Bonjour à tous et à toutes.
L'introduction
La genèse de ce voyage diffère de ceux effectués depuis mon retour en Europe.
Tout d'abord, il y avait une raison particulière à mon déplacement dans la capitale espagnole, alors que généralement cette année j'ai surtout voyagé par opportunisme tarifaire sur des destinations jamais ou anciennement visitées.
Ensuite, car le billet a été réservé seulement un mois avant le départ. Généralement, je planifie mes week-ends plusieurs mois à l'avance pour obtenir les meilleurs prix.
La motivation doit se chercher dans une exposition au Prado qui m'avait totalement échappée et dont vous aurez un petit aperçu en bonus sur le FR de retour. Bref, je dois me rendre à Madrid en pleine saison estivale depuis mes aéroports de proximité très germaniques et donc friand de paëllas…
Tout cela, à réserver en plein mois de juillet. Autant vous dire que ma banquière frisait la crise d'apoplexie avant même de lancer les comparateurs de prix.
Et effectivement, les billets sont très chers ex EAP, mais aussi ex ZRH. Les vols depuis SXB ne servent à rien (un peu comme cet aéroport, je le crains, enfin sauf pour Jules67500 et on SXB-BOD sur V7). J'ai essayé plusieurs dates, en vol dans la journée ou sur le weekend, les sites des compagnies ou les OTAs. Rien n'y fait. Je vais devoir passer à la caisse.
Puis, un éclair de génie (momentané, je vous rassure) me frappe (un homme qui se frappe, n'est qu'une brute).
Le fameux vol LATAM FRA-MAD. 5ème liberté synonyme de prix doux. FRA est un peu loin depuis chez moi, mais comme le vol part en soirée, cela me permet de faire un peu de tourisme en chemin dans la journée. Allemagne+Madrid, deux produits en un. De quoi amadouer mon contrôleur de gestion interne, qui s'inquiète de mes dépenses exacerbées depuis l'Iran.
A force de prendre l'avion chaque semaine en Iran, on prend de mauvaises habitudes. Ce n'est pas Greta qui me contredira.
Je tombe donc sur un prix pas cher (je ne sais plus combien) en Y à une date compatible. Et en allongeant 209 EUR sur govoyage (moins cher que le prix de LATAM sur son site web) et en changeant de date, je peux m'offrir cette fameuse J de l'oeuvre de Momolemomo.
Tout un symbole mais aussi 120 Status Credits pour ma carte QF, ce qui pour env. 200 EUR est un yield SC/EUR du tonnerre.
Ni une, ni deux, c'est réservé.
Place au routing qui ne devrait pas occuper trop de mémoire vive de votre cerveau que je vais m’employer à rendre disponible du mieux que je peux
Enchainement de vols
- 1
- 2LA704 - Affaires - Madrid - Frankfurt - Boeing 787-9
Au programme de ce FR :
Le prélude
C'est en uber que j'arrive à MAD, une grosse flemme de dimanche midi m'a sournoisement empêché de redécouvrir les joies prolétariennes du métro madrilène. Au moins, ai-je pu profiter du soleil castillan, un peu plus longtemps.
Car mon séjour à Madrid s'achève : arrivé le soir, je repars le lendemain à 14h.
C'est le prix temporel à payer pour ce vol en 5ème liberté, pas vraiment calé pour les voyageurs du week-end.


La base d'Iberia a au moins le mérite de l'originalité de la couleur. Là où l'écrasante majorité des nouveaux aéroports adoptent le gris du béton. Au T4 l'effort est porté sur le bois et le jaune.

Pas forcément heureux mais original, j'admets.

Fort de mon statut et de mon billet en affaires, je me précipite au PIF prioritaire.
Mais, j'y serai refusé au sombre motif que je n'ai pas de tampon sur mon boarding pass…

Or, il y a un peuple fou aux comptoirs affaires d'Iberia.
Perdre 10 minutes à obtenir un tampon, ou 10 minutes dans une file d'attente economy.
Je dois faire un choix…

Avisant le peu de monde en file normale, je préfère ravaler ma morgue et me mêler parmi les mortels.
D'aucuns diront que ce soudain tropisme social n'avait que visée scientifique.
En tout état de cause, tout se passe rapidement. Je suis satisfait, mais MAD va prendre un coup du fait de leur penchant pour la paperasserie.
En Iran, j'aurais accepté mais en Europe…

Un coup de FIDS pour m'assurer de la porte d'embarquement.
Sans surprise, le vol décolle du satellite.

C'est l'été et cela se voit !

Tandis que mon voisin a un joli tag que j'aurais bien récupéré sur son cadavre encore chaud.
Restons urbains, voyons…

Enfin arrivé au terminal, la PAF est passée sans attente. Pour l'instant c'est carton plein pour MAD sauf pour l'histoire du tampon.
Je n'échappe pourtant pas à la tentation consumériste.

Toblerone fait sa pub sur un écran longiligne qui ne manque pas de se faire remarquer.

Le lounge report, ole
Bref, hypnotisé par les trésors et l'abondance de l'offre, je passe sans remarquer l'entrée du salon qui se trouve littérallement dans la zone de duty free. Il m'aura fallu rebrousser chemin pour en trouver l'accès.
Pas bien distingué, cela, Monsieur Iberia.
Il faut dire qu'avec cette entrée toute de vermillon, ils font ce qu'ils peuvent pour ne pas être rejeté dans l'ombre.

Le contrôle dragonne est un peu longuet … j'attendrais bien deux minutes.

C'est la première fois que je visite le salon depuis sa rénovation.
C'est toujours un moment sympathique de découvrir un nouveau salon.
La présentation de la signalétique est originale et percutante.

La sensation d'espace est bien réelle malgré son organisation biscornue et sa faible largeur.

Je suis d'abord parti du côté gauche.
Salle de réunion non privative.

Les prises sont présentes à chaque siège.

Et un premier buffet dans le fond.
Saumon fumé, c'est toujours intéressant même si la qualité n'est pas souvent au rendez vous.

Petits sandwiches et charcuterie trop abondante pour ne pas être nitrée.


Tortilla bien de chez elles.


Des champignons chauds ayant survécu à la phase du petit-déjeuner.

Quelques fruits à peler soi-même.

Pas mal, mais on reste sur sa faim. Qu'y-a-t-il de l'autre côté ?

Avant de partir, le cul de sac avec à gauche l'entrée de la salle à manger pour pax J en LC.


En passant à droite de l'entrée, une zone de repos, avec 3 couches si je me souviens bien, et des douches.

Malheureusement elles sont toutes occupées.

En face, l'espace pour les plus jeunes.

J'arrive en fin au bout de l'autre aile du salon avec un joli bar.
Les vins sont en self service.


Je décide de rester à proximité, et commence à tester l'offre.

Les docs de voyage.

Et une seconde sélection toujours en mode snack car les cloches chaudes sont vides à cette heure.
Je goûterai deux vins blancs pendant le séjour : un rioja et un vin basque. Les deux assez peu intéressants.

Elles ne seront achalandées qu'au moment de mon départ. Et je n'aurai pas le temps de les goûter !



Cela avait l'air pourtant sympathique avec du poulet et du merlu.

Sans oublier une paëlla.

Le plateau de fromage.

Allez, un pour la route !

Mon vol embarque, le FIDS ici semble être mieux maîtrisé qu'à FRA par les équipes LATAM.

Au loin, une bestiole à quatre moteurs. Un des A346 d'IB.

Je sors par l'entrée, après être entré par la sortie.

Je n'avais pas noté la présence de rack pour s'alléger le temps du lounging.

Et c'est parti pour rejoindre la porte.

Il faut reconnaître que c'est bien organisé avec des filoguides clairs.

le flight report
Voici l'objet du délit.

Pour une fois, je ne suis pas en retard :)

Je suis le premier pax après ce PMR et son accompagnant.

Malgré deux passerelles mises en place, une seule sera utilisée pour l'embarquement.

Fuselage shot.

L'instant porte. L'accueil est efficace, souriant et en français, à la vue de mon passeport !

Je m'installe à mon siège. Et j'entends le bruit caractéristique du champagne qu'on débouche.


La cabine.

Le galley avec un sol imitation bois.

Juste après, c'est la classe éco.


Le service commence.

Dehors on retrouve un appareil aux anciennes couleurs.

Le service est bien lent et je me lève pour aller demander directement une flûte, ou plus exactement un godet.
La rasade est bien limitée, les noix sont à température.

Mon voisin asiatique, très discret est arrivé.

Comme sur le vol aller, un kit de survie hivernal est mis à disposition des pax qui le demandent.

En attendant, je rattrappe le retard pris à l'aller en demandant un refill de champagne (Nicolas Feuillate).
Cette fois, la PNC prévoit large !
Celle-ci est très pro mais n'est guère souriante. Je n'ai pas de chance avec LATAM…

Allez au boulot !

On repousse avec tout de même 25 minutes de retard - d'où le refill.
Un peu de spotting ibère en chemin.






En piste !

Onze minutes après le décollage, nous sommes dans les airs.



Plafonnier.

Teinte bleutée du cache hublot.

Le service commence et je profite pour challenger un peu le service en demandant un pisco sur.
La mine déconfite de la PNC sera sa première expression depuis mon embarquement.
Echec, donc.

Dehors, il n'y a pas grand chose à voir.

On est déjà à Bordeaux. Et le solide n'a pas fait son apparition.

Mais cela vient juste après cette réflexion négative.
Pas glop. Le catering consiste en un sandwich qui a bien mauvaise mine au brie et au jambon, le tout accompagné d'une salade et d'une verrine sucrée.
Ce n'est guère appétissant.

Rabattons nous sur le liquide.
Voici la preuve indéniable que l'absence de champagne au vol aller était liée entièrement au 4 méchantes gens qui en ont abusé.
Honneur et gloire au Grand leader.

Autopsie de la bête, une feuille de vigne pudique cache les attributs du brie.

Que serait un vol LATAM entre MAD et FRA sans un air-to-air ?
Pour une fois, j'arrive à peu près à saisir ce BA en hommage à Momolemomo !

La vinaigrette pour la salade, toujours chilienne (la vinaigrette) !

Puis le dessert, que je finirai cette fois.


Un verre qui pourrait tomber dans mon sac, si je me montrai indélicat.

Mais il restera sur le plateau, vide.

Les couverts sont aussi logotés.

Et la porcelaine aussi !



Le vol se poursuit tranquillement au dessus de la campagne française.


Et je continue mes saines lectures, avec un cognac servi au quintuple !

Puis un expresso pour se remettre d'aplomb.

Changement de cap au dessus de Paris.
Cela se fête non ?

La cabine est bien calme, rien ne trouble sa quiétude.

Et nous arrivons bientôt.


FRA est en vue.

Passage de la dernière couche de nuage.

L'usine à nuage se repose, elle a bien travaillé toute la journée.

Le centre ville de Francfort.


Et nous y voilà presque.


Après KE, c'est OZ.

Atterissage à 17h43 soit trois minutes de retard seulement.

Roulage.



Et l'instant danette.


La prise de congés est tout aussi souriante que l'embarquement.


Et je mettrai cinq minutes à passer la PAF, car le paraphe local me refusera l'accès malgré plusieurs tentatives avec deux passeports différents.
Cette longue queue est celle des pax non ressortissant de l'espace schengen.

Allez zou…

Il faut que j'entame ma nouvelle Longue Marche pour retrouver mon auto.

Merci de m'avoir lu, place au bonus et je vous donne rendez vous au prochain routing où l'on retrouvera la Tortuga et tous ses amis (Leberwurst, le Squale, le coucou…) pour de nouvelles aventures en orange ou en violet !
Le bonus
Ce week end avait comme visée la visite de l'exposition Fra Angelico au Prado à l'occasion de la présentation de la fameuse Annonciation du maître après sa restauration. Mais avant cela, une toute première partie avec une expo concomittante qui s'attachait à réconcilier les grands peintres espagnols et hollandais du XVIIème en mettant en exergue les similitudes au delà des apparences et des pensées toute faites.
Peu de photo, car au Prado, on est photophobe !


Et donc l'objet de la visite.

La fameuse Thébaïde.

L'annonciation restaurée.

Les oeuvres de Fra Angelico étaient confrontées à des peintres contemporains.
Gentile da Fabriano, un peintre cher à mon coeur.

Ou cette annonciation de Paolo Ucello.

Merci de m'avoir suivi sur ce bonus court par la force des choses !
Merci pour ce FR
"Mais, j'y serai refusé au sombre motif que je n'ai pas de tampon sur mon boarding pass… "
Il était écrit que ces vols seraient source de désagréments
"Petits sandwiches et charcuterie trop abondante pour ne pas être nitrée."
Tu es moins regardant à l'EAP ;)
Dommage de ne pas avoir pu goûter l'offre chaude
"Le service est bien lent et je me lève pour aller demander directement une flûte, ou plus exactement un godet."
Mieux vaut prévenir que guérir ;)
"La rasade est bien limitée, les noix sont à température. "
Une bouteille à partager avec toute la cabine
"Celle-ci est très pro mais n'est guère souriante. Je n'ai pas de chance avec LATAM… "
Heu tu lui vides son (maigre) stock !
"Ce n'est guère appétissant. "
Et ce ne doit pas être meilleur que son apparence
"Voici la preuve indéniable que l'absence de champagne au vol aller était lié entièrement au 4 méchantes gens qui en ont abusé."
Ou que tu as attaqué la bouteille du vol retour lol
"car le paraphe local me refusera l'accès malgré plusieurs tentatives avec deux passeports différents."
FRA est sans pitié avec les faussaires ;)
Joli bonus : la restauration est une réussite
Bref un vol pas très satisfaisant
A bientôt pour le retour du bestiaire as usual
Merci Gilbert pour le com.
C’est surtout incompréhensible car la preuve matérielle d’éligibilité n’est pas récupérée par les agents de manière à facturer IB ou LA. J’ai dû mal à comprendre.
J’avoue, mais il n’y a que cela à y manger !
Chat échaudé craint l’eau froide !
Ce n’est plus mon problème !
Merci Quentin pour ce FR.
Tu n'avais pas la possibilité de partir le vendredi soir pour avoir un week-end plus agréable ?
Finalement j'ai bien fait de rentrer avec IB via LHR, il va juste falloir que je m'attèle au FR la semaine prochaine. C'était bien mieux.
Déjà je n'ai pas eu le souci de la PIF Prioritaire, c'est quoi ce tampon obligatoire ?
L'entrée du salon est bizarrement située mais bon il y a pire car finalement on n'a pas besoin d'arpenter le terminal.
J'ai trouvé le choix moyen, et pour avoir testé la paella elle était à peine tiède, donc froide très rapidement.
A bord, c'est finalement pas mal d'être à l'heure à bord , pas de stress et le champagne est encore disponible.
Le catering est nullissime avec ce sandwich.
Etonnant que le parafe t'ai rejeté alors qu'à l'aller celui ci n'a pas posé de problème avec même des lunettes de soleil.
Bonus d'une exposition qui m'a énormément plu, (celle de Fra Angelico) , en tout cas pour moi une très belle découverte qui n'était pas prévu sur ma feuille de route.
Le temps de vol affiché est de zéro est ce que tu peux juste retourner dans les horaires et revalider le FR ?
A bientôt
Merci Valérie pour le com’.
L’objectif était l’expo avant qu’elle ne s’achève et j’ai un week end à Madrid prévu en décembre.
Le pensum du trajet vers FRA me permettait si je partais le samedi de faire une halte. C’est ce que j’ai fait en visitant la cathédrale de Worms (je mettrai un bonus sur l’un des vols ex FRA que je viens d’accomplir).
L’annonce du chat noir, mais les agents du PIF attendaient un truc tamponné par le comptoir J d’IB…
Je n’ai pas cherché plus loin.
Sauf si comme moi, on doit rebrousser chemin pour ne pas l’avoir vu !
Je dirais que c’est plutôt bien d’avoir un FIDS qui réflète fidèlement le déroulé des opérations !
Je pense qu’ils devaient être désactivés pour raison de sécurité accrue ?
A tout de suite, littéralement.
Hello et merci pour ce FR,
Un aller retour vraiment express, à peine qualifiable de WE... Mais l'exposition à l'air vraiment intéressante et je te comprends d'y être allé, merci pour le bonus.
A bord, le catering est très décevant, heureusement que le champagne relève le tout..
Saint-Nazaire à la place de la Rochelle sur l'IFE, oups!
A bientôt
Merci Loouri pour le com'.
Le but était d'aller voir une expo à moindre coût. Et pour un prix similaire à un voyage en Y, je me suis offert un vol en J avec un petit périple en Allemagne.
Bien vu pour Saint Nazaire !
Merci pour ce FR.
La cinquième liberté européenne la plus populaire du site n'en sort pas grandie ! Le catering semble bien mieux ex-FRA.
A bientôt.
Merci Clément pour le com'.
Nous nous efforçons de déboulonner la prestation LATAM. Malgré le catering très moche, cela reste un moyen peu onéreux de s'offrir un beau petit voyage.
Je ne m'explique pas la différence de catering entre les deux vols, c'est assez étrange.
Le salon est vaste et même si tu trouves que c'est pauvre au niveau nourriture... Il y a de quoi faire !
A bord si le Champagne coule à flot, le sandwich Brie/Jambon fait tâche.
Reste la cabine agréable à l'oeil et confortable
Merci Quentin pour ce FR, à bientôt !
Merci Hervé pour le com'.
C'est pauvre à l'heure où j'y étais, si j'avais pu goûter l'offre chaude (ou tiède pour la paëlla, paraît-il) j'en aurais retiré une meilleure image. Il y a de toute façon pire que ce salon IB. Et ils m'avaient habitué à bien pire.
Merci Quentin pour le FR.
Le plateau fait peur à voir avec cette salade et ce sandwich, on est pourtant bien en business :(
A bientôt !
Merci Stephan pour le com'.
Une offre de Y posé sur un plateau, le contraste n'en est que plus cruel.
Merci Quentin pour ce FR.
L'expérience prolétarienne esquivée sur le coup de midi t'a rattrapé sur le coup de 13h. Cette histoire de tampon, avec un billet J, est ridicule mais aussi parfaitement caractéristique des régimes bureaucratiques à haute exigence prolétarienne.
Le salon est agréable même si l'offre chaude fonctionne en mode alternatif.
Ce coup-ci (gloup !) c'est mieux côté liquide mais indécent pour de la J, même en 5ème liberté, côté solide. Je n'irai pas faire le détour par FRA pour me rendre à MAD.
La seule PNC souriante était en porte.
"le paraphe local me refusera l'accès malgré plusieurs tentatives avec deux passeports différents." ===> Ceci explique peut-être cela ! En ces temps de vigilance, 2 passeports pour un seul homme c'est suspect.
Une mention spéciale pour le bonus à compléter au couvent San Marco.
A bientôt !
Merci Franck pour le com'.
C'est assez singulier que cette procédure à MAD. Le comble étant que cela aurait dû me faire perdre du temps au point de rendre le fast track plus long à utiliser que la file normale.
Si IB se fait facturée par MAD sur la base de ces tampons (?), MAD a perdu un client ce jour là.
Je pourrais réiterer ce vol malgré ce catering nullissime rien que pour la requalification sur oneworld. Le gain est important pour un prix modique, un très beau rendrement... Après il faut qd mm trouver un prétexte !
Rien que de très normal, et la machine ne savait pas que j'en avais deux (en fait, j'en ai trois) au premier passage !
Nécessite un autre vol !