Bonjour à toutes et à tous,
Après ces quelques jours superbes passés dans l'archipel d’Hawaï, il est temps de boucler mes valises et de reprendre ce routing direction Guam, routing que vous trouverez ci-dessous.
Enchainement de vols
- 1AF84 - Affaires - Paris → San Francisco - Boeing 777-300ER
- 2
- 3
- 4
- 5UA154 - Affaires - Honolulu → Guam - Boeing 737-800
- 6KE112 - Affaires - Guam → Seoul - Airbus A330-300
- 7SQ607 - Affaires - Seoul → Singapour - Airbus A330-300
- 8SQ22 - Affaires - Singapour → New York - Airbus A350-900
- 9SQ25 - Affaires - New York → Francfort - Airbus A380-800
- 10AF1219 - Economique - Francfort → Paris - Embraer 190
introduction
14h30 pour aller de Honolulu à Guam soit 6.100 km, c'est un peu long me direz-vous.
Oui vous répondrais-je, sauf si on s’arrête en route et ce vol, UA154 ainsi que son petit frère UA155 qui fait le chemin retour, desservent en mode omnibus les îles Marshall ainsi que certains États fédérés de Micronésie. En ce sens, ils portent le doux surnom d'Island Hopper qui est assez significatif.
Ce vol se compose donc des segments suivants :
Enchainement de vols
- 1UA154 - Honolulu (HNL - Hawaï) → Majuro (MAJ - îles Marshall) : 3.600 km - 5h10. Passage de la ligne de temps (+24 heures)
- 2UA154 - Majuro (MAJ - îles Marshall) → Kwajalein (KWA - îles Marshall) : 440 km - 1h00
- 3UA154 - Kwajalein (KWA - îles Marshall) → Pohnpei (PNI - Micronésie) : 1.040 km - 1h50
- 4UA154 - Pohnpei (PNI - Micronésie) → Chuuk (TKK - Micronésie) : 740km - 1h20
- 5UA154 - Chuuk (TKK - Micronésie) → Guam (GUM - USA) : 1.000 km - 1h40
Une carte valant mieux qu'un long discours, voici donc le positionnement de ces vols dans le Pacifique nord.

UA154 quitte HNL les lundis, mercredis et vendredis.
A noter que les vols du lundi et du vendredi desservent Kosrae (KSA) sur le chemin entre KWA et PNI.
Dernier point et non des moindre, je n'aurais pas effectué ce vol si je n'avais lu les FR de Numero_2 ici et de FFlyerCDG là qui m'ont fait inscrire ce vol au top de ma todo. Une fois de plus, merci à eux.
Historiquement, cette route a été ouverte en 1968 (excellente année au demeurant) par Air Micronesia, une filiale de Continental. Cette compagnie deviendra plus tard Continental Micronesia qui fut intégrée à United lors du merge United-Continental en 2011.
Trêve de bla-bla, il est temps d'embarquer…ou du moins d'essayer d'embarquer.
honolulu - majuro - ua154 part #1
Arrivé la veille au soir de Big Island, je passe la nuit dans un hôtel proche de l’aéroport afin de maximiser mon temps de sommeil.
C'est donc un peu avant 6h00 du matin que la navette de l’hôtel me dépose à HNL juste devant les comptoirs de United qui sont bien vides à cette heure. Ça commence bien.

Le FIDS indique que mon vol est à l'heure et partira de la porte F2. Il est 5h52.

Les comptoirs sont décorés de fresques océanes dans les mêmes tons que les chemises des agents UA.
Je serai immédiatement pris en charge par une agente moyennement aimable.
Elle pianote sur son ordinateur, pianote et repianote et au bout de 15mn s'excuse et part se cacher dans un bureau emportant avec elle mon passeport.
Au bout de 20 mn d'attente, je demande à son collègue s'il y a un problème, il me répond que non, elle va revenir rapidement.
15mn se passent encore, il est 6h40, le vol décolle à 7h25.
J'interpelle à nouveau ce monsieur et lui dit que j'aimerais bien savoir ce qui se passe. Il va donc chercher sa collègue qui revient en me disant que je ne peux pas prendre ce vol car je n'ai pas de visa pour les États fédérés de Micronésie, elle était en train de me chercher un vol de substitution pour aller à Guam…
Je reste sidéré et lui répond que 1/ nous ne sommes pas censés sortir de l'avion aux escales donc je ne rentrerai pas sur le territoire en question et que 2/ en tant que ressortissant français je n'ai pas besoin de visa pour ce pays.
Immédiatement elle me répond qu'elle voulait dire que je n'avais pas d'ESTA US et que je ne pouvais me rendre à Guam ! Encore mieux !!!
Je lui demande comment je pourrais être face à elle si je n'avais pas d'ESTA. Elle en convient mais d’après son ordi je n'ai pas d'ESTA donc, contrairement à toute évidence, je n'ai pas d'ESTA, na.
Elle enchaîne alors et me propose un vol direct pour GUM partant dans l’après-midi me faisant en plus rater ma correspondance vers Séoul.
Là, je ne comprends plus rien : si je ne peux pas aller à GUM en omnibus pourquoi pourrais-je y aller en direct ?
Je lui demande d'appeler son superviseur : le temps passe, le vol est boarding et je n'ai toujours pas ma carte d'embarquement.
Elle reste stoïque et continue ses recherches.
Bien sûr, je n'ai pas de copie papier de ce document et je commence à chercher frénétiquement une copie électronique dans ma messagerie. Je me souviens alors que j'avais obtenu cet ESTA il y a plusieurs mois pour un voyage pro et qu'il était dans ma boite aux lettres pro à laquelle je n'avais plus accès ayant changé de job entre temps… Il est 7h, ça sent le sapin.
Mon cerveau lent à cette heure se met en route grâce à l’adrénaline qui coule maintenant à flots dans mes veines et je reprends mes recherches sur le site du gouvernement US. Avec mon numéro de passeport, je retrouve le document en question. Je lui brandis mon téléphone sous le nez.
Elle reprend son pianotage et me dit "Ah, oui, vous avez un ESTA, je viens de le retrouver". Je bous intérieurement mais reste calme, on n'a rien à gagner à s’énerver avec ce type de personnes dont le comportement est incompatible avec certains métiers. Ne pas reconnaître sa méconnaissance face à une situation et refuser d'escalader ou de demander de l'aide à un collègue, finit systématiquement en catastrophe. Je préfère la voir face à moi à ce desk que dans une tour de contrôle ou aux commandes d'un autre processus critique. Pour eux, reconnaître leur méconnaissance, c'est reconnaître une incompétence ce qui est une erreur fatale. Ils s'enferrent dans leur idée et bien sûr sont incapables de résoudre le problème.
7h15, elle finit d'imprimer mes BP et se met à courir vers le PIF. Le vol est annoncé clos sur les écrans (désolé, pas de photo, j'avais la tête ailleurs…).
Les personnes dans la file comprennent que je suis plus qu'en retard et me laissent toutes passer en 1er, mon bourreau ayant tourné les talons sans que je la vois au moment où j'enlevais mes chaussures ! Je suis donc laissé seul. Vraiment top cette dame.
HNL est tout en longueur, si ma porte est en bout de terminal, je suis clairement foutu. Avant de demander de l'aide à un agent airside, je regarde où se situe ma porte… elle est juste en face du PIF.
Le soulagement est grand, la tension retombe, je vais pouvoir prendre ce vol pour lequel j’étais venu jusqu'ici. Ouf…

J'ai quand même le temps de prendre une photo de ce B738 qui va me promener aujourd'hui. Il s'agit de N79279 qui va avoir 15 ans dans 3 jours et qui a démarré sa carrière chez Continental.

Finalement, le boarding a dû commencer bien tard et il reste pas mal de personnes à embarquer. J'ai donc le temps de m'asseoir, je passerai en dernier.

Voici le BP, chèrement acquis auprès de ma tortionnaire.

Les derniers PAX embarquent.

Je fermerai la marche dans ce jetbridge aveugle.

L'Esteban.

L'accueil ou plutôt le non-accueil par la PNC au téléphone sera parfaitement exécuté.
Voici la cabine depuis ma place.
En rang 1, ce sont les 2 pilotes qui assureront le pilotage depuis MAJ jusqu’à GUM, le 1er duo les remplacera à ces places à MAJ.
Comme l'ont déjà fait remarquer mes glorieux prédécesseurs, le rang 2 n'est pas ouvert à la réservation pour permettre aux pilotes de s’étendre sans gêner de potentiels clients. Ça tombe bien, ces potentiels clients ne me gêneront donc pas non plus.

Face à moi, l'IFE d'une taille…honorable en son temps. On remarque également le lecteur de CB sur la partie droite qui trahit l'âge de la cabine.

Au plafond, pas d’araignée mais ce PSU vintage.

Collée à l'accoudoir droit, la commande de l'IFE dont le maniement n'exige pas d’être saint-cyrien.

Sur l'accoudoir gauche, cette plaque de métal minablement vissée freine toute velléité d'assouvir un besoin naturel chez les fumeurs. En dessous, le bouton du recliner.

Le PAS est heureusement plutôt bon notamment pour ce 1er segment qui dure 5h.

Le pot de l’amitié est servi, ce sera jus d'orange pour moi.

Une serviette papier co-brandée par une célèbre marque de soda.
Pour certaines, horrifiées par les pédicures imparfaites, j'ai flouté le pied nu indécemment exposé par ma voisine.

A nos côtés, un B767-200ER Omni Air International (OY) compagnie effectuant des vols charter ou du wet-lease.

Celui-là nous pompe l'air en attendant de décoller.

Il reste 1 rang de J derrière puis la cabine Y.
Ici, le PNC qui s'occupera de la Y, d'un âge canonique.

Continuons l'inspection de mon environnement avec ici la tablette en 2 volets, plutôt large.

Dernière chose avant de décoller, une couverture sous blister sera déposée sur le siège à notre arrivée.

Avant de partir, une petite photo du terminal et du winglet.

Les consignes de sécurité sont alors diffusées sur l'IFE. La vidéo semble présenter tout cela sur un ton humoristique mais je ne me souviens plus si ça l’était vraiment.

Pendant le push-back, vue sur cet A321 AA.

Un MD11 Fedex à l'atterrissage.

Un B712 HA.

Un autre en piste.

La tour nous surveille au milieu des bois.

Nous voilà en pied de piste avec Honolulu en arrière-plan…

… et c'est parti.

Décollage avec HNL au fond.

Honolulu au pied des montagnes.


La marina et la plage de Waikiki.

Nous passons finalement le cratère du volcan à Diamond Head à l'est de la ville.

Nous ne verrons plus rien jusque Majuro, excepté la mer et les nuages.

C'est l'heure du rata, le torche-groin est de sortie, avec une belle étiquette United.

Pour les 2-3 retardataires qui n'auraient pas lu mes FR précédents, je n'ai pas faim le matin, je ferai donc l'impasse sur ce plateau. En voici cependant une photo volée à ma voisine : fruits frais, yogourt aux fruits, jus de pomme et assiette de je-ne-devine-pas-quoi, on dirait un steak haché (photo 2).


Pour ma part, un café américain me suffira.

Pendant que la séquence mastication est en cours dans la cabine, profitons-en pour faire le tour de la paperasse de bord.
A tout seigneur, la carte de sécurité.


Le vomito

Le magazine de bord mettant Denver à l'honneur.

La flotte de UA qui ne précise pas le nombre d'appareils par catégorie.

Un petit coup d’œil sur la géovision, nous approchons de la ligne de changement de date.

Ligne que nous passons quelques instants plus tard, nous venons de vieillir de 24h.

Tant qu'on est sur l'IFE, voici le casque à réduction de bruit fourni pour ce vol.

Regardons ce que nous propose le système d'entertainment : 6 options dont seule la 1ere pourrait m’intéresser.

8 films sont proposés, je regarderai avec plaisir le dernier de la 1ere liste.
Le système étant réinitialisé à chaque escale, il est par la suite impossible de regarder un film en entier, la durée effective des vols n’étant pas suffisante.


Quant aux langues disponibles, facile : les voilà.

La PNC passera régulièrement dans les rangs pour assouvir les envies des PAX tout en restant dans un cadre très professionnel bien sûr. Ici, ce qui fut un verre d'eau.

Nous arrivons maintenant à destination.

L'atoll de Majuro se découvre à nous.

Une très fine bande de sable émerge sur laquelle sont plantées ces maisons. Il ne faudrait pas que l’océan monte beaucoup pour que tout cela disparaisse.


Nous survolons la partie opposée de l'atoll pour nous aligner. Ici, il n'y a aucune habitation.



En finale.

…et on touche.

Court roulage jusqu’à l’aérogare, en passant devant ce Dornier 228 qui ne vole plus.

Nous sommes attendus. Vu les mouvements du cocotier, il est clair que le vent souffle fort.

Quelques personnes attendent l’arrivée de notre vol derrière l’aérogare.

L’échelle de coupée va nous rejoindre.

Nous pouvons donc descendre pour cette escale de 1h.

Un accueil chaleureux financé par Mobil.

La bête au repos.


L'architecture du terminal est simplissime : ici les arrivées …

avec son carrousel à bagages…

… là les départs.

Vue générale de la salle d'attente (à la fin de l'embarquement). On peut rester fumer dehors mais il faut entrer pour passer son BP au scanner avant de ré-embarquer.

Une petite échoppe vend des snacks qu'il est possible de manger dans ce coin restauration.

La salle est décorée de cette fresque d'adieu.

De l'autre côté, une dame vend des produits d'artisanat local qu'elle décroche ici en attendant de revenir pour le vol UA155 du lendemain.

Il est temps d'y aller, notre B738 est impatient de repartir.

majuro - kwajalein - ua154 part #2
Orientation de la piste.

Quand je vous disais qu'il y avait du vent.

1ere fois que je vois la certification ETOPS inscrite en clair de cette façon.

Le fuselage shot que je n'ai pu faire à HNL.

Le wingtip est toujours là.

De retour à mon siège, une boisson d'accueil est servie dans ce plastique bleuté.

Pendant ce temps-là, la passerelle PMR est retirée.

Le commandant himself nous délivre les consignes de sécurité.

Nous atteignons la piste et commençons sa remontée.

Avec le vent, la mer est un brin agitée.

Nous manœuvrons dans la raquette pour partir de la 7.

Passage en trombe devant les hangars et décollage.


Dernier regard sur Majuro.

Ma nouvelle voisine n'est pas venue sans provisions avec ce sac qu'elle va caler sous l'accoudoir du rang précédent.

Au cours de ce petit vol de moins d'1h, la soif me prend et cette bière locale me rafraîchira.

Nous voilà déjà en approche de KWA avec son système de détection radar.
Kwajalein est une base militaire US, il nous sera donc interdit de descendre.



Atterrissage.


Nous roulons pour venir vers l’aérogare.

Un hélicoptère de la Navy stationné sur le tarmac.

Bon ben au moins, on sait à qui s'adresser.

Une fois de plus, la passerelle est positionnée : 4-5 personnes descendront, 2 prendront leur place.

Les bagages sont traités : 10 bagages pour 4, la cadence n'est pas infernale.

L’aérogare, vraiment vétuste dans laquelle nous n'entrerons pas.

Un agent de piste semble visiblement vouloir garder l'anonymat.

Nous ne resterons que moins de 30mn à KWA, il est temps de poursuivre notre chemin.
kwajalein - pohnpei - ua154 part #3
En remontant la piste, on longe la côte où là aussi, la mer est agitée et le temps a tourné au gris.

Ce sera la 24 pour nous.

Demi-tour dans la raquette….

Accélération puissante et décollage.

KWA.

Survol de l'atoll.


Cette passe pour entrer dans le lagon n'a pas l'air très naturelle.

Une petite collation nous est servie, il est 13h30.

Après 1h30 de vol pendant lequel j'ai regardé un second film, Pohnpei apparaît dans les nuages.

Nous allons faire un petit tour en mer pour nous aligner sur cette piste de PNI..



PNI en vue !


Nous touchons en tout début de piste. A noter que les pistes de ces différents aéroports ont une longueur moyenne de 2.000m et se situent entre 2 et 3 m au-dessus du niveau de la mer.

Nous approchons de l’aérogare constituée de petits fares polynésiens.

La passerelle approche, ce sont 2 dames à la manœuvre.

Les naseaux de notre destrier du jour.

Le traditionnel panneau de bienvenue nous rappelle que Pohnpei est la capitale des États fédérés de Micronésie qui comprend 4 états : Yap, Chuuk, Pohnpei et Kosrae.
607 îles s’étendant sur une distance de 2.800 km donnent à cet état une zone économique exclusive de près de 3 millions de km2 pour une surface émergée de 700 km2.

Les arrivées, c'est par ici.


Un espace bar permet de se rafraîchir durant cette escale.

Une nursery est à disposition.

Cette jupe traditionnelle égaie les murs de cette salle d'attente.

Salle que voici dans son intégralité.

Il est l'heure de ré-embarquer, notre avion s'est suffisamment reposé.

La passerelle est repoussée, ce coup-ci, ces 2 hommes sont mis à contribution dans un strict respect de partage des taches.

pohnpei - chuuk - ua154 part #4
Avant le roulage, les consignes de sécurité sont à nouveau diffusées, on commence à les connaître par cœur !

Cette île a plus de relief que les précédentes et mérite très certainement une visite comme l'a fait Joël/FFlyer CDG.

Un moustique est garé près des hangars.

Nous poursuivons le roulage, atteignons la piste, effectuons un demi-tour en bout de piste et redécollons dans la foulée.



Nous faisons demi-tour pour reprendre notre direction vers Chuuk.


On repasse au-dessus de PNI dont on voit le port en arrière-plan à droite.

Puis nous survolons le massif corallien.


Une petite séance grignotage commence avec ces amandes et ce verre d'eau.


J'en profite pour parcourir vaguement le magazine de bord. Pour les lecteurs new-yorkais voici la liste des meilleurs médecins de la ville classés selon leur spécialité

Plus intéressant, le réseau de UA par région du monde.


Le Pacifique avec notre vol bien identifié.

Un article met en avant la qualité des sites de plongée de Chuuk notamment au-dessus des vestiges laissés par la seconde guerre mondiale.


Un total de 44 navires japonais ont été coulés à l'ancre à Chuuk de quoi effectivement se régaler en terme de plongée.

Même le Cdt Cousteau aurait recommandé ce site.

La précision de la géolocalisation est telle que nous ne savons pas ou nous sommes et ou est notre destination. Seul Guam est identifié…

Heureusement, le pilote sait ou nous allons et nous abordons maintenant les côtes de Chuuk.


Nous touchons et roulons rapidement jusqu'à l’aérogare.


Le même cérémonial se met en place : arrivée de la passerelle et sortie vers l’aérogare pour une escale d'une quarantaine de minutes.

Nous sommes bien sur les bienvenus même si ça n'est plus très lisible. Que fait Mobil.

Voici la salle d'attente des départs avec ces magnifiques sièges réservés aux fumeurs à l’extérieur.

La salle d'embarquement avec au fond un espace bar.

Un téléviseur branché sur une chaîne de sport anime les lieux.

Un pilote discute avec un PNC pendant que les bagages sont chargés.

Petite inspection de notre aéronef : le bec est OK…

La soufflante gauche : RAS.

Train : au top.

Fuselage : nickel. On remarque en arrière-plan un hôtel dont l’intérêt Avgeek est aussi limité que le trafic sur cet aéroport.

On retire la passerelle, il est temps de filer à Guam.

Je demande un verre d'eau avant de repartir pour cette dernière heure et demie de vol.

chuuk - Guam - ua154 part #5
Le protocole bien rodé reprend : nous roulons atteignons la piste, faisons demi-tour dans la raquette pour décoller de Chuuk.

Les bouts de terre vont défilés par le hublot, spectacle toujours aussi magnifique pour moi.


Autant j'ai laissé passer les distributions de snacks, autant maintenant j'ai faim et je ne laisserai pas passer cette collation.
Pas de quoi s'en relever la nuit mais quand on a faim …

Avant de me jeter sur ce festin, voici les couverts…siglés.


La serviette est conventionnellement trouillotée.

Condiments : moutarde et sel/poivre.


Commençons par cette entrée fraîche et légère.

Poursuivons avec ce sandwich jambon/fromage légèrement toasté. Les images ci-dessous de l'autopsie à vif du corps du délit pourraient choquer les plus sensibles.

Cela sera ni bon ni mauvais. Le pain est lourdingue mais le tout est bien roboratif et me permettra d'attendre pour dîner plus correctement à Guam.
Je prendrais un verre de vin pour pousser tout cela. Un vin de soif un peu capiteux plutôt buvable.

Nous finirons ces agapes avec ce chocolat au caramel salé.

Après ce repas pantagruélique, nous sommes maintenant en approche de GUM. Nous survolons cette ville en bord de mer.



La descente se poursuit et nous touchons. Freinage un peu dur (l'habitude des pistes courtes peut-être).



Quelques avions au sol avec cette compagnie cargo basée à Guam ici en 727-200F. Elle possède en plus 2 B757-200PCF (Wiki).

UA est bien représenté avec ce B737

et ces 2 autres représentants de la même famille.

C'est donc ici, en porte 15, que finit notre trip en mode butinage dans le Pacifique nord.

Le PNC qui aura été parfait sur ce vol nous saluera chaleureusement à la sortie de ce vol.
Nous débarquons et atteignons rapidement ces couloirs carrelés qui ne sont pas très glamours…

Tout cela est sombre et triste.
Derrière cette cloison à gauche, des couloirs identiques pour les flux inverses.

La bienvenue nous est souhaitée en Chamorro, langue parlée à Guam. Hafa Adai signifie Aloha.

Nous continuons le parcours pour récupérer nos bagages. Il m'a été impossible de les faire livrer directement à New-York. Étant donné le sketch avec l'agente UA à HNL, inutile de préciser que je n'ai pas insisté…

Le passage au duty-free est bien sur inclus dans le prix du billet.


Nous atteignons ce totem qui marque la sortie de l’aérogare.

C'est ici que je vous abandonne. Je récupérerai mon sac qu'il sera impossible de mettre en consigne (les desks KE sont fermés)., je vais devoir me le trimbaler.
Le passage de la PAF se fera sans aucun problème, l'agent n'a pas mis 1h à trouver mon ESTA…
Il est près de 19h, mon prochain vol est à 2h du mat. J'attrape un taxi et lui demande de me déposer à un restau au bord de la plage.
Il me dit qu'il en connaît un bon, avanti !
Je vous retrouve plus tard pour la suite de ce routing, merci de votre lecture.
Laurent
PS : je ne reporterai pas le vol red-eye suivant puisque des la fin de la phase de décollage, j'ai profité du full-flat pour dormir le plus possible.
Je glisse néanmoins en bonus quelques photos du salon qu'offre KE à GUM dans lequel je suis allé pour prendre une douche et me changer. Un taudis.
Merci pour ce FR. C'est vrai que cet "Island Hopper" est mythique, je comprends qu'il soit sur votre to-do list.
Je n'ai pas suivi le montage de ce routing (très intéressant), mais avez-vous payer cash ou bien avec des miles ?
L'enregistrement à HNL est un sketch et a du vous mettre dans tous les états !
Le salon de Guam est désolant, j'espère que vous n'y avez pas passez trop de temps !
Merci et à bientôt pour la suite
Bonjour et merci pour le commentaire,
J’ai utilisé des miles pour le CDG-SFO.
A la lecture des FR sur le site, j’ai mis cette destination en haut de ma liste.
L’enregistrement a été pénible surtout par le fait qu’elle n’écoutait pas ce que je lui disais et niais l’evidence... ça a fini par passer mais de justesse.
Le salon de GUM était vraiment à la limite en terme d’hygiene, je suis parti dès la fin de ma douche.
A bientôt !
Merci Laurent pour ce FR,
Petite balade au coeur du Pacifique avec des arrêts digne d'un bus ou le chauffeur ferait sa pause :-)
Petits moments inoubliables dans des structures ou quelques rares PAX(s) peuvent prétendre y être allé.
A bord par contre ça sent la naphtaline ou le vintage à souhait entre l'IFE à l'ancienne, et la cabine qui n'arrive plus à cacher son âge...mais en même temps quel charme !
Visiblement tu as un problème dans la durée du vol de ton FR.
Bonne après-midi à toi et à bientôt
Bonjour Benoît et merci pour ton commentaire,
C’est effectivement l’un des rares moyens pour ces îles d’être connectées au reste du monde, un vrai bus.
Ces petites aérogares sont très sympa, très simples : on rentre, on sort sans problème, on se promène sur la piste...
L’avion est plutôt ancien mais comme il n’y a aucune concurrence, UA n’est pas près d’investir ! Le siège est ancien mais reste confortable.
La durée est la bonne (14h30), il y a un problème sur la date d’arrivée qui devrait être le 8 et non le 7 mais il y a un petit problème technique.
Bonne soirée et à bientôt !
J’adore ce FR, passionnant de bout en bout. On voyage !
Le Cathering n’est pas tout pour la durée de vol, et le salon...quelle horreur. Autant le fermer la douche avant d’éviter toute contagion de tétanos. A bientôt.
Bonjour et merci du commentaire,
Le catering était plutôt moyen, j’ai laissé passer des distributions de snacks mais même la collation finale est médiocre. J’ai bien mangé au restau en arrivant à Guam !
La douche comme le salon n’est pas entretenue et l’hygiène y était limite... Peut-être pas de risque de tétanos mais ça donne pas envie de s’y doucher !
A bientôt !
"La vidéo semble présenter tout cela sur un ton humoristique"... "Thanks Oscar... De nada !"
Bonjour et merci du commentaire,
Je viens de la regarder sur YouTube, je comprends mieux votre phrase !
A bientôt !
Merci pour ce FR atypique dans le Pacifique Nord.
Dommage que l'agent d'escale de HNL n'était pas au top, ce qui dégrade considérablement la note.
Ce 738 UA qui en effet n'est plus tout jeune méritait tout de même un petit retrofit mais ces avions volant sur ce type de secteur ne doit pas être la grande priorité de UA. Au passage le réseau de United est vraiment impressionnant !
Ces petits aéroports ont tout leur charme en revanche l'aéroport de Guam est très moyen et le lounge est juste immonde !
A bientôt !
Bonjour et merci pour le commentaire,
Cette agence a failli me faire rater ce vol et le reste du routing parce qu’elle ne savait pas comment faire. Elle m’a un peu énervé à la fin.
Effectivement, ce B738 est ancien et vu la concurrence, UA n’est pas près d’investir. Leur réseau est énorme, ils ont pas loin de 800 appareils actifs.
Ces petits aéroports sont agréables , peu de services mais on n’en attend pas plus.
GUM mérite un bon refresh, le salon devrait être détruit et reconstruit tellement il est pourri !
A bientôt !
J'ai terminé de lire votre FR complètement fatigué et vidé. Cinq décollages et atterrissages, j'ai beau aimer l'avion, ça fait tout de même beaucoup pour un seul voyage.
Personnel au sol totalement incompétent, catering à bord très moyen, heureusement que l'originalité de ce périple ainsi que les paysages bleus en valent largement la peine
Merci pour ce FR
Bonjour et merci pour le commentaire,
Le 1er vol est long mais les suivants sont courts (1h-1h30) entrecoupés de pauses de 30 à 60mn dans de petits aérogares sympa. On ne se rend pas compte de la durée notamment grâce aux paysages survolés avec toutes sortes de teintes vertes et bleues.
Le catering était vraiment moyen à part peut-être le petit-dej que je n’ai pas pris. Le reste était vraiment très faible.
A bientôt !
Merci Laurent pour ce FR.
Un vol mythique que je rêve de faire un jour.
Quelle histoire à l'enregistrement , avec une employé qui fait frôler la crise cardiaque.
Pour certaines, horrifiées par les pédicures imparfaites => double merci surtout aujourd'hui ou ma sensibilité à été mise à rude épreuve à ce sujet.
Un agent de piste semble visiblement vouloir garder l'anonymat. J'ai bien ri en voyant la photo.
Je comprends la frustration de ne pas faire de stop.
J'ai déjà fait des endroits pas toujours net dans mes voyages mais pas un salon et celui de Guam est effectivement à raser.
A bientôt
Bonjour Valérie et merci de ton commentaire,
Plus d'1h pour me sortir un BP, elle n’était pas très efficace cette dame... J’évite de m’énerver dans ces cas-là mais elle a quand même réussi à me faire bouillir intérieurement. J’étais à 2 doigts de récupérer mon passeport et d'aller voir son collègue.
Je n'ai pas l'habitude d'observer les pieds de mes co-PAX mais je comprends que tu as eu une expérience malheureuse à ce sujet. Dans un prochain FR ?
Le gars à la cagoule m'a bien fait rire également quand je l'ai vu !
J'aurais bien aimé m'y arrêter mais je n'avais pas beaucoup de temps pour ce routing : une autre fois, il y a encore pas mal de choses à découvrir dans cette région.
Ce salon était vraiment moisi et je n'étais pas décidé à me doucher dans cette porcherie mais je me voyais encore moins voler vers ICN en mode crado.
A bientôt !
Merci pour ce FR ?
Ah United a aussi ses « monique » ?
L’hélicoptère n’est pas de la Navy mais de l’US Army (c’est marqué dessus).
A priori c’est un UH-72 Lakota heu pardon un Airbus EC-145 fabriqué à Colombus (Mississipi) et pas à Marignane (une victime du Buy americana ct ! )…
L’agent de piste est tellement anonyme que son nom est brodé sur son couvre chef conformément aux règlements militaires US ?
J’aime beaucoup le salon de Guam qui fait purgatoire ?
Bonjour et merci pour votre commentaire,
Une Monique au sol peut-être beaucoup plus dangereuse qu'en vol : j'ai frôlé la correctionnelle avec cette énergumène.
Bien vu pour l'US Army. Pour ma part, quand je vois un oiseau comme ça en bord de mer, c'est la Navale. Extrapolation trop rapide...
Merci pour l'identification de la bête : si ce n'est lui, c'est son frère jumeau.
J'ai zoomé sur son couvre-chef et c'est le nom de la base qui y est inscrit, Kwajalein. Cet homme est donc toujours inconnu au bataillon !
Purgatoire qui se rapproche de l'enfer, j'ai vraiment hésité à plusieurs reprises à m'y doucher au fur et à mesure que je découvrais le taudis. Pas très sérieux pour des compagnies comme JAL ou Korean.
A bientôt !
Merci pour le partage Laurent,
Cette agente au sol est désespérante de médiocrité, c'est aussi aux US que j'ai eu le droit à mes plus mauvais souvenirs, mais avec Delta. J'ai l'impression que ces agents ont le droit de tout faire (ou de ne pas faire !).
A bord c'est du UA classique, ni très bon, ni même mauvais.
A bientôt !
Bonjour Stephan et merci de ton commentaire,
Qu'elle ne sache pas ne me dérange pas mais nier l’évidence et ne pas demander de l'aide à son collègue qui ne faisait pas grand-chose est inacceptable. DL, UA même combat, je pense qu'on en trouve partout ailleurs, hélas.
Je pense qu'ils chargent 1 repas correct (ici c’était le petit-déj) et après, c'est snacking. En relisant les FR des 2 précurseurs, je trouve néanmoins qu'ils ont été plus heureux pour le catering sur le vol inverse UA155.
La cabine Continental est très ancienne, confortable mais l'IFE timbre-poste est bien pourri. Pas beaucoup d'efforts sur une ligne en monopole...
A bientôt !
Merci pour ce FR.
Encore un FR du bout du monde/ de tour du monde.
Il y a quelqu'un qui vous en veut et qui a payé l'agente de UA à HNL pour vous empêcher de prendre le vol on dirait :-D
Le vol est un peu long quand même avec toutes ces escales mais les paysages/atolls survolés sont très beaux.
Le papy PNC est une "espèce" qu'on ne rencontre que dans les compagnies US avec sa variante la mamie PNC :)
Le catering est léger sur la totalité du vol.
A bientôt.
Bonjour et merci de votre commentaire,
Je ne savais pas que j'avais des ennemis aussi puissants ! Je fais confiance à tous les e-trucs mais dorénavant, je garderai une copie papier des ESTA avec moi !
Il y a la durée réelle et la durée perçue : à part le 1er segment de 5h, les autres sont courts et l'alternance avec les pauses sur ces confettis fait qu'en fin de compte, on ne voit pas passer ces 14h de trajet. Les paysages magnifiques au hublot (j'ai limité les photos sur un FR déjà bien long) participent également de ce sentiment.
Le PNC était vraiment très âgé et de le voir travailler encore est un peu choquant pour nous, moins pour un américain ou un asiatique...
Le catering était très moyen : à part le petit-déj qui pouvait ressembler à quelque chose, le reste n’était que du snacking. Je me suis rattrapé à Guam !
A bientôt !
Merci pour ce fr.
Un vol perdu au milieu du Pacifique, avec des petites escales, j'adore.
Une cabine ancienne mais qui a son charme, bon l'IFE est fatigué aussi.
Un catering très moyen qui ne donne pas envie.
A bientôt.
Bonjour Lucas et merci de ton commentaire,
J'aime bien ces petits aéroports et quand j'ai vu les FR de mes 2 précurseurs, j'ai commencé à travailler sur ce routing. Je n'ai pas été déçu.
La cabine a l'avantage de proposer des sièges confortables mais l'IFE est riquiqui et sa résolution est limitée. C'est gênant sur le 1er tronçon de vol, beaucoup moins après (on regarde dehors).
A part le petit déj, le reste est famélique, du snacking pur jus, très bof. En général, je fais l'impasse sur ces cochonneries, mais là, j'avais faim, j'ai craqué !
A bientôt !
Merci pour ce FR.
Et voici mon 9000e commentaire. ^^
Un enregistrement kafkaïen s’il en est !
De toute façon vous n’avez pas perdu grand chose avec le UA Club de HNL.
Vol en J mais qui a mon avis offre moins de dépaysement et d’anecdotes que de le faire en Y à côté du mécanicien de bord.
De même côté catering : ce n’est pas vraiment folichon.
Il reste néanmoins l’experience de traverser une bonne partie du pacifique en 737 et de fouler le sol de ces petits états.
La section bonus est unique avec cette douche qui devra récolter un FR award ! ^^
A bientôt.
Bonjour Clément et merci pour le commentaire,
Enregistrement kafkaïen et ubuesque tant ses arguments étaient ridicules.
Il est vrai que j'ai zappé ce salon par la force des choses mais que d’après votre FR et celui de Joël, je n'ai pas raté l'extase. Il aurait quand même été plus agréable que passer mon temps devant cette personne.
Il est vrai que votre voyage avec le mécano était plus sympa avec plus d'interactions. De mon côtée, j'ai un peu échangé avec une de mes voisines, la 1ere a dormi tout le vol entre HNL et MAJ et est descendue à MAJ.
Le catering est nul dans ce sens, j'ai l'impression qu'il est meilleur sur le UA155 d’après vos FR. J'aurais apprécié un vrai déjeuner plutôt que cette collation sandwich en après-midi. Je me suis régalé à Guam mais pas au même niveau de raffinement que lors de votre expérience à Macao : la salle est chinoise dans le style mais le tout reste loin du bling-bling habituel.
Les plats sont très esthétiques et semblent délicieux. Je ne passe plus à Hong Kong mais je note cependant les adresses au cas où...
C'est vrai qu’au-delà du petit point noir du catering, l’expérience de ces vols est magnifique : me reste à retourner sur quelques-unes d'entre elles pour mieux les découvrir.
Le "salon" (la bauge ?) de GUM est lamentable, je me demande comment JL et KE peuvent envoyer leurs PAX dans cet endroit...
A bientôt !
Merci pour ce FR !
Décidément, une Monique qui ne voulait pas que tu embarques !
Un long vol mais avec des paysages fantastiques, un vol que je souhaite faire lors d'un tour du monde !!
Après le report de Numéro 2 en Y, la version J me semble bien plus confortable.
Je pensais, d'après les reports et d'autres sites, que les photos de la base US étaient interdites ^^
A bientôt !
Bonjour Jules et merci de ton commentaire,
Je pense qu'il y a un truc qu'elle n'arrivait pas a faire et que plutot que de demander de l'aide, elle essayait de contourner son probleme et de me balancer sur un autre vol...
Ce vol est long, effectué dans un mono-couloir, ancien, le catering n'y est pas terrible : exposé comme ça, ça fait fuir tout le monde ! Mais la beauté des paysages entre MAJ et GUM, toutes ces petites aérogares simplissimes en font un bon moment Avgeek.
La version J est plus confortable mais Numero_2 a eu la chance de voyager avec le mecano ce qui lui a donnee des moments d'interaction plutot sympa. Le 1er vol de 5h+ merite la J, apres c'est une succession de petits vols de 1h-1h30 qui ne le necessite pas surtout quand on voit le catering...
Je le pensais aussi ^^ Un moment d’égarement de ma part sûrement dû à la fatigue...
A bientôt !
Bonjour !
Merci pour le FR ! Assez stressant comme démarrage... tout le monde n'est pas fait pour le contact client... mais pourquoi travailler la ?
Le services à bord a l'air assez pauvre pour tous ce vol fin ces vols :)
Les paysages sont sublimes... ça me tenterait bien!
Le lounge est juste nul... la honte de faire payer cela. Ca devrait être l'inverse!
A bientôt!
Bonjour Adrien et merci de votre commentaire,
Assez stressant sur la fin quand on voit que l'heure tourne et qu'elle reste enfermée dans son idée de me faire changer de vol pour je ne sais qu'elle raison.
Je pense qu'elle n'a pas conscience de mal faire son job, au contraire, c'est pour ça qu'elle reste là. La prise de conscience doit venir de son superviseur.
A part le petit dej en tout début de vol, le reste c'est du snacking, donc oui, c'est un peu pauvre mais la beauté des paysages survolés et l’expérience dans ces petites aérogares est très sympa, ça vaut largement le déplacement !
Le "salon" est effectivement pitoyable, je me demande si JL ou KE visitent de temps en temps cet endroit... Le problème c'est qu'il n'ont pas beaucoup de choix, il n'y a qu'un salon UA à part celui-ci. GUM est une destination touristique, pas sur qu'il y ait un grand nombre de PAX à passer dans ce salon. Quand je l'ai visité, j’étais seul en plus des 2 personnes qui payaient pour y entrer.
A bientôt !
Ça peut paraitre longtemps en 737 mais les nombreuses escales, si peu connue, font rêver et rendent ce vol très intéressant.
Pas d’ESTA tout en étant aux Etats Unis? Puis te mettre sur le vol direct ne change absolument rien…. Elle était peut être pas bien réveillée.
Une cabine un peu plus récente ne ferait pas de mal.
L’intêret du vol est clairement ses escales, sinon le catering, la cabine, la compagnie ou l’équipage n’ont rien de spécial.
Merci pour ce Fr
Bonjour Moritz et merci de ton commentaire,
Honnêtement, je ne sais toujours pas ce qui s'est réellement passé à l'enregistrement mais son comportement a fini par m’énerver. Heureusement, ça c'est bien terminé.
Tu as raison, l’intérêt de ce vol réside dans les escales et les paysages survolés. Un peu frustrant de ne pas avoir quelques jours supplémentaires pour visiter 1 ou 2 de ces îles.
La cabine est bien ancienne mais le siège reste confortable. L'IFE est lui aussi antédiluvien, même la géolocalisation est inutilisable.
Le catering n'est constitué que de snacking à part le petit dej. C'est un vol de 14h30 en théorie mais en pratique, personne ne va de HNL à GUM par ce vol, les directs sont beaucoup moins chers car il y a de la concurrence.
UA propose un petit dej "correct" sur le 1er segment puis considère la suite comme un bus hop-on hop-off ou les PAX font 1 ou 2 segments et descendent.
Par contre, les PNC ont été très sympas et prévenants malgré la durée du vol.
A bientôt !
Merci Laurent pour ce FR
Routing qui avait déjà reporté par Numero_2 et FFlyerCDG
Un beau périple en vérité
Le service à bord est quelconque et l'avion dépassé, reste un itinéraire atypique et le survol de la grande bleue tout au long du voyage, ainsi que les petits aéroports visités.
A bientôt.
Bonjour Hervé et merci de ton commentaire,
Tu as parfaitement résumé ce vol.
Survol de paysages magnifiques à bord d'un avion ancien mais au siège encore confortable et un catering plutôt limité.
En plus, une série de 5 décollages/atterrissages sur des bouts de cailloux perdus dans l’océan : j'aime !
A bientôt !