C'est le trajet de retour du week-end du 14 juillet :
ORY - NCE : AF6202 (A321) c'était là
NCE - ORY : AF6229 (A321) vous êtes ici
Qui pourrait prétendre que mi juillet est une haute saison sur la Côte d’Azur ? Les routes depuis l’arrière pays et sur la côte étaient quasiment vides, comme si la vie s’était arrêtée sur tout le trajet jusqu’à l’aéroport. Le trajet a donc été particulièrement facile jusqu’à cette statue signée Max Cartier. Intitulée Le Voyageur, cette œuvre de 25 tonnes de pierre et 6 tonnes de fers à béton affiche un message clair : il y a des PAX qui sont vraiment lourds.
Je trouve plutôt mal signalé l’itinéraire de restitution des voitures de location, mais j’ai néanmoins fait un sans faute au prix d'un coup de frein un peu brutal, et sur place, c’est allé vite. (J'ai le souvenir d'avoir attendu interminablement parce que le client devant moi avait eu un accrochage, voyant l'heure de clôture de l'enregistrement se rapprocher dangereusement à une époque où je n'avais pas de smartphone qui m'aurait permis d'avoir un BP dématérialisé)
Trajet jusqu’au terminal 2
… que voici
Il n’y a décidément pas grand monde, et en plus, ce ne sont pas des PAX
Passage à une borne polyglotte – l’absence de l’arabe dans l’échantillonnage de langues proposées me surprend un peu, mais il fallait laisser de la place pour les langues scandinaves qui ne me semblent pourtant pas primordiales, tant leurs locuteurs maîtrisent bien l'anglais.
L’OLCI m’avait appris que nous étions un rang plus en arrière qu’à l’aller (chez AF, c’est le rang 14 qui suit le rang 12),
…du côté droit, ce qui me convenait pour voir les Alpes avant la nuit.
Choisir un siège plus en avant ? Je n’avais pas pensé à la hotline FB Plat suggérée par mes lecteurs du FR du vol aller pour que Mme reste à mes côtés, et deux heures avant le décollage, il n’y avait de toute façon que quelques sièges épars disponibles.
Donc pas d’étiquette bagage, pas de changement de siège, pas de changement de vol : uniquement les BP.
J’aurais certes pu aller aux comptoirs manuels, où il n’y avait quasiment personne
Ou au comptoir Skypriority, où il n’y avait quasiment personne non plus.
Passage très rapide du PIF (certes un peu plus rapide pour cause d’accès SP, mais pas tant que cela)
Et arrivée dans cette galerie marchande quasiment déserte
Montée au salon qui est encore plus mal indiqué que les retours de location de voiture. L’accueil des dragons est courtois. Il n’y a personne à ces ordinateurs en libre service (qui les utilise encore ?).
Personne non plus à ces balancelles très originales
Personne tenté par un billard qui est non moins inhabituel
Bébé est parti en laissant sa valise
… mais il n’est pas allé se faire changer. (On notera qu’ici, le change des bébés est vraiment réservé aux femmes, même si elles peuvent porter un pantalon pour ce faire). Mais où sont les PAX en cette fin d’après-midi, un dimanche d’été ?
Les PAX, ils sont là, massés devant un grand écran
Debout, assis, allongés
Ou autour d’un plus petit écran, debout s’il le faut.
Ou en amoureux devant leur tablette, tous sur TF1
Car la plupart de mes lecteurs s’en souviennent probablement, c’est la finale de la Coupe du Monde de football, et à un quart d'heure de la fin du match, c’est bien parti, mais pas encore gagné pour l’équipe de France.
Mon heure de départ en voiture vers NCE n’avait pas du tout été un hasard : je savais qu’il n’y aurait personne sur le trajet de bout en bout. Aux comptoirs d’enregistrement, les écrans alternaient d’ailleurs avec un message qui n’avait rien d’aéronautique. (J'ai envisagé d'utiliser cette photo en titre, mais cela aurait rompu le suspense, pour les lecteurs ayant oublié l'événement du jour.)
Le présentoir des magazines est assez vide
… mais les quotidiens n’ont qu’un sujet en une
Pour ce qui est des jus de fruit, AF fait les choses bien avec six variétés différentes
Je n’ai pas d’opinion sur les variantes alcoolisées
Le coup de sifflet final retentit ; j’ai l’impression qu’il y a très peu de Croates dans le salon
Dans le hall en bas, des PAX improvisent une farandole
Ces émotions ont dû donner soif, et il n’y a plus un verre au bar : le personnel de service était manifestement devant leurs propres écrans depuis la mi-temps.
Pour la même raison, il y avait des reliefs de repas partout dans le salon.
Au fait, pour les non-fans de foot, qu’y avait-il à manger ?
Pas grand-chose, parce que le personnel de service n’avait manifestement pas la tête à faire le service. (Il a fallu plusieurs passages pour voir arriver au compte-gouttes ces mini-quiches et ces sandwiches.)
Les laitages, eux, avaient été approvisionnés à l’avance
Tout comme les différents aliments à longue conservation à température ambiante.
Café, thé… du banal
Entre temps, Mme et moi avions eu l’embarras du choix pour nous installer, à proximité de prises secteur et USB dont nous n’avions pas un réel besoin, mais aussi avec vue sur le tarmac
Le salon AF de NCE est lumineux ; il domine l’espace airside tout en étant isolé phoniquement isolé par des baies vitrées.
Ce n’est que pour les appareils les plus éloignés que ce salon est bien adapté au spotting, encore qu’alors l’air chaud dégrade les lointains.
ATR42 Fedex
737 privé
A321 AF, photographié avant d’entrer au salon
Car une fois dans le salon, la structure de la verrière devient impossible à éviter, et rend également difficile le réglage de l’exposition. J’ai trouvé la situation assez frustrante : pour faire de meilleures photos, il fallait ne pas être au salon. Une fois n’est pas coutume, les photos qui suivent sont en ordre chronologique.
A321 Turkish Airlines
A32x Easyjet
A320 Nouvelair
737 Transavia
A320 MEA
E-145 Hop!
A320 Swiss en livrée Star Alliance
737 RAM devant deux A320 British Airways
A320 Tunisair
E-175 Alitalia
Un vénérable ATR42 Chalair, âgé de 25 ans
Arrivée d’un A321 AF
737 LOT
737 Jet2
A319 British Airways et Germanwings
A319 Eurowings
(Tiens, encore un A319 à doubles issues de secours sur l’aile…)
Mieux vaut apprécier le salon, car AF nous propose d’y rester une heure de plus que prévu. Je n’ai jamais compris pourquoi l’HLE reste inchangée, alors même que l’avion n’a pas encore décollé d’ORY.
Remarquez, la situation était pire pour les PAX à destination d’AJA, dont faisait peut-être partie la petite famille qui s’est installée près de nous pendant une demi-heure. J’ai pensé que M. avait dû poser pour la sculpture à l’entrée de l’aéroport, vues ses tirades sur le transport aérien.
Il est STD+30’, et donc enfin l’heure d’aller à la porte d’embarquement.
Message bien reçu : j’aurais dû re-télécharger l’application de presse d’AF dans mon téléphone.
Un A319 comme notre avion
… enfin, presque tout comme : cet A321 ressemble beaucoup plus au nôtre. ^^
L’instant porte (et capteur de hauteur de porte) pour me faire pardonner ce qui précède.
Accueil sympathique par l’équipage en porte :
-Monsieur, est-ce que vous pouvez placer votre sac à dos sous le siège devant vous ?
- Non seulement je peux le faire, mais je vais le faire !
PNC à ceintures rouges assorties aux repose-têtes.
Les repose-tête rouge vif donnent un aspect impeccable, mais quand on regarde un peu de près, aïe aïe aïe !
Les sièges ne sont pas bien propres
Mais c’est nettement pire au sol devant mon siège
… comme celui de Mme
… et encore pire de l’autre côté de l’allée centrale.
Mon aumônière n’a pas été vidée non plus
Bref, c’est un avion qui n’a pas été nettoyé, certainement pas à NCE, et peut-être bien pas avant le vol précédent non plus. Là aussi, le personnel était peut-être en train de regarder la finale de la Coupe du Monde de football.
Non, ce n’est pas un doigt d’honneur à l’adresse d'AF (cette gestuelle n’est pas mon genre), mais une tentative d’allumer ma liseuse qui ne marche pas.
Celle de Mme marche
… mais c’est un pis aller, d’autant plus malencontreux que l’avion a presque une heure de retard et que l’avion est beaucoup plus rapidement dans l’obscurité.
La carte de sécurité recto-verso, en version pré-Joon
Embarquement d’une PAX (et derrière, de son compagnon, porteur d’un drapeau) qui a dû suivre le match avec attention.
Pour ce qui est de la vue sur les Alpes, il ne faut pas rêver : l’avion a trop de retard
A319 Easyjet Switzerland
A321 AF
Il est 21h16 et on part enfin : le Terminal 2 au crépuscule
Tunisair, Aeroflot, Volotea au contact, mais il y a vraiment trop peu de lumière
Décollage à 21h26
Par condensation, de la vapeur d’eau apparait pendant assez longtemps dans les ouïes d’aération
Virage vers le nord : dommage qu’il soit si tard pour la vue de la côte !
Nice et St Jean Cap Ferrat
Non, ce n’est pas une nouvelle piste à NCE, mais un reflet sur le hublot
NCE juste devant le réacteur et la Promenade des Anglais illuminée
L’extinction du signal « attachez vos ceintures » a donné le coup d’envoi d’un sketch amusant : un PAX a longuement tenté de placer dans ce coffre à bagages une valise qu’il avait probablement dans les pieds au décollage, à peine moins grosse que les deux qui s’y trouvaient déjà. Il a mis très longtemps à se résigner aux lois de la géométrie des solides indéformables.
La principale différence que je vois entre les vols l’aller et retour, c’est que la quantité de nourriture de solide est passée de 30 grammes à l'aller à 20 g salés à Mme et 21 g sucrés à moi-même. C’est toujours mieux que zéro gramme chez Easyjet.
Comme à l’aller, le compactage des emballages n’avait aucun intérêt particulier.
Nous étions dans un avion du groupe AF, où le change des bébés est par pictogrammes réservé aux femmes, mais M. PAX12D n’a pas hésité à braver cet interdit culturel pour aller changer PAX12Fbis. PAX12E, sa grande sœur, a été très sage pendant tout le vol.
Le vol se poursuit dans la nuit sans événement particulier ; toucher des roues à 22h41
Il faudra cependant attendre quelques minutes que la porte soit libérée par l’avion précédent
Dernier virage
L’alignement hétéroclite des appareils juste après être sortis de l’avion
Air France, Hop!, Alitalia, Iberia, Vueling : il y en a pour tous les goûts
Descente vers le niveau Arrivées
Le niveau Départ est vide
Derrière cet homme qui regarde un FIDS, une longue queue pour les taxis
Dans six ans et quinze minutes, nous sommes à Paris en métro. Les paris sont ouverts pour le respect du calendrier.
J’avoue n’avoir pas compris initialement que cette flèche à gauche signifiait que l’arrêt de bus navette pour le parking longue durée était dans cette direction.
Je n’ai vu aucun panneau récapitulant tous les arrêts de bus
L’écran indique le délai d’attente pour le prochain bus a destination d’Orly Sud, mais il faut lire le panneau pour voir qu’il passe au parking
L’attente pour le prochain bus a été suffisante pour nous laisser le temps de cafouiller
La girouette du bus indique bien qu’il passe au parking
Retour vers le parking, et de là chez nous. A cette heure là, le trajet sur l’A6 a été fluide ; il y avait en revanche beaucoup de fêtard assis dans l’embrasure de portières de voitures dans Paris.
Il n’est pas loin de minuit et c’est la fin du week-end ; je vous propose pour finir un bonus sur Tourrettes sur Loup, village de l’arrière-pays niçois que voici :
Quand on en est à 14 km à vol d’oiseau, le spotting est un exercice difficile, malgré de courageuses tentatives de Mme à fond de zoom 25x :
Easyjet
Turkish Airlines
Mieux valait s’intéresser à des vols plus proches.
La propriétaire des lieux avait agrémenté cette mare artificielle de végétaux, puis laissé faire Dame Nature (à part ajouter de l’eau en plein été pour éviter qu’elle ne s’assèche)
La faune est arrivée spontanément, notamment Crocothemis erythraea, plus connue sous le nom vernaculaire de Libellule écarlate
Seul le mâle justifie cette appellation, car le dimorphisme sexuel est important : voici une femelle. C’était un ballet incessant au-dessus de la mare, avec de brefs accouplements en plein vols, suivis par des pontes en « touch and go » à la surface de l’eau pendant que le mâle chassait tout rival.
L’autre espèce venue peupler cette mare est Pelophylax ridibundus, ou grenouille rieuse.
C’est une espèce invasive menaçant à divers titres les autres espèces de grenouille, mais elle est néanmoins farouche et capable de séjourner longuement sous l’eau : il m’a fallu de la patience pour saisir celle-ci :
Revenons au village
Et plus particulièrement à la chapelle St Jean, à la sortie du centre historique
Devenue au fil des ans un dépotoir, cette chapelle a été restaurée en 1955 grâce à l’entregent du chanoine Viale, alors nouveau curé de Tourrettes
L’intérieur a été décoré de fresques par un artiste local qui s’est inspiré de la vie du village
Les animaux montent dans l’Arche sur le mur gauche
Ils sont comptabilisés par Noé, sous les traits du philosophe Lanza del Vasto, qui habitait alors Tourrettes sur Loup.
L’instituteur de l’époque, M. Teisseire, en profite pour faire une leçon de choses à ses élèves.
Cette farandole évoque surtout le Domaine des Courmettes, au pied du mont homonyme, alors propriété de la Fédération Française des Éclaireuses.
On voit les camps de garçons et de filles, sagement séparés de part et d’autre de la montagne.
Mise en abîme de la reconstruction de la chapelle
Avec en arrière-plan un camp de bohémiens, tels qu’ils étaient à l’époque
Ces fresques ne sont pas signées, car l’artiste qui les a réalisées en 1955 était un personnage un peu encombrant pour la mémoire locale, bien éloigné par les idées du militant non-violent qu'il a fait apparaitre comme Noé. Il a probablement longuement médité la maxime au cadran solaire de l’église principale de Tourrettes :
Ce n’est pas aux cadrans humains que sonne l’heure de la Justice
Car pour lui, avant le Jugement dernier, était déjà arrivée l’heure de la Justice. Ralph Soupault avait mis ses talents de caricaturiste au service de ses idées de plus en plus antisémites, anticommunistes, antimaçonniques, anti-gaullistes… bref, sa collaboration à l’hebdomadaire Je suis partout ne fut pas oubliée à la Libération : il fut condamné en 1947 à quinze ans de travaux forcés pour intelligence avec l’ennemi. Libéré fin 1950 pour raisons de santé, sans jamais avoir renié ses opinions, il fut assigné à résidence à Tourrettes jusqu’à la fin de sa peine – ce village était certainement dans l’immédiate après-guerre bien loin d’être le charmant village touristique qu’il est devenu aujourd’hui.
Merci de m’avoir lu jusqu’ici !
Merci pour ce FR !
Un vol classique malgré le retard qui a touché presque tous les vols AF vers Paris dans l'après-midi.
Je reconnais des passagers au salon qui étaient sur mon vol, à 13h05, retardé de plus de 3 heures (donc pendant le match). Longue attente donc pour ceux qui ont préféré ne pas louper la finale !
Tiens donc, quels étaient les raisons de ces retards en masse ?
Je serais curieux de savoir si des PAX ont changé leur réservation pour ne pas être en vol pendant le match…
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR!
Ah les jours de finales sont toujours spécifiques.
J'ai vécu la même situation pour la 1/4 de finale au 2E et le salon n'était ni approvisionné, ni nettoyé car tout le monde fixait l'écran!
J'apprécie beaucoup le salon de NCE même si l'offre est un peu chiche.
Vol navette classique pour rejoindre ORY, quoi que pas si classique car tu as pu spotter un B737 de LO, qui apparement obtient un bon taux de remplissage depuis la ré-ouverture de la ligne l'an dernier!
Bonne soirée et à bientôt!
Une fois tous les vingt ans (j’ai cru comprendre que c’est l’intervalle entre deux victoires françaises ;), ça reste acceptable et l’ambiance était sympathique.
Ce n’est pas la perspective de pouvoir me restaurer au calme dans ce salon qui me ferait renouveler un statut FB Elite+.
Je ne suis pas surpris que ce sois toi qui relèves le passage de ce 737 polonais :)
A bientôt, merci pour le commentaire !
Merci pour le FR :o)
Pas eu de soucis pour faire passer Madame au PIF prioritaire ? Nice refusant les accompagnants car cela ne rapporte pas ! ?
Le salon de Nice n’est pas un salon AF (les règles d’accès y sont d’ailleurs plus restrictives).
L’HLE est maintenue en cas de retard léger afin de :
1°) Permettre un départ moins retardé que possible en cas de gain de temps, de swap d’appareils, etc.
2°) Conserver les planifications du personnel (personnel de sol, PIF, etc.) dans la mesure du possible… afin d’éviter les guichets fermés ou les embouteillages, surtout sur une destination Navette ou tous les vols sont imbriqués les uns dans les autres….
La desserte d’Orly est fidèle à elle-même : la démonstration que la technostructure est totalement inapte à se remettre en cause quand cela l’arrange ?
Blague à part, l'Histoire retiendra peut-être du quinquennat Sarkozy (en matière d’infrastructure, je laisse la politique à d'autres cadres plus appropriés): trois lignes TGV menées simultanément (en PPP au passage) et le métro du Grand Paris...
Il n’y avait en fait pas d’accès prioritaire au PIF (pour ce que cela changeait…) et Mme qui était derrière moi a entendu des PAX Skypriority s’en plaindre à très haute voix. C’était à mettre dans la catégorie « Je suis Gold, MOI, et je ne veux pas être mélangé avec les manants, même quand il n’y en a pas ».
Merci pour ces précisions au sujet du maintien de l’HLE, à mettre en partie au chapitre des rigidités parfois inévitables de l’organisation du travail.
Il faudra de longues années avant que le Grand Paris ne devienne au moins en partie une réalité pour les usagers ; je serai prudent sur le respect du calendrier, mais mieux vaut tard que jamais.
Merci pour le commentaire !
Je ne sais pas si j'aurais eu l'audace de voyager en avion un jour de finale de coupe du monde dans un pays dont l'équipe nationale disputait la compétition. En tous cas, certainement pas en Italie...
Le salon a l'air agréable et doit certainement l'être davantage lorsque les épreuves sportives ne sont pas programmées. Le retard accumulé aurait pu se traduire en catastrophe pour rentrer en voiture sur Paris mais au final, tout s'est bien passé. Pour la vue des Alpes, je promets de les inclure dans un prochain FR dédiée à la navette milanaise. Il était en effet trop tard pour espérer voir quoi que ce soit. Merci pour ce partage en mode duo sucré et salé :-)
Le billet avait été prix six mois plus tôt, à une époque où peu de gens pariaient sur une présence française en finale.
Rentrer tardivement à Paris aurait été très délicat s’il avait fallu s’approcher des Champs-Élysées, ce qui n’était pas le cas. En revanche, je ne risquais pas vraiment de voir s’envoler la facture du parking longue durée, ni de payer le prix fort en arrivant après l’arrêt des transports en commun.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour le partage !
Le salon est vraiment sympa, j'ai eu l'occasion de le découvrir plusieurs fois. Je n'aurais jamais pu voyager un jour de coupe du monde :)
A bientôt !
On ne se refait pas : j’ai fait un peu de compactage des déchets non desservis dans mon coin de salon pour le rendre d’autant plus agréable et tranquille qu’il était loin de tout écran. A chacun son interprétation de l’expression « aimer le sport » ! ;)
A bientôt !
Merci François pour ce FR.
Voyage en faille spatio temporelle pendant la finale de la coupe du monde, ce n'est guère étonnant. Le meilleur moyen pour #fairesescoursesausalon sans vergogne. Hoplà, le bar qui choit dans le sac !
Plus sérieusement dommage pour les vue des Alpes et bien beau bonus qui me fait me rappeler amèrement qu'il est des régions du monde que je connais mieux que mon propre pays !
Le buffet était peu approvisionné jusqu’à la fin de match, mais pour les deux seuls PAX qui s’y restauraient, c’était bien suffisant.
Je te rassure : je connais beaucoup mieux certaines régions à idéogrammes apparaissant souvent dans mes bonus que mon propre pays.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce reportage qui illustre ce moment d'arrêt complet d'un pays (ou presque) entre 17h et 19h dimanche 15 juillet.
On remarque que tout reprend vie et que les pax cachés réapparaissent comme par enchantement après la victoire même si les photos peinent à transmettre la bonne humeur générale.
Le spotting montre le large éventail de compagnies présentes à NCE.
"-Monsieur, est-ce que vous pouvez placer votre sac à dos sous le siège devant vous ? "===> Que dit le protocole en cas de réponse "non" sans appel suivie ou pas d'un, "je suis platinum" retentissant?
De toute évidence, l'aspirateur a regardé la finale.
Un vol sans encombre malgré le retard qui empêche un survol panoramique des Alpes.
La macro de l'APN est plus efficace que le zoom ;=)
Intéressante visite de Tourrettes et découverte des oeuvres du reconverti mais non converti Soupault.
A bientôt !
Bonne humeur générale, mais j’ai quand même entendu des PAX fort mécontents de prolonger plus que de raison leur séjour au salon pour cause de retards de leur avion.
« Que dit le protocole… ?»
- La différence entre un client mystère et un FRiste, c’est que ce dernier ne suscite pas lui-même les réactions des PNC aux incivilités auxquelles ils sont formés à réagir. En revanche, il observe celles-ci face à des tiers.
Les informations touristiques locales sont remarquablement discrètes au sujet de l’auteur des fresques de la chapelle St Jean.
Merci pour le commentaire !