Avis du vol entre Mulhouse / Bâle et Amsterdam en classe Economique avec KLM Cityhopper

Bonjour à toutes et tous.

Eh oui déjà un nouveau voyage, j’ai à peine le temps de défaire ma valise, pour la refaire.
Cette fois-ci pour des courtes vacances avec des joyeux lurons (en l’occurrence FflyerCDG, Esteban, Chevelan et NZ1), ce qui promet des soirées animées et des journées bien remplies.

Nous avons organisé ce voyage en janvier, en une soirée, les billets ont été achetés et nos hôtels réservés, on pourra dire que dès qu’il s’agit de bouger nous ne nous posons pas beaucoup de question.

Comme nous sommes deux à partir d’EAP, nous cherchons un billet qui convienne à tous les deux, et ce sera un combiné KLM /AF qui remportera la mise.

Cette fois-ci j’ai fait primer le voyage en commun et non pas la compagnie nationale de notre destination finale, car j’ai réussi à la glisser sur un vol domestique, voilà qui permet de contenter les deux parties.

Le prix est de 255,81€, un prix moyen mais pas non plus très bon marché, pour du full éco. 

La veille à 12:25 je me connecte pour procéder à mon enregistrement. Stephan me communique ses numéros de place, pour le premier vol je suis automatiquement mise au 11A, il y a pire, je valide la place, celles plus en avant sont à 8€.

Pour le vol suivant me voilà en 26C, l’upgrade en Business est à 59€, il n’y a qu’une rangée, et un siège déjà occupé. Je ne perds pas de temps et valide le changement de siège pour le 1F.

Cela me permet l’accès au salon d’EAP, le Sky Priority sur l’intégralité du trajet, et un repas amélioré pour fêter ce début de week-end.

Le jour J je quitte mon travail à 15:40, pour une arrivée au P4 à 15:58, un peu lent mais le trafic était dense. 

euroairport : la maison et ses DÉPENDANCES

Quoi encore des travaux !

Je me dirige vers le bâtiment, avec des nouveaux panneaux. Il faut dire que l’aéroport à été évacué il y a peu, suite à un bagage abandonné, et les avertissements ont été vite diffusés pour informer les passagers un peu tête en l’air.

La maison.

Eh bien il y a du monde pour l’enregistrement du vol pour Palma, on remarque que c’est la période haute des vacances.

Stephan me rejoint, nous constatons que notre vol est annoncé en retard.

Avec une connexion de 50 minutes à AMS, il va falloir être rapide.
Notre vol étant prévu complet, j'ai reçu un SMS de KLM pour mettre en soute gratuitement les valises, Autant le faire même si mon billet le permettait également.
 

Nous prenons la direction du PIF Suisse qui à cette heure est vide.

A moi la file prioritaire.

Passage rapide je sors mon PC, ma liseuse etc…

Une agente explique à la passagère derrière moi qu’elle ne doit pas ôter ses chaussures (ce qu’elle était en train de faire), qu’il y avait un équipement maintenant pour le contrôle. (Oui j’ai déjà testé, mais là avec des baskets je suis tranquille).
Honte à moi mon sac est mis de côté, et là je me rappelle que dans mon sac j’ai une crème solaire (en format compatible) que j’avais emmenée à Belgrade et qui n’avait pas quitté mon sac.

Comme quoi on est des habitués mais on arrive a oublier ce qui se trouve dans notre sac (surtout que mon sac n’avait pas été vidé puisque je repartais la semaine suivante).

L’agent a été charmant et très poli. 

Passage par le duty free.

Nous sommes la veille de la fête nationale Suisse.

Le hudson avec des réserves de Haribo, non je ne succomberai pas.

De la presse mais uniquement germanophone.

Nous continuons vers le Saint-Graal.
Nous y croiserons des passagers en quête de leur vol Aigle azur et complètement perdus. 

Air Mogoy.

L’entrée de la cuisine.

Salon skyview : la cuisine et la terrasse

L’accueil y est très cordial.

Les glaces, le bac est bien mal placé, car une fois à l’étage, on ne redescend pas pour en chercher une.

Des journaux.

La partie inférieure.
Si vous lisez ce FR vous comprendrez la photo de couverture : https://flight-report.com/fr/report/43588/klm-cityhopper-kl1990-bale-eap-amsterdam-ams 

L'offre est plus succincte.

Il ne manque que les poissons.

Le meilleur est à l'étage.

Nous nous posons à un endroit avec 4 sièges et suffisamment de petites tables.

Nous voilà prêts à célébrer ce voyage.
Direction les cloches.
Une rapide présentation de l’offre à cette heure. 

Commençons par l'essentiel.

Mais ce qui nous intéresse c’est de nous préparer un Spritz.
Et pour cela je voyage avec un excellent barman.

Ma sélection.

Finalement les voyages en groupe c'est très sympa lorsqu'il s'agit de FRistes.

Nous profitons du beau temps pour nous rendre en terrasse pour un petit spotting.
 Elle est belle notre terrasse.

Germanwings et SN.
Un Wizz Air est puni et au loin.
Un autre s’en va. 

Les valises sont prêtes à être chargées sur le vol Aigle Azur.

Encore du W6.
Et de l’Easyjet. Et Pegasus. 

Ouf enfin une legacy.

Un intrus.

Le LY-EEL B737-4 qui opère le vol Aigle Azur.
Parfait il est presque au stop. 

SN s’en retourne vers le pays des frites.

Et Fedex continue sa tournée.

Notre vol est retardé à 18:50, cela va être serré à AMS.

Petite présentation de l’offre chaude du soir.

Les documents de voyages, avec le fameux Leberwurst.

Un passage par les toilettes femmes, qui sont très peu reportées. Suite à la demande de Marathon et Mogoy,  non il n'y a pas de Balik.

Notre avion arrive, il est temps pour nous de nous rendre en porte.

Petite nouveauté, en plus j’adore ces glaces.

 Le nouveau passage pour rejoindre la porte une.

Des travaux sont en cours, pour agrandir le PIF côté France.

Nous rejoignons la file SP.
 Et nous sommes à la bonne porte.

On scanne nos documents, avec présentation de notre pièce d’identité, pour ensuite attendre dans ce couloir.

Je récupère le Monde.

Direction notre avion.

L’instant porte avec le bras de son illustre auteur.

a bord du vol kl1990

Mon siège et son mauvais placement avec les hublots.

Le pas est correct.

La maison.

La carte de sécurité.

Lecture du Monde avec un article sur un nouvel aéroport. 

Nous repoussons, l’embarquement à été plutôt efficace.

Un copain s’en va avant nous.

Et un autre attend son tour.

Allez zou nous nous alignons à sa suite.
Encore du Orange. 

On pousse les moteurs à fond.
Un dernier regard vers EAP, et on décolle. 

Survol de Bâle, puis demi tour.

Direction le Nord.

Le service est rapidement démarré par le personnel.
Avec le sandwich du moment. 

Je n’en n’ai mangé qu’un seul, c’est assez bourratif, et comme j’ai encore un repas je préfère ne pas le finir.

Un vol tranquille avec un voisin sympathique.

J’allais en oublier le magazine.
Avec des routes toujours aussi denses en coloriage. 

Et notre avion.

Une île que j’ai faite et une autre qui me tente énormément.

Puis c’est la descente, nous survolons le port de Rotterdam.

La mer du Nord.

Direction la polderbaan, c’est toujours lorsque l’on a un timing court que l’on prend le chemin le plus long.
On survole l’autoroute. 

On rattrape notre ombre.

Et nous nous posons.

Aéroport d'Amsterdam-Schiphol

Annonce pour une short connexion à bord, notre porte est en B34.

 Amsterdam, que nous avions visitée en juin 2018.

Passage au dessus d »une deuxième autoroute.

Une ferme à petit module.

J’allais oublier le plafonnier, mieux vaut tard que jamais.

L’instant Danette.

Débarquement à pied.

Pour reprendre une passerelle nous menant en porte B16, il est 20:30. 

La suite de notre voyage dans le report suivant avec cette connexion qui est très tendue.

Merci pour votre lecture et vos commentaires.