#14 sur 20 Compagnies low-cost Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Ce voyage était une sorte de cadeau d'adieu d'une collègue – appelons-la Leila - qui avait prévu de très longue date de passer trois jours à Rome avec son mari et leurs deux fillettes. Ce que Leila n'avait pas prévu, c'était qu'elle allait démissionner et négocier une coupure de deux semaines entre les deux emplois, calée sur les vacances scolaires de février. Pourquoi partir trois jours quand elle pouvait partir deux semaines dans sa famille au Liban avec les enfants ? Elle a trouvé pour un tarif très raisonnable pour CDG-FRA-BEY avec LH, laissant son mari (qui lui n'avait pas le loisir de poser dix jours de congés) aller seul à FCO. Restaient trois billets qui allaient être perdus, et elle m'en a proposé deux, pour le seul coût du changement de noms, soit 136 € pour nous deux. Ces détails auront leur importance… au retour (suspense !)
Voici donc le routing dont le principal mérite, outre son tarif imbattable pour du dernier moment, était de maximiser le temps de séjour sur place, plus que je l'imaginais de prime abord.
L'horaire de départ pique évidemment un peu les yeux, et le taxi est la seule option viable à cette heure-là.
La sculpture que les habitués d'ORY connaissent bien
Un FIDS accueille les PAX
On s'en rapproche
Et là, mauvaise nouvelle : il n'y a qu'un seul vol retardé, et c'est le nôtre, de deux heures, excusez du peu.
Remarquez, ce n'était qu'une mise en bouche pour le vol de retour…
Non, rien à voir avec cette grève, mais nous le savons pas encore.
Est-ce vraiment le moment de nous prétendre que Paris nous aime ?
Le PIF est passé rapidement, mais cette fois-ci, cela n'a aucune importance
Que faire pour tuer le temps ? Jouer à un jeu vidéo des années 2010 ?
Ou avec cette réédition modernisée de Space Invaders, l'ancêtre des jeux vidéo, remontant à la fin des années 70 ? J'aurai tout le temps pour cela une fois à Rome, comme le bonus vous l'apprendra.
Non, alors où s'installer pour tuer le temps ? Dans cette salle d'embarquement ? Les sièges ne sont guère confortables pour une longue attente.
Les sièges le long de ce mur sont plus confortables, mais ils sont le long du passage des PAX vers ladite s'alle d'embarquement.
A l'étage ?
Ces fauteuils au dessus des vitre fumées au second plan, ci-dessus, semblent tranquilles
Mais ils sont malheureusement assez proches des WC dont les sèche-main à air chaud sont particulièrement bruyants
Finalement, nous redescendons nous installer dans les fauteuils le long du passage en sortie de PIF.
Ce n'est pas pour fumer une cigarette que je laisse Mme avec nos bagage à main, mais pour tenter d'apercevoir le tarmac.
En janvier 1973, Ilich Ramírez Sánchez, mieux connu sous son nom de guerre de Carlos, tente à deux reprises de tirer au bazooka contre des avions d'El Al. Ces attentats échouent, faisant quand même 21 blessés; il en reste la fermeture au public des terrasses d'où il avait tiré.
Cette fermeture ne facilite pas le spotting, surtout quand il fait nuit.
A330 Air Caraïbes
A330 Wamos Air
Plus près, mieux éclairés, le 250ème Airbus d'Easyjet (un A320) et un 738 Transavia
Que voir d'autre ? Un long corridor
… prolongé par un long trottoir mécanique,
… offre une vue panoramique du terminal voisin, landside
Beaucoup d'espace, des bornes automatiques dispersées un peu partout… le nouveau Terminal 3, je suppose ?
Retour auprès de Mme, peu avant qu'un appel annonce la distribution de bons pour se restaurer (un peu) pendant l'attente.
Une carte préchargée d'un montant, non pas de 448 EUR, mais de 4,50€ par personne : cela ne va pas permettre de faire bombance
Si l'on ne veut pas ajouter au pot, il n'y a pas le choix
Ce sera un pain au chocolat et un café pour chacun
Mme n'a pas eu le réflexe de se mettre immédiatement dans la queue lorsqu'a été annoncé le début de l'embarquement (j'étais aux toilettes). Résultat, comme nous sommes dans le dernier tiers de la queue, une employée étiquette notre bagage à main comme devant être mis en soute. Une attente supplémentaire à prévoir à l'arrivée, à rajouter aux deux heures de retard du vol : nous avons encore beaucoup à apprendre de l'art de voyager en LCC.
Maigre consolation : cette mise en soute de notre valise nous donne accès à l'embarquement prioritaire, et (pour Mme) à l'un des rares sièges pour les PAX prioritaires. Il y a des prises électriques auprès des sièges, sans utilité pour nous cette fois ci.
Embarquement annoncé ou pas, il faudra attendre encore une demi-heure pour qu'il soit lancé. En LCC, ce sont les PAX qui attendent l'avion, pas l'inverse, et c'est un embarquement par PAXbus, évidemment, ce qui limite beaucoup l'intérêt de l'embarquement prioritaire.
Passage de F-HBUZ, un A321neo de La Compagnie. Si vous voulez tout savoir sur cet appareil, voyez les récits de l'aller-retour ORY-EWR que Flight Report a publiés ici et là.
747-400 Corsair
L'E-145 d'Amelia qui assure la liaison ORY-RDZ en délégation de service public
A320 TAP
La main malencoutreuse d'un PAX devant un A320 Vueling
777-200ER Air France
Arrivée au pied de l'appareil. Vous avez vu où les bagages à main étiquetés comme tels devaient être déposés pour être mis en soute ? Moi pas, mais à dire vrai, je ne l'ai pas vraiment cherché.
Difficile de faire une photo de l'appareil en entier, d'autant que le personnel de piste à ORY est réputé photophobe.
Fuselage shot. Que peut-on attendre d'un lauréat des prix Skytrax 2019 ?
La cabine encore presque vide
Le hublot est correctement aligné
Il a été aussi correctement arrosé lors d'un probable dégivrage, annihilant toute velléité de spotting au sol.
On peut raisonnablement penser que la tache sur cette moquette n'est pas dûe au dégivrage, mais plutôt à un geste malencontreux avec un gobelet de café.
La fiche de sécurité recto-verso qui ne m'aide pas à savoir si c'est un A319 ou un A320.
Tiens, un PAX a oublié son mouchoir dans l'aumônière!
Le pitch est identique à celui à bord d'un A320 Air France : plutôt réduit
Et la largeur entre accoudoirs est sans surprise à peu près identique.
Bref, rien de fabuleux : obtenir la médaille d'argent Skytrax du classement LCC est une chose, atteindre le podium du classement Flight Report des LCC est tout autre chose, et classé (à la parution de ce récit) 11° sur 17, Easyjet a encore du travail à faire pour tutoyer les meilleurs de la classe.
Décollage à 9h01, toujours avec un filtre créatif.
Cela fait donc STD+106'; la raison de ce retard nous a été distillée progressivement par des annonces dans le terminal, puis par le CdB lors de son topo d'accueil : la maladie de l'un des pilotes, nécessitant d'en faire venir un de NCE par le premier vol du matin.
Le hublot s'auto-nettoie progressivement
Cette photo m'a donné du fil à retordre : c'est l'hippodrome de Grosbois au centre (l'anneau le plus proche du château est masqué par une coulure de liquide de dégivrage). Au premier plan, à gauche de la zone d'activité de Santeny, c'est la ligne à grande vitesse en provenance du triangle de Coubert, qui passe en tunnel au niveau du domaine de Gros Bois.
Lieusaint au premier plan, Corbeil-Essonne derrière l'extrémité de l'aile
Pas facile à identifier, mais ce sont les confins du Val de Marne et de l'Essonne
ORY, au centre de la photo
L'échangeur entre l'A5 et la N104
La forêt de Sénart
Winglet logoté
La centrale nucléaire de Dampierre
Gien
La centrale nucléaire de Belleville
Cosne sur Loire
Pour ceux qui préfèrent les énergies renouvelables
Nevers
Moulins
Les méandres de la Bourbine qui se jette dans l'Arroux, quelques kilomètres avant le confluent de ce dernier avec l'Allier.
L'aérodrome de Paray-le-Monial (LFGN)
De la neige sur une crête? non, du brouillard qui ne s'est pas encore dissipé dans cette vallée
A proximité de la localité éponyme, au centre gauche…
La piste de la base aérienne 278 Ambérieu-en-Bugey (LFXA)
Vous êtes fan de centrales nucléaires ? Regardez bien au centre de cette photo.
Une dernière pour la route : voici la centrale du Bugey
Plus ou moins parallèle à l'aile, la vallée de l'Isère
Chambéry
Le lac du Bourget
A l'extrémité sud du lac du Bourget, la piste (18/36) de l'aéroport de Chambéry – Aix les Bains (CMF)
Elle ne culmine qu'à 1 486 m d'altitude, mais la route du Relais du Mont du Chat est réputée figurer parmi les plus difficiles à grimper en France pour les cyclistes. Vous préférez les 11,8 km à 9,6% de la face est (photo ci-dessous), ou bien les passages à 14% de la face ouest ?
La vallée de l'Isère à nouveau
Sauf erreur de ma part, la vallée de la Maurienne au premier plan
Tentative ratée d'air to air
J'avoue avoir un gros doute sur cette vallée, à peu près à mi-chemin à vol d'oiseau entre les deux paysages précédent et suivant.
Pignerol, en bas à droite, et le confluent du Cluson avec le Pellice
L'autoroute A6 Turin - Savone traverse la vallée du fleuve Stura di Demonte par un viaduc
Le Stura di Demonte et le massif du Mercantour barrant le paysage au fond
L'aéroport de Cuneo (CUF)
Fossano, au centre, et CUF au second plan
Cuneo (Coni en italien), au pied des montagnes
On franchit les montagnes : voici la Riviera italienne
Albenga
L'île Giglio, qu'un capitaine de paquebot de croisière a rendu tragiquement célèbre.
L'île de Giannutri, et ses 27 habitants permanents selon le recensement de 2011
On retrouve la péninsule italienne avec le port de Civitavecchia
Un bassin de pisciculture et un champ de panneau solaire dans la campagne, à quelques kilomètres à l'intérieur des terres à partir de Palidoro.
Le village de Torrimpietra, surtout connu des automobilistes italiens pour sa gare de péage sur l'autoroute A12
L'échangeur sur l'A12 vers Santa Severa
Atterrissage à 10h33, soit STD+78' de retard : il y avait de la marge dans l'horaire
A320 Alitalia
777-200ER Alitalia
787-10 Etihad Airways
A330-300 Delta Air Lines
A319 British Airways
Instant Danette
Débarquement par les deux extrémités de l'avion, par grand beau temps, sur un tarmac où le personnel n'est pas photophobe : de quoi oublier (un peu) le retard
Trois autres A320 : Brussels Airlines
Aer Lingus
Et Aeroflot
FCO fait partie de ces aéroports qui confondent voyage en avion et courses dans un centre commercial.
It's a long way to Rome…
Nous étions alors au prémices de l'arrivée en Europe, et tout particulièrement en Italie, de l'épidémie de Covid-19, et c'est pour la première fois sur ce continent que je vois une contrôle de la température corporelle des PAX à l'arrivée, par du personnel du Ministère de la Santé (au centre) et de la Croix Rouge (à droite).
Au pays du calcio, un babyfoot pour ceux qui trouvent le temps long avant la livraison des bagages
Ici, on peut acheter son billet de train pendant l'attente de ses bagages (Vous me lisez, Paris Aéroports ?).
Landside, le cheminement vers la gare est encore plus long
Lesson learnt : il est plus rapide de traverser la voirie ici (il y a un passage piéton), plutôt que de rentrer dans le terminal pour monter d'un niveau, prendre la passerelle que l'on aperçoit à l'arrière plan et redescendre au niveau du sol.
Au total, 21 minutes pour atteindre le train, y compris quelques minutes d'attente pour acheter nos billets au distributeur : ce n'est pas catastrophique, surtout si l'on compare à FRA, mais ce n'est pas très rapide non plus. Ce train est confortable, mais le confort se paye : 14€ pour le trajet direct jusqu'à la gare de Termini, avec une desserte au quart d'heure.
Je vous propose un bonus sur Rome, en suivant un fil conducteur un peu décalé par rapport aux thèmes classiques de visite de la Ville Éternelle.
C'est une cabine d'A320 avec des sièges pas bien différents en confort de ceux d'AF, à part des accoudoirs plus courts.
L'équipage a fait son travail, à l'exception du pilote qui s'est fait porter pâle. C'est là que l'équipage de réserve d'AF peut faire la différence.
Divertissement ? L'IFE extérieur, bien sûr, dont le programme était bien rempli ce matin là.
Note neutre pour la restauration, limitée au BOB
Fluidité excellente au PIF, mais desserte imposant de facto l'option taxi pour un vol de la première heure à ORY.
Fluidité sans souci à FCO, mais cheminement excessivement long, et train certes confortable, mais cher.
22 Commentaires
Un retard qui ne permet ni de faire bombance ni d'empocher 250 euros mais qui a le mérite, outre de tourner en rond dans ORY, d'offrir un bel éclairage soleil levant.
Nul doute que quelque artiste proposera sous peu de remplacer les Space Invaders par Covid-19.
A bientôt !
Rome est l'une des villes où le taux de mortalité des Space Invaders est le plus élevé, avant même le Covid-19
Merci pour le commentaire !
"Une attente supplémentaire à prévoir à l'arrivée, à rajouter aux deux heures de retard du vol : nous avons encore beaucoup à apprendre de l'art de voyager en LCC." -> J'ai un MOOC en préparation sur l'art et la manière...
"Tiens, un PAX a oublié son mouchoir dans l'aumônière!" -> Quo vadis ou Covid-19?
Un vol et une arrivée qui rappelle que Rome ne s'est pas faite en un jour mais la collation gratuite offerte par easyJet ferait de ce FR une quasi exclusivité!
Pour le bonus, je cite : "Ecco !"
Merci Mètre!
"
On ne dira jamais assez combien les "Je t'aime" peuvent tomber à plat quand on est pressé de partir. ^^
Ne pas trouver l'endroit où déposer son bagage à main en fait partie ?
J'ai eu la prudence de ne pas le réutiliser.
Cet aller-retour sera sous le signe des exclusivités easyJet !
Merci pour le commentaire !
Un bon restauration à 4,5 €... ouai bof. Disons que c'est mieux que rien...
Dommage finalement qu'il n'y ait pas eu plus de retard, ce qui t'aurait permis d'empocher 250€.
Bien le bonus avec les extra terrestres !
A bientôt pour le retour.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Maladie d'un PNT => 250 € x 2 , voilà qui payera le changement de nom :)
Merci pour le commentaire !
Un vol compliqué, même si ce sont des aléas qui arrivent... Je suis étonné qu'EZY n'ait pas de PNT de réserve sur Paris,
De très belles vues aériennes,
A bientôt !
Merci pour le commentaire !
Pas d'erreur de spotting, le maître progresse :)
Dommage de n'avoir pas eu assez de retard pour arriver à prendre le bonus EU !
A bientôt !
A défaut d'indemnisation, nous avons eu le temps de faire du tourisme dans la ville, ce qui était quand même le but du week-end.
A bientôt !
Vol qui n’était heureusement pas à destination de MXP, auquel cas le cadeau aurait plutôt été empoisonné
Malgré le liquide de dégivrage tenace sur le hublot, de superbes vues sur tout le trajet. Avec mêmes quelques vues inédites dont Apple ou Google Map n’ont même pas la primauté. En effet, les prisons ou autres centrales nucléaires sont désormais floutées ou pixélisées
En parlant de pixels, encore un bonus en mode ”Rome comme vous ne l’avez jamais vu” et qui contrairement à l’un de vos précédents dans la citée, ne fait pas la part belle aux pavés. Cette fois, mieux vaut lever les yeux sans toutefois avoir la tête en l'air. Voila un excellent prétexte pour la promenade !
A bientôt
Personne (- dans le grand public au moins - n'imaginait alors un bouclage de régions entières en Europe.
Et aussi les zones militaires, comme par exemple LFXA. Les floutages de ces lieux les rend d'autant plus attirants depuis le hublot d'un avion.
A quoi bon poster un bonus, s'il n'apporte pas un bonus par rapport à ce que tout le monde a déjà vu sur la Toile ?
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Les tarifs sont à peu près les mêmes que Eastern Airways... mais les moins élevés doivent être réservés beaucoup plus tôt
Je confirme: bien que grand arpenteur des rues parisiennes, je n'en vois quasiment jamais!
A bientôt
A quand le premier FR sur un vol Amelia ?
Ils sont rarement dans la direction naturelle du regard, et certains sont bien camouflés.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Un week-end romain à l'improviste c'est une bonne surprise , mais celui ci va se révéler plus compliqué que prévu.
Un retard de 2 heures, c'est long , et le voucher permet juste une viennoiserie et un café.
Super bonus à la recherche des ses petites touches d'invader.
A bientôt
Pour Mme, les désagréments d'un A/R en LCC étaient peu de chose par rapport à l'agrément d'un WE allongé à Rome.
La chasse de quelques invaders faisait partie du compromis conjugal au sujet du programme touristique.
A bientôt !
2h de retard de bon matin, c'est rageant surtout lorsqu'on a écourté sa nuit.
Belle et intéressante promenade géographique : c'est le meilleur moyen de passer son temps dans un vol sans intérêt particulier et d'éduquer les lecteurs.
Visite originale de Rome qui vient compléter celle de Paris sur le même thème : voilà les 1er chapitres d'un guide spécial tout trouvés !
Depuis le FR parisien sur le sujet, je me surprends à régulièrement lever le nez et chasser les aliens... C'est grave docteur ?
A bientôt pour un retour qui s'annonce gratiné !
La nuit inutilement courte était plus gênante rétrospectivement que l'arrivée retardée.
Quand le trajet n'est pas familier, localiser les photos est un jeu de piste prolongeant l'expérience de vol.
C'est très addictif, mais c'est gratuit, cela fait faire de l'exercice et cela fait découvrir des quartiers méconnus. Mme peut ajouter que c'est contagieux.^^
Merci pour le commentaire, à bientôt !
A nouveau le labyrinthe orange d’ORY déroute.
4,5 EUR à ORY, que peut-on acheter ? Un croissant, sourire non compris ?
Salauds de pauvres !
Un pilote malade en trop et pas de personnel sur une base U2 comme ORY ? Surprenant.
Salaud de riche !
Ta série sur les centrales nucléaires te rend suspect !
C’est bien la peine d’essayer - vainement - de te racheter par moult beaux paysages.
Jetons un voile pudique sur le sac de Rome par les Gaulois (vae victis) et celui de 1494 par Charles VIII…
Bonus moderne de Rome dont je comprends mieux les raisons après tes explications récentes.
A la florissante époque pré-Covid-19, U2 n'avait pas de pilote de réserve à ORY. Aujourd'hui, il sont peut-être nombreux... en chômage technique.
Les éoliennes sont beaucoup plus vulnérables que les centrales nucléaires à des attentats, beaucoup moins nombreuses également.
Ce bonus pourrait être le premier d'une longue série, tant sont nombreuses les villes discrètement conquises par des envahisseurs modernes. Reste à pouvoir prendre à nouveau l'avion pour aller à leur rencontre.
Merci pour le commentaire !
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