Les machines sont les mêmes que celles que l'on trouve à CDG ou dans d'autres aéroports du réseau AF. La zone est assez joliment décoré. Un avant-goût de fêtes.
Et hop! Sésame!!!
Direction les contrôles. En passant, je repère cette compagnie méconnue de l'Alliance. Ça doit pas être mal pour aller en Chine mais vu le prix de la connexion Internet qui doit être floutée par les disciples de Mao… Je resterais en Y. C'est plus cher payé que mon abonnement annuel à la fibre à Milan!
Le passage PIF sera rapide même si l'accès prioritaire n'est pas super bien indiqué, tellement rapide que c'est flou… Pourquoi n'y a-t-il pas de body scan à CDG avec tout ce que l'on paye en taxes aéroportuaires?
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LA 25ème HEURE
Airside en moins de cinq minutes, je vais pouvoir aller lounger!
L'accueil est sympathique.
Ceci est en fait ma première visite des lieux. Tout le mal que j'ai pu en lire? Pures calomnies ou vérités absolues? Sans plus attendre, direction le bar.
In vino veritas? Je vous laisse seuls juges. En tous cas pour la première bouteille, ce sont des récidivistes notoires : voilà plus de 4 siècles que ces gens s'obstinent à faire du mauvais vin!
Je vais voir du côté solide… Humus sans goût et beaucoup trop d'ail dans ce pesto.
Ersatz de pasta et autres cochonneries.
Mêli-mêlo de légumes en mode pseudo salade…
Fromage (sic!) et charcuteries (re-sic!)
J'ai pour habitude de ne jamais manger de pâtes hors des frontières de la Botte. Je vais tenter l'exception. Tenter est bien le mot qui convient. C'est immangeable. Notez ces horribles couverts de grand-mère que j'ai déjà critiqués ici-même.
Ce n'est pas le vin rouge qui allait enlever toute trace de méfaits culinaires. L'alcool ne désinfecte pas à tous les coups.
Finalement, le meilleur de la cuisine hollandaise, ce n'est pas la sauce… mais le seul truc que les cuistots locaux ne pourront pas endommager!
Ce que je pense de la nourriture servie dans ce salon? Voici une réponse politiquement correcte qui devrait ravir les plus prudes d'entre vous. Les autres sauront révéler l'encre blanche déjà utilisée par l'auteur dans le passé. 100% merda!
Il ne me reste plus qu'à noyer mon désespoir dans un café serré. Euh, non, il y avait un bouillon de légumes qui passera bien avec les croûtons. Maigre consolation mais consolation quand même.
Café disais-je. Même ça, c'est raté. Le truc dégouline n'importe comment.
Seule note positive de ce salon, l'offre presse qui est plutôt bien fournie.
Inutile de s'éterniser dans les parages, 4 minutes sont nécessaires pour rejoindre la porte d'embarquement.
L'ENVOL
Je vous passe les détails de la porte et de l'embarquement. Les priorités ont bien été respectées et c'est avec le sourire que nous sommes accueillis à bord de cet A320 ce soir. Inutile de préciser que ce vol sera plein. Quelques minutes ont passé et j'en profite pour vérifier l'état de la cabine.
Installer tout le monde à bord ce soir prendra un temps fou. Que je tue en répondant à un sondage.
Finalement, l'embarquement est annoncé comme terminé. Repoussage dans la foulée, les instructions concernant notre sécurité à bord sont exécutées en français et en anglais, une bande sonore en néerlandais sera diffusée juste après.
Un roulage rapide vers la piste proche me permet de parfaire mes aptitudes photographiques alternatives (lisez flou absolu).
PNC, DÉCOLLAGE !
Seules photos à peu près potables du lot, une fois en vol…
La météo pourrie en ce mois de Novembre se confirme peu après que les moteurs soient passés en mode CL.
Même si quelques trouées restent possibles.
J'ai pourtant fait de mon mieux mais comme les lumières sont très vite rallumées…
Toute tentative est vaine!
Le rideau est tiré comme un voile pieux sur mes envies pécheresses de spotting extérieur.
Concentrons-nous sur l'alimentation.
Euh, non, pas celle-là. L'autre évidemment!
Mon sandwich préféré du catalogue moyen-courrier Europe by Air France…
Servi avec les boissons du soir. Une eau gazeuse pour digérer l'indigeste d'avant et du rouge pour oublier ces mauvais souvenirs.
Santé à tous les rescapés, passés, présents et futurs du Frown Lounge !!!
Une fois que tout cela est ingurgité, il ne me reste plus qu'à marathoniser ce qui peut l'être.
Le reste du vol passe très rapidement, entre PNC qui font le service et remettent de l'ordre en cabine. La descente est annoncé. Quelques minutes plus tard, le passage du niveau 100 est sanctionné par l'allumage des feux d'atterrissage.
C'est une nuit sans lune qui nous attend à Paris. L'atterrissage est imminent.
Posés sur la 26L
En roulant vers notre point de stationnement, nous croiserons un Airbus aux couleurs de la République
Pour finir au 2F, ponctuels 10/10!
PNC, dernier virage.
Moteurs éteints, trappes de soutes à bagages ouvertes, tout le monde s'empresse de sortir de l'avion.
Avant de partir, je regarde la fiche de sécurité qui n'était pas encore estampillée Joon.
et prends une dernière photo de mon espace vital dans cette cabine archi-connue.
Verrons-nous un jour des avions sans accoudoirs?
Je salue et remercie l'équipage puis quitte l'avion en bon dernier. Leur journée de travail n'est pas finie. Je repère la prochaine destination inscrite sur un tableau horaire en contre-bas : Montpellier. Ça me rappelle quelque chose, vaguement.
DES MILLIONS DE PIXELS
Vous en conviendrez, un vol Amsterdam Paris n'est pas le genre de vol que l'on raconte dans les soirées mondaines pour épater la galerie. Si ma journée a été bien remplie dans les airs avec ce début en Dreamliner puis un tour en Boeing, ce n'est qu'une fois sorti de l'avion que le plus intéressant va se produire.
Arriver d'Amsterdam, c'est toujours un peu suspect. On se demande bien pourquoi… Le comité d'accueil m'attendait ainsi que tous les autres passagers et le fait que je sois sorti en dernier et prenne mon temps pour faire quelques clichés interdits en zone aéroportuaire n'arrange pas les choses. La maréchaussée locale est là.
Je vois déjà le genre de questions qu'ils vont me poser et je n'ai aucune intention de perdre mon temps à leur expliquer ce qu'est un repérage dans l'événementiel, j'ai déjà tenté avec d'autres et cela ne les a pas éclairés plus que cela. Mode Mariole [ON]
- Bonsoir Monsieur, nous procédons à des contrôles.
- Ahhhh! Enfin quelque chose à raconter à la postérité. Cela fait longtemps que j'attendais ça!
Le seul douanier non médusé par ma réponse, c'est bien le gentil toutou. Quelques caresses et le voici qui sympathise avec l'ennemi potentiel.
- Vous arrivez d'Amsterdam?
- On peut voir les choses comme ça…même si je ne suis resté que dans le périmètre aéroportuaire.
- Et qu'y faisiez-vous?
- Rien.
- Pardon?
- Oui, rien, absolument rien. Comme dans rien, R-I-E-N. En fait, avant Amsterdam, j'arrivais de Lyon. Et avant encore, de Paris d'où je suis parti ce matin. Vous voyez mon sac qui vous intéresse tant? C'est marqué flight-report dessus. Vous connaissez? Le but de ce site, c'est de partager ses propres expériences en vol. J'admets que c'est un peu pour initiés. Alors, voici: J'ai commencé ma journée à bord d'un Boeing 787 d'Air France puis me suis embarqué dans un Boeing 737-700 de KLM pour aller survivre au salon business qui, soit dit en passant est tout sauf une affaire et me voici, prêt à répondre à toutes vos questions ce soir avant d'aller affronter un retour vers Paris en RER B. J'espère ne pas vous décevoir.
- Et que faut-il pour faire un bon flight-report comme vous dites? me demande le douanier.
- Ahhh, mais c'est une excellente question! Et justement, pour faire un bon "report", il faut s'en poser plein. Etre attentif et observateur. Ne rien laisser passer et surtout, avant d'écrire, il faut savoir lire. C'est un peu comme dans votre métier. Si jamais vous prenez l'avion, vous pourriez même penser à écrire une jolie histoire sur votre voyage.
- On verra. Et qu'y-a-t'il dans votre sac?
- Des millions de pixels Monsieur. Je fais des photos en haute résolution de chaque phase de vol alors avec trois vols à mon actif aujourd'hui, c'est d'au moins 500 clichés que l'on parle. Vous imaginez le nombre de pixels? Et…Vous voulez voir?
Et là, le gars me répond que non, ça ira. Ses collègues n'ont qu'une envie, se débarrasser de moi au plus vite pour aller contrôler les bagages en sortie et coffrer le dangereux lascar qu'ils ont appréhendé un peu plus tôt avec ses herbes pas de Provence ou sa tablette qui ressemblerait vaguement à du chocolat. Se débarrasser de l'okapi n'est pas chose aisée et voilà que je sors mon appareil photo pour mieux les éclairer. Ils me rappellent les deux zouaves de la GTA à Montpellier au mois d'avril dernier. J'ai bien insisté poliment mais pas de selfie possible avec la troupe d'élite. Dommage, cela aurait fait une belle couverture en une de ce FR.
- C'est bon, ça ira.
- Vous n'êtes pas très fan d'avions vous, un comble quand on travaille dans un aéroport!
Et en m'adressant à la collègue demoiselle douanière de son état, je lui propose une lecture toute indiquée sur mon smartphone : Flight-report point com. Allez-y c'est du solide et vous pourrez toujours lire, entre autres, les histoires de l'okapi national aux prises avec vos collègues sudistes. Elle reste de marbre et me rappelle une certaine icône Milanaise d'un précédent report…
Pas intéressés pour deux sous, ils m'abandonnent à mon triste sort dans les couloirs lugubres de CDG. Le clébard a droit à une gentille caresse. Le dialogue est resté courtois à tout moment mais pour les affinités, faudra repasser.
Las, il ne me reste plus qu'à aller faire mon test okapi, commune et digne conclusion de chacun de mes vols parisiens.
Ce test est une réussite. J'ai oublié de le faire à AMS mais là-bas aussi, ce fut un succès. Il y a des fontaines partout.
Direction la sortie qui sera rapide et agile une fois encore parce que je sais où est caché celui qui souhaiterait m'empêcher de photographier!
Je franchis la porte pour un spotting d'un autre genre….
Il paraissait débonnaire comme un certain juge dans les aventures de Lucky Luke mais avec un odorat 180 fois plus puissant que celui de son maître, c'est un fin limier qui s'agitera beaucoup, quelques instants plus tard, autour d'une valise. Bravo le clebs, mission accomplie. Je n'aimerais pas être le proprio de la valoche en question.
De l'herbe à CDG? En veux-tu en voilà, sauf que celle-ci était tellement mauvaise qu'une bonne âme l'a arrachée. Finalement.
Voilà, c'est tout pour le moment. La suite au prochain numéro.
Comme d'habitude, merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈
Merci Guillaume pour le récit (je ne reviens pas sur le frown lounge et le vol, rien de neuf sous les tulipes bataves) mais quel final avec les douaniers, tellement drôle. Top !
Hello Doorman!
"je ne reviens pas sur le frown lounge" -> Pas de problème, le Frown lounge est capable de renvois tout seul ^^
Quant aux douaniers, je les ai souvent espérés à la sortie du 2F et même quelque fois nargués mais cette fois-ci, ils ont anticipé la manœuvre pour mon plus grand plaisir (et celui de mon lectorat). N'ayant rien à me reprocher, j'ai pu me permettre quelques incartades. Ils ne faisaient que leur boulot et ce n'est pas moi qui m'en plaindrai! Merci pour ton com'
Je ne connaissais pas cet usage de l'encre sympathique pour décrire une nourriture antipathique.
Récit intéressant en passerelle et bravo pour avoir réussi à l'illustrer par la suite.
Je n'ai jamais été importuné pour raison photographique par le quidam qui tue son ennui après les sas anti-retours.
Merci pour le partage !
Bonjour Mètre.
"Je ne connaissais pas cet usage de l'encre sympathique pour décrire une nourriture antipathique." -> C'est de l'autocensure 2.0
"Récit intéressant en passerelle et bravo pour avoir réussi à l'illustrer par la suite." -> C'est aux heures et dans les plus sombres que CDG se révèle aux voyageurs les plus curieux...
"Je n'ai jamais été importuné pour raison photographique par le quidam qui tue son ennui après les sas anti-retours." -> Le retour de manivelle m'a souvent importuné mais maintenant, je sais comment photographier discrètement. Un okapi avisé en vaut deux!
"Merci pour le partage !" -> Merci pour la lecture et le commentaire!
Salut Guillaume et merci pour le dernier FR de cette série.
Quelle tristesse ce salon, il n'y a vraiment rien qui va... Il me semble, à la lecture des FR plus récent que le tien que l'offre semble s'améliorer à la marge. Légèrement, c'est déjà ça, mais ce n'est toujours pas grand chose tant la barre est placée basse! Belle offre de presse francophone.
Dur dur les photos en mouvement, de nuit, sous la pluie, derrière une vitre :) on ne s'en sort pas!
Collation sympa, je cherche toujours à comprendre quand les PNC laissent la canette de Perrier à disposition et quand ils se contentent de verser un seul verre de ce liquide.
Pauvres douaniers, ils ne savaient pas sur qui ils allaient tomber =)
Merci encore et bonne soirée.
Merci Mathieu. Moi qui te croyais encore à Montréal...
"à la lecture des FR plus récent que le tien que l'offre semble s'améliorer à la marge." -> J'y suis passé en avril comme documenté récemment ici-même et je n'ai pas constaté d'amélioration. KLM en revanche a annoncé l'introduction de points très positifs dans ses avions pour prochainement. On verra si les faits suivront les annonces.
Le salon n'est pas mauvais en soi mais la nourriture y est excécrable pour tout palais latin. Je te passe les commentaires d'Italiens entendus ça et là.
Le catering Air France est constant dans son manque de constance. C'est ce qui fait sa constance? Drôle de façon de résumer l'affaire mais tant qu'il y a quelque chose à se mettre sous la dent, ne nous plaignons pas.
"Pauvres douaniers, ils ne savaient pas sur qui ils allaient tomber =)" -> Ils n'avaient qu'une hâte, se débarrasser de moi mais comme j'avais un FR à écrire, il fallait bien que j'aie une histoire à raconter. Et puis, c'est eux qui ont commencé avec leurs questions :-D
Merci pour ta lecture et pour le commentaire! À bientôt.
Merci Guillaume pour ce ZollReport.
Heureusement qu'un sympathique toutou est venu égayer ce triste reportage nocturne où tu ne nous a même pas gratifié de quelques gros plans sur le sandwich du soir !
Savoir créer un événement, c'est un métier n'est-il pas?
A bientôt !
"Heureusement qu'un sympathique toutou est venu égayer ce triste reportage nocturne où tu ne nous a même pas gratifié de quelques gros plans sur le sandwich du soir !" -> J'ai tout fait pour que l'image en Une soit aguichante sans pour autant tomber dans la Lassie-tude. Le sandwich n'est pas assez gros pour permettre des gros plans mais je promets d'en faire l'autopsie à la prochaine rencontre.
"Savoir créer un événement, c'est un métier n'est-il pas?" -> Le mien et je l'aime, j'avoue!
Merci Franck pour ce commentaire.
Merci Guillaume pour ce FR
C'était la fête au Frown Lounge... Une histoire qui se répète trop souvent !
L''épique discussion avec les douaniers dans la passerelle vaut son pesant de cacahuètes, à défaut de Marie Jeanne... ^^
A bientôt.
Hello Hervé!
"C'était la fête au Frown Lounge... Une histoire qui se répète trop souvent !" -> C'est une destination tellement à la mode que l'okapi en remet une couche, comme ça, dans la foulée mais avec une légère variante...
"à défaut de Marie Jeanne... ^^" -> J'aurais dù demander à la douanière si Marie-Jeanne n'était pas son vrai prénom. La prochaine fois, promis!
Merci pour ta lecture et le commentaire!
Merci Guillaume pour ce FR.
Les pâtes du Frown Lounge sont trèèèèèès mauvaises.Et pour le reste je doute de la qualité gustative.
Une rencontre avec les douaniers, l'Okapi n'a pas besoin de Marie Jeanne pour amuser ses auditeurs.
A bientôt
Bonjour Valérie! "Les pâtes du Frown Lounge sont trèèèèèès mauvaises." -> Content de savoir que je ne suis pas un enfant gâté. "Et pour le reste je doute de la qualité gustative." -> Le seul truc Italien qui passe, c'est le Campari. Je crois que #jeramènemescoursesdel'extérieur sera plus adapté lors de mon prochain passage. Le salon reste néanmoins plus confortable que les zones lambda. Pour Miss MJ, je ne peux que renvoyer au commentaire fait à Hervé. Heureusement que je n'arrivais pas de Riga avec certains bonbons en poche :-D
Merci Guillaume pour ce FR ;)
Copié-collé de mes aventures bataves (et de celles des autres FRistes ^^) d'il y a moins d'un mois.
Ils font du bon vin dans le coin mais je doute de la qualité de ceux sélectionnés par le Crowne Lounge...
L'okapi est un animal qui socialise vite mais il n'est pas forcément très apprécié du Douanier Rousseau !
A très vite!
Hello Jules. Il faudrait vraiment qu'ils remplacent leurs équipes d'acheteurs chez KLM. Ce salon est certes très spacieux et confortable mais l'offre de nourriture n'est ni bonne ni saine. On peut faire des merveilles avec peu de choses mais ce n'est pas non plus dans la mentalité locale. Dommage.
Le vol quant à lui est resté fidèle à lui-même comme le chien qui m'attendait en sortie de passerelle. Un moment bien amusant, j'en conviens.
À la prochaine bière!
Merci beaucoup pour ce FR! En fait tout le monde est très critique sur le salon KLM à Amsterdam, mais personnellement je trouve que cela reste mieux que certains salons Delta (e.g. Cincinnati ou Chicago)... Nos amis hollandais s'intéressent au retour sur investissement et donc ce salon correspond bien au profil des personnes en correspondance dans l'espace Schengen! Tôt ou tard il y aura 2 salons dans les aéroports: un pour les membres gold / platinum et un autre pour les vrais clients business...
Ahhh! Un commentaire que j'attendais : On peut s'intéresser au rendement de ses investissements sans sacrifier à la qualité générale d'un produit et c'est là que le bas blesse. Je ne trouve que peu de qualités dans ce salon. Certes, c'est effectivement mieux que ce que l'on trouve outre-Atlantique mais j'ai été agréablement surpris par le salon 1903 à Manchester, dans un pays pas forcément réputé pour la qualité de sa cuisine. On pense souvent, à tort, que seule la partie Hollandaise a généré des profits pendant qu'AF et ses compagnies satellites ont été des boulets à traîner dans les longs couloirs de la finance aéronautique. C'est quand même Air France qui a racheté KLM (en ménageant l'énorme égo néerlandais sous forme de fusion). Il y a au niveau des prestations F&B une différence culturelle notoire entre Français et Hollandais et cela se ressent dès le salon. Il n'est pas mauvais en soi mais pas bon non plus.
"Tôt ou tard il y aura 2 salons dans les aéroports:" -> voilà une idée qui peut faire son chemin et elle serait applicable chez AFKL si :
1. Une vraie classe Affaires existait sur le réseau domestique/moyen courrier Europe.
2. Une vraie offre qualifiante était offerte aux passagers haute contribution.
3. Encore faudrait-il qu'il y ait de la place suffisante pour créer ces espaces. Un passager Gold ou Platinum rapporte-t-il moins à la compagnie qu'un passager J ou F occasionnel et sans statut ? La question reste posée...
Merci pour cet excellent commentaire, Hugo!
Bonjour !
Merci pour le FR.... Visiblement une grande sincérité pour faire comprendre que le salon à Schipol ne mérite pas d'étoile au Michelin ! S'en souvenir !
Y étant passé récemment pour un AMS IBZ pas encore sur FR, je repense à cette chose si pratique à AMS : le temps de marche prévisible indiqué sur les tableaux. Pratiques, dans une grande aérogare !
Quant à la maréchaussée, j'y ai eu droit aussi... sur le IBZ AMS qui a suivi : promis, FR à venir !
Merci !
Schipol est un aéroport où l'on marche beaucoup (ce qui ne me déplaît point) et l'indication du temps nécessaire pour rejoindre les différentes portes est une innovation dont devraient s'inspirer tous les aéroports. Le salon est confortable mais l'offre culinaire n'est pas adaptée aux palais les plus raffinés. J'ai récemment entendu des américains se plaindre de l'absence d’œufs brouillés au pdj et ce n'était pas anecdotique. Il y aurait fort à faire pour rehausser le niveau et cela n'implique pas nécessairement Champagne et caviar.
La maréchaussée et AMS comme point de départ ou d'arrivée, c'est un classique. Dans mon cas, ce fut marrant, bien moins envahissant que certains contrôles subis suite à ma manie de photographier à tout va. Merci pour la lecture et le commentaire. À bientôt!
Hello Guillaume! Merci pour le récit!
La fin de FR avec les douniers vaut tout son pensant d'or, mais fait gaff à ce que tu racontes, ils auraient pu penser que tu as consommé ce qu'ils cherchaient justement haha
A+
Hello Ben! J'aurais pu proposer un test capillaire (couper les cheveux en quatre est ma spécialité) même si la rareté de ma pilosité crânienne aurait pu pousser à une autre solution de facilité : utiliser avec tact et doigté... euh, non. Pas là!
Les déjections okapiennes ne sont pas bienvenues dans les couloirs de CDG même si je me souviens avoir vu les restes d'un repas canin nettoyés par un malheureux homme de services dans ces mêmes couloirs. Mémé et son caniche ont eu du mal à se retenir?
Les douaniers sont nos amis!
Merci Guillaume pour ton dernier FR.
Dépucelage au frown lounge, il es des premières expériences plus agréables.
Comme lieu de ségrégation financière sinon social, ce salon remplit son office. Mais comme la J de KL, il présente un défaut majeur : il manque totalement et irrémédiablement de glamour. Et ce n’est pas nouveau !
Qd je débourse du cash en quantité pour la J, j’attends un peu de tralala. Ne pas choisir KL pour cela.
Vol sans (c)anicroche jusqu’à la fin. Je trouve l’okapi un poil impertinent, cela risque de lui jouer des tours aussi innocent soit-il !
"Dépucelage au frown lounge, " -> J'aurais plutôt associé l'idée à du bizutage^^
"il manque totalement et irrémédiablement de glamour." -> le rêve est opposé à l'efficacité chez les Hollandais.
"j’attends un peu de tralala" -> tu en auras un peu plus sur ton prochain vol avec mes amis transalpins. Spritz et limoncello ne sont pas Bataves...
"Je trouve l’okapi un poil impertinent" -> L'okapi est poilu
"cela risque de lui jouer des tours aussi innocent soit-il !" -> je suis amateur (pas si innocent que cela) de tours et détours...
Merci pour ton commentaire!