Avis du vol entre Paris et Toulouse en classe Economique avec Air France

Bonjour tout le monde. J'espère que vous allez bien! Bienvenue sur ce troisième et dernier épisode de mon voyage en 3 étapes entre Vancouver au Canada et Toulouse en France. Aujourd'hui je vais vous parler du segment Paris (CDG) - Toulouse (TLS). 

Je suis arrivé le matin même à 07h35 à Charles-De-Gaulle. Mon vol pour Toulouse ne partant que le soir à 17h40 j'ai donc pris un peu de repos dans l'Ibis de l'aéroport. Aux alentours de 13h je quitte l'Ibis et je me rends dans le Terminal 2F où sont situés les vols domestiques d'Air France.

Le programme des vols d'aujourd'hui. Il est plutôt vide par rapport aux temps normaux mais malgré tout bien plus rempli que ceux que j'ai pu voir jusqu'à maintenant depuis mon départ de Vancouver (YVR). L'embarquement pour mon vol, l'AF7524 se fera à 17h40.

Je me rends aux bornes d'enregistrement. Comme tous mes bagages en soutes sont à priori bien en transit je n'ai pas d'étiquettes à imprimer et je reçois directement ma carte d'embarquement.

Je serai assis au siège 33F à l'aile droite côté hublot vers l'arrière de l'avion.
 Je me dirige donc directement vers l'embarquement. Un seul "comptoir" de contrôle sécurité est ouvert. Peu de personnes attendent. 

Mon passage prendra malgré tout une petite vingtaine de minute.

Sur mon chemin vers la porte F33. Seule une boutique de Duty Free est ouverte.

 Je m'arrête dans un Relay histoire de trouver quelque chose à me mettre sous la dent vu que je n'ai pas mangé depuis près de 10 heures. A ma grande surprise il n'y a plus de sandwichs, de salades, ou de plats préparés. Tout est vide. Le gérant du Relay m'explique que tout est parti avant 12h. Même les personnels d'aéroports et les PN n'ont pu avoir de quoi manger. Il me dit qu'aucun responsable n'est présent dans l'aéroport aujourd'hui et qu'en bref tout le monde rejette un peu la faute de cette rupture de stock sur quelqu'un d'autre. Je repartirai donc avec une bouteille d'eau, un Bounty et des biscuits Gerblé.

J'arrive à la porte F33 bien en avance. Il y a déjà quelques personnes qui attendent. Il doit être aux alentours de 14h30. J'attendrai là pendant près de 2 heures.

Finalement l'embarquement est lancé avec 10 minutes de retard.

L'avion du jour sera le F-GMZA, un A321.

Un A318 est stationné à la gauche de notre avion.

J'arrive finalement à mon siège. La WiFi sera présente à bord. L'espace jambe est assez grand. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai généralement l'impression d'avoir plus d'espace sur les vols domestiques d'AF que sur les vols LC.
Cette fois-ci (contrairement à mon vol de la veille chez AF), la distanciation sociale est respectée avec un siège vide entre chaque passager. Ce siège vide fausse également un peu ma notion d'espace.

La notice de sécurité.

Nous repoussons avec 20 minutes de retard. Lors de l'annonce du CDB, ce-dernier nous apprend que la durée du vol sera de 1h20 ce qui est un peu plus long que d'habitude. En cause: des orages au-dessus du Massif Central qui nous obligeront à dévier notre route légèrement vers l'Ouest, allongeant la durée du vol.
Les PNC quant à eux nous annoncent juste après qu'il n'y aura pas de service de catering pendant le vol. 

Pendant le roulage nous passons à côté du bâtiment Corporate d'Air France…

puis devant le Concorde…

puis devant un A330, toujours d'Air France.

Nous décollons finalement aux alentours de 18h soit avec 20 minutes de retard.

Décollant face à l'Ouest, l'avion ne vire pas avant un certain temps. On rejoint l'altitude de croisière. J'en profite pour tester la WiFi qui fonctionne plus correctement cette fois-ci (encore une fois contrairement à mon vol de la veille). 

Pendant le vol l'avion vire plusieurs fois pour se frayer un chemin entre les Cumulonimbus. Le vol se déroule normalement avec quelques petites turbulences. Aucun service de catering n'est assuré.

Ces nuages sont très beaux avec leur enclume, mais ils sont également très impressionnants.

Nous arrivons très vite à proximité de Toulouse et nous engageons la descente. Je sens à pendant la descente, que l'avion suit une pente plus abrupte que d'habitude (certainement volonté de l'équipage de rester en croisière un peu plus longtemps pour rattraper le retard).

Nous nous posons finalement vers 19h sous un temps orageux. Comme nous avons atterri face au Sud, j'ai un superbe point de vue sur les usines Airbus.

Nous sommes arrêtés à 19h06. A l'heure.

Le débarquement se déroule sans encombre.

Dernier coup d’œil à notre avion.

A la sortie de l'avion, du personnel de la Police Nationale vérifie les attestations de déplacement des passagers. On me pose quelques questions pour savoir notamment d'où je viens et ce que je vais faire à Toulouse.

Je vais enfin pouvoir récupérer mes bagages.

Je les recevrai directement à mon arrivée au tapis numéro 7.

Après avoir parcouru un peu plus de 8 000 kilomètres en à peu près 48 heures j'arrive enfin à Toulouse.