Avis du vol entre Paris et Istanbul en classe Economique avec Turkish Airlines

Vers lA porte de l'Asie

Bonjour, je vous présente mon second Flight-Report. Il date un peu mais depuis trois semaines j'ai pas mal de temps chez moi à cause de ce foutu COVID-19. Et comme plus personne ne peut voler (ou très peu) cela fera un peu de lecture pour tout ceux qui apprécient l'aviation civile par exemple.

Tout commence donc à Roissy Charles de Gaulle T1. Un premier vol doit m'emmener vers Istanbul avant de repartir pour une autre destination. Je n'ai pas mis les pieds sur le sol turque depuis mes 14 ans (j'en ai 38 aujourd'hui) lors d'un très joli voyage en famille. La foule des grands jours de départ est présente. Etant donné que j'ai de gros problèmes avec les horaires, j'arrive en avance, je ne sais pas faire autrement c'est comme cela.  

Le vol est annoncé à l'heure, c'est parfait. Une longue file d'attente serpente devant les comptoirs de Turkish Airlines. C'est enfin mon tour, aucun problèmes avec mes documents de vol, je peux quitter cet endroit et m'aventurer vers le passage de la douane.

Je n'ai fait qu'un tour très rapide au Duty Free n'ayant rien à acheter. Des passagers de plusieurs vols sont regroupés dans une zone d'embarquement plutôt petite, un seul Relais H, un seul WC, pas de zone fumeur … c'est pauvre en distraction.

Décollage (que je n'ai pas filmé cette fois). Le strict nécessaire est là: couverture rouge, coussin, casque pour IFE. L'espace est convenable, j'ai encore quelques centimètres devant les genoux en me tenant bien calé dans le siège. L'écran est standard. Après avoir eu le droit à une première boisson et quelques gâteaux salés, le plateau repas arrive rapidement: pâtes sauce tomate, crudités sauce blanche, un désert. Rien d'exceptionnel donc mais cela nourri son homme malgré tout.
Concernant l'IFE je n'y ai pas trouvé mon bonheur, je suis peut-être trop difficile.

Le reste du vol s'est déroulé sans encombre: beau temps, aucune turbulence, Cabin Crew sympa, attentionné et dynamique. J'arrive à Istanbul dans un aéroport immense et flambant neuf. N'ayant qu'un peu plus d'une heure à peine avant de décoller à nouveau, je ne pars pas explorer très loin me concentrant sur les quelques magasins proches, les toilettes pour me rafraîchir et la zone fumeur avec vue sur le tarmac.