Avis du vol entre Paris et Budapest en classe Economique avec Air France

Bonjour, on se retrouve pour un aller-retour à Budapest, l'occasion d'utiliser un coffret week-end reçu à Noël 2017, il y a plus un an, de découvrir une capitale européenne que nous n'avons pas encore visité, de profiter d'un long week-end de printemps.
Un routing tout simple, avec notre compagnie nationale qui proposait des horaires permettant de profiter au maximum de notre première journée et d'optimiser le dernier. 

Avant de vous narrer le vol, je mets l'accent comme cela a déjà été remarqué sur les incohérences en terme de communication entre Air France et Joon auprès des passagers . 
Au mois de janvier, lorsque je réserve le vol, il s'agit clairement de vols Joon. Normal. Allez, quelques écrans pour le souvenir.

Avant vol

Finalement nous choisissons le vol de 9h15

Je ne rajoute pas de siège, erreur !

Donc nous volerons avec Joon, sauf que le 1er avril, je reçois un mail d'Air France m'informant que ce vol sera effectué par Air France. 

"Chère cliente, cher client, Nous vous informons que votre vol sera effectué par Air France. 
 Votre référence de réservation reste identique: OOOOO2. 
 Le numéro de vol, les horaires et le nombre de bagages autorisé ne changent pas.
  À bord, vous retrouverez le confort, le service attentionné et l’offre de restauration gratuite d’Air France.
 Découvrir l’offre de restauration à bord
 Pour toute question, n’hésitez pas à contacter Air France ou votre agence de voyages.
  Nous nous engageons à vous apporter une assistance personnalisée. 
 À très bientôt sur votre vol Air France.

OK je note. 48 heures avant le vol, je reçois un message avec ma carte d'embarquement, enregistrement automatique. Stupeur, je ne peux pas choisir ma place nous sommes séparés par un couloir. Et pourtant je me suis levé bien tôt pour m'enregistrer en ligne, rien à faire, tout est complet, pas une place disponible dès l'ouverture de l'enregistrement. Ça devient une manie cette année de m'éloigner des hublots. Bon je me dit que je n'avais qu'à payer un supplément pour un siège. Mais que vois-je sur le message, le vol est effectué par Joon. Ah bon, je croyais que c'était du Air France.  

Sauf qu'en ouvrant la carte d'embarquement jointe, on me confirme bel et bien que le vol sera effectué par Air France et non par Joon. Euh, vous travaillez ensemble ou pas ?

JOUR J

Le jour des vacances est arrivé. Il faut se lever bien tôt pour la bonne cause. On rejoint l'aéroport Charles de Gaulle 2 F depuis Paris Ouest, c'est l'affluence. Embouteillage à l'arrivée mais Waze nous recommande un détour par la campagne en passant devant le siège d'AF pour aller vers le terminal G avant de revenir vers le F. Il est presque 8 h lorsque nous arrivons.

Un samedi matin de vacances et de pont du mois de mai = affluence à Charles de Gaulle. On imprime nos cartes d'embarquement et étiquette bagages à l'automate

Ensuite on se dirige vers la dépose bagages. Dans la file d'attente, un jeune homme AF voyant que j'ai en main l'étiquette, me la prend et la colle sur la poignée de la valise. Merci monsieur. Quelques postes sont en panne. Donc il faut patienter un peu avant de déposer. Je ne photographie pas car il y a vraiment du monde.
Puis direction le centre du terminal, la nouvelle zone du PIF que je n'avais pas encore vu. C'est plus spacieux, plus grand. On n'est plus obligé de se tasser près du kiosque Relay. En revanche, comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de monde . Nous avons attendu 15 minutes. Passage rapide, efficace, personnel impersonnel, j'ai envie de rajouter, comme d'habitude 

Ensuite à droite, vers la porte 51. Passage aux toilettes au sous-sol, c'est bondé. 

Remontée vers le terminal, l'occasion de voir ce qu'il y a. Notre avion en porte, un easyjet qui va arriver et un hop qui se dirige vers sa porte.

Je vais chercher de la lecture au milieu du terminal, de la presse quotidienne à disposition. Le nombre d'exemplaires diminue d'années en années. On patiente. L'embarquement est lancé, un papy avec une veste de pilote Air France vient voir comment ça se passe. Il repart vers l'avion. Je me dit qu'il est vraiment âgé pour être pilote.
On est les seuls à patienter dans notre file de la zone 4. On a l'air un peu con. Sauf qu'on sera sauvé par une agente qui va s'enquérir auprès des autres personnes qui font la queue à côté dans la zone 3 en leur demandant s'ils sont tous dans la zone 3. Euh, ben, ah oui, c'est marqué… Donc notre file va tout à coup devenir plus importante. Quelques valises volumineuses sont récupérées en porte pour être placées en soute. On embarque sans attendre. Le fait d'avoir attendu me permet d'immortaliser l'instant porte, magnifique !

Comme il n'y a pas de pression derrière moi, j'ai même le temps du fuselage shot

Accueil chaleureux, souriant et cordial, avec le bonjour du monsieur, bien qu'il soit en pleine discussion qu'il interrompt pour nous accueillir  

Direction l'arrière, tout au fond.

Visiblement la cabine n'a pas été super préparée. Oui, ces photos ont été prises à l'embarquement

L'embarquement se poursuit

24, c'est le dernier rang du côté droit de cet A319

Ma rangée

Il a bien vécu ce siège de cet A319, immatriculé F-GRHH, de décembre 1999. Le magazine aussi a bien vécu, passé le mois ici.

OUI, comme moi vous voyez des papiers qui trainent. Hop l'Horatius test, fait que le petit papier qui était délicatement posé sur la partie supérieure est tombé au fond de l'aumonière, rejoindre d'autres papiers qui l'attendaient déjà.

Mais oui, il y a bien du wifi au moins le logo pour l'instant. Je n'ai pas tout perdu avec ce vol non Joon. J'aurais du wifi j'espère

En attendant mes voisins, un coup d’œil à l'extérieur

Préparation pour le shooting photo. Ouverture de la tablette, mais c'est sale

OK on est le 27 du mois. Le magazine a bien vécu. Sa couverture est écornée.

Le reste de la littérature avec l'inflight Madame et la carte de sécurité.

Et oui, vous n'y manquerez pas à la page de la flotte. Tiens, elle a changé. La présentation a été revue. Depuis janvier, il y a 1 A321 + 1 A320 en plus, 1 A319 en moins, 2 de + chez Transavia, 1 320 et 1 A321 en moins chez Joon, 2 Crj 700 en plus chez Hop

Un gros plan, pour la postérité

Nous voici à la fin de l'embarquement. Le personnel est plutôt âgé. Le papy est rentré dans la cabine. Le commandant de bord prend la parole. Puis la chef de cabine et là, il se passe un truc. Elle donne les noms du commandant et du copilote, ils sont identiques. Elle nous précise que le pilote est le père du copilote. Ah OK, mais qui est le papy ? 

Pas de hublot =  pas de photo. J'active le wifi qui fonctionne pour suivre le vol.

Rapidement le service est lancé. Comme nous sommes à l'arrière, nous sommes servis parmi les premiers et j'engage la conversation avec le PNC. Je lui demande qui était le papy aperçu à l'embarquement puis en cabine. Il m'informe que c'est le père du pilote, donc le grand-père du copilote, mais que ce n'est pas lui qui est au commande. OK vous suivez. C'est le dernier vol du pilote avant sa retraite, qu'ils reviennent tous de Budapest déjà où ils sont arrivés la veille et que sur le vol retour, il y aura encore plus de proches et d'autres PNC. Ah donc c'est pourquoi il y a plutôt une bonne ambiance à bord, plutôt cool. D'où peut-être aussi la préparation moyenne de la cabine, mais c'est pour la bonne cause.
Collation Air France : je choisis un pain chocolat - chocolatine, un café, un verre d'eau.

Le PNC quadra sympa

Voilà où nous en sommes, bien poussés par le vent. Quelques turbulences au décollage puis tout au long du trajet.

Le galley depuis mon siège

Ai essayé de regarder une série mais je n'ai pas le bon player. Il faudra que je fasse ma mise à jour la prochaine fois

En revanche, j'ai heureusement accès à la géovision. Nous approchons

Préparation de la cabine avant l'arrivée, avec la collecte des déchets

Ai pu apercevoir Budapest dans la grisaille tout au fond avant notre demi tour

Tentative réussie d'immortaliser la Hongrie depuis les airs

Atterrissage assez vif. Immuable instant Danette. Là on est à peine stationné.

Oh, oh, mais nous ne sommes pas en porte. Mon voisin de hublot a gentiment photographié l'extérieur. Merci. Peut-être que j'aurais pu lui demander plus tôt ?

Un frère

Etant à l'arrière, sortie possible par l'arrière, rapide. Le hic, c'est que je ne pourrais donc pas saluer le pilote et son fils. Tant pis, je transmets au PNC le message de mes sincères salutations et remerciements.

Mais je peux photographier notre avion

L'arrière

Au fond, les low cost

Le frère allemand de plus près

La tour caractéristique de Budapest

L'entrée dans le terminal

Vers la droite pour nous

C'est par là. Ce n'est pas haut de plafond. Nous sommes dans l'espace Schengen, pas de contrôle d'immigration à passer.

Nous ne sommes pas allés voir la terrasse.

Merci de votre lecture.