Routing
Ce récit est celui du vol de retour après un bien sympathique week-end allongé entre amis avgeek à Belgrade. L'aller-retour m'a été vendu par KLM avec un mix KLM + Transavia Holland.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3HV5592 - Economique - Belgrade → Amsterdam - Boeing 737-800
- 4KL1243 - Economique - Amsterdam → Paris - Boeing 737-800
QU'est-ce que cela change d'avoir deux segments HV ? La correspondance est assurée et j'aurais pu enregistrer un bagage en soute de bout en bout. Je n'ai pas cherché à savoir si j'aurais eu droit à un bagage gratuit pour cause de statut Elite+, en revanche, j'avais accès au salon de KL à AMS. Les vols avec HV ont crédité 5 XP chacun tout comme les vols KL, et les airmiles acquis étaient évidemment sur la base du tarif acquitté globalement.
En revanche, la prestation de HV reste inchangée : pas de choix de siège gratuit et BOB exclusivement à bord.
A l'aller, commençant par un vol KL, je me suis enregistré sans souci sur le site de KL, obtenant les BP des deux vols successifs. Au retour, l’OLCI sur le site de KLM échoue parce que le vol est effectué par Transavia

… et il échoue sur le vol Transavia parce que nous avons des billets KLM

Allez comprendre la logique, vu du point de vue d'un client…
BEG landside
Départ en taxi depuis l’hôtel : la course est quasiment au même tarif que le forfait aéroport-ville de 1800 RSD, soit environ 15 EUR. Bien qu’on soit dimanche matin, le trafic est loin d’être nul sur la voie rapide en direction de l’aéroport, mais je chauffeur de taxi n'éprouve pas le besoin de faire des zig-zags entre voie de gauche et bande d'arrêt d'urgence comme dans lors du trajet inverse, à notre arrivée comme pour revenir du Musée de l'Aviation.

Arrivée donc sans encombres à l’aéroport Nikola Tesla
Le terminal est en L : voici une vue panoramique depuis l’autre branche du L, c’est-à-dire depuis les baies vitrées au fond à gauche dans la photo ci-dessus.

L’OLCI ayant échoué, et en l’absence de bornes automatiques, nous n’avons d’autre choix que celui d’un enregistrement manuel à BEG alors que nous n’avons que des bagages à main. La queue est longue, mais c’est ici celle d’Easyjet.

Ce n’est pas très bien signalé, mais il suffit de la contourner sur la gauche pour atteindre la queue pour le vol Transavia, où il n’y a qu’une douzaine de PAX (ou couples de PAX) pour deux comptoirs en service.

Bien que mon sac à dos soit d’un gabarit largement inférieur à celui garantissant l’embarquement, tenant sans problème sous un siège, l’employée l’étiquette comme n’étant pas garanti en cabine ;

Cette fois-ci, la loterie est meilleure qu’à l’aller : avec le 23A, je suis certes encore une fois à contre-jour, mais au hublot.

Je me suis abstenu de tout commentaire déplacé en ce lieu.

La queue pour le vol Easyjet s’est allongée

En revanche, un bon point pour BEG qui procure des sièges pour les PAX qui peuvent s’asseoir pendant que leur compagnon de voyage fait la queue. C’est d’ailleurs là que Mme s’asseois pendant que je m’occupe de la formalité suivante.

La probabilité de revenir en Serbie dans un proche avenir étant faible, tout comme l’attractivité du dinar serbe à nos prochaines destinations hors zone euro, mieux valait me débarrasser du faible reliquat des dinars retirés à un ATM quelques jours plus tôt.

Bonne nouvelle : non seulement l’écart de taux achat/vente est faible pour l’euro (3,3%, contre 7 à 8% pour les autres devises), mais ce bureau de change a des pièces de un et deux euros : je repars avec un capital de 80 dinars, dont je vous laisse calculer la contre-valeur dans la devise de votre choix.

Montée à l’étage Départs

Le FIDS landside est un bon vieil afficheur à palettes, une technologie qui fleure bon la deuxième moitié du siècle dernier.

Les vols en partage de code apparaissent sur autant de lignes successives qu’il y a de compagnies aériennes partenaires

Bien que notre vol Transavia nous ait été vendu comme étant KL2592 assuré par Transavia Airlines, il n’apparait que sous son numéro de vol Transavia.

Spotting airside à BEG
PAF et PIF : le passage est rapide et on arrive devant des boutiques duty-free, mais sans passage obligé à travers ces dernières

Changement de technologie pour le FIDS une fois airside : il alterne entre serbe…

…et anglais

Pour cause de spotting de pré-embarquement, je laisse ici nos bagages à main en consigne à Mme, assise dans un fauteuil plutôt confortable avec vue sur le tarmac.

Il y a aussi des fauteuils sans vue sur le tarmac, le long du corridor central d’une largeur très confortable.

On commence par le maître des lieux, Air Serbia avec l’oiseau rare de sa flotte : son unique appareil long-courrier, un A330-200 dédié à la liaison BEG-JFK.


Un A319

Et un ATR72 au large

En zone de maintenance, A6-EIC, un A320 loué depuis mai par Air Serbia à Etihad

Un empennage défraîchi dépasse à l’arrière-plan dans la photo ci-dessus. Je n’ai pas réussi à obtenir plus de cet avion manifestement destiné à l’entraînement du personnel. Je préfère ne pas me prononcer sur son type.

Le Falcon 50 de la présidence serbe fait du béton depuis notre arrivée quatre jours plus tôt.

A320 d’Etihad, laquelle est actionnaire à 49% d’Air Serbia, le gouvernement serbe ayant conservé les 51% restant.


A320 Qatar Airways

YU-ANI, un vénérable 737-300 âgé de 33 ans, appartenant maintenant à Aviolet, la filiale charter d’Air Serbia.

A320 Wizzair

Le Musée National (très bien présenté, avec des notules systématiquement bilingues serbe / anglais) présente quelques oeuvres

Ce sont des reproductions, bien sûr : c’est dans le musée en ville qu’il faut aller pour voir l’original de ce Mondrian à gauche.

Ces panneaux évoquent le passage dans cet aéroport de différentes célébrités (dont une certaine Lady G***, en robe jaune et verte sur le premier panneau).

Incroyable mais vrai : dans ce large corridor,

… j’ai vu pour la première fois de ma vie un PAX mettre de l’argent dans un de ces fauteuils massant que j’ai vus inutilisés dans des dizaines d’aéroports asiatiques.

Le réseau d’Air Serbia est modeste, tout comme l’affluence au comptoir de correspondance de son hub.

Une employée trompe son ennui derrière la maquette géante d’un programme immobilier.


Je ne suis pas allé voir dans le détail l’offre alimentaire concentrée ici

Heurs et malheurs à l'embarquement en LCC
Ayant retrouvé Mme, il est plus ou moins temps de nous diriger vers la porte d’embarquement, située à l’extrémité du terminal. Là, pas de maquette de programme immobilier haut de gamme, pas d’évocation des richesses culturelles passées et présentes du pays : c’est le purgatoire auquel sont destinés les PAX des LCC.

Le sol est couvert de ce revêtement à picots particulièrement inconfortable pour les valises à roulettes, et les sièges sont en tôle particulièrement inconfortable pour les PAX.

Même l’escalier d’accès aux WC au niveau inférieur est exigu (mais Mme qui les a expertisés les a déclarés propres).

Le 737-300 d’Aviolet vient de repousser

Attente modérée au PIF en porte

Il y a 55 sièges dans cette salle étriquée, et environ 55 PAX debout :
- le taux de remplissage du 738 de 189 places est loin des quelques 90% de moyenne de HV
- cette salle doit être particulièrement inconfortable quand l’avion est complet.

Il n’y a pas de WC : en cas de besoin, il faut sortir de la salle d’embarquement et passer à nouveau le PIF en porte. Pas d’accès internet non plus

La climatisation fait ce qu’elle peut, mais cela pourrait être pire

L’employée en porte édite un long listing avec une imprimante à aiguille au son délicieusement rétro.

Les deux PMR du vol sont embarqués en premier

Nous sommes parmi les premiers. L’embarquement est signalé par les deux extrémités, mais il n’y a pas de contrôle des BP. La peinture de l’escalier a connu des jours meilleurs.

Passage sous la passerelle

Le cheminement est balisé

L’employée nous arrête un moment. En l'absence de sourire de sa part, je vous offre son bras droit.

… puis lâche les PAX

Je ne me presse pas : l’embarquement à pied par beau temps fait partie pour moi des plaisirs du voyage en avion.

Comment caser un moteur de plus gros diamètre en ayant un train d’atterrissage principal aux jambes si courtes ? C’est une question à plusieurs milliards de dollars à laquelle Boeing n’a pas bien répondu la deuxième fois qu'il se l'est posée.

Tout réside dans le respect de la garde au sol minimum du réacteur, aplati en face inférieure, et aussi dans quelques menus détails de localisation du centre de poussée par rapport au centre de gravité et au centre de sustentation.

L’A330 d’Air Serbia est parti en zone de maintenance

Un 320 Wizzair à la porte voisine

CRJ-900ER LOT, loué à Nordica : c’est probablement celui qui a été loué pour l’été par Air Serbia

J’arrive bon dernier à la porte, sans personne derrière moi : s’il y a d’autres PAX à embarquer par l’arrière, ils doivent être loin derrière.

Bienvenue dans une vingtaine de langues différentes

Fuselage shot

La PNC en porte arrière m’a évidemment vu prendre toutes ses photos : très souriante, elle me propose de me prendre en photo souvenir, comme il n’y a justement personne derrière moi. Ce n’est pas mes habitudes, mais je trouver inutile de casser l’ambiance. Elle va prendre son temps, prenant deux cadrages différents, car les autres PAX assis à l’arrière tardent décidément à arriver. Un bon point pour elle.

La cabine d'un 738 Transavia : révision de l'aller
Les sièges verts cru de Transavia : vers l’arrière

… et vers l’avant, dans un avion encore très vide

L’alignement du hublot est correct au rang 23

Il fut un temps où il y avait une offre audio à bord de cet appareil

Il n’en reste qu’un petit coffret au pied des PAX

Pour ce qui est du pitch, c’est un peu plus généreux qu’à l’aller

Mais sans surprise, l’écartement entre accoudoirs est le même, plus étroit que dans un Airbus, car le diamètre de la cabine est inférieur.

Instant F-OITN

La fiche de sécurité recto-verso


Le magazine de vol est du type recto-verso, duty-free et publi-information touristique, respectivement.

La carte du réseau, dont les points de couleur codent l’aéroport de départ, ce qui est considérablement plus lisible qu’un fouillis de trajectoires, surtout avec trois bases à quelques dizaines de kilomètres les unes des autres aux Pays-Bas (AMS, RTM et EIN)

La boucle des ceintures de sécurité est de modèle standard, contrairement à celles plus petites du 737-700 de l’aller (à droite)

Boarding complete : comme je l’avais estimé dans la salle d’embarquement, l’avion est très loin d’être complet. Non seulement il n’y a personne en 23C, à côté de nos 23A+23B, mais il n’y a personne non plus en 22D+E+F, du côté droit, orienté au nord, qui aura l’éclairage le plus favorable. Je ne tarde pas à faire demi-rang à part avec Mme, elle prenant le 23C et moi le 22F. Il n’y aussi qu’un PAX de l’autre côté du couloir.
L’alignement du hublot est moins bon au rang 22 qu’au rang 23, mais c’est un détail par rapport au fait de ne pas avoir de contre-jour.

Spotting pré-décollage
L’avion repousse avec 19 minutes de retard

Arrivée d’un A319 Easyjet

… puis d’un 738 flydubai

Au contact de ce côté du terminal : le 738 flydubai, un appareil Lufthansa, un Wizzair et quatre Air Serbia. L’avion va rouler le long des deux côtés du terminal en L, mais étant à droite, je ne vais pas voir les appareils au contact

L’autre côté du terminal depuis l’accès au seuil de piste

Décollage piste 12

Après l’arrivée de cet ATR72 Air Serbia

Le début du décollage révèle qu’un A320 Aeroflot est arrivé entre temps

Le diabolo qui abrite le passionnant Musée de l’Aviation. Si vous n’avez pas l’occasion de vous rendre à BEG, je vous en recommande la visite virtuelle grâce au bonus du FR de mon vol aller AMS-BEG.

Dernier aperçu de BEG

le payage sur BEG-AMS
Ledine, une banlieue sud-ouest de Belgrade. L’avion va tourner à gauche au large de Belgrade : il aurait fallu être assis à gauche pour voir la capitale.

Traversée du fleuve Sava qui se jette dans le Danube à Belgrade

La gare de triage de Železnik.

L’échangeur entre l’autoroute A1 qui traverse la Serbie du nord au sud, contournant Belgrade, et la route 22 qui mène à Belgrade depuis le sud.

Le Danube, avec les îles au niveau de Grocka

Pančevo, sur la rive gauche du Danube légèrement en aval de Belgrade

La trace d’un ancien cours d’eau dans les champs

Le tracé géométrique des champs entourant Kovačica, à une vingtain de km au nord de Belgrade.


Szged, ville située côté hongrois du point triple Hongrie – Roumanie - Serbie.

C’est en préparant ce FR (et avec un traitement d’image renforçant que je me suis rendu compte que j’avais capturé son aérodrome (LHUD)

… parce qu’en vrai, c’est comme cela que j’ai vu la ville.

Une pause nébuleuse dans l’observation du paysage.

La campagne hongroise, beaucoup moins géométrique que celle de la Voïvodine, la province située au nord de Belgrade qui est le grenier à blé de la Serbie.

Kecskemét, ville natale du compositeur Zoltán Kodály (1882–1967)

La base aérienne de Kecskemét (LHKE)

On s’approche de Budapest, dont voici l’aéroport civil (BUD)

L’autoroute M0 (le contournement de Budapest) franchissant un bras du Danube en aval de Budapest

Le centre de Budapest

Le stade Ferenc-Puskás et l’hippodrome de Kincsem

Zoom sur le cœur historique

Le célèbre Pont des Chaînes est le plus à gauche des ouvrages traversant le Danube dans cette photo.
La citadelle est au premier plan, entre les deux ponts centraux.

L’île d’ Óbuda (à gauche) et l’île Marguerite

Dernière vue générale de Budapest avant de s’éloigner

L’autoroute M0 franchit le Danube en amont de Budapest par le beau pont de Megyer.

Esztergom, sur le Danube en amont de Budapest, est l’une des plus anciennes ville de Hongrie, et en a été la capitale du X° au milieu du XIII° siècle.


Le chariot du BOB passe. Cela fait deux heures que je regrette de ne pas m’être désaltéré avant de passer le PIF en porte à BEG, mais je n’ai pas l’intention de dépenser 2,80 € pour une bouteille d’eau de 50cl.

PAX 7C, en revanche, a décidé de craquer pour de l’eau à 5 600 € le m3, mais oublié que ses moyens de paiement sont dans son bagage à main, lequel est dans le coffre à bagage. Heureusement pour les autres PAX, la demande est faible sur ce vol en milieu d’après-midi, contrairement au vol aller à l’heure du déjeuner.

J’abomine la possibilité d’incliner son siège dans un appareil CC/MC : je n’ai aucun besoin de dormir (et je n’ai aucun besoin de cette inclinaison pour dormir si je suis fatigué à ce point), et l’inclinaison du dossier devant moi empiète de manière inacceptable sur mon espace vital.

Un seul PAX abaisse son dossier au rang 6, et il fallait que ce soit devant moi.
Allez-vous en utiliser un PC dans ces conditions ! Ayant le triplet pour moi tout seul, le pis-aller consiste à placer le PC sur la tablette du siège milieu et à continuer à surveiller le paysage en étant assis au hublot (photo prise depuis le siège au couloir, pour le seul besoin de me plaindre publiquement dans ce FR ;)

Entre Transavia, ses PAX et le chewing gum, c’est apparemment une grande histoire d’amour. Ces taches noires sont autant de traces de chewing gum ayant durci après s’être encrassé de poussière.

On s’approche d’un autre haut-lieu touristique et historique d’Europe Centrale

Voici Prague, sur les rives de la Vltava, un affluent de l’Elbe

A l’est du centre de Prague, l’aéroport militaire de Prague-Kbely (LKKB) joue à cache-cache derrière un nuage.


Les méandres du Berunka, un affluent de la Vltava dans laquelle il se jette un peu en amont de Prague.


Une dernière vue générale de Prague

Ayant toute liberté pour me déplacer, et la couverture nuageuse s’étant refermée…

… un petit tour d’inspection aux toilettes, pas spécialement plus étroites que d’autres

Changer les couches de leurs bébés ne fait pas partie de la culture masculine serbe

Souvenir de l’unique trajet effectué dans l’espace aérien étatsunien, lors de la livraison de cet appareil.

La cabine vue de l’arrière, avec beaucoup de sièges vides ici et là

Le coffre situé au dessus du couloir contient le petit matériel de démonstration de sécurité.

Entre temps, on est arrivé dans l’espace aérien allemand : voici Zwickau, où se trouve l’usine qui produisait la Trabant, la voiture emblématique de la RDA d’alors.

La piste en herbe de l’aérodrome de Zwickau (EDBI)

La gare de triage et l’aérodrome de Zwickau

La couverture nuageuse masque à nouveau le paysage

Ce n’est que dans la descente que le terrain redevient visible, au dessus de la province de Flevoland, entièrement gagnée sur la mer après la seconde guerre mondiale. Voici la ville de Dronten.

Au second plan, le Ketelmeer, le bras de mer résiduel séparant le Flevoland en deux

L’IJsseloog, un bassin artificiel construit à la fin des années 1990 dans le Ketelmeer pour stocker des vases polluées.

L’autoroute A6, au bord de l’Ijsselmeer, et Lelystad, la capitale du Flevoland

L’embouchure du Ketelmeer à droite dans l’Ijsselmeer à gauche

La gare de Lelystad Centrum

La différence de couleur est frappante entre le Markemeer, un lac d’eau douce à gauche, séparé par une digue de l’Ijsselmeer, communiquant avec la mer.

L’archipel artificiel de Marker Wadden, destiné à devenir une réserve naturelle pour oiseaux de mer. Cette infrastructure s’est beaucoup développée depuis que je l’ai repérée pour la première fois lors de mes navettes suédoises en 2017.

Je ne sais pas si cette autre infrastructure proche de la digue en fait partie

On revient vers la terre ferme, bien qu’en dessous du niveau de la mer : l’autoroute A7, au nord de Purmerend, dans la province de Hollande Septentrionale.

De Rijp

West-Graftdijk

L’Alkmaardermeer, vestige d’un lac drainé au XVII° siècle

Krommeniedijk

Les installations portuaires d’Ijmuiden, sur la côte en aval d’Amsterdam

Le canal reliant Amsterdam à la mer

Un cargo sur le canal

Vue générale du canal

Le seuil de piste de la Polderbaan (la piste 18L/16R, la plus excentrée d’AMS)

Survol de l’échangeur des autoroutes A5 et A9 – cette dernière est la seule visible ici.

Arrivée dans le périmètre d’AMS

Touché des roues, déploiement des spoilers et des inverseurs de poussée… 1’18" après être passé au niveau du seuil de piste de la Polderbaan : c’est dire s’il y a du roulage après avoir atterri dessus.

SPOTTING AU ROULAGE à ams
C’est parti pour une longue séance de spotting au sol
767-400ER United Airlines

737-800 Egyptair

A380 Emirates

777-300ER KLM à nez blanc

787-10 KLM en livrée du centenaire

Une bonne prise avec cet A340-300 de Surinam Airways, qui constitue le tiers de sa flotte et plus de la moitié de sa capacité de transport.

A321 Royal Jordanian

787-9 Norwegian Long Haul et l’A340 Surinam Airways

777-300ER Qatar Airways

777-300ER KLM en livrée Skyteam

747-400 KLM

Deux 737-800 TUI originaux : l’un en livrée publicitaire de Sunnycars, un loueur de voitures

Et l’autre en livrée Miami Air International, à laquelle cet avion est loué, avec juste les trois lettres TUI ajoutées à l’avant de la carlingue.

738 Transavia banal

A320 Level

737-900 KLM à nez bleu

737-800 Corendon Air

Instant Danette

… et mauvais pioche : nous sommes les premiers à être bloqués par cet employé

Débarquement au large et au loin
… pour cause de débarquement par (deuxième) PAXbus

Les PMR, eux, débarquent par la porte avant droite de l’appareil

Et le spotting continue, avec ce 738 Transavia en livrée Peter Pan

A330-200 KLM

767-300ER TUI

Un A330 Delta Air Lines dont j'ai vu tellement peu que je l'ai qualifié de 767, avant qu'Esteban n'y mette bon ordre.

777-200ER KLM Asia à nez blanc

Et pour finir, un 738 Pegasus

Après sept minutes de trajet touristique, le PAXbus nous dépose à cette porte que je n’ai pas retrouvée sur les plans.

L’accès pour les transits est fermé : il faut sortir

… traverser une salle de livraison de bagages où il y a foule

… arriver landside

… trouver ce FIDS général

… qui nous annonce que notre vol vers CDG est retardé d’un quart d’heure. Cela nous laisse trois quarts d’heure environ pour franchir le PIF et atteindre la porte d’embarquement : c’est mort pour aller au salon (qui n’est ni inoubliable, ni indispensable dans notre cas), mais il n’y a aucune raison de stresser.

Quatre minutes de marche pour atteindre le hall landside dédié aux vols KLM : il s’est déjà écoulé. Il s’est déjà écoulé vingt minutes depuis notre sortie de l’avion ; la suite sera dans le FR du vol AMS-CDG.

Bonus : églises et autres batiments remarquables
Je vous propose maintenant un bonus sur quelques bâtiments remarquables de Belgrade
Merci pour le FR :o)
Les code-share HV/KL ou AF/TO n'envoient pas du rêve (pour rester poli).
Pas de libre choix des sièges à l'avance (pourtant pratiqué par Transavia), pas de priorité à l'embarquement (idem), pas de certitude quant au sort du bagage cabine (idem), ....
Bref, cela donne envie de passer son chemin...
L'incompatibilité du partage de code à l'OLCI si le premier vol n'est pas assuré par la compagnie aérienne ayant vendu le billet m'a un peu agacé, même si elle ne prêtait pas à conséquence.
Passer mon chemin en prenant celui du vol AF direct avait un coût excessif , à mes yeux comme à ceux de Mme. Un avantage mineur de ce routing (avec billets KL) était de rapporter deux fois plus de XP. Il n'est pas du tout certain que cela suffira à sauver mon statut d'ici la fin de l'année.
Merci pour le commentaire !
Sinon Alitalia offre 10 XP via FCO pour 188 € l'aller retour :)
Avec 2 salons, etc.
J'avais vu la possibilité via FCO, mais les horaires de départ très matinaux piquaient les yeux, avec 45' de correspondance à FCO vers BEG de la journée : pas de salon à CDG parce que trop tôt, pas de salon à FCO parce que pas le temps... ou peut-être des heures au salon de FCO si le vol ex-CDG avait un problème.
Alitalia en retard ? Mais non ce n'est pas Air Canada :o) :o) :o)
J'ai vu des choses avec plus de marge mais ce n'était pas au mois de juillet :o)
Merci pour ce FR
Vol qui n'envoie pas du rêve mais belle attention du personnel en porte ^^
il ne manque que l'odeur du chlore à cette cabine à la couleur piscine old scool pour s'y croire.
Merci pour le bonus
On notera au crédit de cette PNC qu'elle n'a pas hésité à sortir en plein soleil et à prendre le temps de deux clichés sous des angles différents, plutôt que de se contenter de m'accueillir avec le sourire au frais dans le galley.
Ce vert très distinctif a le mérite de changer des couleurs sombres très passe-partout.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour le partage !
Bon tout aurait été plus que parfait du début à la fin si tu n'avais pas malheureusement chuté sur le 767-300 Delta qui se trouve être un A330 Delta :) Un demi coup de fouet pour la peine :)
Un vol sans histoire avec de très jolies vues du ciel !
A bientôt !
Il faudra que je m'intéresse aux formes des vitres des cockpits : celle du TUI mieux vu juste avant sont indiscutablement différentes. Merci pour ta mansuétude; j'ai corrigé.
Merci pour ta mansuétude, à bientôt pour le dernier segment !
Il faudra que je m'intéresse aux formes des vitres des cockpits : celle du TUI mieux vu juste avant sont indiscutablement différentes. Merci pour ta mansuétude; j'ai corrigé.
A bientôt pour le dernier segment !
Merci pour ce récit toujours aussi détaillé François!
Un aéroport de départ où l'on a connu plus moderne et spacieux, mais cela reste une découverte pour moi ^^
Air Serbia n'a donc qu'un A330 dans sa flotte... j’espère que les pannes y sont rares...
Top l'hôtesse qui a joué le jeu des photos.
Belles localités survolées!
A bord nous retrouvons la cabine verte HV et les chewing gum collés qui vont avec ^^
A bientôt!
La place ne manque que dans les salles d’embarquements pour LCC, manifestement installées au coût minimum dans une extension récente.
Quel que soit l’endroit où elle surviendrait, une panne de cet unique A330 se paye au prix fort !
Un hublot du bon côté et pas trop de nuages au-dessus de terres habitées : c’est la combinaison gagnante pour que le vol passe agréablement, quand bien même un voisin abaisserait son dossier et les PNC n'auraient rien à offrir que leur sens de l'accueil :)
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Bonjour François,
Merci pour ce FR.
Un vrai sketch ces incompatibilités pour enregistrer alors que tout s'est bien passé à l'aller !!
Petite salle d'embarquement. Effectivement si le vol est complet, l'attente est loin d'être confortable.
Attention sympathique de la PNC avec cette photo.
Route très détaillée.
Merci pour le bonus et à bientôt !
Bonjour Dorothée,
A l'aller, premier vol KL avec billet KL, et ça se débrouillait pour le vol suivant. Au retour, premier vol HV avec un billet KL suffisait à gripper la machine. A croire qu'ils n'ont pas fait beaucoup d'effort, car l'une des recettes éprouvées des LCC est de dissuader l'enregistrement manuel au comptoir.
Pas de chance : à l'aller, notre vol HV était arrivé d'une porte "legacy", alors que c'est au retour que cela aurait vraiment fait une différence de confort.
Reconnaître (parfois), ou identifier a posteriori (souvent, si la route ne m'est pas familière) les éléments remarquable du paysage fait partie pour moi du plaisir de prendre l'avion.
Merci pour le commentaire; à bientôt pour le dernier segment !
Merci pour ton récit François. Joli le seul long courrier d'Air Serbia que tu as réussi à prendre en photo !
Très bon point pour la sympathique PNC ( il semble que cela soit une qualitée partagée chez les deux transavia). pur le reste vol low cost classique avec de nouveau une belel prise avec le 787 au logo du 100 eme anniversaire de KLM.
Je ne connaissais pas le détail de la flotte d'Air Serbia et sur le coup, j'ai cru qu'ils avaient deux A330 (un vu au contact, l'autre vu plus tard en zone de maintenance), mais non, c'était la même immatriculation :)
Les propositions de photo souvenir par des PNC sont rares, et toujours sympathiques, bien que je ne sois pas demandeur.
Merci pour le commentaire !
Bonsoir François, merci pour ce récit !
L'aéroport airside semble assez sympathique, sauf, forcément, la zone réservée aux LCC... J'ai cru un instant que Nordica desservait désormais BEG, quelle déception en apprenant que l'appareil est juste loué !
Je trouve par contre intéressant de voir que la plupart des compagnies du Moyen-Orient desservent la ville. Je n'aurais pas cru le marché serbe si intéressant...
Vol sans histoire, mais très intéressant grâce au cours de géographie, et aux retouches d'images qui manquent cruellement à mes clichés toujours trop brumeux...
Jolie vue sur Zwickau notamment, ville auparavant assez florissante du temps de la RDA (florissante à la mode communiste), mais désormais à moitié à l'abandon, avec l'exode vers l'Allemagne de l'ouest, comme beaucoup de villes de la région. Mais je divague...
A bientôt !
La présence de cet avion Nordica m'a intrigué sur le coup, car une ligne TLL-BEG serait assez improbable :)
Je ne serais pas surpris que des Serbes ayant des qualifications "vendables" aillent travailler dans les pays du Golfe. De là à remplir tous ces avions, c'est quand même surprenant.
Il ne faut pas abuser des filtres numériques, mais force est de reconnaître qu'ils rendent bien service, les photos brutes étant souvent moins lisibles que l’œil ne voyait le paysage.
Merci pour le commentaire; le FR du dernier segment est posté !
Merci François pour ce FR.
chauffeur de taxi n'éprouve pas le besoin de faire des zig-zags => voilà qui est plus reposant.
Je n’ai pas compris l’étiquetage du sac à dos, qui glisse largement sous un siège.
un A330-200 dédié à la liaison BEG-JFK. => voilà qui serait un scoop sur FR.
je déteste ces salles d’embarquement closes.
elle me propose de me prendre en photo souvenir,=> cela m’est arrivé ce week-end, le PNC pensant me faire plaisir alors que c’était tout le contraire.
J’abomine la possibilité d’incliner son siège dans un appareil CC/MC =>Nous sommes d’accord.
A bientôt
Je soupçonne que ce chauffeur de taxi aurait circulé de manière tout aussi sportive un jour de semaine.
L'étiquetage du sac à dos ? Simple absence de réflexion de l'employée.
Je passe mon tour pour ce qui est de transiter par BEG pour aller à JFK !
Les vitres coûtant plus cher que toute paroi pleine, il y aura toujours un marché de LCC pour des salles d'embarquement délibérément aveugles, quelle que soit l'opinion des PAX à leur sujet.
Aux débuts de FR, j'avais tendance à refuser ces propositions de photo souvenir par des PNC, et puis je me suis dit que personne ne m'obligeait à les montrer ensuite à quiconque.
Les dossiers inclinables en LCC m'intriguent : ils génèrent de l'inconfort pour les PAX (peu importe, pour la compagnie aérienne) et ils coûtent plus cher (ce qui est un anathème pour elle).
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Bonsoir et merci pour ce FR,
L’aérogare de BEG côté pile est un peu bas de plafond mais semble agréable et est surtout très spotter friendly. Côté face, il prépare le passager en LCC au dénuement et à l’ascèse : c’est triste et plus proche d’un hangar façon T3 à CDG.
La cabine toujours parée de ces sièges vésiculeux verts façon peau de crapaud me convient sauf la possibilité d’abaisser son siège : il faut être clair, la densification des cabines n’est pas compatible avec cette fonction. Heureusement que vous aviez plusieurs options pour retrouver un peu de confort dans cet avion peu rempli.
Même pas un verre d’eau, c’est plutôt mesquin. J’aime bcp la valorisation du m2 !
Le bonus est magnifique. Les mosaïques sont très belles qui me rappellent la cathédrale de Monreale de Palerme et son cloître de toute beauté (je l’aime bcp. celle-là). Vos photos de nuit sont top.
Merci pour la découverte de Juraj Dobrovic, très vasarelien.
A bientôt pour de nouvelles découvertes !
m3 et non m2 !
La hauteur modeste sous plafond de BEG ne m'a pas frappé, car elle est compensée par une lumière naturelle généreuse - on était certes en plein été. En revanche, le secteur LCC fait vraiment parc à bestiaux.
Le risque qu'il y a réclamer un dossier non inclinable, c'est que la compagnie aérienne comprenne que l'on accepte moins de confort, et en profite pour les amincir au maximum tout en grignotant le pitch pour caser un rang de plus.
J'appelle de mes voeux une réglementation européenne qui imposerait de fournir gratuitement de l'eau aux passagers en avion. A tout le moins, un point d'eau après le PIF devrait être obligatoire.
Superbes cathédrale et cloitre à Monreale, en effet. Certaines des photos du bonus "biblico-avgeek" de mon FR PMO-FCO en proviennent.
Le secret des photos de nuit réside dans un mini-pied et un peu de patience.
J'ai cru initialement à un Vasarely, mais pourquoi acheter une coûteuse oeuvre étrangère quand on a aussi bien chez soi ?
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Au final on se rend bien compte des aspects positifs dz Transavia: les sieges pourraient être pire et ils s'inclinent, le personnel est jovial.
Le problème est que boeing ne se l'est pas posée la question a 1 millard, leur approche devait se resumer ainsi: c'estbon ça passe!!
Ce n'est pas un hasard si Transavia est toujours en tête du classement FR en catégorie LCC !
J'étais bien loin de l'addition qui n'est pas encore finale : on parle aujourd'hui de dizaines de milliards de dollars !
Merci pour le commentaire !