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1057 avis
Ce récit est le premier d’une série de quatre vols, effectués pour participer à une sympathique rencontre à Belgrade. Air France avait ouvert récemment une ligne CDG-BEG, mais le tarif de l’aller-retour en vol direct à l'époque de l'achat des billets était dissuasif, ce qui justifiait de transiter par AMS et de voler Transavia ensuite - une première pour moi, avec en prime les deux types d'appareil présents dans la flotte actuelle, à l'aller et au retour.
A l’OLCI, KLM tente en vain de me vendre un surclassement en classe affaires à 99 EUR pour le très court segment CDG - AMS, ou à tout le moins d'un siège à pitch amélioré pour 10,80 EUR.
On notera que le cours du siège plus était en baisse, car lors de la réservation, il était proposé à 12,60 EUR. Merci, mais non merci !
Transavia n'offre pas la réservation de siège à l'avance à un PAX Elite+ ayant acheté un billet KLM (mais chaque vol HV rapportera 5 XP).
Le matin du départ, les automates de vente de billet de notre station de métro sont hors service et l’employé de service quitte justement son guichet « pour partir en intervention » en me disant d’acheter mon billet « à la machine de gauche qui est en service », un mensonge destiné à se débarrasser de nous avant de disparaître par les escaliers.
#Parisvousaime…
Bref, ayant perdu un peu de temps à pied jusqu’à la station de métro suivante, regagné un peu de temps grâce à l’arrivée à quai juste au bon moment d’un RER, arrivée à CDG2.
Scène banale en haut des escaliers mécaniques : une escouade de contrôleurs des deux sexes qui font carton plein, qu’il s’agisse de fraudeurs de mauvaise foi ou de touristes de bonne foi qui n’ont pas capté qu’un ticket de métro ordinaire n’est pas valable au-delà de Gare du Nord.
La rénovation du célèbre FIDS de la gare RER-TGV continue : l’écran géant est désormais fonctionnel mais pas encore programmé.
Vus depuis le cheminement, au contact au terminal 2F : un A320 Joon
Et deux A320 Air France, l’un au premier plan équipé d’une antenne satellitaire et l’autre non.
Stationnés en face du Terminal 2D, un 737-800 Air Europa et un A320 Austrian Airlines
La queue est plutôt longue au PIF Skypriority parce qu’il n’y a qu’une seule file de contrôle en service.
Notre vol est annoncé à l’heure
Huit minutes séparent la photo ci-dessus de la suivante : ce n’est pas catastrophique, mais peut mieux faire.
Embarquement porte 34, donc jetée 1, précédée de ce FIDS
… et d’un espace affaires qui semble conçu de manière à ce que n’importe quel PAX puisse lire ce qu’il y a sur les écrans de leurs usagers.
La signalétique indiquant la direction du salon est beaucoup moins visible que dans la jetée 2, mais ici, elle est aussi en français.
Les différents couloirs d’attente pour les comptoirs d’assistance AF
Le seul intérêt pour le spotting est la vue assez médiocre dans la direction du Terminal 2D
Le 737-800 Air Europa déjà plutôt mieux vu depuis le cheminement landside
A320 Easyjet et A318 Air France
La (relative) nouveauté, c’est ce 787-8 Xiamen Air qui dessert la ville de Fuzhou (capitale de la province de Fuzhou, dont la plus grande ville est Xiamen).
Descente vers le salon : mon jeu habituel consiste à tenter d’atteindre une borne d’autoscan de mon BP avant d’être harponné par l’un des dragons qui est là pour aider les PAX à le faire. Pari gagné cette fois-ci : les deux dragonnes debout ne peuvent bloquer l’accès qu’à deux bornes, et sans aucun PAX devant moi qui puisse me ralentir, je suis déjà en train de pianoter en néerlandais sur la troisième borne avant qu’elles n’aient eu le temps de réagir. (J’ai tapé sur cette langue au hasard ; peu importe car je connais le très court dialogue par cœur.). Pour sauver l’honneur, la dragonne qui a été prise de court me dispense de scanner le BP de Mme.
Même au niveau inférieur, le salon est bien plein.
C’est tout au fond que nous trouvons deux tables vides, dont celle-ci qui sera débarrassée par un PAX qui n’avait trouvé pas de place ailleurs.
Il était assez inévitable que cette goulotte ait été arrachée de la cloison par un PAX ayant tiré sur l’extrémité du prolongateur électrique.
C’est l’offre de petit-déjeuner : des viennoiseries
Cold cuts (après réapprovisionnement ; il n’y avait plsu jambon à notre arrivée)
Fromage
Céréales
Salade de fruits
Pain avec gluten au fond et sans au premier plan
Pour les amateurs de sensations fortes
Alcools plus ou moins forts en hauteur ; Il y a aussi une armoire de boisons réfrigérées, du thé et du café
L’article de choix pour #jefaismescoursesausalon
Ma sélection
Pour ce qui est du spotting, c’est comme toujours très maigre, tant la vue est encombrée par les passerelles. Voici tout ce que j’ai vu du 737 qui va nous emmener à AMS.
A une porte voisine, un A321 en livrée Skyteam qui nous verrons mieux plus tard
Tiens, l’A320 Easyjet vu au parking devant le Terminal 2F s’en va !
Le salon s’est largement vidé quand nous le quittons à notre tour
La queue pour l’embarquement de notre vol, plus ordonnée que cette photo ne le laisse supposer, et laissant moins de passage aux PAX à droite allant vers d’autres portes que cette photo ne le laisse supposer, sans parler des PAX qui comme nous sortent du salon et cherchent à rejoindre l’accès Skypriority de l’autre côté de la porte F34.
Je n’ai pas vu les bagages à main de cette famille interceptée à l’embarquement, mais ils étaient hors gabarit, d’après ce que j’ai entendu au passage.
Vue limitée sur le 737 au contact – le terminal 2F est décidément peu spotter-friendly
L’appareil est PH-BCE, un B737-800
Instant porte pour amadouer l’impitoyable correcteur de mes hasardeuses identifications
Mon siège au hublot
Il y avait autrefois des canaux audio sur les vols européens KLM
… et il y a encore aujourd’hui des boitiers IFE qui ne servent plus à rien
Un petit sac à dos tient sans problème, mais il n’y a pas de place pour les pieds de part et d’autre
La cabine des 737 est plus étroite que celle des A32x et cela se ressent sur la largeur entre accoudoirs : 43 cm contre 46 cm dans un A320 Air France.
25 à 26 cm de l’assise du siège à l’aumônière devant : c’est plutôt mieux que dans un A32x Air France
Le logo de KLM sur la cloison avant
Instant F-OITN
La fiche de sécurité recto-verso
La carte des lignes européennes est du type fouillis inextricable, car elle superpose les réseaux de cinq compagnies aériennes Skyteam
La carte de l’Asie est beaucoup plus clairsemée
Pas de mention de la desserte de TPE par Air France ?
Sur cette carte, c’est normal, car il n’y a pas les vols AF
Mais sur la carte de l’ensemble des vols Skyteam
… il n’y a pas non plus de trait rouge (pour AF) aboutissant à TPE.
L’avion repousse avec cinq minutes de retard
C’est bien le pouce que ce personnel de piste lève en l’air pour signaler au CdB que tout est OK après repoussage.
Arrivée d’un A318 AF
… masquant cet A321 AF en livrée Skyteam, vu un peu après en quittant le terminal. C’est le même que j’avais vu fort mal depuis le salon.
L’avion n’est que sur le taxiway en face quand le CdB annonce « Crew, take your seats for takeoff ».
Il reste encore à prendre le taxiway vers le doublet nord
Un 787-8 Kenya Airways (5Y-KZH)
… masquant partiellement un 787-9 Air France,
A340 Joon
777 Air France en version courte (200ER)
… et en version longue (300ER)
Dommage pour cet Airbus Brussels Airlines qui masque la vue de face d’un A380 venant des zones de maintenance. A gauche, l’empennage d’un A380 SQ au contact au Terminal 1.
Arrivée d’un E-190 Flybe
Décollage piste 27L, après l’Airbus Brussels Airlines
L’A380 AF aperçu de face un peu plus tôt
C’est à nous !
Un E170 devant le Terminal 1
Au contact aux satellites du Terminal 1, un A330 Air China et un A380 Singapore Airlines à gauche, deux A32X Lufthansa (dont l’un en livrée Star Alliance) au centre droit, un A380 Thai Airways et un 777-300ER Eva Air à l’extrême droite. Un A32x Eurowings roule au centre.
Le décollage révèle un A380 Qatar Airways à un satellite voisin de celui utilisé par la Thai.
Un 777-300ER Air France en maintenance, et deux A330 Air France stationnés
Deux appareils stationnés dans la zone Fedex (DC10 ou MD11 au premier plan ?)
La limite du périmètre de CDG et l’échangeur entre la N1104 et la N2
L’aéroport du Bourget (LBG)
Au centre de la photo, le Stade de France, et dans le même axe, la Tour Eiffel
Le futur échangeur entre la N104 (« la Francilienne ») et le contournement en construction de Montsoult par la N1, en bas à droite.
Montée au-dessus de la couche nuageuse
Le siège peut s’incliner, au grand dam de Mme qui a mis un pull qui ne servira qu'en avion lors de ce petit voyage, pour cause de climatisation excessive
… beaucoup trop pour pouvoir utiliser mon ordinateur portable sans devoir incliner à mon tour mon siège, répercutant la même gêne sur le PAX du rang suivant. Les plus observateurs de me s lecteurs auront remarqué que j'ai tenté et perdu le pari du siège milieu neutralisé : ce n'est pas le PC de Mme qui se trouve ci-dessus, mais celui d'une PAX qui va l'utiliser en continu du repoussage à CDG jusqu'à l'arrivée à AMS, faute de vérification adéquate de la cabine par les PNC.
Une trouée dans les nuages
Il faut un peu de traitement d’image pour faire apparaître Amiens
Et encore un peu plus de travail pour faire apparaître QAM, son aérodrome, dans la moitié droite de cet agrandissement.
Arrivée du chariot dont le flanc est décoré d’un motif de faïence de Delft
La prestation est donnée dans une boîte en carton, dont voici le contenu, avec un gobelet de café.
Pour Mme, la boisson est un Coca-cola, dans un gobelet de plastique décoré d’une bicyclette
Début de l’autopsie de la prestation. Je n’ai pas mordu dans la galette au premier plan : ce qui manque a été réduit en miette lors de l’avitaillement.
La tranche de fromage est collée au pain avec une pâte alimentaire de composition inconnue – il n’y a aucune information sur le contenu de ce sandwich.
En revanche, la composition de la galette est détaillée de manière polyglotte.
L’ensemble est facile à compacter après consommation
L’agglomération de Lille – Roubaix - Tourcoing
Lille
On arrive en Belgique
Voici Courtrai
… et son aéroport, principalement d’affaires
Entrée dans l’espace aérien néerlandais, près de la côte de la Mer du Nord
Le Brouwersdam, l’un des ouvrages du Plan Delta protégeant le delta de la Meuse et du Rhin contre les ondes de tempête exceptionnelles.
Ci-dessous devant le réacteur, l’île triangulaire Hompelvoet, dans la mer de Grevelinge. Inhabitée, c’est une réserve naturelle interdite d’accès pendant les cinq mois de la reproduction des oiseaux marins.
Le winglet décoré du logo de KLM
Des navires au mouillage en mer
… dont celui-ci, équipé d’une plateforme pour hélicoptère
Un champ d’éoliennes offshore
Probablement un navire utilisé pour la maintenance auprès de celle-ci.
Le CdB annonce une arrivée à l’heure (pas bien difficile, en partant quasiment à l’heure avec 1h20 à l’horaire pour effectuer les 399 km du trajet CDG-AMS !) et dix à quinze minutes de roulage pour atteindre le terminal : cela sent la Polderbaan (la piste 18R, la plus excentrée) à plein nez. Et de fait, voici, copiée évidemment a posteriori, la trace enregistrée par Flightradar24.
Vue sur la côte au nord d’AMS, après le virage vers l’est pour effectuer le crosswind leg .
Akersloot en bas de la photo, et l’extrémité nord de l’Alkmardemeer
La campagne striée de canaux, située à peine au-dessus du niveau de la mer.
Assendelft
Le canal du port d’Amsterdam à la mer.
L’autoroute N200, peu avant l’atterrissage
Atterrissage, déploiement des inverseurs de poussée
On n’a jamais besoin d’eux, mais on est quand même content qu’ils soient là quand on a besoin d’eux
Quoi de mieux pour symboliser l’éloignement de la piste 18R/36L, autrement dite la Polderbaan ?
Elle dispose même de sa propre tour de contrôle, surmontée d’une boule radar
Un peu de spotting à contre-jour : un A380 China Southern stationné au large
747-400 KLM
Deux 777-300ER KLM, dont l’un en livrée bicolore « Orange Pride » (PH-BVA).
787-9 KLM (PH-BHH)
767-300ER Delta Air Lines
Le roulage continue ; on passe à des jets régionaux :
E-195LR Stobart Air (EI-GGB)
E-190 KLM (PH-EXA)
E-175 KLM (PH-EXT)
Un peu plus gros : 737-300 airBaltic
A321 Finnair (OH-LZL) et A319 SAS (OY-KBR)
Arrivée à proximité de la porte : il y a du monde en face, avec de gauche à droite airBaltic, Smartwings, GetJet Airlines, Austrian Airlines et Lufthansa, avec un Swiss sur le départ.
Voici les trois premiers, vus à différents moments pendant les dernières centaines de mètres de roulage jusqu’à la porte
A220-300 airBaltic (YL-CSJ)
737-800 Smartwings (OK-TSF)
737-300 GetJet Airline
L’A321 Swiss
De l’autre côté de l’une des pistes, des appareils de fret : DHL, Cargolux, Kalitta Air, CargoLogic Air et Fedex
Stationnement auprès d’un 737-700 KLM (PH-BGM)
C’est après avoir débarqué que j’aurai la moins mauvaise vue de l’avion qui nous a transportés.
Merci de m’avoir lu jusqu’ici, à bientôt pour la suite dans le FR suivant !
Toutes les notes sont en retrait pour KLM, par rapport au 8 que je prends comme étant le niveau de référence.
Non seulement c'est un 737, à la cabine plus étroite que celle d'un A32x, mais KLM a laissé dans les pieds du PAX au couloir un boitier IFE désaffecté. La climatisation excessive achève de plomber la note.
Par beau temps de jour, cela ne m'a pas inquiété le moins du monde, mais les PNC n'ont pas vérifié la cabine selon les règles, ma voisine ayant continué à utiliser son PC d'un tarmac à l'autre.
Le magazine de vol me divertit d'autant moins que le diagramme des lignes est un fouillis inextricable et pas à jour.
Oui, il y a un sandwich, mais cet assemblage est vraiment le niveau minimum de la restauration aéronautique court-courrier.
A CDG, une seule file de contrôle au PIF Skypriority qui par ailleurs manque de place pour poser et reprendre ses affaires, c'est vraiment le service minimum.
L'accès à CDG n'a pas fini d'être médiocre, et cette fois-ci, c'était la RATP qui faisait l'extra-mile en moins en service client (oui, je sais, je suis un usager, pas un client).
En mode pinailleur, je retire un demi-point à CDG pour l'absence de FIDS à CDG2, pour cause de modernisation en cours. On m'objectera bien sûr qu'un PAX est censé savoir à l'avance à quel terminal embarque son vol.
Pas de souci pour débarquer à AMS, mais signalétique déficiente : il a fallu chercher un peu pour trouver un FIDS après être sorti de l'avion. Pour le reste, c'est correct, mais les cheminements sont très longs pour aller prendre un vol non-Schengen.
Aux salon de CDG-2F, il ne faut pas être exigeant en matière de sièges à ce qui se révélait être une heure de pointe au CDG, mais personne n'attendait debout, comme je l'ai vu hors vacances scolaires. (Patience, la réforme de FB de ce printemps va faire le ménage parmi les PAX Elite+, y compris votre serviteur...).
En mode petit déjeuner, le catering n'est pas éblouissant, mais c'est objectivement plus diversifié que ce que j'ai à domicile.
Le divertissement est limité dans ce salon à un accès internet d'accès rapide et à des présentoirs correctement fournis de journaux et de magazines, la vue sur le tarmac étant très médiocre. AF/KL continue d'offrir par ailleurs une immuable sélection de journaux à l'ensemble de ses passagers, sur des présentoirs que beaucoup de passagers ne repèrent probablement pas.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 189 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Amsterdam (AMS).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 32 minutes.
Plus d'informations
26 Commentaires
Merci pour ce partage.
A bientôt pour la suite !
après l’Airbus Air Belgium => petit coup de fouet : il s'agit de Bruxelles Airlines.
Mais c'est quoi ce sandwich avec une pâte à tartiner qui ne donne pas envie de le manger ?
Sur les vols CC/MC je suis pour les sièges non inclinables, car c'est pénible lorsque l'on travaille sur son PC.
A bientôt pour la suite.
Il est toujours dangereux pour l'appétit d'expertiser la nourriture bas de gamme.
Merci pour ta mansuétude !
Un vol classique qui aurait tout pour devenir une navette mais qui n'en est point une. Attendons donc la suite patiemment puisqu'elle promet, dit-on.
Joli choix de courses au salon, j'en connais une qui réclame fréquemment sa part. Ah les maigres avantages d'un statut.
À bientôt
L'accès au salon à CDG est d'intérêt très limité pour un vol aussi court; j'ai par ailleurs fort peu emprunté cette ligne.
Merci pour le commentaire !
Vol classique chez KLM (quoique je constate que tu as eu droit à la totale niveau catering : Sandwich, biscuit et capsule d'eau, c'est Byzance !), bien réduit par l'inclinaison trop importante autorisée par ces sièges pour des vols si courts...
Je connais ce trajet, surtout l'approche, par coeur, mais je découvre là quelques détails que je n'avais pas repéré...
A bientôt pour la suite !
Contrairement aux apparences, conserver la possibilité d'incliner les sièges dégrade le confort quand une compagnie aérienne réduit le pitch.
J'ai beaucoup effectué ce trajet dans le passé... en altitude de croisière vers ARN ;)
Merci pour le commentaire !
A+
KLM fait le bouleau avec une arrivée à l'heure (ce qui en effet était loin d'être impossible) mais un sandwich... douteux ^^
Une petite erreur il me semble, à AMS, l'appareil AirBaltic n'et pas un B737-300 mais bien un Airbus A220. ^^
A bientôt !
La collation du vol de retour sera encore plus douteuse (teaser...)
Merci pour le commentaire !
Je te trouve un peu sévère pour le catering proposé : c'est sans génie mais un peu mieux que le sucré salé.
Chacun joue son rôle dans cette aventure : les distributeurs de billets de RER HS, les agents de la RATP qui tels des vautours fondent sur des cibles faciles (d'autant que les machines ne fonctionnent pas toujours), le salon du 2F1 et son offre perpétuelle, l’exiguïté du hall 2F1 et l'arrivée à la Polderbaan pour justifier le créneau de 1h20.
A bientôt pour la suite serbe.
CDG2 est une gare SNCF : ne mettons pas dans le même panier un agent RATP qui fuit les clients honnêtes au départ et les agents SNCF qui traquent les clients malhonnêtes (ou mal informés) à l’arrivée.
Ce vol a néanmoins assuré son rôle principal : acheminer des passagers à l’heure annoncée pour une correspondance avec un vol plus long.
A bientôt !
La livrée spéciale du Air Baltic spottée à AMS est réussie.
Un nouveau FR CDG AMS , eu importe chaque vol est différent et chacun à sa manière de le raconter !
Je n’écrirai jamais assez à quel point permettre d’incliner les sièges est une aberration quand les rangées ont été densifiées.
J’aime également cette livrée spéciale airBaltic.
Merci d’avoir commenté cette manière de raconter encore un CDG-AMS ! :;)
Un vol navette classique dans toute sa splendeur banale… Concernant le spotting, l'A321 SkyTeam F-GTAE est splendide je trouve <3
Pour la collation, " On connaît tous le contenu de la boite KLM " ais-je sortis en voyant la photo :-)
Sinon, le PH-BVA je l'ai fait aussi à la sortie de mon vol FCO-AMS en Novembre 2017. Tu peux aller voir le FR si tu veux…
A+
easyJet35 :-)
Justement, je connais assez peu la boite KLM, ayant fort peu pratiqué ses vols court-courrier.
J'ai un catastrophique retard de lecture des FR, et ce n'est pas la rédaction de ceux de ce petit voyage qui va améliorer les choses.
Merci pour le commentaire !
Avant d'aller vous remercier pour ce très beau FR, permettez-moi de vous laisser tutoyer le fouet pour cet E-195 Fly Be injustement transformé en mini E-175.
:)
Et maintenant merci pour ce partage avec ce premier tronçon vers un très beau week-end.
A très vite !
Il y aura encore plus d'appareils, en état de vol ou non, dans le récit du segment suivant :!
Merci pour le correctif, à bientôt !
De la pâte à tartiner ? KLM me surprendra toujours...
A bientôt !
Merci pour le commentaire !
La prestation KL est bienvenue sur un vol si court, mais elle ne semble pas très appétissante ^^
A bientôt pour la suite !
Merci pour le commentaire !
Tu sembles porter la poisse à toujours te faire contrôler à CDG.
J'ignorais qu'il y avait un FOC-CDG, on arrête pas le progrès.
" trait rouge (pour AF) aboutissant à TPE." il faut comprendre : comment se retrouver dans un tel enchevètrement ?
KL maintient haut le souvenir de NW.
Bon ce ne fut pas le vol parfait mais cela reste plus sympa qu'une LCC... Rendez vous pour la suite !
Je suppose que Xiamen Airlines compte sur la clientèle d'affaires et sur l'attractivité touristique de Paris, car celle de Fuzhou est réputée être mince.
Merci pour le commentaire !
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