#10 sur 22 Compagnies low-cost Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.345 avis
Ce récit est celui du vol de retour après un bien sympathique week-end allongé entre amis avgeek à Belgrade. L'aller-retour m'a été vendu par KLM avec un mix KLM + Transavia Holland.
KL1243 - Economique - Amsterdam → Paris - Boeing 737-800A venir
QU'est-ce que cela change d'avoir deux segments HV ? La correspondance est assurée et j'aurais pu enregistrer un bagage en soute de bout en bout. Je n'ai pas cherché à savoir si j'aurais eu droit à un bagage gratuit pour cause de statut Elite+, en revanche, j'avais accès au salon de KL à AMS. Les vols avec HV ont crédité 5 XP chacun tout comme les vols KL, et les airmiles acquis étaient évidemment sur la base du tarif acquitté globalement. En revanche, la prestation de HV reste inchangée : pas de choix de siège gratuit et BOB exclusivement à bord.
A l'aller, commençant par un vol KL, je me suis enregistré sans souci sur le site de KL, obtenant les BP des deux vols successifs. Au retour, l’OLCI sur le site de KLM échoue parce que le vol est effectué par Transavia
… et il échoue sur le vol Transavia parce que nous avons des billets KLM
Allez comprendre la logique, vu du point de vue d'un client…
BEG landside
Départ en taxi depuis l’hôtel : la course est quasiment au même tarif que le forfait aéroport-ville de 1800 RSD, soit environ 15 EUR. Bien qu’on soit dimanche matin, le trafic est loin d’être nul sur la voie rapide en direction de l’aéroport, mais je chauffeur de taxi n'éprouve pas le besoin de faire des zig-zags entre voie de gauche et bande d'arrêt d'urgence comme dans lors du trajet inverse, à notre arrivée comme pour revenir du Musée de l'Aviation.
Arrivée donc sans encombres à l’aéroport Nikola Tesla
Le terminal est en L : voici une vue panoramique depuis l’autre branche du L, c’est-à-dire depuis les baies vitrées au fond à gauche dans la photo ci-dessus.
L’OLCI ayant échoué, et en l’absence de bornes automatiques, nous n’avons d’autre choix que celui d’un enregistrement manuel à BEG alors que nous n’avons que des bagages à main. La queue est longue, mais c’est ici celle d’Easyjet.
Ce n’est pas très bien signalé, mais il suffit de la contourner sur la gauche pour atteindre la queue pour le vol Transavia, où il n’y a qu’une douzaine de PAX (ou couples de PAX) pour deux comptoirs en service.
Bien que mon sac à dos soit d’un gabarit largement inférieur à celui garantissant l’embarquement, tenant sans problème sous un siège, l’employée l’étiquette comme n’étant pas garanti en cabine ;
Cette fois-ci, la loterie est meilleure qu’à l’aller : avec le 23A, je suis certes encore une fois à contre-jour, mais au hublot.
Je me suis abstenu de tout commentaire déplacé en ce lieu.
La queue pour le vol Easyjet s’est allongée
En revanche, un bon point pour BEG qui procure des sièges pour les PAX qui peuvent s’asseoir pendant que leur compagnon de voyage fait la queue. C’est d’ailleurs là que Mme s’asseois pendant que je m’occupe de la formalité suivante.
La probabilité de revenir en Serbie dans un proche avenir étant faible, tout comme l’attractivité du dinar serbe à nos prochaines destinations hors zone euro, mieux valait me débarrasser du faible reliquat des dinars retirés à un ATM quelques jours plus tôt.
Bonne nouvelle : non seulement l’écart de taux achat/vente est faible pour l’euro (3,3%, contre 7 à 8% pour les autres devises), mais ce bureau de change a des pièces de un et deux euros : je repars avec un capital de 80 dinars, dont je vous laisse calculer la contre-valeur dans la devise de votre choix.
Montée à l’étage Départs
Le FIDS landside est un bon vieil afficheur à palettes, une technologie qui fleure bon la deuxième moitié du siècle dernier.
Les vols en partage de code apparaissent sur autant de lignes successives qu’il y a de compagnies aériennes partenaires
Bien que notre vol Transavia nous ait été vendu comme étant KL2592 assuré par Transavia Airlines, il n’apparait que sous son numéro de vol Transavia.
Spotting airside à BEG
PAF et PIF : le passage est rapide et on arrive devant des boutiques duty-free, mais sans passage obligé à travers ces dernières
Changement de technologie pour le FIDS une fois airside : il alterne entre serbe…
…et anglais
Pour cause de spotting de pré-embarquement, je laisse ici nos bagages à main en consigne à Mme, assise dans un fauteuil plutôt confortable avec vue sur le tarmac.
Il y a aussi des fauteuils sans vue sur le tarmac, le long du corridor central d’une largeur très confortable.
On commence par le maître des lieux, Air Serbia avec l’oiseau rare de sa flotte : son unique appareil long-courrier, un A330-200 dédié à la liaison BEG-JFK.
Un A319
Et un ATR72 au large
En zone de maintenance, A6-EIC, un A320 loué depuis mai par Air Serbia à Etihad
Un empennage défraîchi dépasse à l’arrière-plan dans la photo ci-dessus. Je n’ai pas réussi à obtenir plus de cet avion manifestement destiné à l’entraînement du personnel. Je préfère ne pas me prononcer sur son type.
Le Falcon 50 de la présidence serbe fait du béton depuis notre arrivée quatre jours plus tôt.
A320 d’Etihad, laquelle est actionnaire à 49% d’Air Serbia, le gouvernement serbe ayant conservé les 51% restant.
A320 Qatar Airways
YU-ANI, un vénérable 737-300 âgé de 33 ans, appartenant maintenant à Aviolet, la filiale charter d’Air Serbia.
A320 Wizzair
Le Musée National (très bien présenté, avec des notules systématiquement bilingues serbe / anglais) présente quelques oeuvres
Ce sont des reproductions, bien sûr : c’est dans le musée en ville qu’il faut aller pour voir l’original de ce Mondrian à gauche.
Ces panneaux évoquent le passage dans cet aéroport de différentes célébrités (dont une certaine Lady G***, en robe jaune et verte sur le premier panneau).
Incroyable mais vrai : dans ce large corridor,
… j’ai vu pour la première fois de ma vie un PAX mettre de l’argent dans un de ces fauteuils massant que j’ai vus inutilisés dans des dizaines d’aéroports asiatiques.
Le réseau d’Air Serbia est modeste, tout comme l’affluence au comptoir de correspondance de son hub.
Une employée trompe son ennui derrière la maquette géante d’un programme immobilier.
Je ne suis pas allé voir dans le détail l’offre alimentaire concentrée ici
Heurs et malheurs à l'embarquement en LCC
Ayant retrouvé Mme, il est plus ou moins temps de nous diriger vers la porte d’embarquement, située à l’extrémité du terminal. Là, pas de maquette de programme immobilier haut de gamme, pas d’évocation des richesses culturelles passées et présentes du pays : c’est le purgatoire auquel sont destinés les PAX des LCC.
Le sol est couvert de ce revêtement à picots particulièrement inconfortable pour les valises à roulettes, et les sièges sont en tôle particulièrement inconfortable pour les PAX.
Même l’escalier d’accès aux WC au niveau inférieur est exigu (mais Mme qui les a expertisés les a déclarés propres).
Le 737-300 d’Aviolet vient de repousser
Attente modérée au PIF en porte
Il y a 55 sièges dans cette salle étriquée, et environ 55 PAX debout : - le taux de remplissage du 738 de 189 places est loin des quelques 90% de moyenne de HV - cette salle doit être particulièrement inconfortable quand l’avion est complet.
Il n’y a pas de WC : en cas de besoin, il faut sortir de la salle d’embarquement et passer à nouveau le PIF en porte. Pas d’accès internet non plus
La climatisation fait ce qu’elle peut, mais cela pourrait être pire
L’employée en porte édite un long listing avec une imprimante à aiguille au son délicieusement rétro.
Les deux PMR du vol sont embarqués en premier
Nous sommes parmi les premiers. L’embarquement est signalé par les deux extrémités, mais il n’y a pas de contrôle des BP. La peinture de l’escalier a connu des jours meilleurs.
Passage sous la passerelle
Le cheminement est balisé
L’employée nous arrête un moment. En l'absence de sourire de sa part, je vous offre son bras droit.
… puis lâche les PAX
Je ne me presse pas : l’embarquement à pied par beau temps fait partie pour moi des plaisirs du voyage en avion.
Comment caser un moteur de plus gros diamètre en ayant un train d’atterrissage principal aux jambes si courtes ? C’est une question à plusieurs milliards de dollars à laquelle Boeing n’a pas bien répondu la deuxième fois qu'il se l'est posée.
Tout réside dans le respect de la garde au sol minimum du réacteur, aplati en face inférieure, et aussi dans quelques menus détails de localisation du centre de poussée par rapport au centre de gravité et au centre de sustentation.
L’A330 d’Air Serbia est parti en zone de maintenance
Un 320 Wizzair à la porte voisine
CRJ-900ER LOT, loué à Nordica : c’est probablement celui qui a été loué pour l’été par Air Serbia
J’arrive bon dernier à la porte, sans personne derrière moi : s’il y a d’autres PAX à embarquer par l’arrière, ils doivent être loin derrière.
Bienvenue dans une vingtaine de langues différentes
Fuselage shot
La PNC en porte arrière m’a évidemment vu prendre toutes ses photos : très souriante, elle me propose de me prendre en photo souvenir, comme il n’y a justement personne derrière moi. Ce n’est pas mes habitudes, mais je trouver inutile de casser l’ambiance. Elle va prendre son temps, prenant deux cadrages différents, car les autres PAX assis à l’arrière tardent décidément à arriver. Un bon point pour elle.
La cabine d'un 738 Transavia : révision de l'aller
Les sièges verts cru de Transavia : vers l’arrière
… et vers l’avant, dans un avion encore très vide
L’alignement du hublot est correct au rang 23
Il fut un temps où il y avait une offre audio à bord de cet appareil
Il n’en reste qu’un petit coffret au pied des PAX
Pour ce qui est du pitch, c’est un peu plus généreux qu’à l’aller
Mais sans surprise, l’écartement entre accoudoirs est le même, plus étroit que dans un Airbus, car le diamètre de la cabine est inférieur.
Instant F-OITN
La fiche de sécurité recto-verso
Le magazine de vol est du type recto-verso, duty-free et publi-information touristique, respectivement.
La carte du réseau, dont les points de couleur codent l’aéroport de départ, ce qui est considérablement plus lisible qu’un fouillis de trajectoires, surtout avec trois bases à quelques dizaines de kilomètres les unes des autres aux Pays-Bas (AMS, RTM et EIN)
La boucle des ceintures de sécurité est de modèle standard, contrairement à celles plus petites du 737-700 de l’aller (à droite)
Boarding complete : comme je l’avais estimé dans la salle d’embarquement, l’avion est très loin d’être complet. Non seulement il n’y a personne en 23C, à côté de nos 23A+23B, mais il n’y a personne non plus en 22D+E+F, du côté droit, orienté au nord, qui aura l’éclairage le plus favorable. Je ne tarde pas à faire demi-rang à part avec Mme, elle prenant le 23C et moi le 22F. Il n’y aussi qu’un PAX de l’autre côté du couloir. L’alignement du hublot est moins bon au rang 22 qu’au rang 23, mais c’est un détail par rapport au fait de ne pas avoir de contre-jour.
Spotting pré-décollage
L’avion repousse avec 19 minutes de retard
Arrivée d’un A319 Easyjet
… puis d’un 738 flydubai
Au contact de ce côté du terminal : le 738 flydubai, un appareil Lufthansa, un Wizzair et quatre Air Serbia. L’avion va rouler le long des deux côtés du terminal en L, mais étant à droite, je ne vais pas voir les appareils au contact
L’autre côté du terminal depuis l’accès au seuil de piste
Décollage piste 12
Après l’arrivée de cet ATR72 Air Serbia
Le début du décollage révèle qu’un A320 Aeroflot est arrivé entre temps
Le diabolo qui abrite le passionnant Musée de l’Aviation. Si vous n’avez pas l’occasion de vous rendre à BEG, je vous en recommande la visite virtuelle grâce au bonus du FR de mon vol aller AMS-BEG.
Dernier aperçu de BEG
le payage sur BEG-AMS
Ledine, une banlieue sud-ouest de Belgrade. L’avion va tourner à gauche au large de Belgrade : il aurait fallu être assis à gauche pour voir la capitale.
Traversée du fleuve Sava qui se jette dans le Danube à Belgrade
La gare de triage de Železnik.
L’échangeur entre l’autoroute A1 qui traverse la Serbie du nord au sud, contournant Belgrade, et la route 22 qui mène à Belgrade depuis le sud.
Le Danube, avec les îles au niveau de Grocka
Pančevo, sur la rive gauche du Danube légèrement en aval de Belgrade
La trace d’un ancien cours d’eau dans les champs
Le tracé géométrique des champs entourant Kovačica, à une vingtain de km au nord de Belgrade.
Szged, ville située côté hongrois du point triple Hongrie – Roumanie - Serbie.
C’est en préparant ce FR (et avec un traitement d’image renforçant que je me suis rendu compte que j’avais capturé son aérodrome (LHUD)
… parce qu’en vrai, c’est comme cela que j’ai vu la ville.
Une pause nébuleuse dans l’observation du paysage.
La campagne hongroise, beaucoup moins géométrique que celle de la Voïvodine, la province située au nord de Belgrade qui est le grenier à blé de la Serbie.
Kecskemét, ville natale du compositeur Zoltán Kodály (1882–1967)
La base aérienne de Kecskemét (LHKE)
On s’approche de Budapest, dont voici l’aéroport civil (BUD)
L’autoroute M0 (le contournement de Budapest) franchissant un bras du Danube en aval de Budapest
Le centre de Budapest
Le stade Ferenc-Puskás et l’hippodrome de Kincsem
Zoom sur le cœur historique
Le célèbre Pont des Chaînes est le plus à gauche des ouvrages traversant le Danube dans cette photo. La citadelle est au premier plan, entre les deux ponts centraux.
L’île d’ Óbuda (à gauche) et l’île Marguerite
Dernière vue générale de Budapest avant de s’éloigner
L’autoroute M0 franchit le Danube en amont de Budapest par le beau pont de Megyer.
Esztergom, sur le Danube en amont de Budapest, est l’une des plus anciennes ville de Hongrie, et en a été la capitale du X° au milieu du XIII° siècle.
Le chariot du BOB passe. Cela fait deux heures que je regrette de ne pas m’être désaltéré avant de passer le PIF en porte à BEG, mais je n’ai pas l’intention de dépenser 2,80 € pour une bouteille d’eau de 50cl.
PAX 7C, en revanche, a décidé de craquer pour de l’eau à 5 600 € le m3, mais oublié que ses moyens de paiement sont dans son bagage à main, lequel est dans le coffre à bagage. Heureusement pour les autres PAX, la demande est faible sur ce vol en milieu d’après-midi, contrairement au vol aller à l’heure du déjeuner.
J’abomine la possibilité d’incliner son siège dans un appareil CC/MC : je n’ai aucun besoin de dormir (et je n’ai aucun besoin de cette inclinaison pour dormir si je suis fatigué à ce point), et l’inclinaison du dossier devant moi empiète de manière inacceptable sur mon espace vital.
Un seul PAX abaisse son dossier au rang 6, et il fallait que ce soit devant moi. Allez-vous en utiliser un PC dans ces conditions ! Ayant le triplet pour moi tout seul, le pis-aller consiste à placer le PC sur la tablette du siège milieu et à continuer à surveiller le paysage en étant assis au hublot (photo prise depuis le siège au couloir, pour le seul besoin de me plaindre publiquement dans ce FR ;)
Entre Transavia, ses PAX et le chewing gum, c’est apparemment une grande histoire d’amour. Ces taches noires sont autant de traces de chewing gum ayant durci après s’être encrassé de poussière.
On s’approche d’un autre haut-lieu touristique et historique d’Europe Centrale
Voici Prague, sur les rives de la Vltava, un affluent de l’Elbe
A l’est du centre de Prague, l’aéroport militaire de Prague-Kbely (LKKB) joue à cache-cache derrière un nuage.
Les méandres du Berunka, un affluent de la Vltava dans laquelle il se jette un peu en amont de Prague.
Une dernière vue générale de Prague
Ayant toute liberté pour me déplacer, et la couverture nuageuse s’étant refermée…
… un petit tour d’inspection aux toilettes, pas spécialement plus étroites que d’autres
Changer les couches de leurs bébés ne fait pas partie de la culture masculine serbe
Souvenir de l’unique trajet effectué dans l’espace aérien étatsunien, lors de la livraison de cet appareil.
La cabine vue de l’arrière, avec beaucoup de sièges vides ici et là
Le coffre situé au dessus du couloir contient le petit matériel de démonstration de sécurité.
Entre temps, on est arrivé dans l’espace aérien allemand : voici Zwickau, où se trouve l’usine qui produisait la Trabant, la voiture emblématique de la RDA d’alors.
La piste en herbe de l’aérodrome de Zwickau (EDBI)
La gare de triage et l’aérodrome de Zwickau
La couverture nuageuse masque à nouveau le paysage
Ce n’est que dans la descente que le terrain redevient visible, au dessus de la province de Flevoland, entièrement gagnée sur la mer après la seconde guerre mondiale. Voici la ville de Dronten.
Au second plan, le Ketelmeer, le bras de mer résiduel séparant le Flevoland en deux
L’IJsseloog, un bassin artificiel construit à la fin des années 1990 dans le Ketelmeer pour stocker des vases polluées.
L’autoroute A6, au bord de l’Ijsselmeer, et Lelystad, la capitale du Flevoland
L’embouchure du Ketelmeer à droite dans l’Ijsselmeer à gauche
La gare de Lelystad Centrum
La différence de couleur est frappante entre le Markemeer, un lac d’eau douce à gauche, séparé par une digue de l’Ijsselmeer, communiquant avec la mer.
L’archipel artificiel de Marker Wadden, destiné à devenir une réserve naturelle pour oiseaux de mer. Cette infrastructure s’est beaucoup développée depuis que je l’ai repérée pour la première fois lors de mes navettes suédoises en 2017.
Je ne sais pas si cette autre infrastructure proche de la digue en fait partie
On revient vers la terre ferme, bien qu’en dessous du niveau de la mer : l’autoroute A7, au nord de Purmerend, dans la province de Hollande Septentrionale.
De Rijp
West-Graftdijk
L’Alkmaardermeer, vestige d’un lac drainé au XVII° siècle
Krommeniedijk
Les installations portuaires d’Ijmuiden, sur la côte en aval d’Amsterdam
Le canal reliant Amsterdam à la mer
Un cargo sur le canal
Vue générale du canal
Le seuil de piste de la Polderbaan (la piste 18L/16R, la plus excentrée d’AMS)
Survol de l’échangeur des autoroutes A5 et A9 – cette dernière est la seule visible ici.
Arrivée dans le périmètre d’AMS
Touché des roues, déploiement des spoilers et des inverseurs de poussée… 1’18" après être passé au niveau du seuil de piste de la Polderbaan : c’est dire s’il y a du roulage après avoir atterri dessus.
SPOTTING AU ROULAGE à ams
C’est parti pour une longue séance de spotting au sol
767-400ER United Airlines
737-800 Egyptair
A380 Emirates
777-300ER KLM à nez blanc
787-10 KLM en livrée du centenaire
Une bonne prise avec cet A340-300 de Surinam Airways, qui constitue le tiers de sa flotte et plus de la moitié de sa capacité de transport.
A321 Royal Jordanian
787-9 Norwegian Long Haul et l’A340 Surinam Airways
777-300ER Qatar Airways
777-300ER KLM en livrée Skyteam
747-400 KLM
Deux 737-800 TUI originaux : l’un en livrée publicitaire de Sunnycars, un loueur de voitures
Et l’autre en livrée Miami Air International, à laquelle cet avion est loué, avec juste les trois lettres TUI ajoutées à l’avant de la carlingue.
738 Transavia banal
A320 Level
737-900 KLM à nez bleu
737-800 Corendon Air
Instant Danette
… et mauvais pioche : nous sommes les premiers à être bloqués par cet employé
Débarquement au large et au loin
… pour cause de débarquement par (deuxième) PAXbus
Les PMR, eux, débarquent par la porte avant droite de l’appareil
Et le spotting continue, avec ce 738 Transavia en livrée Peter Pan
A330-200 KLM
767-300ER TUI
Un A330 Delta Air Lines dont j'ai vu tellement peu que je l'ai qualifié de 767, avant qu'Esteban n'y mette bon ordre.
777-200ER KLM Asia à nez blanc
Et pour finir, un 738 Pegasus
Après sept minutes de trajet touristique, le PAXbus nous dépose à cette porte que je n’ai pas retrouvée sur les plans.
L’accès pour les transits est fermé : il faut sortir
… traverser une salle de livraison de bagages où il y a foule
… arriver landside
… trouver ce FIDS général
… qui nous annonce que notre vol vers CDG est retardé d’un quart d’heure. Cela nous laisse trois quarts d’heure environ pour franchir le PIF et atteindre la porte d’embarquement : c’est mort pour aller au salon (qui n’est ni inoubliable, ni indispensable dans notre cas), mais il n’y a aucune raison de stresser.
Quatre minutes de marche pour atteindre le hall landside dédié aux vols KLM : il s’est déjà écoulé. Il s’est déjà écoulé vingt minutes depuis notre sortie de l’avion ; la suite sera dans le FR du vol AMS-CDG.
Bonus : églises et autres batiments remarquables
Je vous propose maintenant un bonus sur quelques bâtiments remarquables de Belgrade
Bonus : Cliquez pour afficher masquer
Le projet de construction de l’église Saint Sava date du quadricententaire de la destruction par le feu des reliques de Saint Sava par les Ottomans en 1595, mais il n’a pas guère avancé en un siècle en raison des guerres mondiales, puis du régime socialiste.
Le niveau principal est actuellement en chantier : il faudra attendre encore quelques années pour admirer la mosaïque de la coupole, financée par Gazprom dont le mécénat n’est pas le fruit du hasard : la Russie entend bien profiter des nombreux obstacles à l’adhésion de la Serbie à l’UE pour l’intégrer dans sa sphère d’influence.
Dans la crypte, les visiteurs sont plutôt bruyants, qu’ils soient individuels ou en groupe.
L’affluence est cependant modérée un jour de semaine, et il est possible d’avoir des moments de calme : voici l’iconostase, vu depuis la limite accessible aux visiteurs
… et vu depuis l’extrémité opposée de la crypte
Le lustre central, entouré de mosaïques représentant les quatre Evangélistes.
L’exécution par les Ottomans du prince Lazar Hrebeljanović, le héros malheureux de la bataille de Kosovo Polje (28 juin 1389), et le transport de son corps. Les Serbes avaient remporté là une victoire à la Pyrrhus, car les Serbes avaient perdu toute leur élite militaire et ils ne purent tenir tête durablement aux Ottomans, qui eux purent reconstituer leurs forces rapidement. Cette bataille n'en est pas moins un mythe fondateur de la Serbie jusqu'à nos jours, justifiant à leurs yeux leur revendication de souveraineté sur le Kosovo.
La résurrection de Lazare – pas le prince, mais le personnage biblique.
La tradition orthodoxe est de baiser les icônes, ou de simuler ce baiser
Les chapiteaux sont faciles à décrypter : on reconnait ici les symboles des quatre Évangélistes : le lion de St Marc, le taureau de St Luc, l’aigle de St Jean, l’ange de St Mathieu.
Le poisson est un symbole qui remonte aux temps des persécutions des premiers chrétiens : ΙΧΘΥΣ (« poisson ») est un acrostiche signifiant Ἰησοῦς Χριστὸς Θεοῦ Υἱὸς Σωτήρ : Jésus Christ, fils de Dieu, Sauveur.
Sans doute moins connu des étrangers, CCCC est l’acrostiche de Само слога Србина спасава ("Seul Dieu sauve les Serbes"), un slogan remontant au XIV° siècle et attribué de manière légendaire à Saint Sava, fondateur de l'église orthodoxe serbe. Ce slogan a été notamment utilisé lors de la guerre de Yougoslavie par les ultras serbes.
Combien de visiteurs remarquent ces décorations noires à quatre ou cinq lobes autour des arcades ? Fermées par des grilles laquées de peinture noire, il s’agit d’ouïes de climatisation ou chauffage d’autant plus discrètes que leur grand nombre réduit le débit individuel de la ventilation à un niveau presque imperceptible, et néanmoins très efficace.
L’église St Sava a également fière allure au crépuscule
… et illuminée à la nuit tombée
Les deux photos ci-dessus ont été prises depuis la terrasse de l’hôtel Metropol qui vaut plus pour sa vue que pour le rapport qualité-prix de son restaurant.
La lumière était insuffisante au crépuscule pour une séance de spotting, mais voici quand même un E-195LR Montenegro Airlines
Proche du Parlement, l’église Saint Marc est à peine plus ancienne que Saint Sava, ayant été achevée en 1940.
Cette date d’achèvement ne concerne que le bâtiment lui-même.
Autour de cette mosaïque dominant l’iconostase, ce sont des murs bruts
Et au sol, un chantier de réalisation des mosaïques suivantes
En voici un détail
Des tesselles prêtes à l’usage
Cette mosaïque est presque terminée
…mais il reste de nombreux trous qui seront probablement comblés par des tesselles d’une même couleur.
Il suffit de lever le nez pour constater qu’il y a encore des centaines de mètres carrés de travail à faire.
Involontairement, c’est l’Eglise serbe qui a donné sa notoriété à cette taverne traditionnelle. A la fin du XIX° siècle, le propriétaire d’alors décida de renommer son établissement « Kod Saborne crkve » (A l’église de Saborna », l’un des noms de la cathédrale orthodoxe située de l’autre côté de la rue. Les autorités ecclésiastiques protestèrent contre ce qu’elles considéraient comme un parasitisme commercial désobligeant, et le propriétaire remplaça le nom par un simple point d’interrogation sur son enseigne.
Le public s’est immédiatement approprié cette dénomination inhabituelle, qui appartient aujourd’hui au patrimoine culturel de la ville.
Commencé dans les années 1990, le nouveau siège de la Banque Nationale de Serbie n’a été inauguré qu’en 2006, d’où cet assemblage hétéroclite de formes obliques en béton typiques de l’architecture yougoslave de l’époque socialiste et de façades de verre occidentales.
Autre exemple de l’architecture yougoslave socialiste : les tours de la Porte de l’Est de Belgrade. Bien que ces trois bâtiments soient habités depuis 1976, les façades n’ont jamais été terminées et l’ensemble s’est gravement détérioré faute de maintenance.
Le pont haubané d’Ada, au crépuscule
Et de nuit
Le Parlement
Nous ne l’avons vu que depuis le bord du parc de l’autre côté de l’avenue.
La petite foule qui monte précipitamment les escaliers est constituée de figurants pour un film
Inlassablement, ils revenaient à leur position d’origine pour refaire la même scène de quelques dizaines de secondes….
… enregistrée par cette caméra située en face.
Le sculpteur Toma Rosandić n’a jamais fourni d’interprétation de ses sculptures jumelles de devant le Parlement, représentant deux hommes luttant contre des chevaux, mais lorsqu’elles ont été dévoilées en 1938, le public n’a pas tardé à en faire une allégorie du peuple écrasé par une autorité tyrannique.
De nuit, le Parlement mérite le coup d’œil également.
Les deux sculptures qui précèdent ne comptant pas, ceci est la seule statue équestre de Belgrade, ce qui permet aux habitants de se donner rendez-vous « au pied du cheval » sans équivoque.
C’est en effet un point de rendez-vous pratique, grâce à cette grande place devant le Musée National dans le centre-ville. Ses collections sont tout à fait dignes d’intérêt.
Croix de bois sculptée par l’higoumène Hadji Ruvim en 1799
Op-art du Croate Juraj Dobrović (1928 - ), datée de 1964
Vous préférez les panoramas aux musées ? Voici la vue sur le confluent entre le Sava (à gauche) et le Danube, séparé en deux bras par une île inhabitée au centre, depuis la citadelle de Belgrade.
Il y a du matériel militaire exposé dans les anciens fossés secs de la citadelle, dont ces missiles S-125 Neva/Pechora, similaires à ceux auxquels le colonel Zoltán Dani doit sa célébrité. Ce nom ne vous dit rien ? Relisez le bonus de mon FR AMS-BEG, en attendant d’aller visiter le Musée de l’Aviation à votre prochain passage à BEG.
Merci de m'avoir lu jusqu'ici !
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Verdict
Transavia
7.4/10
Cabine7.0
Equipage10.0
Divertissements8.0
Carte payante4.5
Belgrad - BEG
7.6/10
Fluidité8.0
Accès7.0
Services5.5
Propreté10.0
Amsterdam - AMS
7.6/10
Fluidité7.5
Accès6.0
Services7.0
Propreté10.0
Conclusion
Le pitch n'est pas pire que chez AF/KL, et cette fois-ci, le mauvais taux de remplissage nous a permis d'avoir un demi-rang chacun. Cela aurait valu une excellente note de confort si l'abaissement du fauteuil par mon voisin de devant ne l'avait pas sévèrement dégradé. Pas de chance pour HV, mais le confort en est retombé en dessous de mes attentes. Les traces de chewing gum jamais nettoyé n'arrangent rien. J'aurais mauvaise grâce à ne pas distinguer la qualité de la PNC de l'arrière, qui a fait l'extra-mile pour mon accueil à bord. Que je ne sois pas particulièrement intéressé par les selfies n'ôte rien à son geste. En vol au -dessus d'une terre habitée, le principal divertissement est pour moi le paysage, et avec un hublot du bon côté avec de longs pasasges sans nuages, j'ai été servi. C'est la règle en LCC, mais je trouve particulièrement mesquin de ne pas servir gratuitement de l'eau, et elle m'a manqué.
Bonne fluidité à BEG qui est un petit aéroport. L'accès souffre de l'absence de desserte ferrée et de l'encombrement de la voie rapide, pas trop catastrophique cette fois-ci. Je pénalise dans les services l'impossibilité de s'enregistrer en ligne sur un premier segment HV en ayant un billet KL (mais à l'aéroport, l'enregistrement a été rapide), l'absence d'accès internet dans le terminal, le PIF en porte et l'exiguïté de la salle d'embarquement pour un LCC.
A AMS, je pénalise le long roulement et le débarquement au large générant par la suite un cheminement excessif pour notre correspondance. La signalétique aurait pu être plus claire pour qui était en transit.
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Les code-share HV/KL ou AF/TO n'envoient pas du rêve (pour rester poli).
Pas de libre choix des sièges à l'avance (pourtant pratiqué par Transavia), pas de priorité à l'embarquement (idem), pas de certitude quant au sort du bagage cabine (idem), ....
L'incompatibilité du partage de code à l'OLCI si le premier vol n'est pas assuré par la compagnie aérienne ayant vendu le billet m'a un peu agacé, même si elle ne prêtait pas à conséquence. Passer mon chemin en prenant celui du vol AF direct avait un coût excessif , à mes yeux comme à ceux de Mme. Un avantage mineur de ce routing (avec billets KL) était de rapporter deux fois plus de XP. Il n'est pas du tout certain que cela suffira à sauver mon statut d'ici la fin de l'année. Merci pour le commentaire !
J'avais vu la possibilité via FCO, mais les horaires de départ très matinaux piquaient les yeux, avec 45' de correspondance à FCO vers BEG de la journée : pas de salon à CDG parce que trop tôt, pas de salon à FCO parce que pas le temps... ou peut-être des heures au salon de FCO si le vol ex-CDG avait un problème.
Vol qui n'envoie pas du rêve mais belle attention du personnel en porte ^^ il ne manque que l'odeur du chlore à cette cabine à la couleur piscine old scool pour s'y croire.
On notera au crédit de cette PNC qu'elle n'a pas hésité à sortir en plein soleil et à prendre le temps de deux clichés sous des angles différents, plutôt que de se contenter de m'accueillir avec le sourire au frais dans le galley. Ce vert très distinctif a le mérite de changer des couleurs sombres très passe-partout. Merci pour le commentaire !
Bon tout aurait été plus que parfait du début à la fin si tu n'avais pas malheureusement chuté sur le 767-300 Delta qui se trouve être un A330 Delta :) Un demi coup de fouet pour la peine :)
Un vol sans histoire avec de très jolies vues du ciel !
Il faudra que je m'intéresse aux formes des vitres des cockpits : celle du TUI mieux vu juste avant sont indiscutablement différentes. Merci pour ta mansuétude; j'ai corrigé. Merci pour ta mansuétude, à bientôt pour le dernier segment !
Il faudra que je m'intéresse aux formes des vitres des cockpits : celle du TUI mieux vu juste avant sont indiscutablement différentes. Merci pour ta mansuétude; j'ai corrigé. A bientôt pour le dernier segment !
Merci pour ce récit toujours aussi détaillé François! Un aéroport de départ où l'on a connu plus moderne et spacieux, mais cela reste une découverte pour moi ^^ Air Serbia n'a donc qu'un A330 dans sa flotte... j’espère que les pannes y sont rares... Top l'hôtesse qui a joué le jeu des photos. Belles localités survolées! A bord nous retrouvons la cabine verte HV et les chewing gum collés qui vont avec ^^ A bientôt!
La place ne manque que dans les salles d’embarquements pour LCC, manifestement installées au coût minimum dans une extension récente. Quel que soit l’endroit où elle surviendrait, une panne de cet unique A330 se paye au prix fort ! Un hublot du bon côté et pas trop de nuages au-dessus de terres habitées : c’est la combinaison gagnante pour que le vol passe agréablement, quand bien même un voisin abaisserait son dossier et les PNC n'auraient rien à offrir que leur sens de l'accueil :) Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci pour ce FR. Un vrai sketch ces incompatibilités pour enregistrer alors que tout s'est bien passé à l'aller !! Petite salle d'embarquement. Effectivement si le vol est complet, l'attente est loin d'être confortable. Attention sympathique de la PNC avec cette photo. Route très détaillée. Merci pour le bonus et à bientôt !
A l'aller, premier vol KL avec billet KL, et ça se débrouillait pour le vol suivant. Au retour, premier vol HV avec un billet KL suffisait à gripper la machine. A croire qu'ils n'ont pas fait beaucoup d'effort, car l'une des recettes éprouvées des LCC est de dissuader l'enregistrement manuel au comptoir. Pas de chance : à l'aller, notre vol HV était arrivé d'une porte "legacy", alors que c'est au retour que cela aurait vraiment fait une différence de confort. Reconnaître (parfois), ou identifier a posteriori (souvent, si la route ne m'est pas familière) les éléments remarquable du paysage fait partie pour moi du plaisir de prendre l'avion.
Merci pour le commentaire; à bientôt pour le dernier segment !
Merci pour ton récit François. Joli le seul long courrier d'Air Serbia que tu as réussi à prendre en photo ! Très bon point pour la sympathique PNC ( il semble que cela soit une qualitée partagée chez les deux transavia). pur le reste vol low cost classique avec de nouveau une belel prise avec le 787 au logo du 100 eme anniversaire de KLM.
Je ne connaissais pas le détail de la flotte d'Air Serbia et sur le coup, j'ai cru qu'ils avaient deux A330 (un vu au contact, l'autre vu plus tard en zone de maintenance), mais non, c'était la même immatriculation :) Les propositions de photo souvenir par des PNC sont rares, et toujours sympathiques, bien que je ne sois pas demandeur. Merci pour le commentaire !
L'aéroport airside semble assez sympathique, sauf, forcément, la zone réservée aux LCC... J'ai cru un instant que Nordica desservait désormais BEG, quelle déception en apprenant que l'appareil est juste loué !
Je trouve par contre intéressant de voir que la plupart des compagnies du Moyen-Orient desservent la ville. Je n'aurais pas cru le marché serbe si intéressant...
Vol sans histoire, mais très intéressant grâce au cours de géographie, et aux retouches d'images qui manquent cruellement à mes clichés toujours trop brumeux...
Jolie vue sur Zwickau notamment, ville auparavant assez florissante du temps de la RDA (florissante à la mode communiste), mais désormais à moitié à l'abandon, avec l'exode vers l'Allemagne de l'ouest, comme beaucoup de villes de la région. Mais je divague...
La présence de cet avion Nordica m'a intrigué sur le coup, car une ligne TLL-BEG serait assez improbable :) Je ne serais pas surpris que des Serbes ayant des qualifications "vendables" aillent travailler dans les pays du Golfe. De là à remplir tous ces avions, c'est quand même surprenant. Il ne faut pas abuser des filtres numériques, mais force est de reconnaître qu'ils rendent bien service, les photos brutes étant souvent moins lisibles que l’œil ne voyait le paysage. Merci pour le commentaire; le FR du dernier segment est posté !
Merci François pour ce FR. chauffeur de taxi n'éprouve pas le besoin de faire des zig-zags => voilà qui est plus reposant. Je n’ai pas compris l’étiquetage du sac à dos, qui glisse largement sous un siège. un A330-200 dédié à la liaison BEG-JFK. => voilà qui serait un scoop sur FR. je déteste ces salles d’embarquement closes. elle me propose de me prendre en photo souvenir,=> cela m’est arrivé ce week-end, le PNC pensant me faire plaisir alors que c’était tout le contraire. J’abomine la possibilité d’incliner son siège dans un appareil CC/MC =>Nous sommes d’accord. A bientôt
Je soupçonne que ce chauffeur de taxi aurait circulé de manière tout aussi sportive un jour de semaine. L'étiquetage du sac à dos ? Simple absence de réflexion de l'employée. Je passe mon tour pour ce qui est de transiter par BEG pour aller à JFK ! Les vitres coûtant plus cher que toute paroi pleine, il y aura toujours un marché de LCC pour des salles d'embarquement délibérément aveugles, quelle que soit l'opinion des PAX à leur sujet. Aux débuts de FR, j'avais tendance à refuser ces propositions de photo souvenir par des PNC, et puis je me suis dit que personne ne m'obligeait à les montrer ensuite à quiconque. Les dossiers inclinables en LCC m'intriguent : ils génèrent de l'inconfort pour les PAX (peu importe, pour la compagnie aérienne) et ils coûtent plus cher (ce qui est un anathème pour elle). Merci pour le commentaire, à bientôt !
L’aérogare de BEG côté pile est un peu bas de plafond mais semble agréable et est surtout très spotter friendly. Côté face, il prépare le passager en LCC au dénuement et à l’ascèse : c’est triste et plus proche d’un hangar façon T3 à CDG.
La cabine toujours parée de ces sièges vésiculeux verts façon peau de crapaud me convient sauf la possibilité d’abaisser son siège : il faut être clair, la densification des cabines n’est pas compatible avec cette fonction. Heureusement que vous aviez plusieurs options pour retrouver un peu de confort dans cet avion peu rempli.
Même pas un verre d’eau, c’est plutôt mesquin. J’aime bcp la valorisation du m2 !
Le bonus est magnifique. Les mosaïques sont très belles qui me rappellent la cathédrale de Monreale de Palerme et son cloître de toute beauté (je l’aime bcp. celle-là). Vos photos de nuit sont top. Merci pour la découverte de Juraj Dobrovic, très vasarelien.
La hauteur modeste sous plafond de BEG ne m'a pas frappé, car elle est compensée par une lumière naturelle généreuse - on était certes en plein été. En revanche, le secteur LCC fait vraiment parc à bestiaux.
Le risque qu'il y a réclamer un dossier non inclinable, c'est que la compagnie aérienne comprenne que l'on accepte moins de confort, et en profite pour les amincir au maximum tout en grignotant le pitch pour caser un rang de plus.
J'appelle de mes voeux une réglementation européenne qui imposerait de fournir gratuitement de l'eau aux passagers en avion. A tout le moins, un point d'eau après le PIF devrait être obligatoire.
Superbes cathédrale et cloitre à Monreale, en effet. Certaines des photos du bonus "biblico-avgeek" de mon FR PMO-FCO en proviennent.
Le secret des photos de nuit réside dans un mini-pied et un peu de patience.
J'ai cru initialement à un Vasarely, mais pourquoi acheter une coûteuse oeuvre étrangère quand on a aussi bien chez soi ?
Au final on se rend bien compte des aspects positifs dz Transavia: les sieges pourraient être pire et ils s'inclinent, le personnel est jovial. Le problème est que boeing ne se l'est pas posée la question a 1 millard, leur approche devait se resumer ainsi: c'estbon ça passe!!
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24 Commentaires
Les code-share HV/KL ou AF/TO n'envoient pas du rêve (pour rester poli).
Pas de libre choix des sièges à l'avance (pourtant pratiqué par Transavia), pas de priorité à l'embarquement (idem), pas de certitude quant au sort du bagage cabine (idem), ....
Bref, cela donne envie de passer son chemin...
Passer mon chemin en prenant celui du vol AF direct avait un coût excessif , à mes yeux comme à ceux de Mme. Un avantage mineur de ce routing (avec billets KL) était de rapporter deux fois plus de XP. Il n'est pas du tout certain que cela suffira à sauver mon statut d'ici la fin de l'année.
Merci pour le commentaire !
Avec 2 salons, etc.
J'ai vu des choses avec plus de marge mais ce n'était pas au mois de juillet :o)
Vol qui n'envoie pas du rêve mais belle attention du personnel en porte ^^
il ne manque que l'odeur du chlore à cette cabine à la couleur piscine old scool pour s'y croire.
Merci pour le bonus
Ce vert très distinctif a le mérite de changer des couleurs sombres très passe-partout.
Merci pour le commentaire !
Bon tout aurait été plus que parfait du début à la fin si tu n'avais pas malheureusement chuté sur le 767-300 Delta qui se trouve être un A330 Delta :) Un demi coup de fouet pour la peine :)
Un vol sans histoire avec de très jolies vues du ciel !
A bientôt !
Merci pour ta mansuétude, à bientôt pour le dernier segment !
A bientôt pour le dernier segment !
Un aéroport de départ où l'on a connu plus moderne et spacieux, mais cela reste une découverte pour moi ^^
Air Serbia n'a donc qu'un A330 dans sa flotte... j’espère que les pannes y sont rares...
Top l'hôtesse qui a joué le jeu des photos.
Belles localités survolées!
A bord nous retrouvons la cabine verte HV et les chewing gum collés qui vont avec ^^
A bientôt!
Quel que soit l’endroit où elle surviendrait, une panne de cet unique A330 se paye au prix fort !
Un hublot du bon côté et pas trop de nuages au-dessus de terres habitées : c’est la combinaison gagnante pour que le vol passe agréablement, quand bien même un voisin abaisserait son dossier et les PNC n'auraient rien à offrir que leur sens de l'accueil :)
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci pour ce FR.
Un vrai sketch ces incompatibilités pour enregistrer alors que tout s'est bien passé à l'aller !!
Petite salle d'embarquement. Effectivement si le vol est complet, l'attente est loin d'être confortable.
Attention sympathique de la PNC avec cette photo.
Route très détaillée.
Merci pour le bonus et à bientôt !
A l'aller, premier vol KL avec billet KL, et ça se débrouillait pour le vol suivant. Au retour, premier vol HV avec un billet KL suffisait à gripper la machine. A croire qu'ils n'ont pas fait beaucoup d'effort, car l'une des recettes éprouvées des LCC est de dissuader l'enregistrement manuel au comptoir.
Pas de chance : à l'aller, notre vol HV était arrivé d'une porte "legacy", alors que c'est au retour que cela aurait vraiment fait une différence de confort.
Reconnaître (parfois), ou identifier a posteriori (souvent, si la route ne m'est pas familière) les éléments remarquable du paysage fait partie pour moi du plaisir de prendre l'avion.
Merci pour le commentaire; à bientôt pour le dernier segment !
Très bon point pour la sympathique PNC ( il semble que cela soit une qualitée partagée chez les deux transavia). pur le reste vol low cost classique avec de nouveau une belel prise avec le 787 au logo du 100 eme anniversaire de KLM.
Les propositions de photo souvenir par des PNC sont rares, et toujours sympathiques, bien que je ne sois pas demandeur.
Merci pour le commentaire !
L'aéroport airside semble assez sympathique, sauf, forcément, la zone réservée aux LCC... J'ai cru un instant que Nordica desservait désormais BEG, quelle déception en apprenant que l'appareil est juste loué !
Je trouve par contre intéressant de voir que la plupart des compagnies du Moyen-Orient desservent la ville. Je n'aurais pas cru le marché serbe si intéressant...
Vol sans histoire, mais très intéressant grâce au cours de géographie, et aux retouches d'images qui manquent cruellement à mes clichés toujours trop brumeux...
Jolie vue sur Zwickau notamment, ville auparavant assez florissante du temps de la RDA (florissante à la mode communiste), mais désormais à moitié à l'abandon, avec l'exode vers l'Allemagne de l'ouest, comme beaucoup de villes de la région. Mais je divague...
A bientôt !
Je ne serais pas surpris que des Serbes ayant des qualifications "vendables" aillent travailler dans les pays du Golfe. De là à remplir tous ces avions, c'est quand même surprenant.
Il ne faut pas abuser des filtres numériques, mais force est de reconnaître qu'ils rendent bien service, les photos brutes étant souvent moins lisibles que l’œil ne voyait le paysage.
Merci pour le commentaire; le FR du dernier segment est posté !
chauffeur de taxi n'éprouve pas le besoin de faire des zig-zags => voilà qui est plus reposant.
Je n’ai pas compris l’étiquetage du sac à dos, qui glisse largement sous un siège.
un A330-200 dédié à la liaison BEG-JFK. => voilà qui serait un scoop sur FR.
je déteste ces salles d’embarquement closes.
elle me propose de me prendre en photo souvenir,=> cela m’est arrivé ce week-end, le PNC pensant me faire plaisir alors que c’était tout le contraire.
J’abomine la possibilité d’incliner son siège dans un appareil CC/MC =>Nous sommes d’accord.
A bientôt
L'étiquetage du sac à dos ? Simple absence de réflexion de l'employée.
Je passe mon tour pour ce qui est de transiter par BEG pour aller à JFK !
Les vitres coûtant plus cher que toute paroi pleine, il y aura toujours un marché de LCC pour des salles d'embarquement délibérément aveugles, quelle que soit l'opinion des PAX à leur sujet.
Aux débuts de FR, j'avais tendance à refuser ces propositions de photo souvenir par des PNC, et puis je me suis dit que personne ne m'obligeait à les montrer ensuite à quiconque.
Les dossiers inclinables en LCC m'intriguent : ils génèrent de l'inconfort pour les PAX (peu importe, pour la compagnie aérienne) et ils coûtent plus cher (ce qui est un anathème pour elle).
Merci pour le commentaire, à bientôt !
L’aérogare de BEG côté pile est un peu bas de plafond mais semble agréable et est surtout très spotter friendly. Côté face, il prépare le passager en LCC au dénuement et à l’ascèse : c’est triste et plus proche d’un hangar façon T3 à CDG.
La cabine toujours parée de ces sièges vésiculeux verts façon peau de crapaud me convient sauf la possibilité d’abaisser son siège : il faut être clair, la densification des cabines n’est pas compatible avec cette fonction. Heureusement que vous aviez plusieurs options pour retrouver un peu de confort dans cet avion peu rempli.
Même pas un verre d’eau, c’est plutôt mesquin. J’aime bcp la valorisation du m2 !
Le bonus est magnifique. Les mosaïques sont très belles qui me rappellent la cathédrale de Monreale de Palerme et son cloître de toute beauté (je l’aime bcp. celle-là). Vos photos de nuit sont top.
Merci pour la découverte de Juraj Dobrovic, très vasarelien.
A bientôt pour de nouvelles découvertes !
Le risque qu'il y a réclamer un dossier non inclinable, c'est que la compagnie aérienne comprenne que l'on accepte moins de confort, et en profite pour les amincir au maximum tout en grignotant le pitch pour caser un rang de plus.
J'appelle de mes voeux une réglementation européenne qui imposerait de fournir gratuitement de l'eau aux passagers en avion. A tout le moins, un point d'eau après le PIF devrait être obligatoire.
Superbes cathédrale et cloitre à Monreale, en effet. Certaines des photos du bonus "biblico-avgeek" de mon FR PMO-FCO en proviennent.
Le secret des photos de nuit réside dans un mini-pied et un peu de patience.
J'ai cru initialement à un Vasarely, mais pourquoi acheter une coûteuse oeuvre étrangère quand on a aussi bien chez soi ?
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Le problème est que boeing ne se l'est pas posée la question a 1 millard, leur approche devait se resumer ainsi: c'estbon ça passe!!
Ce n'est pas un hasard si Transavia est toujours en tête du classement FR en catégorie LCC !
J'étais bien loin de l'addition qui n'est pas encore finale : on parle aujourd'hui de dizaines de milliards de dollars !
Merci pour le commentaire !
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