Avis du vol entre Lyon et Dubai en classe Economique avec Emirates

Bonjour à tous, 

Une nouvelle série de vols qui vous emmènera à … Dubai pour changer.  

La question ne se pose pas, je réserverai cet aller-retour sur Emirates.
J'ai toutefois regardé pour prendre British Airways et son A350 qui est mis en place entre Heathrow et Dubai depuis le 2 septembre et même constat que la fois précédente, vol plein en business et premium au retour et tarifs délirants en classe économique. 

Comme je le soulignais dans un précédent Flight Report, Lyon a la chance d'avoir des avions récents depuis plusieurs mois et j'en suis la première ravie. Les vieux sont désormais de très rares exceptions.

Cela me semble maintenant acquis depuis plusieurs mois, espérons que cela dure. 

Si je n'avais pas été trop chanceuse lors de mon retour le mois dernier, je le serai beaucoup plus cette fois-ci.
 

J'étais donc au taquet sur Flight Radar dès le matin de mon vol pour voir l'immatriculation de l'avion qui quitte Dubai pour Lyon à savoir le vol EK081.
 
C'est donc A6-ENE âgé de 6 ans qui m'emmènera à Dubai ce soir-là et cela sera encore mieux au retour.

Les B777-300 d'Emirates n'étant pas retrofités, l'immatriculation, chronologique, donne une indication quant à la cabine. 
J'ai ma petite liste avec les B77W à éviter en classe économique: la série des A6-EBx, A6-ECx et les deux premiers tiers des A6-EGx, les A6-ENx onwards sont parfaits (A6-EDx et A6-EEx étant réservés aux A380).
En classe affaires, le changement n'est pas flagrand puisqu'il faut attendre A6-EPV (décembre 2016) pour la nouvelle business.
Quant à la nouvelle first, game changer, c'est à partir de A6-EQH (novembre 2017).

AEROPORT DE LYON

Après un check-in efficace, je me dirige directement vers la porte d'embarquement.

Je n'avais pas prévu de vous écrire un Flight Report pour ce vol mais compte tenu de la cabine de ce soir, je le devais m'étant assez plainte des anciennes sur cette ligne.

En attendant l'embarquement, je patiente sagement sur mon téléphone comme tout le monde.

Vol EK82 : Lyon - Dubai

J'avais eu la même cabine sur ce même vol le mois précédent mais n'avais pas écrit de Flight Report.

Les menus sont distribués, il s'agit du nouveau design.
Cela ne me concernera pas puisque j'ai commandé un menu spécial.
  

Nous partirons à l'heure.
 

L'écran est vraiment réactif avec une belle définition, c'est juste parfait.
 

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J'explore le derniers films sortis sur Emirates en attendant le service.

Et comme d'habitude, je jetterai mon dévolu sur le dernier album de Dream Theater qui est devenu mon nouveau rituel sur Emirates.

Le service débutera par les menus spéciaux.

Vous commencez à connaître mes habitudes sur ce vol, j'opte quasi systématiquement pour le menu spécial asiatique végétarien.

L'entrée qui était très bonne.
 

Voilà pourquoi je prends toujours ce menu spécial dans ce sens-là : le butter paneer que j'adore.

Et le carrot Kheer que j'apprécie beaucoup également.

Souvent le problème avec les menus spéciaux, c'est que les boissons sont servies plus tard à savoir en même temps que le service normal.
Il y a un petit décalage à ce niveau-là mais rien de bien méchant car il y a toujours une capsule d'eau servie avec le plateau.

Je finirai donc mon repas avec un Gin Tonic, un (quasi) sans faute.
  

La télécommande est elle aussi tactile et très réactive.
 

Entre l'IFE qui est très bien fourni aussi bien en musique qu'en films et internet à bord, je n'aurai aucun mal à m'occuper jusqu'à une heure du matin où je finirai par m'endormir.
 

Et là, à 2h28 du matin soit 1h30 avant d'atterrir, la cabine s'allume partiellement et un service de boissons/snacks (kitkat ou popcorn salé) est proposé. Me voilà donc réveillée.

Même si le réveil est un peu violent à cette heure, je pense néanmoins qu'il faut garder une seconde "prestation" sur ce vol.
Au lieu de passer avec le trolley au risque de réveiller certains passagers, il serait peut être plus judicieux de préciser dans le menu que des snacks sont à disposition dans le galley et peut être également proposer autre chose que des kitkat/popcorn comme par exemple, un croissant/madeleine ou tout simplement avoir la même chose que le vol équivalent partant de CDG…
Une autre solution serait de proposer un petit sac avec un petit déjeuner à l'intérieur comme peuvent faire certaines compagnies. 
 

Ce vol est déjà difficile en terme de sommeil alors ce dernier devrait être préservé au maximum.
Je rappelle que le temps de vol de ce red-eye est d'un peu moins de 6h (avec un départ vers 22h l'été et 21h l'hiver).

Je suis toutefois assez compliquée sur ce point-là faisant partie de ceux qui ont le sommeil léger et qui dorment dans l'avion avec un masque sur les yeux + boules quies + casque à réduction de bruit. 

Je vous remets les paroles du spot publicitaire sur Dubai diffusé à bord avant l'atterrissage pour que, comme moi, vous finissiez par le connaitre par cœur.

I felt it before I heard it.

The heartbeat of a place I knew I belonged.

Where history is lived as much as it's made, and forward is the only way the wind blows.

A place where the mind awakens as the body unwinds.

Where all mankind can not only live, but thrive.

I am the flutter in your chest, the chill down your spine.

The voice in your head answering every whispered 'what if?' with a roaring 'why not?'

I am the spirit of possible …

The spirit of Dubai

L'image qui fait (me) rêver …

L'arrivée à l'aéroport de Dubai se précise.

Avant d’atterrir, le numéro du carrousel est affiché sur l'IFE.
 

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AEROPORT DE DUBAI

Ce vol est peut être dur en terme de sommeil mais ce que j'apprécie sur celui-ci c'est de pouvoir admirer le lever du soleil.

Sans perdre de temps, nous rejoindrons directement le terminal.
 

Je n'attendrai quasiment pas ma valise puisqu'elle est arrivée dans les premières, parfait.

Merci d'avoir lu ce Flight Report et à bientôt pour le retour de jour beaucoup plus sympathique.