#57 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
113 avis
Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour la deuxième étape de ce routing à destination de l'Afrique du Sud. L'aller est l'occasion de tester la compagnie Kenya Airways, membre de Skyteam, avec une escale à Nairobi et un vol un peu spécial, puisque ce tronçon NBO-CPT (presque 6h30 programmées point-à-point) est effectué… en Embraer 190 !
En fait, le vol fait, les jours où il est programmé en E190, une escale technique à Livingstone, au sud de la Zambie et quasiment à mi-chemin entre Nairobi et Cape Town, ville surtout connue comme étant l'un des accès aux fameuses chutes Victoria. Les autres jours, le vol est opéré en 737-800 et direct jusque Cape Town.
Si le vol "avec étape" a déjà été reporté quelques fois dans le sens CPT-NBO, c'est la première fois qu'il est reporté dans le sens NBO-CPT ! C'est donc une quasi-exclusivité que vous vous apprêtez à lire… ;o)
Petit rappel du plan de vol initialement programmé (teaser pour le prochain FR…) :
Je vous avais laissé au débarquement de mon vol AF depuis CDG, vol aux horaires qui piquent un peu (arrivée à 5h50 heure locale, soit 3h50 heure de Paris !) et à bord duquel le service trèèèès lent n'a pas permis un repos efficient.
Pour ne rien arranger, un problème technique a fait que seule ma carte d'embarquement CDG-NBO avait pu être éditée à Paris : je vais donc devoir trouver un comptoir KQ pour tenter de récupérer ma carte pour le vol NBO-CPT…
Je suis donc le circuit de correspondances et tombe sur des comptoirs KQ où une agente me prend en charge quasiment immédiatement (il y a en plus des comptoirs SkyPriority si nécessaire).
Je lui explique mon problème, elle regarde sur son écran et me confirme que je n'ai pas payé les sièges Plus que j'ai réservé ce qui bloquait l'édition des cartes d'embarquement. Pendant qu'elle dit ça, une carte d'embarquement sort quand même de son imprimante.
Bon, soit, je lui demande si d'autres sièges hublot sont disponibles, elle me dit qu'elle va regarder mais avant cela récupère la carte sortie de son imprimante comme pour la déchirer… et là, ça semble faire déclic, elle constate qu'il est indiqué que je suis FB Platinum : j'ai donc accès à ces sièges gratuitement. Deux coups pianotés sur son clavier et elle me tend ma carte avec le siège que j'avais donc pré-sélectionné.
Tout est bien qui finit bien, mais bon, ça pourrait être un peu plus fluide, et ses défauts de communication entre les systèmes AF et KQ (d'autant plus qu'ils partagent le même programme de fidélité) font tache pour l'alliance Skyteam…
Aucun contrôle du passeport n'est nécessaire pour ce transit international, mais je dois tout de même repasser un PIF en redescendant d'un étage. Et là, catastrophe : une file immense est formée, et ça semble aller assez lentement malgré les nombreuses files ouvertes.
Il y a bien une file Skypriority tout à gauche, mais tout le monde se croit plus malin que les autres en tentant de doubler les autres (c'est bien connu, quelqu'un qui fait la queue ne peut pas être "Skypriority", donc il faut forcément le doubler). A force de me faire doubler, et au vu de ma durée de correspondance pas non plus si confortable que ça (environ 1h30), je finis par jouer des coudes moi aussi en mode DYKWIA.
Vient l'arrivée au PIF : en bon européen, je transporte mes liquides dans un petit sachet plastique au format réglementaire comme il faut. Sauf que, si vous vous souvenez de mon FR précédent, vous savez que les sacs plastique sont interdits sur le territoire kenyan.
Les affiches au niveau du PIF précisent bien qu'il est demandé de sortir les liquides de son sac. Vient donc le dilemme : enlever discrètement les liquides de mon sac plastique, sans le sortir de ma valise, pour les mettre à part dans la bannette ? Impossible, le flux est trop tendu pour que ça passe. Sortir ostensiblement mon sachet plastique et risquer une amende ? Belle entrée en matière sur le territoire ! Tenter de tout laisser dans le sac, quitte à ce qu'il parte en fouille et risquer d'être envoyé en prison lorsque l'agent en fouille se rendra compte que j'ai tenté d'introduire du plastique sur le territoire ? Arrrgh !
Dans le doute, et après avoir constaté que strictement personne ne semblait se soucier de sortir quoi que ce soit de son bagage, je me décide à tout laisser dans ma valise et à ne faire qu'enlever mes chaussures comme tout le monde le fait. Résultat : PIF passé en un éclair et sans contrôle complémentaire, the african way! :o)
Je me retrouve ensuite à la sortie du PIF dans ce mini duty-free hors de prix mais en USD (je céderai quand même à la tentation du magnet à 10 USD ne sachant pas si j'aurai l'occasion de remettre le pied au Kenya de si tôt !).
Je tourne ensuite en rond dans les deux jetées à la recherche du salon KQ, avant de me rendre compte qu'il suffisait sur la photo précédente de tourner la tête vers la droite pour apercevoir l'ascenseur menant à l'étage, où le salon est situé.
Je pénètre alors dans un ascenseur qui respire le bon entretien et la joie de fonctionner de manière nominale.
Direction ensuite le "Simba Lounge", non sans être passé devant quelques employées d'un centre de spa qui m'aguichent pour savoir si je souhaite un "massage". C'est suffisamment glauque pour que je sois très loin d'être intéressé !
Le salon n'est pas très grand (vous voyez quasiment l'intégralité du salon depuis la photo précédente malgré le mauvais cadrage sur l'inscription à l'entrée du salon). Je m'installe à l'entrée sur des banquettes correctes. La modeste affluence fait qu'on n'a pas l'impression d'être dans le passage.
Je profiterai des quelques minutes à passer dans ce salon pour me restaurer un peu (n'ayant pas eu l'occasion de prendre le petit-déjeuner sur le vol AF précédent vu que je dormais au moment du service). Le choix est très restreint mais il y a quand même de quoi se remplir l'estomac. A noter que le personnel fait des efforts pour satisfaire les passagers (une passagère âgée et ayant vraisemblablement quelques difficultés à se déplacer se verra très rapidement et proactivement proposé de l'aide pour se constituer une assiette-repas, amenée directement à sa place).
Le salon est équipé d'un Wifi gratuit accessible, de mémoire, sans code.
Les toilettes sont propres, et une douche est même disponible bien que je n'ai pas cherché à l'utiliser ce matin.
J'aurais passé au total à peine une vingtaine de minutes dans ce salon, mais c'était suffisant. Il est désormais l'heure de rejoindre ma porte d'embarquement direction Cape Town (via Livingstone).
Il n'y a pas vraiment de respect des priorités mais le nombre limité de passagers fait que ce n'est pas un problème.
En sortant, au vu de la configuration, je pense qu'on était censé attendre un bus. En fait, que nenni, une employée nous fait signe de longer le terminal jusqu'à ce que nous arrivions à notre avion (on va essayer de le reconnaître).
La supervision sur le chemin est plus que limitée et il serait aisé de partir faire n'importe quoi sur le tarmac.
Mais heureusement, j'arrive quand même à notre avion ! Ce coup-ci, la passerelle est bien connectée à l'avion, mais comme nous sommes à pied le long du terminal, il faut remonter un escalier pour arriver dans la passerelle. Après le faux contact, voici le faux-vrai contact !
J'aurais pu tenter de vous flouer en ne vous présentant que cette image, vous n'y auriez vu que du feu ! ;o)
Je rejoins ma place en 11A, juste derrière la cloison séparant la Business de l'Éco. Le pas est bon, et les écrans sont situés dans la cloison et non dans l'accoudoir ce qui n'empiète pas sur la largeur des sièges. Cloison oblige, il n'est néanmoins pas possible de conserver des bagages à ses pieds pendant les phases de roulage, de décollage et d'atterrissage.
Dehors, les opérations se terminent et c'est l'occasion de jeter un œil sur la faune locale, qui est aussi intéressante sur le plan #avgeek que sur le plan animal si j'avais opté pour une escale plus longue et un détour par le parc national juste à côté de l'aéroport ! :o)
Notre voisin direct est tout de même plus récent, puisqu'il s'agit d'un des 787 de la compagnie kényane (qui dessert notamment CDG).
Décollage à l'heure après annonce de bienvenue de l'équipage. Une fois en vol, le cockpit prendra la parole pour détailler le plan de vol du jour et les différentes curiosités que nous pourrons voir sur le parcours, en fonction des conditions météo prévues.
J'avais naturellement choisi en toute connaissance de cause un siège côté hublot gauche pour pouvoir apercevoir le Kilimanjaro (et plus accessoirement le mont Méru à droite) ! Les deux monts dépassent à peine les nuages, malgré leurs 5 892 et 4 565 mètres respectifs !
Je laisserais gentiment mon voisin faire lui aussi quelques photos de ce joli spectacle.
A 8h heure locale, soit environ 20 minutes après le décollage, une boîte repas est distribuée. "Karibu" est un terme swahili pour souhaiter la bienvenue à ses hôtes.
Le contenu est honorable avec un semi-petit déjeuner chaud et une sorte de muffin. De mémoire, il y avait trois choix de plat chaud disponibles, dont une option végétarienne !
J'accompagnerai le tout d'un jus de pomme. Je ne crois pas me souvenir que des boissons chaudes étaient disponibles.
Après environ 2h30 de vol, nous débutons notre descente vers Livingstone. J'en profite pour me lever tester les toilettes. Elles sont petites (Embraer oblige), mais encore maintenues dans un état plutôt propre.
Nous approchons de Livingstone. Ici, contrairement aux environs de Nairobi qui sont très verts, ça semble extrêmement sec et la ville paraît perdue au milieu du désert !
Nous nous posons sur l'unique piste de Livingstone après une approche directe et légèrement turbulente du fait de la chaleur.
Bienvenue à l'aéroport international de Livingstone, où l'activité bat son plein à notre arrivée !
Nous sommes stationnés à côté du terminal (dans une configuration qui nous permettra un départ sans assistance). Les passagers dont le voyage se termine à Livingstone descendent de l'avion. Pour les autres, nous devons rester à bord.
L'équipage nous informe que nous devrons rester détachés du fait du réapprovisionnement en carburant durant l'escale, et nous demande de nous assurer de notre siège pour le tronçon suivant : il est apparemment possible de s'être vu attribué deux sièges différents pour chacun des tronçons de ce vol, mais pour moi, je conserverai mon 11A jusque CPT.
Une équipe vient nettoyer l'avion alors que nous sommes encore à bord (passage de l'aspirateur, changement des housses de coussin sur les sièges libres, débarrassage des poubelles…), assez bizarre à voir tandis que nous devons rester assis à nos sièges.
C'est ensuite au tour des passagers qui embarquent depuis la Zambie de nous rejoindre à bord. Nous pouvons ensuite repartir vers CPT, l'escale a durée une grosse quarantaine de minutes.
Le roulage permet de passer devant ce spécimen ultra-rare : un Basler BT-67 Turbo Dakota (je ne soupçonnais même pas que ça existait !) apparemment utilisé pour des relevés géologiques depuis les airs, et basé en Afrique du Sud. Je comprends que c'est une sorte de DC-3 customisé.
Nous remontons la piste pour un décollage presque face à l'Ouest. On sent qu'on est assez lourd et il n'y a rien de trop à la piste pour que nous puissions décoller vers notre destination finale.
Nous traversons ensuite le fleuve Zambèze. Les paysages sont impressionnants mais malheureusement, et contrairement à ce que j'avais pu déjà lire sur internet, cette fois-ci pas de passage "touristique" au-dessus des chutes organisé par les pilotes.
On les a tout de même aperçu vaguement (d'assez loin) ; elles ne semblaient pas tant asséchées que l'actualité récente a pu nous les montrer.
Une quarantaine de minutes après le décollage, une boîte sur le même format que sur le tronçon précédent nous est distribué.
Elle contient un plat chaud un peu plus conséquent que le petit-déjeuner précédent, et toujours assez bon (et encore avec plusieurs choix disponibles). Le tout est accompagné d'un pain emballé dont la texture et le goût seront fidèles à son apparence, et d'un gâteau étouffe-chrétien en guise de dessert.
Je vous avais évoqué la présence d'un IFE tout à l'heure, malheureusement son contenu est plus que limité (quelques films uniquement, sélection musicale très limitée…). Le point le plus dommageable est qu'il n'y a même pas de géovision.
Du coup, il faut se contenter de l'IFE naturel, sans trop savoir où l'on est…
Les paysages restent particulièrement magiques : petite sélection !
Vue de la cabine, en configuration ultra-classique 2-2. La cabine est confortable en dépit de la durée du vol.
Le remplissage est très bon, avec à peu près autant de passagers embarqués à LVI que de passagers débarqués. Peu de sièges seront restés vacants durant le vol, y compris en classe avant.
C'est ensuite l'heure d'entamer la descente sur la ville de Cape Town. Les paysages sont ici bien plus verts et la montagne omniprésente.
Vue de la péninsule du Cap, où l'on aperçoit de manière très distincte le plateau que représente Table Mountain, où j'attraperai quelques méchants coups de soleil dès le lendemain.
Les abords immédiats de l'aéroport ne respirent pas la richesse qu'on peut entrevoir près des côtes…
Nous sommes bien à destination !
Court roulage vers notre point de stationnement à l'écart. Des bus nous attendent dès notre arrivée pour nous transporter jusqu'au terminal.
Étonnamment, pas mal d'avions font du bitume la journée à CPT : BA et LH notamment semblent privilégier des vols de nuit entre l'Europe et l'Afrique du Sud, pour laisser ensuite leurs avions sur le tarmac toute la journée et les faire repartir en fin d'après-midi… contrairement à AF et KL qui font des vols de jour, avec une arrivée en fin de soirée et un départ vers l'Europe vers minuit après deux petites heures sur place.
Le passage de l'immigration se fera très rapidement, notre vol étant le seul à arriver et les comptoirs étant ouverts en nombre.
Moins de dix minutes séparent la sortie de l'avion et la sortie de la zone de livraison des bagages (je n'ai pas de bagage en soute à récupérer), et je peux me diriger directement vers les agences de location pour récupérer ma voiture chez le loueur jaune.
= Note de KQ =
- Cabine : en dépit de la durée du vol, la cabine de ces E190 est confortable, et sans doute plus que si le vol était opéré en 737 ou 320.
- Équipage : fait le job avec un souci de bien faire.
- Divertissements : 2,5 pour l'effort de mettre des IFE. Maintenant, il faut aussi penser à mettre du contenu dessus...
- Restauration : bel effort avec deux plats chauds sur ce vol (utiles pour les passagers qui ne font qu'un des deux tronçons), et à chaque fois du choix. Les simili-desserts qui les accompagnent sont plus anecdotiques.
= Note de NBO =
- Fluidité : le parcours de correspondance n'est pas très fluide, avec beaucoup de monde et une affluence assez mal gérée.
- Accès : ces parcours avec escaliers en veux-tu en voilà ne sont pas du meilleur goût quand on voyage avec une valise cabine.
- Services : RAS si ce n'est le problème rencontré à l'enregistrement qui m'a contraint à m'arrêter au comptoir pour récupérer mon BP.
- Propreté : c'est peut-être plus un problème de vétusté que de propreté à proprement parler, mais certains coins de l'aéroport laissent à désirer.
= Note de CPT =
RAS, une belle expérience. Le fait d'arriver sur un petit module rend le process ultra-fluide !
Tous les robinets (en mode "éco") dans les toilettes sont fonctionnels, ce qui est loin d'être systématique dans la région du Cap étant données les pénuries courantes...
= Note du salon Kenya Airways Simba =
- Confort : RAS pour un passage express.
- Restauration : ce n'est pas très qualitatif mais suffisant pour une prestation petit-déjeuner. Le coin boissons est plus varié.
- Divertissements : pas grand chose... mais quand même du Wifi en accès libre.
- Services : bon sens du service du personnel.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 3 avis concernant 1 compagnies sur la ligne Nairobi (NBO) → Cape Town (CPT).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Kenya Airways avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 5 heures et 58 minutes.
Plus d'informations
11 Commentaires
Quelques éléments inchangés à NBO : le fait de jouer des coudes au PIF qui sépare les deux terminaux et au PIF qui suit le débarquement, l'obsession chaussures mais l'inutilité de vider son bagage cabine, et les cheminements à pied sur le tarmac.
L'E190 est riquiqui pour ce genre de vol mais les deux prestations sont honorables.
Il ne reste plus beaucoup de neige au sommet du kili..
A bientôt !
"Tout est bien qui finit bien, mais bon, ça pourrait être un peu plus fluide, et ses défauts de communication entre les systèmes AF et KQ (d'autant plus qu'ils partagent le même programme de fidélité) font tache pour l'alliance Skyteam…"
Surtout en partageant le même programme de fidélité, c'est ahurissant !
Vous avez eu de la chance que la dame était vigilante et bien réveillée
"risquer d'être envoyé en prison lorsque l'agent en fouille se rendra compte que j'ai tenté d'introduire du plastique sur le territoire ? Arrrgh !"
Le Kenya est encore pire que Greta lol
La prison pour un sac plastique ???
" C'est suffisamment glauque pour que je sois très loin d'être intéressé !"
Les employé.e.s étaient en petite tenue ?
"Le salon est équipé d'un Wifi gratuit accessible, de mémoire, sans code."
La bouteille en plastique fait tache :(
"mais le nombre limité de passagers fait que ce n'est pas un problème."
Vous semblez avoir eu de la chance avec les différents contrôles passés
"Après le faux contact, voici le faux-vrai contact !"
Vous testez toutes les déclinaisons
"Le contenu est honorable avec un semi-petit déjeuner chaud et une sorte de muffin"
Petit déjeuner correct mais sans vouloir jouer les rabat-joie il y a beaucoup de plastique
Collation un peu plus conséquente pour la deuxième partie du vol
"Du coup, il faut se contenter de l'IFE naturel, sans trop savoir où l'on est…"
C'est dommage
"Moins de dix minutes séparent la sortie de l'avion et la sortie de la zone de livraison des bagages"
Là aussi vous avez été chanceux car de nombreux autres FRs parlent d'une attente conséquente
Un bon vol avec KQ
A bientôt
Sinon 10$ le magnet c'est du vol
Un vol bien long en E190 mais qui permet de profiter de belles vues sur des lieux emblématiques de l'Afrique : le Kilimandjaro, les chutes Victoria et the table Mountain.
Les boîtes sont sympa.
A bientôt
Les deux boites font plutôt envie et de servir deux fois un plat chaud est vraiment un bon point.
A bientôt !
Je suis d’accord avec vous pour le PIF a NBO, et votre phrase résume très bien la situation avec des passagers qui doublent croyant que personne n’est SP dans une file SP…
Le salon est un peu plus grand quand vous allez vers la salle de repos au fond et le fumoir, sans être immense pour autant.
J’avais failli prendre ce vol pour CPT avec escale, la liaison suivante étant directe… mais vous avez l’avantage de pouvoir ainsi profiter de deux collations.
L’IFE est un plus propose par KQ. Espérons que la compagnie survive, son CEO a rendu son tablier fin décembre.
Bonne journée à vous et à bientôt
Bonne identification ! C'est bien un DC-3 sur lequel on a remplacé les vieux moteurs en étoile par des turbopropulseurs.
À bientôt pour le retour !
Ou via, de l'autre côté des chutes, Victoria Falls - VFA
Est ce que la zone sous douane est considérée comme étant le Kenya?
Peut - être des photos collector ?, car un agent KQ m'a informé que ce salon allait être fermé prochainement...
Exact, et au pluriel c'est karibuni
La photo est - elle prise à l'approche, avant d'atterrir à LVI en amont des chutes?
Merci pour le partage, à bientôt pour la suite
C'est une bonne question, mais j'imagine quand même que toutes les zones de l'aéroport sont concernées par l'interdiction car sur le vol précédent, les annonces indiquaient de bien laisser tous ses sacs à bord de l'avion. Enfin, quoi qu'il arrive, je ne pense pas que j'aurais risqué la prison pour mon petit sac à LAG... :-)
La photo est prise juste après du décollage de LVI plein ouest et après avoir fait un virage à 90° vers le sud. C'est la partie en amont des chutes (mais quand je dis qu'on était "assez loin" c'est vraiment "assez loin", n'espérez pas les apercevoir sur la photo !).
Superbe vue du Kilimanjaro
L’IFE était bien à l’extérieur sur ce vol. Les vues sont superbes
Merci pour ce Fr!
Connectez-vous pour poster un commentaire.