Avis du vol entre Tokyo et Singapore en classe Premium Eco avec Delta Air Lines

Il est temps pour moi de quitter ce pays que j’adore.
Rappel du programme :
- Sydney Taipei, China Airlines, A350-900, économie, https://flight-report.com/fr/report/33298/China-Airlines-CI052-Sydney-SYD-Taipei-TPE
- Taipei Narita, China Airlines, B747-400, économie, https://flight-report.com/fr/report/33413/China-Airlines-CI100-Taipei-TPE-Tokyo-NRT
- Narita Singapour, Delta Airlines, B767, éco premium, Ici et maintenant
- Singapour Sydney, British Airways, B777, économie
Ce Fr ne sera peut-être pas aussi complet que je l’aurais espéré, mais j’ai voyagé accompagné, avec quelque supérieur hiérarchique (!). Je n’ai pas honte de publier sur Flight report (j’en suis même un peu fier !), mais je ne veux pas le faire au détriment de mon travail, évidemment.
Une fois encore avec Delta, j’ai succombé aux sirènes du surclassement payant vers la Premium Eco. La différence de confort n’est certes pas énorme, mais elle ouvre la voie à un meilleur retour sur investissement en points XP, pour une somme raisonnable (105 AUD environ).
Le Narita Express est pour moi le moyen le plus pratique de rejoindre Narita.
Un petit saut de taxi jusqu’à Marunochi Tokyo station et c’est parti
Difficile de se perdre dans les transports en commun Japonais.

Les documents

Sur le quai, le train

La cabine

Le pas

Wifi a bord (très efficace)

Arrivée à Narita Terminal 1, 45 minutes plus tard

Arrivée du train au B1 et enregistrement au 4F. Si on rate l’ascenseur direct, il faut s’amuser à enchainer les escalators.

Visiblement, pour moi, c’est l’aile Nord.

Je suis très en avance (check out de l’hôtel oblige) et je me demande si je vais pouvoir enregistrer mes bagages. Finalement pas de soucis.
Zone Skyteam

Distributeur de Boarding Pass

Delta Sky priority

Petite attention sucrée (j’ignore si le petit peuple y a droit…)

J’irai rendre la Pocket Wifi loué le temps de mon séjour au Japon. Indispensable, à mes yeux, depuis que j’y aie eu accès lors de mes précédents séjours.
Le PIF, vue de dos

L'acces a la PAF (pas d'autre photo)

Direction le salon.
Malheureusement, NRT étant un hub Delta, la compagnie américaine exploite son propre Lounge. Connaissant le style de la maison, j’aurais préféré une collaboration locale.
Okay, je dis n’importe quoi ! Ça m’apprendra à avoir des préjugés.
Voici le Delta Sky Lounge à Narita airport.
L’accueil fut plus que sympathique :
« A quelle heure est votre vol ?
Parfait, vous allez pouvoir profiter du salon.
Voulez-vous que je vous explique les différentes zones ?»

Le salon est un immense arc de cercle, avec l’entrée au milieu de celui-ci. Les zones sont strictement identiques de part et d’autre de cette entrée.
Seul le spotting diffère.
Le spotting, justement, a l’air très facile (je ne suis pas spécialiste et je ne m’y risque pas).

Les toilettes

L’offre liquide

Offre solide, chaude,

Froide

Okay, ce n’est pas de la grande gastronomie, mais c’est largement au-dessus de l’habituel standard des compagnies US.
Je confirme (sans photo, désolé), que NRT est bien un hub Delta.
Pendant mon séjour au salon, j’y ai vu arriver pas moins de 5 avions (dont un A350).
L’heure de rejoindre la porte d’embarquement approche, dont acte.
Pas de photo de l’embarquement. Celui-ci sera effectué dans une grande discipline, après vérification en amont des boarding pass.
Arrivée dans l’appareil

Mon siège

Autour de moi

La pochette

Le pitch, très confortable en W Delta. C’est (presque) la seule différence par rapport à l’’Economy class (main cabin).

Repoussage dans les temps, puis parking un peu plus loin, pour une dernière vérification technique, et avis d’Atlanta, nous dira le commandant S’il y a des spécialistes des protocoles techniques Delta, merci de m’éclairer.
On partira donc avec un peu de retard (15 min + ?)
L’écran timbre-poste

Assez réactif et complet, même s’il n’est pas de dernière génération…

Airshow

Distribution rapide du menu

Un peu moins d’une heure après le décollage (en fait, je n’en sais absolument rien, j’invente…), service d’un (généreux) apéritif, précédé d’un oshibori froid.
Pas de photo, désolé.
Puis arrive le repas, après dégustation dudit apéritif. C’est assez agréable de nous laisser le temps de siroter la dive mixture.
Chicken pour moi. J’ai eu droit à des salutations nominatives à cet instant du vol. « Mr Chpl, quel plat avez-vous choisi ?»

RAS, ça reste du catering Eco ou assimilé
Distribution d’une bouteille d’eau

Cabine dans le noir, et passages réguliers de l’équipage pour maintenir une hydratation correcte
A noter, le Wifi gratuit pour les données textes (Messenger, Imessage, What’s app) qui marche parfaitement et est très facile à paramétrer.
Et l’app Delta

La dernière heure de vol s’avèrera très mouvementée, au point de ne pouvoir servir la dernière collation.
Quand le calme reviendra dans la cabine, les PNC effectueront juste une distribution de Donuts et verre d’eau ou jus d’orange. Tout en s’excusant au micro de ce désagrément.

La suite est des plus classiques.
On approche
Version IFE

Version tablette et appli Wifi

On y est. Un de nos rares voisins, une fois débarqué.

Je ne rappellerai pas ici l’efficacité de Singapour Changi.

Bagages délivrés rapidement et transfert (tardif) vers mon hôtel pour une nuit bien méritée.
J’avais suivi la veille, depuis Tokyo, la qualification de l’équipe de France pour la finale de la Coupe du Monde (3h à 5h).
Merci de m’avoir lu !
Un petit bonus maintenant, si ça vous tente

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Petit bonus Tokyoïte.
Je ne me prétends pas être un spécialiste du Japon. J’en suis à mon 6eme séjour, dont 4 pour le travail. J’essaie de faire de mon mieux pour le découvrir un peu différemment à chaque fois.
Tokyo vu d’avion

Tokyo vu d’en haut (Sunshine 60 observatory, Ikebukuro)

Quelques photos de Shinkansen au ralenti (Katsu Kaikan Coline, terrasse du centre commercial)

Quelques images depuis l’eau
Le Rainbow bridge

Tokyo Tower au loin

Tsukiji, marche aux poissions, vu depuis l’eau

Immeubles originaux

Ramen chez Ippudo, toujours excellent

Merci d’avoir explore ce bonus.