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Le routing choisi pour ce week-end à Munich n'a rien de créatif, mais l'horaire tardif de ces deux vols permettait de partir le vendredi soir après le travail et d'avoir deux journées complètes sur place avant de prendre le chemin du retour.
AF a une interprétation bien à elle de la gratuité du choix du siège à la réservation : c'est gratuit, et cela permet d'attendre l'enregistrement pour choisir.
Donc, à l'enregistrement, je découvre qu'AF n'a pris aucun compte de ma préférence affichée dans mon profil pour un siège au hublot, par plus que celle de Mme au couloir, car c'est elle qui est ici au milieu.
Pas de cela pour moi : je préfère aller au fond de l'appareil pour avoir un hublot et tenter le pari du siège milieu neutralisé.
La foule ordinaire un vendredi vers 18h sur le quai du RER-B Châtelet les Halles
Les deux premiers trains ne vont pas dans la bonne direction
Il y un (ou une, ici) employé en gilet jaune de la RATP à chaque porte pour contraindre les PAX à laisser descendre avant de monter, et empêcher de monter quand la rame est vraiment archi-pleine.
Arrivée à CDG-2
Non, ce n'est pas une foule menaçante, mais l'embouteillage aux portillons de sortie du RER : il y en a évidemment un ou deux en panne.
Le FIDS rénové de la station CDG-2
Notre vol est annoncé à l'heure : c'est une promesse qui n'engage à rien.
Toujours les plaisirs des transports en commun pour aller à CDG : les escaliers mécaniques à partir du palier intermédiaire sont à l'arrêt.
C'est encore plus amusant quand un employé cherche à en prendre un à contre-sens, bloquant ainsi tous les PAX.
Il y a des travaux le long du cheminement vers le terminal 2F, mais les trottoirs mécaniques sont en service
Deux appareils AF au contact au terminal 2F
A318
A320
Il n'y a pas foule ni au niveau Départs, ni au niveau Arrivées en dessous.
C'est également calme à l'Accès N°1
Passage du PIF donc très rapide, et pas grand monde en en sortant, ni vers la gauche
Ni vers la droite
Porte F55 : c'est donc la jetée n°2, la plus éloignée en venant du RER
On passe devant la jetée n°1
Puis le PIF standard où les queues semblent très modérées
Arrivée à la jetée n°2 où le piano est inoccupé.
La structure métallique de la voûte illuminée de nuit
Pour se diriger vers le salon, il vaut mieux lire le chinois
A défaut, l'anglais peut faire l'affaire, à condition de s'être engagé dans le trottoir roulant vers le niveau inférieur.
Une fois en bas, il faut parler pictogramme pour continuer son chemin. Et si vous ne maîtrisez que le français, la langue officielle locale selon l'article 2 de la Constitution ? Une petite recherche m'a fait trouver la base de données Franceterme du Ministère de la Culture, qui m'a appris que "(boarding / departure) lounge" signifie "salle d'embarquement", ce qui ne m'a pas beaucoup aidé.
Une paroi végétalisée en hauteur.
Un autre Flight Reporter ? On en reparlera
La dragonne blonde à l'entrée devant les terminaux me prend littéralement mon BP des mains pour m'enregistrer sur la borne. J'aime bien le faire moi-même, mais il était manifeste qu'elle n'allait pas me laisser ce petit plaisir d'inviter Mme au salon dans une langue exotique (je connais le très court dialogue par coeur, ce qui me dispense de savoir le lire).
Le niveau inférieur du salon est toujours moins rempli
Nous ne sommes pas venus au salon pour lire des journaux ou des magazines, mais il y en a
Pour le spotting, mieux vaut ne pas aller au salon, surtout de nuit
ne me souviens pas avoir vu de photo de ces nouveaus sièges Y+ d'AF, mais j'admets avoir un énorme retard de lecture de FR.
Nous prenons une table à deux, plus pratique pour dîner
Le buffet froid : cold cuts et salades – j'ai l'impression que cela ne change jamais.
Pains, sans gluten à droite, et additifs divers pour salades
Laitages et desserts divers.
C'est en levant les yeux vers ce FIDS que nous découvrons la mauvaise nouvelle : le vol va avoir 45' de retard. .
Pour les amateurs d'alcool, voici l'offre; celle qui est à faible taux de dilution est placée en hauteur
Il y a un échantillonnage plus fourni en tournant le coin dans le salon.
Les contenants à taux de dilution plus élevés (donc à teneur plus faible ^^) sont situés sur le comptoir.
Là c'est au frais, et ce n'est pas alcoolisé du tout, enfin si, car HBESMRS (merci à lui) n'a pas été pris en défaut par le camouflage de Heineken en Perrier (ou vice-versa).
Mon choix, et celui de Mme en face
Mieux vaut ne pas en abuser, mais il y a aussi des petites soupes instantanées.
Cependant, si vous voulez de la soupe de meilleure qualité, il faut remonter au niveau principal
Et vous intéresser à ce récipient noir qui ne saute pas aux yeux quand on arrive au salon, car il est juste à l'entrée, après avoir tournée le coin de l'accueil des dragonnes ou des bornes automatiques.
Mieux vaut ne pas croiser un PAX qui vient de découvrir que son vol est en dernier appel, mais cette soupe mérite bien ce petit effort.
Entre temps, le plateau de fromages a été réapprovisionné.
Ce qui me permet de rajouter ceci à mon dîner.
Un étiquetage un peu décalé
Ah, la machine à café ! Quel beau sujet récurrent !
Ce mug est certes nettement plus profond que les tasses standard !
Mais pas assez pour la position du bec verseur de cette cafetière, car j'ai eu beau lire attentivement le MOOC mis en ligne par Okapi ici sur l'art et la manière d'utiliser les machines à café des salons AF, je n'ai pas réussi abaisser ce bec verseur.
Je ne vois d'ailleurs pas pourquoi quiconque aurait besoin qu'il soit si haut, ce qui me laisse imaginer que les PAX Elite+ ou voyageant en J sont aussi cancres que moi pendant les MOOC d'Okapi.
Après m'être battu contre cette machine a café (et avoir ignomineusement perdu), je constate que des desserts sont arrivés sur le buffet.
C'est très mauvais pour ma ligne de me mettre sous les yeux du gâteau au chocolat
Surtout quand j'arrive avec une tasse de café, même si elle n'a pas été remplie selon les règles de l'art et du maître.
Nous aurions dû être déjà partis
Mais il faut encore patienter ici
Encore un peu de gâteau ? Non, ça suffit pour moi.
D'ailleurs, cette employée débarrasse les restes de nourriture
Et de vin
A cette heure-là, la quasi-totalité des PAX aurait dû avoir quitté le salon… si les vols avaient été tous ponctuels.
Cette photo dont je travaille soigneusement l'angle de vue me vaut une interpellation inattendue quand je me redresse :
- Vous êtes Marathon ?
C'est Ricercare, un nouveau contributeur sur la ligne CDG-BES, avec lequel j'échange des paroles très aimables. Ni l'un ni l'autre n'avait utilisé la fonctionnalité Meet-up de Flight Report : si nous l'avions fait, nous aurions pu avoir plus que deux minutes ensemble, car son vol embarque.
Il a été annoncé à plusieurs reprises au salon que des annoncés seraient faites pour l'embarquement des vols retardés : cela a été le cas pour plusieurs vols avant le nôtre, mais ni Mme, ni moi-même n'avant entendu quaoi que ce soit au sujet de notre vol. C'est Mme qui, levant les yeux vers le FIDS au loin, s'aperçoit que notre vol embarque.
En passant devant les dragonnes, je signale à l'une d'elle que c'est bien d'annoncer que l'embarquement des vols retardés serait annoncé, mais encore mieux de le faire. Elle plonge sur son écran, tape interminablement au clavier : pour vérifier, ou bien pour attendre que je parte ?
Si la deuxième hypothèse est la bonne, c'est réussi car je n'ai pas que cela à faire et je l'abandonne à ses menus informatiques. Un mauvais point pour le personnel du salon !
Notre avion est ici
Auprès d'un A319 Alitalia
Un retard d'une heure et trois minutes au repoussage est affiché pour les PAX qui savent où regarder.
Les propriétaires de cette demi-douzaine de bagages à main vont prendre une vingtaine de minutes de pénalité en plus, à moins qu'ils n'aient enregistré un bagage en soute par ailleurs.
Instant porte
Arrivée au fond de l'avion : le pari du siège neutralisé est perdu, mais c'est un sympathique Américain (d'après son accent), grand mais mince et donc peu encombrant, qui propose de changer de siège avec Mme mais ne s'offusque nullement qu'elle refuse. Il lira quelques pages de la Bible sur sa tablette après le décollage, avant de fermer les yeux avec des écouteurs dans les oreilles. .
Le pitch dans un A32x AF n'est pas généreux
Mais la largeur entre accoudoirs est correcte
Fermeture des derniers coffres à bagages qui sont bien pleins
Repoussage
Un 777-300ER vu au terminal 2E lors du roulage vers le doublet nord
J'ai décidément beaucoup de mal à identifier si un appareil Easyjet est un A319 ou un A320.
Là, je parie pour un A319, mais en tout cas, ce n'est pas un A318, car la bande bleue du code barre n'atteint pas l'extrémité de la dérive (la dérive d'un A318 étant plus haute, sa livrée est calée légèrement différemment de celle des autres appareils de la famille A320.)
Deux vues du Terminal 1 illuminé.
Un A320 Aer Lingus vient d'arriver.
Décollage
Le plafond est bas : les velleités de photos nocturnes sont très vite rendues impossible
La prestation est constituée d'une boisson (un café instantané pour moi) et d'un mini-sandwich de 80 grammes
… dont voici la composition
La descente est très turbulente. "PNC, rangez le matériel, merci !", demande le CdB;
L'annonce standard "Notre atterrissage est imminnent, etc. " alors qu'on est "downwind" au niveau de MUC qui défile à droite de l'appareil !
Atterrissage; malgré l'éclairage assez puissant du tarmac, le roulage plutôt rapide interdit tout spotting à l'arrivée
"A l'extérieur : ancienne livrée : EasyJet prend toute la longueur entre la porte avant et la porte arrière, sur 320 il y a de la place avant les portes" m'a écrit Esteban en rouge dans la marge de ma dernière copie : donc ça devrait être un A319. J'ai bon, M'sieur ?
(en fait, j'ai vérifié le corrigé : OE-LKE est bien un A319)
Instant Danette
Et instant "courriel automatique" : AF a envoyé ce message à 23h12, alors que l'avion n'était pas encore posé du fait de son retard.
Bon, ce n'est pas le tout, il faudrait quand même songer à quitter cet avion ?
Nouvel instant porte
Il n'y a évidemment plus personne dans le cheminement airside
La salle de livraison des bagages n'est pas encombrée
Passage landside toujours aussi vide
Le trajet est long à MUC pour atteindre la station de S-Bahn. Ai-je oublié de mentionner la vacuité du parcours
Ce n'est plus l'heure de jouer pour les enfants.
Heureusement que la signalétique est claire, car ce n'est pas en suivant le flot des PAX que nous aurions pu nous repérer.
Ce n'est pas la seule rangée d'automates pour acheter des billets, dont une bonne moitié hors service, mais ce n'est pas la foule qui les encombre
Intéressante représentation de D-AIXK, un A350-900 Lufthansa
La dernière fois, j'ai fait l'erreur de débutant de me précipiter dans le premier train en partance. Mais voilà, il y a deux lignes : MUC est au nord-est de la ville, et ce train sur la ligne S1 en direction d'Ostbahnhof (Gare de l'Est) va tourner autour du nord de la ville pour y pénétrer par l'ouest et mettre 53 minutes à atteindre Ostbahnhof à l'extrémité est du centre-ville.
Mieux vaut attendre le suivant : nous seulement il va mettre 22 minutes de moins à atteindre Ostbahnhof par un itinéraire géographiquement direct, mais nous allons descendre avant.
Afficheurs dans le S-Bahn
Les rames sont larges et évidemment fort peu chargées à cette heure-là.
Descente sur le quai désert à Leuchtenbergring… pour voir à l'autre quai partir un train et le suivant est dans une bonne vingtaine de minutes :(
Mieux vaut faire le trajet à pied, car cela ira plus vite que d'attendre le prochain train pour ne faire qu'une interstation et atteindre ce Holiday Inn Express que sa localisation à l'extérieur du cœur historique de la ville rend relativement bon marché.
Merci de m'avoir lu !
Je vous propose un bonus au sujet d'un lieu de visite incontournable pour un avgeek à Munich : le Deutsches Museum Flugwerft Schleißheim, autrement dit l'annexe dédiée à l'aviation du formidable Musée Allemand de Munich. (Contrairement à ce que son nom pourrait laisser imaginer, le Deutsches Museum n'est pas consacré à l'histoire allemande : c'est le plus grand musée du monde dédié aux sciences et techniques.)
Pitch assez peu généreux dans cet A319, mais notre voisin arrivait néanmoins à caser ses jambes plutôt grandess.
L'équipage a fait son travail, et distribué un en-cas de 85 grammes et une boisson que certains concurrents ont supprimé en vol européen.
Pas de divertissement notable à mes yeux, hormis l'IFE extérieur qui est assez limité en vol de nuit.
Beaucoup de place au salon 2F2 à cette heure tardive, et d'autant plus tardive que notre avion était retardé. A ce sujet, c'est un plus d'annoncer l'embarquement des vols retardés, mais c'est un faute inexcusable de ne pas tenir ses promesses à ce sujet. C'est un coup à rater son avion parce qu'on comptait sur une annoncé qui n'est jamais venue.
Restauration sans relief, mais qui permet de dîner de manière équilibrée.
L'offre de journaux et magazines est satisfaisante en variété, et l'accès internet est obtenu rapidement.
Fluidité impeccable à l'Accès n°1 (ce n'est pas toujours le cas). Le trajet en RER n'a rien de confortable, mais au moins, il n'a pas eu d'incident.
Pas de problème de fluidité en débarquant de MUC. Avec des S-Bahn circulant jusqu'à une heure indue dans la nuit, desservant la ville par l'est et par l'ouest, l'accessibilité de MUC mériterait une note parfaite si le cheminement n'était pas aussi long. La signalétique est claire et visible.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 63 avis concernant 5 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Munich (MUC).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Discover Airlines avec 7,8/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 27 minutes.
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15 Commentaires
La pré-sélection gratuite des sièges n’est ouverte qu’aux abonnés (voyageant au tarif abonné), aux billets full flex Y ou aux billets en W/J/P. Pour les statuts c’est gold et plus.
Donc ok pour l’un et pas pour l’autre… débile mais so marketing AF !
Je confirme que l’offre au salon est TRÈS répétitive.
Pan sur le bec : si dans le frigo c’est alcoolisé il y a de la bière (pas confondre Périer et Heineken).
Je te donnerais des cours particuliers de cafetières AF ! ?
Ah tu es tombé sur mon acolyte brestois qui filait vers l’AF 7732 (je suis plutôt ORY) ?
Je vois que l’on assimile les hauteurs différenciées de dérives des mono-couloirs de chez busbus ?
Il est improbable que nous serons à nouveau FB Gold tous les deux, ce qui réduit beaucoup l'intérêt de cet avantage qui est plus appréciable quand on voyage à deux.
Le camouflage de Heineken en Périer (ou l'inverse) a fait la preuve de son efficacité !
C'était plus facile quand j'étais en Extrême-Orient où les A318 sont inconnus.
Merci pour le commentaire !
Oui, je faisais du 7732 environ une semaine sur deux en cette période ! Mais figure-toi que pour ma dernière navette brestoise (le vendredi 6 mars, à dix jours du confinement...) je me suis permis d'emprunter ton antre orlysienne et de faire moult ripailles au temple orgiaque de la mezzanine. Je ne sais guère quand j'aurai la chance d'en profiter à nouveau. Fatalement ma prochaine navette (prévue dans 3 semaines) partira de Charles, avec ou sans salon ouvert... mystère...
le pari du siège milieu neutralisé. => qui a un taux de réussite quand même bien faible.
Tomate parmesan, c'est plutôt sympa comme sandwich.
A bientôt
Ce sandwich se mangeait très vite, mais s'accordait bien avec un café.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Le salon fait son office, je souris quand je dis que l'offre du salon à MLH ne change pas assez souvent et en voyant que finalement au 2F c'est la même chose :)
J'ai toujours autant de mal avec les étiquettes sur les sandwiches AF qui ne mentionnent pas vraiment les ingrédients mais plutôt ce que le sandwich pourrait éventuellement, peut être, infiniment, contenir ^^
La leçon pour les Airbus Easy est maintenant maitrisée, bravo !! Par contre, celle pour les Do 31 pas tout à fait :
Ah oui ? Elève Marathon, je crois que vous avez oublié un tout petit mot mais qui change beaucoup ^^
A très vite !
Dont acte : d'autres avions cargo aptes à décoller ont été construits ! ^^
A bientôt !
Et son intéressant bonus aéronautique.
Le salon du 2F manque toujours d'une offre chaude, mais finalement au moment où vous êtes passé l'offre était quand même correcte avec une jolie sélection de desserts; entre autres fromage et soupe. Dommage en revanche pour l'attitude bien peu professionnelle de la "dragonne"qui plonge sur son écran plutôt que de vous répondre.
À bord, c'est une bonne prestation d'AF avec ce sandwich qui a l'air bon. AF fait un effort appréciable pour changer des sempiternels sandiwches poulet, fromage ou jambon.
La cabine n'est pas hyper spacieuse, mais je trouve que le siège en lui-même est confortable.
A bientôt!
C'est en effet l'offre chaude qui manque le plus aux salons de CDG-2F; elle permettrait notamment d'apporter une variété qui fait défaut.
Le sandwich offert remplit son office qui est de fournir un petit en-cas ne dispersant ni miettes ni odeurs dans l'avion, contrairement à certains pique-niques maison.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
RER bondé, escalators en panne, travaux qui n'en finissent pas : on est bien à CDG.
Salon immuable dans son offre culinaire mais je trouve cela très correct comme encas. Je comprends que les salonneurs très fréquents puissent se lasser.
Annonces annoncées annoncer qui ne sont finalement pas annoncées : aussi fiables que les FIDS qui annoncent les boardings alors que l'avion n'est pas arrivé...
La stratégie du siège central inoccupé se devait d'être tentée même si sa probabilité de réussite un vendredi soir est très aléatoire.
Bonus très intéressant qui (me) fait découvrir certains concepts historiques.
Merci pour la découverte
A bientôt !
Comme l'a souligné FFlyerCDG, une offre froide convenant à tous est presque immanquablement répétitive.
Une annonce prématurée d'embarquement est agaçante (j'ai le souvenir d'annonces à MAN absurdement calées sur les horaires des avions, sans prise en compte des retards). Une annonce oubliée peut faire rater un avion, ou à tout le moins le retarder s'il faut appeler au dernier moment un PAX manquant qui comptait sur cette annonce.
Le pari du siège central neutralisé en vol européen n'est jamais totalement perdant, car Mme préfère un siège au couloir à un siège milieu auprès de moi.
Il y a bien plus à découvrir sur place au Musée de l'Aviation !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Celui-ci a le cheveu trop discipliné pour être mon humble personne !
Je ne sais pas si c'était ce jour-là (ne comptant pas reporter ma navette du soir je n'avais pas pris de notes) mais j'ai le souvenir très net d'un accueil assez désagréable sur un de mes 7732 hivernaux. Dieu merci je trouve cela plutôt rare dans les salons AF.
C'est en effet une offre remarquablement constante, même si j'avais eu la chance quinze jours plus tard (sur ma navette du 29 novembre) de goûter une tapenade de carottes au carvi. Alors, quand changement il y a, il faut sabrer moult bouteilles de Hauts de Smith pour le saluer !
Fascinant bonus : les VJ101 & VAK191 sont bien la preuve (surtout le VJ101) qu'en temps de guerre froide il n'y avait pas que chez les soviétiques que la prise de décision se résumait à remettre la destinée d'un programme entre les mains de l'ingénieur le plus fou !!
À bientôt !
Mais on ne reste pas incognito longtemps en présence d'autres FRistes, et c'est toujours aussi sympathique :)
Je ne qualifierai pas l'empressement de la dragonne de désagréable; il tombait simplement à plat et elle ne pouvait pas le deviner.
Cette longue période de jeûne aéronautique va-t'elle donner l'occasion de découvrir un jour une offre rénovée aux salon de CDG-2D ? L'offre "déconfinement" de mon restaurant d'entreprise ne m'incite pas à l'optimisme.
Le Me-262 du Deutsches Museum était pour moi un vieux souvenir que je tenais à revoir, mais ces appareils à décollage vertical sont d'autant plus incroyables qu'ils ont réellement volé, même s'ils n'ont pas dépassé le stade du prototype.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
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