#14 sur 21 Compagnies low-cost Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
776 avis
Bonjour à tous et à toutes.
Un petit weekend à Madrid, l'occasion faisant le larron. Lors d'un précédent voyage en septembre, je n'avais pu revisiter les collections permanentes du Prado après deux expositions. Il fallait donc y remédier d'autant que l'autre prétexte du voyage était de consacrer plusieurs heures au musée Sorolla, peintre que j'ai réellement découvert à Valence.
Bref, encore un vol en agent orange, à l'EAP pour des virées week end efficientes, il n'y a pas mieux grâces aux nombreux vols de la muerte à disposition. Ce FR n'échappe pas à la règle.
Place au routing qui ne devrait pas occuper trop de mémoire vive de votre cerveau que je vais m’employer à rendre disponible du mieux que je peux
Au programme de ce FR : du classique, du rebattu, du rabâché, rien donc de nouveau, on ne peut pas innover à chaque fois !
La fidèle mogoymobile m'emmène dès potron minet à l'euroairport.
Elle prend ses quartiers de weekend, le temps pour moi d'aller faire le plein de merveilles à Madrid.
C'est dans la nuit froide et claire, que je redécouvre le parcours couvert, bienvenu en temps de pluie.
Etincelante de tous ses feux, la nouvelle cathédrale profane du touriste acharné.
Cela reste l'un des aéroport les plus réussis architecturalement en France… et en Suisse soit dit en passant !
Mon vol pour Madrid est à l'heure, parfait.
Marchons gaiement jusqu'au salon où m'attendent beans et rösties !
Mes FRs se ressemblent bigrement. A l'heure où j'écris ces lignes, j'ai déjà un peu plus de choix de mes plateformes !
Un peu comme mes lounge reports.
Les croissants ne lassent jamais en revanche !
Surtout quand ils sont accompagnés de chaussons aux pommes !
Cette fois-ci, hélas, Madame Salade de Fruits a laissé sa place à Miss Yaourt.
Ces roturiers, décidément aucun savoir vivre !
Monsieur Cochon trône avec ses vassaux, Madame Dinde, Monsieur Pâté en Croute et le bouffon Leberwurst.
Bref ma sélection. Un morceau de brioche pour changer de l'ordinaire.
Dehors, c'est maussade !
Nouveauté ou sacrifice au principe de précaution, une analyse pas très glamour des allergènes.
Il faut être expert pour décortiquer tout cela.
Autre nouveauté, à la sortie du salon, la nouvelle génération de PAFmen qui ne sont jamais en grève quand ils fonctionnent.
C'est avec un PAF man de chair et d'os que l'on passera les contrôles absolument indispensables pour aller dans un autre pays Schengen.
Voilà quelque chose qui ne me manquera pas. Neuf minutes d'attente tout de même.
Le vol est déjà en préembarquement
10 minutes seulement avant le lancement des opérations.
Quelques rétifs à la pratique propre et net de la Tortuga me rendront la tâche difficile, mais je suis bien le dernier à embarquer.
Fuselage shot.
En face, un confrère.
A l'embarquement les deux rétifs : un sud américain aux fraises qui a dû refaire ses bagages pour pouvoir passer et l'un des deux jeunes bourgeois rebelles en mode gansgta rap blanc se baladant avec leur enceinte portative (qu'ils couperont une fois embarqué mais pas avant…).
Le vol est plein à craquer, et je n'arrive pas à détecter un meilleur siège que mon 4D automatiquement attribué.
Dont acte.
Et donc j'ai un voisin, crotte.
Nouvelle cabine, mini tablette.
Comment est la moquette ? la moquette est propre, Monsieur Marathon.
On repousse à 7h49 et décollage 7 minutes après. Voilà un bon retard pour bien commencer la journée !
Les pax en mode récup dès le début.
Je profite du couloir pour bouger un peu et regarder les nuages.
Le service commence. Pas pour moi après un passage salon.
D'autant que j'ai fait des provisions au salon. Boris me le confirme !
Photo volée de rien du tout !
Tiens l'intimité des PNCs est un élément important chez easyJet.
Un vol sans histoire comme toujours chez la compagnie orange. Instant danette.
Et débarquement par passerelle.
Avec un peu beaucoup de retard, Feliz Navidad !
Merci de m'avoir lu, pour le bonus, il faudra attendre la suite !
Ce qui est bien avec easyJet, c'est qu'on est rarement déçu. Le produit est connu, l'exécution sans grande faille. Pas mal de retard comme sur ce vol, et un traitement un peu cavalier des pax, mais si on ne se prête pas au jeu du préembarquement (parce qu'on a une cervelle ou pas de bagage à main), on en souffre guère.
Notation vol.
Cabine : c'est exiguë, petite tablette, petits accoudoirs, on voit mieux mais la différence est minime avec les legacy et se réduite d'année en année.
Equipage : RAS
Divertissement : le minimum syndical avec magazine de bord.
Restauration : RAS toujours la mm chose.
Notation salon.
Confort : toujours très bon niveau, les sièges sont un peu fatigués mais cette coupole va me manquer.
Restauration : constat habituel, c'est chaud mais cela ne se renouvelle pas souvent.
Divertissement : l'accès à une application électronique est clairement un gros plus accessible seulement avec le réseau du salon.
Service : toujours souriant à l'accueil mais moins en salle.
EAP : contrôle passeport pour un vol Schengen, cela ne passe pas, ils doivent manquer de porte pour l'espace en question...
MAD : RAS
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 3 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Mulhouse / Bâle (EAP) → Madrid (MAD).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Iberia avec 7,0/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 18 minutes.
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12 Commentaires
"Ces roturiers, décidément aucun savoir vivre !"
Il y a de quoi en faire une plutôt sympathique avec pomme, poire, datte et pruneau
"Il faut être expert pour décortiquer tout cela."
Y figurent de nombreux plats que tu ne nous as jamais présentés !
Un vol banal Easyjet sans bonne ni mauvaise surprise, ce qui peut être considéré comme un point positif
A bientôt
Malheureusement, personne pour me couper les fruits... Quel manque de service ^^!
Crois bien que j'en suis le premier désolé !
Un vol efficient et pratique, de quoi bien profiter de son week-end !
A bientôt :)
Bonne fin de week end
En fait l'EAP n'est pas responsable du positionnement de ce vol en non-Schengen, c'est une décision préfectorale, car il y a largement assez de postes en Schengen pour couvrir toute la vague du matin. Sur une de tes photos on voit que les postes du hall purement Easy sont tous occupés mais pas ceux en contact avec le terminal principal.
Sinon un vol sans trop de relief mais qui fait le job, comme d'hab sur la compagnie orange.
Bonne semaine !
Mais qu'est ce qui peut bien justifier cela ?
Tu tiens le record du vol le plus long sur Easyjet : 17 heures ^^
Yaourt-datte-pruneau => c’est un mélange fort sympa pour un petit déjeuner qui donne du peps.
Voilà quelque chose qui ne me manquera pas => BVA serait il exemplaire ?
Un vol sans histoire.
A bientôt
C'est corrigé ! Ce n'est pas encore avec ce vol que j'entrerai au Guiness.
On verra à l'usage pour BVA, mais tous mes derniers vols intra Schengen n'ont pas eu à en souffrir.
Le salon à l'EAP est plutôt convaincant dans son offre matinale je trouve.
Pour le reste, c'est un vol Easyjet qui fait le job comme on s'y attend, mais sans Tortuga non plus cette fois-ci :(
A bientôt!
A tout prendre, l'offre du salon convient pour un pax non fréquent. Mais à force, cela lasse inévitablement.
Il n'y a vraiment pas beaucoup de renouvellement.
C'est donc ici que la Reconquista opère. Sus au paganisme consumériste, fourbissez vos masses d'armes et vos missels !
Aucune tenue à s'étaler ainsi sans forme même si son teint d'albâtre eût fait fureur dans les cours du Grand Siècle. Une marquise déchue ?
Qui pousse la bouffonnerie jusqu'à se faire passer pour Charles Quint, en témoigne son étiquette (ou son non-respect de celle-ci).
Eût dit Marie-Antoinette !
Notons la présence d'un pain entier bâtard. Rejeton caché d'une longue lignée de rois panaires.
Jusqu'à indiquer leur nombre ! Cette caricature est terriblement réussie. Pauvre Boris, si j'ose dire.
Qui sait à quelles messes noires ils se livrent dans le secret satanique de ce réduit occulté par ce lourd rideau dont la noirceur n'égale point même celle de leur âme.
Muchísimas Gracias !
La marquise est bien flasque. Le fard ne remplace pas le collagène.
Quoi de plus ironique en terres de Saint Empire (à l'époque) ?
Surtout si on connaît la signification pour l'Anglois de ce signe de la victoire paume vers soi... Ce qui ne va pas de soi !
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