Routing et surclassement
C’est le retour d’un bref séjour à Hambourg avec un routing faisant preuve d’une absence totale de créativité.
Enchainement de vols
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- 2AF1411 - Economique - Hamburg → Paris - Airbus A318
Cette fois-ci, ce sera un Babybus, un appareil très peu présent dans mon historique de vol, et contrairement à l’aller, j’ai choisi un siège au hublot du bon côté (pas à contre-jour). On verra ce qu’il en sera.

Le cours du surclassement est à la baisse : il était de 99 EUR à l’aller. Le mauvais taux de change de l’airmile, lui, n’a pas changé car le barème était 24 800 miles. Comme pour changer les devises, c’est rarement au dernier moment dans les aéroports qu’on a les meilleurs taux.

J’ai aussi reçu cette promotion franchement mensongère, car on n’est pas près de voir ce siège dans un A32x.

Le trajet vers HAM
A côté de la gare centrale, l’heure du retour à Paris a sonné, et à Hambourg, on ne fait pas les choses à moitié pour me le rappeler.

La voici, un peu déformée par un montage panoramique de deux photos

La desserte de l’aéroport est effectuée par une antenne à partir de la station précédente

Le train se découple à la station précédente : les trois voitures de tête vont à l’aéroport, les trois voitures de queue à Poppenbüttel

C’est rappelé par cette banderole en face du quai

Et par ce marquage au ras du nez de quai

Il y a un emplacement spécifique pour les PMR et personnes accompagnés de jeunes enfants ; je ne suis pas convaincu que ce PAX appartiennent à ces catégories

Arrivée à la gare de HAM, sous un FIDS géant indiquant les directions des Terminaux 1 et 2 dont les accès sont à chaque extrémité de quai.

Au revoir à Hambourg !

On tombe peu après sur des ascenseurs vers le niveau départ, mais sauf besoin spécifique, il est beaucoup plus rapide de continuer le cheminement souterrain pour prendre les escaliers mécaniques.

… et arriver ici dans le hall Départs

HAM, landside et airside
Les comptoirs manuels sont au fond

HAM est équipé de machines de mise en soute des bagages par les PAX eux-mêmes

Le parcours prioritaire est clairement indiqué, avec auto-scan des BP à gauche et une employée à droite.

Côté PIF ordinaire, il semblait y avoir pas mal d’attente

Après passage du PIF, équipé de nudoscopes, et cette fois-ci avec un personnel courtois (j’ai un souvenir de personnel ouvertement désagréable à HAM), on arrive sur la lisière de boutiques.

le salon du Terminal 1
Mon étape suivante est au dernier niveau en face

C’est le salon inter-compagnie, dont on voit d’ici qu’il n’est pas protégé du bruit ambiant : on y entend en permanence un brouhaha diffus.

Accueil cordial et efficace par la dragonne.

De ce palier, on voit la sortie du PIF général, mais on ne peut pas en apprécier la queue.

Ces bureaux de travail situés dans l’axe du comptoir d’accueil au fond sont probablement à l’endroit le plus exposé au brouhaha du terminal.

Des canapés en arc de cercle à l’extrémité du salon, côté accès aux sanitaires

Le salon de HAM est bruyant du fait de l’absence de protection sonore, mais en revanche, il dispose d’un excellent éclairage naturel

… grâce à des baies vitrées qui offrent une vue excellente sur le tarmac. Cela dit, il y a landside une plateforme d’observation gratuite en plein air qui offre elle aussi une très belle vue.

Cette table n’était pas encore débarrassée quand je me suis installé ici (le seul « carré » où il n’y avait personne).

Après nettoyage

Une multiprise pas très esthétique, mais efficace.

En revanche, ce qui n’est pas efficace du tout, c’est l’accès internet par wifi : cette fois encore, et malgré tous mes efforts, j’ai échoué à accéder à internet

Tout ce que j’ai réussi à trouver, c’est une aide absconse de Windows, et la recommandation de m’adresser à l’administrateur du site, comprendre le gestionnaire de ce salon. Comme les fois précédentes, j’ai partagé la connexion de mon téléphone, pestant une fois de plus contre ce service défaillant.

Les WC sont propres et (contrairement à ceux de CDG-2F) suffisamment dimensionnés

En revanche, ces marches bloquent l’accès des personnes en fauteuil ; je crois sans pouvoir l’affirmer formellement qu’il n’y a pas de sanitaires accessibles pour elles dans ce salon.

C’est encore l’offre du petit-déjeuner : il n’y a pas de saucisses chaudes, mais il y a des croissants

Et des céréales de petit-déjeuner, du lait et des confitures.

Je n’ai pas pensé à vérifier ce qu’il y avait dans ce récipient cylindrique au premier plan. Si c’était en Chine, ce serait évidemment du gruau de riz (rice congee, en anglais), mais ici ?

Cold cuts

Fruits

Soft drinks divers à droite

Et soupes auxquelles je ne me suis pas frotté

Jus de fruits et alcools divers

Un vin espagnol de tempranillo, une variété de raisin noir que je ne connaissais pas.

Alcools forts en hauteur

Ma sélection

spotting au salon
Cette fois-ci, je ne présente pas les avions de manière chronologique. Ceux qui sont au contact à gauche en regardant le tarmac se voient très mal, mais il suffit d’être un peu patient. Donc, de gauche à droite, vous avez ci-dessous :

Un 738 Smart Wings

…un 757-300 Condor

… un A220-300 Swiss

Et un A319 Lufthansa

Ce n’est bien sûr pas le seul type d’appareil exploité par Lufthansa visible ici : voici un A321

CRJ-900 LR Lufthansa Cityline

Celui-ci n’est plus exploité nulle part : ce fut le tout premier 707 de Lufthansa. Vendu par LH en 1976 en raison de son état de corrosion, il se murmure qu’il fut utilisé par des trafiquants d’armes en Afrique, avant d’être racheté en 1999 pour un euro symbolique et rapatrié ici.

Deux exploitants de Dash 8-400 : Luxair

… et airBaltic

Côté legacy, il y a Finnair en E-190

SAS en CRJ-900ER

Turkish Airlines en A321

Qui n’a jamais eu envie d’un vol dans un petit jet d’affaires comme ce Cessna Citation 525 ?

En revanche, personne n’a envie de se faire offrir un vol dans ce petit jet jaune à gauche de la tour de contrôle

Il s’agit du Learjet 60XR médicalisé de l’ADAC (l’Automobile Club allemand), dont l’immatriculation n’est pas le fruit du hasard : D-CURE.

Beaucoup plus petit, beaucoup plus abordable, un Cessna 172 d’aéroclub.

Les LCC sont en force à HAM, comme cet A320 en livrée blanche dont l’immatriculation me révèle qu’il est exploité pour Sun Express par Avion Express (merci à Esteban pour le correctif).

A part quelques A320 loués, la flotte de Sun Express est constituée de 737-800 comme celui-ci.

A319 Germanwings

A320 Germanwings

A320 Eurowings

Arrivée d’un 738 Ryanair

Il va repousser et repartir 30 minutes après son arrivée au parking. Les Irlandais se succèdent ici : il décolle alors qu’arrive un A320 Aer Lingus

Voici l’A320 Aer Lingus, mais plus intéressant, derrière lui…

… c’est l’A318 Air France qui arrive (et derrière lui, l’A320 blanc SunExpress déjà montré plus haut)


Go to gate, donc j’y vais ; il me faudra un peu plus de 4 minutes pour atteindre la porte A18 pourtant proche parce que les baies vitrées sont un peu trop tentantes.

Les portes A et B sont à gauche…

… mais je vais commencer par aller un peu à droite, par ce vaste corridor

Un A321 Lufthansa

Un A320 Austrian Airlines : la moisson complémentaire est modeste

L’embarquement est sur le point de commencer porte A18, avec respect des priorités

Passerelle vitrée au début

Instant porte et playstation

La cabine d'un A318 Air France
Fuselage shot qui me confirme que c’est un A318

L’arrière de la cabine, encore vide

Les sièges, vus vers l’avant

A mon rang : aïe ! Ma très faible expérience en A318 se fait durement ressentir : non seulement le hublot est très mal aligné au rang 5, mais il y a un élément de paroi au niveau du siège. A dire vrai, je savais que ce rang est mauvais dans les autres A32x, mais il n’y a pas cette paroi de raccord.

La moquette n'est pas très propre, mais ça ira

L’aumônière est un filet de faible capacité, plaqué contre le dossier du siège précédent.

Le pitch est un peu plus généreux (environ 2 cm) que dans les autres A32x Air France

La largeur entre accoudoirs est en revanche plus faible d’un bon centimètre : les cabines des autres A32x ont été réaménagées avec notamment un rétrécissement de l’allée centrale au profit des sièges.

Les accoudoirs sont de longueur réduite.


Pas de prise USB dans cet aménagement ancien

Je trouve la tablette trop haute pour utiliser confortablement un PC. Je n’ai pas de mesure de référence à ce sujet : affaire à suivre !

Le PSU, alias instant F-OITN

Fiche de sécurité recto-verso, un peu fatiguée

roulage et en vol
Repoussage en avance, à 10h18 (STD – 17’)

Un triréacteur d’affaires au loin

A321 British Airways

Les terminaux de HAM

Déjà vus, mais moins bien ou de plus loin, l’A320 blanc de SunExpress…

… et le vieux 707 de Lufthansa

Décollage imminent piste 23

Traversée de la piste 15/33 pendant l’accélération

Auf widersehen, Hamburg !

Comme déjà souligné à l’aller, HAM est enchâssé dans un tissu pavillonnaire aussi dense que très arboré

La jonction de l’Autobahn 23 avec l’Autobahn 7

L’instant BESMRS avec les ateliers de l’ICE à Hamburg Eidelstedt, dont l’histoire remonte à 1922, à l’époque des machines à vapeur.

Zoom sur le hall de maintenance

Et sur la rotonde délicieusement surannée, mais néanmoins toujours utilisée d’après cette page de Wikipedia

Schulau, au bord de l’Elbe

Le port de plaisance de Schulau

La ville de Stade, sur la rive gauche de l’Elbe

Ancienne base aérienne des années 1930, le petit aérodrome de Stade (EDHS)

Bremerhaven, à l’embouchure de la Weser

C’est la fin du spectacle pour l’IFE extérieur : les nuages se referment.

La collation telle que servie. Quel poids de nourriture, à votre avis : 20 g, 25 g, 30 g ?

C’est la PNC qui m’a proposé de me donner une capsule d’eau plutôt qu’un verre d’eau qui m’aurait gêné, car j’étais encore en train de commencer ce récit sur mon PC quand elle est arrivée à mon niveau. Un bon point pour elle.

Tout ce que vous vouliez savoir sur ces biscuits, et notamment leur poids : la réponse exacte était 24,5 g (admirez la précision !)

Compactage sans difficulté, et sans nécessité d’utiliser l’aumônière, car ce porte-gobelet reste utilisable tablette abaissée, ce qui est malheureusement rarement le cas en avion.

Début de la descente

Le curieux dessin de l’échangeur de la N2 à Saint Mard

La ligne à grande vitesse d’interconnexion, à l’intérieur du périmètre de l’aéroport

Posé des roues, déploiement des inverseurs de poussée

un peu de spotting à CDG
Décollage d’un A380 Emirates

Autre A380, de Thai Airways, au contact au Terminal 1 ; deux appareils United Airlines dont un 787

A330-200 Air China. Je n’ai pas réussi à lire l’immatriculation de l’appareil en livrée blanche à gauche, peut-être LY-xxx

L’un des A310 de l’armée française (Escadron de transport 3/60 Estérel), utilisé pour des transports de troupe (ou au besoin pour l’évacuation de civils).

A321 Ural Airlines

787-9 Norwegian Long Haul

Le Concorde exposé

Parfois, il suffit de pas grand-chose pour rendre originale l’esthétique d’un hôtel à la configuration banale

Il suffit de comparer avec son voisin. (On m’objectera que la taille de la fenêtre de chaque chambre du Mercure est nettement supérieure).

Gulfstream G650 du gouvernement marocain, masquant partiellement un 777-200ER American Airlines

Embraer Legacy 650, dérivé de l'E-135

787-9 Ethiopian Airlines

A321 Finnair

A320 Easyjet en livrée publicitaire Europcar

A320 Easyjet en livrée standard

A320 Croatia Airlines

La gare TGV / RER au premier plan et le Terminal 2F au fond

Une série A32x Air France, dont un futur ex-Joon

Arrivée au point de stationnement à côté d’un autre A318 à 12h04’ (STA – 6’) : l’avion a perdu une dizaine de minutes sur l’horaire, sans attente particulière ni au départ, ni à l’arrivée.

C'est loin, le RER ?
Instant Danette

Tiens, il y a un accès Skypriority dans les PAXbus ? Il n’y aucune tentative pour le faire respecter, et pour ce que cela change, de toute façon…

Réputé photophobe, le personnel de piste est trop loin pour l’exprimer.

Le PAXbus s’éloigne : voici l’autre flanc de mon avion

Les appareils au contact du Terminal 2D

Un A321 et trois 318 AF stationnés au large. Vous les reverrez mieux un peu plus tard

L’extrémité ouest, plutôt massive, du Terminal 2F

Passerelles d’embarquement (au-dessus) et de débarquement (en dessous)

Il va falloir parcourir ce bâtiment dans le sens inverse dans peu de temps

Tout le (très maigre) intérêt de la porte Skypriority du PAXbus est là : le PAXbus s’est arrêté de manière à ce que la porte d’accès au Terminal 2F soit en face. Il est 12h16’, soit STA+6’ : l’arrivée en avance a permis de compenser le handicap du stationnement au large.

Je trouve toujours très long le cheminement à la sortie de CDG-2F. Qu’en est-il vraiment ? Voici le compte de pas affiché par mon téléphone au passage de cette porte.

Ce n’est pas par là pour moi : il y a un contrôle des BP pour ne laisser passer que les PAX en correspondance non-Schengen

Par ici la sortie, mais pas tout de suite

Les sas anti-retour d’accès à la salle de livraison des bagages

Descente vers cette salle que voici : il y a beaucoup de monde, mais elle n’est pas embouteillée.

Puis long cheminement vers la sortie, passage landside et long cheminement dans le sens opposé

Voici l’escalier par lequel je suis arrivé dans la salle de livraison des bagages, trois minutes plus tôt

Cheminement vers la gare TGV-RER

Vue sur les avions stationnés au large du Terminal 2D : un A321 AF en livrée Skyteam

Et trois A318 AF, dont celui qui m’a emmené ici.

Il y a un ascenseur pour descendre directement dans la salle des pas perdus, .

…mais il est généralement plus rapide de prendre les deux escaliers mécaniques successifs.

Il y a les PAX qui font la queue pour acheter leur billet de RER aux distributeurs visibles depuis l’escalier mécanique.

Très rares sont ceux qui savent où sont cachés derrière un escalier ces distributeurs ignorés de tous. J’ai fourni le tuyau aux PAX à la fin de la queue, après avoir effectué mon emplette.

Franchissement du portillon automatique et stop ! Cela me fait 1157 pas, effectués sans hésitation dans des lieux que je connais bien, ce qui correspond aux 700+ mètres mesurés sur Google Earth.

C’est de la petite monnaie pour moi, mais pas pour tous les PAX, surtout quand ce trajet se termine par un escalier mécanique en panne, obligeant ce PAX à configurer autrement ses affaires pour le descendre à pied,

…pour atteindre cette rame qui attend à quai

Quai où l’on a le choix de le parcourir jusqu’à son extrémité où il remonte au niveau du plancher de la rame de RER, ou bien de monter une marche de plus avec ses bagages.
(Je signale à mes lecteurs le commentaire érudit de BESMRS sur cette photo; merci à lui.)

Paris vous aime, surtout si vous êtes sportif !
Bonus : le vieux tunnel de l'Elbe
Je vous propose maintenant un bonus qui ne vous fera pas monter au septième ciel
Merci pour ce FR !
Un vol AF très classique avec tout ce qu'il faut, mis à part le catering décevant pour l'horaire. Étonnant de ne pas avoir eu de sandwich qu'AF sert sur un Paris-Genève pourtant plus court aux mêmes horaires...
Belle découverte avec ce bonus qui me rappelle le tunnel de Greenwich à Londres.
A bientôt !
Peut-être que ce catering réduit est dû à un problème de fournisseur à HAM, car ces biscuits français avaient été certainement chargés à Paris. Cela avait été la raison (cachée) de la suppression des menus spéciaux sur ARN-CDG à l'époque de mes navettes suédoises.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR :o)
Merci pour les bonus !
On notera en particulier une belle vue de l'enmarchement mobile du MI 79. A l'origine les quais SNCF étaient bas (30 ou 55 cm), les quais RATP hauts (80 ou 90 cm). Après avoir quitté la Gare du Nord, les marchepieds s'abaissaient ... Depuis des travaux récents tout est haut (sauf sur les voies banalisées).
Idem sur la A et le MI 84 :)
Sinon pour le tunnel, cf.:
https://en.wikipedia.org/wiki/Greenwich_foot_tunnel
Merci pour ce rappel historique ferroviaire que j'ai bien connu à l'époque et que j'avais complètement oublié depuis.
Merci également (ainsi qu'à Nicobcn) pour la référence du tunnel de Greenwich que je ne connaissais pas : le trafic piéton est du même ordre de grandeur, mais son gabarit est plus réduit, d'où l'obligation d'y pousser son vélo.
La petite attention aux accès PMR est très appréciable
Merci pour ce FR
Mon FR du vol aller révèle pourquoi je suis sensibilisé à la problématique de l'accessibilité PMR.
Merci pour le commentaire !
Pas grand chose à se mettre sous la dent à bord, il s'agit d'un vol transfrontalier quand même !
La bande avait fait un tour dans le tunnel en son temps .. N'étais tu pas tenté par l'attraction majeur de Hambourg, le "musée" qui reçois le plus de visiteur en Allemagne, Wünderland Miniatur... Avec l'aéroport HAM reproduit et les avions qui décollent, entres autres surprises ?
Merci pour ce récit, à bientôt.
Peut-être un problème ponctuel de fournisseur à HAM, obligeant à emporter un catering ne nécessitant pas de réfrigération.
Miniatur Wunderland ? Je l'ai découvert avec Mme en janvier (cf. mon FR CDG-HAM d'alors); l'aéroport de Knuffingen est une pure merveille.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci pour le partage François !
Bon je dois avouer que j'ai dû chercher la petite bête pour trouver LA faille .... et elle a été trouvée :)
Et bien non, l'immatriculation aurait dû te révéler qu'il est exploité pour Sun Express par Avion Express ^^
Surpris de retrouver un sucré salé sur ce vol sommes toutes pas si court.
Merci pour le bonus sur HAM qui est vraiment une ville a découvrir ou redécouvrir.
A bientôt !
Je me suis emmêlé les pinceaux dans ces Express :( C'est corrigé!
Ce n'était même pas un sucré-salé, mais un sucré sans option salée : service minimum que je soupçonne lié à un problème de fournisseur.
Le régional de l'étape m'a promis de m'emmener découvrir une autre curiosité de Hambourg la prochaine fois : affaire à suivre !
A bientôt !
Merci François pour ce FR.
Un distributeur de soupe comme un distributeur de soda, c'est bien la première fois que j'en vois.
hublot est très mal aligné au rang 5 => quel dommage.
juste des mini galettes c'est très allégé comme collation.
Superbe bonus très instructif.
Je me demande si dans le distributeur, la soupe est liquide, auquel cas elle se conserve mal, ou instantanée, auquel cas elle est médiocre, comme celle proposée par le distributeur de boissons de mon bureau.
J'ai bien pris note de ce rang à éviter à l'avenir.
Le repas pris au salon a été rétrospectivement une sage précaution, vu le peu de nourriture servie à bord.
Merci pour le commentaire !