Bonjour,
Pas franchement en avance pour publier ce premier FR des vacances d'été. Cette année un simple aller-retour en Europe (je cherche toujours du travail), destination l'Ecosse, sa fraîcheur, ses vallées, ses lacs, ses nuages, son whisky - que j'ai vraiment découvert à cette occasion, ses fish-&-chips, ses moutons…
Le plus simple pour rallier Édimbourg et après consultation, c'est de choisir Easyjet.
Avant cette année, je n'avais jamais emprunté cette compagnie et voilà qu'en 2019 je la fréquente.
Départ de Roissy le 26 juillet, le lendemain de la maxi canicule avec le record historique de 42°C à Paris. Trop chaud pour moi, vivement l'arrivée à Édimbourg que je revive.
En attendant direction Charles de Gaulle 2 D, rejoint en 42 min depuis Paris Ouest en milieu d'après-midi

J'avais préalablement imprimé les cartes d'embarquement, également disponible via l'application, donc on passe directement à la dépose bagages. Oui, pour les vacances, on a des valises. Un peu d'attente. Puis direction le PIF tout à côté, mais là pas d'attente, passé très rapidement. En revanche, là où nous avons attendu c'est à l'immigration pré-Brexit.
Pas de photos de ce parcours, trop de monde à retoucher sur les photos :).
Ensuite on patiente en salle d'embarquement. Il s'est passé une heure entre notre arrivée à l'aéroport et l'attente dans la file d'attente pour embarquer.


Initialement la porte affichée était la 69 mais ensuite, changement, il s'agit de la 63. Il a fallut descendre, donc ce sera par bus. Ça me va bien, car qui dit bus, dit promenade sur le tarmac et photos…
On a attendu pour prendre le second bus, pas d'attente.
Et voici notre A319 immatriculé G-EZAN

Pas d'agents "no photo", il faut beau


On va rejoindre notre rang 13. Oui, il y a le chiffre 13 dans cet avion. Places choisies lors de la réservation.
Ce n'est pas très large, mais un hublot trois quart à disposition c'est une bonne nouvelle. Je ne le savais pas lorsque j'ai choisi ce siège lors de la réservation.
Ah mais l'assise de mon siège a été remplacée, elle est différente des autres.

L'embarquement se poursuit. Publicité sur l'appui tête.

Pour moi ca va, pas besoin de mettre ma main entre mes genoux et le filet à lecture pour que vous vous en rendiez compte. Mais l'aumonière bien remplie en littérature prend finalement pas mal de place.

Vue générale de la littérature, et il y en a à lire

Vue extérieure depuis l'un des mes 2 hublots sur un frère estampillé Venizia


Plan rapproché

De là où je suis assis, je peux voir l'embarquement des valises, dont les nôtres sur ce chariot. Bien sûr j'ai regardé comment le personnel traitait ma valise.

Notre commandant de bord est bavard. Les messages de sécurité sont en anglais avec démonstration à l'ancienne. Pour la version française, un message audio est diffusé, mais bien après que tout le matériel ait été rangé par les PNC ! Donc si quelqu'un prenait pour la première fois l'avion et ne parlant pas anglais elle a peut-être du trouver cela bizarre.
Allez, maintenant en route pour les vacances. Les nordiques sont dans la place

Un petit croate est également là, vers une destination bien plus ensoleillée que l'Ecosse pour des vacances d'été, j'en conviens

Roissy côté Skyteam avec Air France, Joon, Alitalia et KLM

Ici aussi avec du Joon, de l'Air France et Aéromexico

Un des avions Air France aux couleurs de la candidature aux J.O. Paris 24 s'en va


On est second au décollage, dixit le commandant. On a 45 minutes de retard, dû à l'embarquement tardif, puis aux conditions de circulation dans l'espace européen en ce jour de grands départs des vacances d'été.

C'est parti pour nous. Ciel nuageux = pas de paysage à regarder. Le ciel se couvre


L'Est parisien sous un ciel menaçant. Ce n'est pas parce qu'il fait chaud qu'il fait toujours beau !


Après la traversée de la couche nuageuse, enfin on retrouve le soleil. Mais les nuages seront présents sur le reste du parcours, je ne verrais pas Londres. Circulez, y'a rien à voir

Ce n'est qu'à la descente que je reprends les photos lorsque j'entraperçois la terre entre les nuages anglais

C'est vert, c'est vallonné, c'est nuageux mais ce n'est pas la Bretagne, c'est la GRANDE Bretagne

Un petit virage

Alignement, vue sur la Firth of Forth


Edimbourg se rapproche, de l'autre côté de l'appareil


Le vieux pont métallique


On y est presque

Atterrissage vif à 18h42, heures locales après 1 h 22 de vol.

Sortie rapide

La version caractéristique pour l'entrainement des pompiers à Edimbourg

Au fond l'aéroport

Les locaux, Easyjet est bien présent et aussi un Flybe

Vue de la cabine pendant le roulage à l'arrivée

On est presque arrivé. On patiente pendant le repoussage d'un avion car les places semblent chères

Un Ryanair vient d'arriver après nous

Descente par l'escalier sur le tarmac, l'occasion de renouveler les photos


Une petite dernière après avoir foulé le sol anglais. Non je ne me suis pas baissé pour le baiser comme faisait le Pape Jean-Paul II

Nous sommes bien arrivés à destination avec une météo de circonstance. C'est pas folichon comme aménagement.

A l'intérieur la décoration façon hangar est aussi de rigueur. Entre les 2, contrôle immigration avec un passage par une porte automatique gràce à mon passeport français biométrique, ce fut rapide. Sinon il fallait faire la queue mais ça allait assez vite et c'était bien géré, avec une agent efficace qui dirigeait prestement les arrivants aux guichets (pas de photo évidemment).
En revanche longue attente pour les bagages.

A l'extérieur après avoir récupéré nos valises. Il s'est passé 40 minutes depuis la sortie de l'avion jusqu'à la sortie de l'aéroport


Ensuite la version économique, le bus 100, pour rejoindre la gare centrale près de laquelle se trouve notre hôtel. Il faisait bon par rapport à Paris

Résumé de notre vol

Et une petite vidéo du décollage et de l'atterrissage pour finir.
Merci de m'avoir lu.
Merci pour le partage !