Avis du vol entre Toulouse et Madrid en classe Economique avec Iberia Regional (Air Nostrum)

Salut à toutes et à tous !

Bienvenue sur mon tout premier report. Pour commencer et afin qu'on se connaisse mieux, je vais me présenter via ma relation à l'aviation.

Pour ceux qui veulent du FR brut, vous pouvez directement passer à la suite :)

Mon premier vol a été effectué à 3 ans et demi entre Toulouse, France et Nouméa, Nouvelle-Calédonie. A l'époque, le trajet se faisait avec AOM en Boeing 747 et nécessitait des escales à Colombo et Sydney. Sûrement que le trajet était moins cher avec autant d'étapes. Lors de ce périple, j'ai d'ailleurs pu découvrir le poste de pilotage. Quand on est enfant, les portes s'ouvrent plus facilement.

S'en sont suivi une bonne dizaine de vols entre la Métropole et la Nouvelle-Calédonie depuis, entrecoupés par des vols européens et quelques navettes Air France dont une intégralement dans le cockpit !
J'ai de nombreux souvenirs de vol en 747 KLM dont la cabine était … frigorifique; sans compter que niveau divertissement, il n'y avait juste que quelques écrans en milieu de rangée entre deux portes bagages. Si l'on trouvait la fréquence, on avait le choix entre anglais ou néérlandais mais ni le choix du programme, ni celui de l'heure à laquelle il commençait.
Heureusement en UM, on a accès aux salons réservés aux enfants. Et là … c'est la fête : confiseries, films, consoles, jeux, hôtesses … Tout ce que l'on a pas à la maison. C'était les vacances avant l'heure.

En une vingtaine d'années de voyages c'est donc des centaines d'heures d'avions dans diverses compagnies aériennes, appareils, escales dans des aéroports aux 4 coins du globe visités et une petite centaine de repas consommés (Monsieur est gourmand) …

L'aviation et, plus particulièrement la partie ayant attrait au voyage lui-même, m'a toujours passionné. C'est pourquoi je me lance aujourd'hui dans la rédaction de mon premier FR après plusieurs années de lecture sur ce site.
N'hésitez pas à laisser des commentaires, constructifs bien sûr, pour que je puisse améliorer mon écriture.  

Le FR c'est ici :

En pleine grisaille hivernale, à nous le soleil et la nature préservée de Nouvelle-Calédonie !

Tout commence à l'aéroport Toulouse Blagnac par un froid matin de Janvier. Arrivée à l'aéroport en tramway (que je recommande à tout voyageur venant découvrir la ville rose), rendez-vous au dépose bagage Iberia. La personnelle au sol est en retard et rapidement une longue queue se forme. 1 seul guichet sera ouvert pour notre vol. L'enregistrement sera un peu sportif du fait de la personnalité rigide et peu communicante de notre interlocutrice du jour. Nous ne savions pas à ce moment là que ça préfigurait tout le reste de notre voyage avec Iberia… 

On passe les contrôles comme une lettre à la poste. Faut dire que le préparer en amont, dès la maison permet de gagner un temps certain.

A nous le duty-free rénové de l'aéroport. C'est propre, clair et bien achalandé. On est certes loin d'Amsterdam ou Dubaï mais ça reste pas mal.

Je vous épargne le petit déjeuner bien évidemment pris avec vue sur la piste.

Voici l'avion qui nous emmènera vers la première escale de ce long périple

L'embarquement se fera à l'ancienne, sur le tarmac. Pas de passerelle dimensionnée pour ce type d'appareil je suppose. 

On embarque dans ce long cigare, la cabine est exigüe et du haut de mes petits 1m70, même moi je me sens à l'étroit.

Bien que le pitch soit plutôt généreux compte tenu de l'impression générale. Pas d'IFE pour cet appareil, heureusement, il y a toujours des magazines intéressants à acheter dans les aéroports. 

A moins d'atterrir dans un lac de montagne, je doute fort que l'on utilise les gilets de sauvetage aujourd'hui.

RAS sur ce vol. Un choix de boissons et collations payantes était proposé. Ayant bien déjeuné avant et en anticipant le prochain vol, nous ne prenons rien.

Arrivée dans le terminal flambant neuf de l'aéroport de Madrid après avoir aperçu au loin le Wanda Metropolitano, théâtre des exploits d'Antoine Griezmann.