Avis du vol entre Budapest et Paris en classe Economique avec Joon

Le retour de notre grand week-end à la découverte de Budapest, une belle grande ville qui nous a bien plu. Nous avons bien profité des bains. C'était cool.
Routing simple 

Le retour avec Joon. Vol achetés au mois de janvier, Joon prévu à l'aller et au retour mais depuis la situation a changé. Le vol aller, effectué avec Air France. Ce vol est Air France mais opéré par Joon selon la terminologie usitée.
30 heures avant le vol je reçois un mail avec la carte d'embarquement, enregistrement automatique. Et une fois de plus puni, pas de hublot. Il est vrai que j'ai été radin, je n'ai pas acheté de supplément pour choisir ma place. Lorsque j'aurais retrouvé un job, il faut vraiment que je pense à prendre de nouvelles habitudes. 
Contrairement au vol aller, il est bien précisé sur la carte d'embarquement reçue que le vol sera effectué par Joon. Cool je vais pouvoir comparer la prestation par rapport à mon premier vol Joon au début du mois de mars 2019 en revenant de Bergen (pour ceux qui l'aurait manqué, c'est par ici .>.>.) 

Arrivée en fin de journée du 1 mai bien ensoleillé à l'aéroport par un chauffeur roulant beaucoup trop vite. Je n'ai pas souvent peur en voiture mais là je me disais qu'il allait tout de même un peu vite, à tel point que l'application qui indiquait initialement un temps de transport de près de 50 minutes depuis notre hôtel près de la place Szell Kalman Ter jusqu'à l'aéroport a affiché un temps de 30 minutes sur la facture !!
Ce premier mai il y avait une démonstration de voitures de course dont une F1 en centre ville sur l'avenue Andrassy parrainé par une célèbre boisson autrichienne énergisante. C'est sans doute ce qui a poussé notre chauffeur a cet excès ! 
Il y avait pas mal de trucs de fermé en ce jour férié, donc on a pris la route assez tôt.

Terminal 2 a, c'est bien par là qu'opère Sky Team et autres compagnies régulières.

Immense panneau d'affichage des vols. Certains en retard. Ah mais les vols de demain sont déjà affichés. Nous sommes très en avance. Les comptoirs ne sont pas encore ouverts et pour cause.

Derrière le panneau d'affichage, Bud en mode hiver

 Nous patientons jusqu'à l'ouverture des comptoirs

Le personnel met en place la signalétique et autre instrument de mesure. Pour nous ce sera l'impression des tickets d'embarquement sur cette machine

Après le dernier rang en 24 pour le vol aller, c'est un rang de mieux pour le retour… On progresse, on progresse

Notre vol est prévu à l'heure. Nous sommes parmi les premiers à l'enregistrement, agent sympathique qui nous invite au comptoir Sky Priority car il n'y a personne. Notre seconde valise, prévue pour la cabine, peut être mise en soute gratuitement. On en profite après avoir enlevé ce qui peut être nécessaire pour l'attente et le vol. Réédition de la carte d'embarquement par une version un peu plus rigide. C'est mieux pour la conserver.

Le sésame un peu cartonné qui rejoindra mon carnet de voyage

Ensuite direction le PIF. Alors que je photographie ces récompenses, une agente vient me signaler -gentiment- qu'il ne faut pas photographier le pif qui se trouve juste derrière. On voit les personnes qui font la queue. Je lui ai demandé si elle voulait voir les photos mais elle m'a répondu non avec le sourire.
Passage rapide car on nous a ouvert le portillon pour passer par la ligne Fast track car il n'y avait presque plus personne. On avait été placé dans la file à côté. Bonne réactivité du personnel

A la sortie du PIF

Ensuite une zone commerciale avec des prix élevés, comme souvent.

Quelques maquettes

Et en voiture Simon (vieille expression chère à Guy Lux peut-être, je ne sais plus) une automobile en exposition mais celle-ci est neuve et pas rayée comme à Bergen. A l'étage la zone de restauration

En attendant, regardons ce qu'il y a à l'extérieur. Un Austrian pour Vienne

Un petit Lufhtansa qui arrive je crois

A l'étage entre les 2 parties de l'aéroport

Le lounge Mastercard, gratuit pour les détenteurs à haute contribution, ce que je ne suis pas.

Une vue générale de ce terminal lumineux, clair, à taille humaine, offrant une vue sur le tarmac

Nous allons diner en attendant l'embarquement

Après diner je consulte mon téléphone pour voir où est notre avion. Il vient d'arriver. Le voici, il se cache à l'autre bout du terminal. Photo prise depuis le couloir qui mène à l'espace fumeur, très encombré.

On se dirige vers notre porte. Il y a du monde. Mais j'arrive à entrapercevoir notre avion.

Trafic, encore un Lufthansa

Les 2 empennages bleu

Puis on fait la queue. C'est long car, pour une fois, il y a un contrôle assez strict de la taille des bagages cabines avec mesure systématique dans le gabarit métal avec, comme tous bons Français qui se respecte une partie de négociation pour certaines personnes ont des bagages franchement hors dimensions courantes mais essayent tant bien que mal de faire croire que dans d'autres gabarits ça passe en appuyant un peu et là… Pathétique !

Final call au moment où nous sommes devant la porte d'embarquement. Passerelle aveugle, barre de séparation des flux

Pas de banquier pour parrainer la passerelle aveugle

Fuselage shot, version Joon

Les low cost locaux n'ont pas bougé. Les irlandais sont là, aussi !

Accueil charmant, cool. 

Cabine Joon. Je n'ai pas vu les petits coussins colorés qu'il y avait à l'avant de la cabine lors de mon premier vol Joon. En tout cas, il n'y en a pas à l'arrière

Mon siège pour tout à l'heure, cuir surpiqué de rouge, tétière bleu électrique.

A quoi ça peut bien servir ce numéro car lorsqu'on embarque les coffres sont ouverts, non ? Bon ça égaye un peu la cabine, mais dans ce cas ils auraient pu choisir une autre couleur que ce bleu dur, froid, "bleu électrique (c'est la référence Pantone 2736C pour ceux que veulent personnaliser un souvenir)"

La preuve en images, on ne voit pas les numéros de rang sur les coffres.
C'est la bagarre pour trouver de la place pour ranger les valises les plus volumineuses. Retour de week-end oblige.
 Habillage du bas de la cabine avec une bande bleu couleur Joon 

On est le 1er mai, c'est le magazine du mois d'avril. Lui aussi a morflé, comme celui du vol aller, au bout d'un mois à force d'être tripoté par n'importe qui.

Un porc a laissé son chewing gum sur la carte (je n'ai pas trouvé d'autre mot)

Ma voisine étant arrivée, nous partageons le hublot pour une séance de photos coucher de soleil, pas mal.
Celle-la pour être légendée : "le crépuscule de Joon". C'est pourquoi je l'ai également retenu comme photo de couverture

Dézoom

Et la dernière

Mon espace (mon appareil fait souvent la netteté sur le premier plan, d'où le flou sur les genoux)

A la recherche de l'espace qui me permet d'immortaliser la tenue Joon, la ceinture assortie, le polo, le machin élastique porte badge

Ben finalement de l'autre côté il reste de la place, pile poil au bon format

Fermeture des coffres, préparation de la cabine 

Fin d'embarquement

C'est parti, le soleil aussi. Le commande a pris la parole pour préciser le vol, la durée et les membres d'équipages. Le chef de cabine a donné les noms de ses collaborateurs-trices. Je trouve très bien cette initiative qui humanise un peu les rapports

La tour de contrôle si caractéristique de Budapest. Un U tenu par une balle de golf à l'envers  ?

La cabine est plongée dans le noir pour le décollage. Et là ce n'est pas seulement "diminuer l'intensité lumineuse de la cabine", il fait sombre

Heureusement il reste encore un peu de soleil à l'extérieur. Un Ryanair arrive, encore un !

J'adore cette vue même si ce n'est pas très net. Ça va être bon pour nous

Un peu d'attente derrière nous. Je fais ce que je peux en terme de photo, je ne suis pas au hublot.

Nous sommes partis

J'active le wifi et surtout j'arrive à trouver le lien pour me connecter. Il n'est indiqué nulle part. Au bout d'un moment ma voisine qui s'ennuie me demande comment j'ai réussi à me connecter. Je lui donne l'adresse entière qu'elle rentre sur son téléphone. Au départ elle a partagé les photos du coucher de soleil avec ses proches. Et ensuite, comme moi, elle faisait des captures de la géovision… Et une de convertie :)

Je vais pouvoir regarder où nous sommes

20 minutes après le décollage, distribution d'une collation . Mais c'est du Air France ça, avec le carré serviette assortie, donc vol AF opéré par Joon c'est comme AF ? C'est plutôt une bonne surprise. Je m'attendais à rien sauf au BOB Joon et verre d'eau ou jus de fruits.
Rassurez-vous, on a choisi chacun un des 2 choix possibles, rassemblés ici pour la bonne cause de la photo.  Ai choisi une bière pour faire passer le morceau de pain 

Inspection. Le sandwich 75 g, le wrap 95 g. Aucun des deux n'est bon, c'est même mauvais. L'entreprise Bergams -fabricant et importateur- fabrique également les produits Daunat.
Je n'ai pas fini le sandwich tomate ricotta aubergine. Pas bon, pas bon.
L'attention est louable mais autant que ce soit mangeable, non ? (pour pas gâcher)
J'aime beaucoup le "peut contenir". Cette étiquette ne précise pas ce qu'il y a dans ce KCF 0158 "pain de mie au blé malté tomate ricotta aubergines"

Voilà où nous sommes arrivés au moment de la distribution.

On suit le coucher de soleil à cette heure. C'est assez nuageux

Ensuite, lecture de la presse téléchargée (Air France Play), somnolence en musique et maintenant descente.
Le commandant a pris la parole à plusieurs reprises, bienvenue, énonce le nom des principales villes survolées, annonce descente et remerciement à la fin d'avoir voyagé avec Air France vol opéré par Joon…

Atterrissage au nord, passage devant le Terminal 1 qui brille de mille feux comme la Tour Eiffel au même moment. Je suis déçu car je n'ai pas réussi à faire une photo correcte.
Une dernière photo de la cabine en sortant. Remerciement par le personnel en porte, c'est toujours agréable.

Petite réparation avant le prochain vol. C'est le coin des Joon ici

Et pas de mention de Joon pour la livraison des bagages. Nos bagages sont sortis parmi les premiers, après les Priority. Cool 

Merci de votre lecture.