#23 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Bonjour à toutes et à tous.
Après une interruption pour fêter un anniversaire comme il se doit, il est temps de reprendre le cours des choses avec l'un des plus gros segments de ce voyage: le vol AF pour Tokyo, à une époque où le confinement en France n'était pas encore à l'ordre du jour.
Au cas où certains auraient besoin de se rafraîchir la mémoire. Que ceux qui n'ont pas lu le début, repartent immédiatement lire le prologue, sinon vous ne suivrez pas.
C'est dans le couloir de sortie que je vous avais laissé.
La porte de notre vol reste inchangée mais il faut quand même compter 25 minutes pour l'atteindre.
Même s'il y a un peu de monde, le transit à CDG est plutôt agréable par rapport à d'habitude.
Passage de la PAF en un éclair mais pas de tampons sur le passeport. C'est nul quand on voit l'argent dépensé pour un "livret" officiel…
Direction les portes L.
Fais cooo-mme l'oiseau, ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau…
Au fond, le F-GSPJ se prépare pour Los Angeles (LAX). Au premier plan, le F-HRBC, revenu de Panama City (PTY). Il y retournera le lendemain. Et entre les deux, notre oiseau du jour, le F-GSPR.
A droite donc.
Passage devant l'accès au lounge AF du hall L. Ce ne sera pas aujourd'hui.
Nous voilà devant notre porte. Détail amusant: juste en face, se trouve un YO! Sushi. De quoi faire "couleur locale" avant l'heure…
L'embarquement sera des plus chaotiques: les priorités ne seront pas du tout respectées, pas de prise de température et les distanciations sociales n'existeront pas. En même temps, elles n'étaient pas encore été instaurés le jour du vol.
Le contrôle identité sera effectué par un agent de sûreté. Ce même agent vous demandera si vous êtes allés à l'étranger, plus particulièrement en Chine au cours de l'année passée ou des symptômes du covid-19 peu avant le vol, ce qui n'est pas mon cas.
Les passagers à mobilité réduite ainsi que les passagers SkyPriority sont sur le point de pré-embarquer. Le départ du vol est prévu à l'heure.
15h08, soit 2 minutes avant le début de l'embarquement, le départ de l'avion sera retardé de 10 minutes. L'équipe d'embarquement fera une annonce quant au retard liée à l'attente du feu vert de l'équipage. Une annonce qui sera faite en français, en anglais et en japonais.
Il est alors 15h15, que le moniteur indique que l'embarquement est suspendu pour une durée indéterminée. Aucune annonce ne sera faite.
(Même si personnellement, je pense que c'est l'appareil qui n'était pas encore prêt parce qu'il est arrivé à sa porte il y a à peine 45 minutes…).
L'embarquement sera finalement lancé à 15h25.
Si l'avion est prêt à nous accueillir, il est encore occupé à manger. C'est qu'il va avoir besoin de forces pour faire 9 700 km.
Bonjour Professeur 777.
Mes devoirs Monsieur le Père Fouettard.
Accueil très aimable de la PNC culturelle. Je tenterai d'ailleurs s'il est possible s'il reste de la place de passer en Business mais m'orientera vers le CCP. Ce dernier reviendra vers moi une fois l'embarquement terminé.
Passage devant la Business et ces cabines ma foi tentantes…
… puis devant la Premium Eco qui elle, fait moins rêver.
Nous voilà à notre siège, le 23E. Situé juste après la cabine W. Un coussin et un drap sous vide sont déposés sur chaque siège.
Malgré le fait d'être assis en première rangée, le pitch est quand même juste pour 1,80m. A noter que la télécommande située en bas à gauche est difficile d'accès quand la tablette est dépliée.
Une prise pour charger son smartphone est disponible sous le siège.
Test Horatius, OK.
Casque.
Sur le vol précédent, le magazine AF datait encore de janvier. Cette fois, nous aurons le numéro du mois. Ce dernier met les terres de deux modérateurs à l'honneur. Ça ne peut d'ailleurs pas être plus pertinent parce que ce sont eux qui fixent "la règle du jeu"…
La flotte. Je remarque que la mise à jour n'a pas été faite.
Pour info, le 1er A380 sur les 10 a été retiré du service le 1er janvier 2020 avant que les autres ne suivent progressivement. Autrement dit, AF disposait encore des 9 A380 restants au moment du vol… Avant que la crise sanitaire n'ait permis au transporteur tricolore de les retirer immédiatement.
La safety card.
Mon IFE.
L'offre en divertissements est plutôt généreuse. Le fait que nous volons le 1er du nouveau mois, il est possible de retrouver des films qui figuraient au programme du mois écoulé mais plus dans celui du nouveau mois.
On repousse à 16h06. Le Commandant de bord fera les présentations et informera les passagers d'un équipage polyglotte: en plus du français, de l'anglais et du japonais (destination oblige), s'ajoute de l'espagnol, de l'italien et même du suédois.
S'en suit alors l'indémodable (mais qui devrait être renouvelée pour autant) safety video, que je devrai regarder sur les moniteurs car étant assis en première rangée, l'IFE se doit d'être rangé pendant les phases de roulage, décollage et atterrissage.
Au cours du roulage, un avion retiendra davantage mon attention que la safety video.
En effet, on spottera l'un des 9 superjumbos qu'AF disposait encore à l'époque. Et pas n'importe lequel, puisqu'il s'agit ni plus ni moins du F-HPJF, L'A380 qui opéra le tout dernier vol commercial entre Johannesburg (JNB) et Paris le 23 mars 2020. Maintenant, il est définitivement stocké à l'aéroport de Teruel en Espagne… :((
Comme diraient les bûcherons en français, ATTENTION, CHUTE IMMINENTE!!!!
Nous décollerons à 16h22. C'est alors qu'une minute plus tôt, soit juste au moment où on s'aligne sur la piste, que le coffre à bagages en Premium Eco s'ouvre comme par magie. Un des passagers se lèvera et tentera alors de le refermer mais l'équipage ordonnera depuis leurs sièges de retourner s'asseoir. malgré le risque de chute des bagages cabine au cours de l'ascension. Fort heureusement, aucun bagage ne tombera.
Le coffre ne sera refermé qu'une fois en vol. Dès que les PNC seront libérés, fermé le mur devant moi et tiré le rideau.
Peu avant le jour du vol, le service apéritif a certes été supprimé en Y mais reste en vigueur en J. Le CCP revient enfin vers moi quant à ma requête, qui s'est bien évidemment soldée sur un échec. En guise de consolation, il m'offrira un mini-verre de champagne ainsi que des noix.
Les menus papiers sont distribués avec une serviette rafraîchissante.
Alors, qu'avons-nous de bon sur ce vol?
Mauvais point pour AF: le transporteur tricolore ne divulgue sur son site aucune information quant au menu du jour que nous avons sur notre vol; le passager ne le connaît qu'une fois à bord. Et ce, quelle que soit sa classe de voyage. Cela laisse l'impression de jouer à la loterie quant aux repas à bord, contrairement à LH ou EK qui eux, le communiquent sur leur site. Même si le billet n'est pas acheté !
Pour le pays qui se revendique être celui de la gastronomie, ça fait tache…
Bon point pour AF: La possibilité de voir le menu du jour sur l'IFE.
AF en profite également pour promouvoir les menus à la carte. Une promotion qui, à mes yeux n'a pas sa place ici car l'option doit être souscrite au plus tard 48 heures avant le départ. De plus, AF ne précise pas dans l'interface les conditions pour en bénéficier.
Ce que les menus proposaient le jour du vol ainsi que leur prix à l'achat. Dans l'ordre chronologique, le Menu Fauchon:
My fun menu:
Menu Océan:
Menu Healthy:
Menu Tradition:
Menu Italia:
Nous survolons les environs de Berlin quand le premier service débute.
Au moment où je serai servi, je surprendrai la PNC de ma rangée dire à sa collègue située de l'autre côté qu'il est l'heure de fermer les hublots. Et ce, à voix haute…
L'entrée: Boulgour façon taboulé.
Bien que les deux choix étaient tentants, je suis parti sur le poulet sauce chasseur, qui semble être devenu un classique ces derniers temps…
Les couverts. Mis à part le fait que cette fois, ils sont en bois biodégradable, rien ne change par rapport à la concurrence alors que le Japon est l'un des pays les plus sûrs et les plus pacifiques qu'on connaisse…
En guise de fromage, nous nous contenterons d'une portion symbolique de camembert président, ni crémeux, ni coulant à souhait. AF s'est certainement inspirée d'une célèbre citation d'un ancien "président", Charles De Gaulle: "Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe 258 variétés de fromages?"
Et enfin le dessert: un gâteau que j'appelle un PAR-BES.
(pour ceux qui ne comprennent pas, PAR est le code IATA de tous les aéroports de Paris et BES celui de Brest).
Le repas sera bon mais sans plus. Compactage à la marathon… Enfin presque…
Un thé vert apportera le point final de ce repas.
Kanpai ! Tantei Pikachu !
Une fois le repas débarrassé, les cartes d'immigration sont distribués. Pas de formulaire spécial covid-19 ne sera distribué à l'époque.
Un petit saut aux toilettes, qui seront propres.
Bien sûr, on n'oublie pas…
Instant porte intérieure de nuit.
L'offre au galley pendant le vol.
Le temps de regarder un autre film, que je décide d'aller me coucher.
Une glace à la fraise sera servi par l'équipage en cours de vol…
La cabine est rallumée 90 minutes avant l'atterrissage. Le mood-lightning est d'un blanc assez agressif.
Ceux qui voyagent le savent, il y a deux repas servis sur LC sur AF.
Mais avez-vous remarqué quelque chose d'étrange sur ce vol? Bien que le menu sur le papier et celui sur l'IFE concordent, le menu papier précise qu'il n'y a QU'UN SEUL REPAS sur ce vol !
Il faudra alors regarder sur l'IFE pour voir de quoi est constitué le petit-déj.
Le petit-déjeuner est apporté dans un sac. Avec comme plat chaud, une pizza de poche.
Que le sac donne un air "chic", OK, d'accord. Que cela soit pratique pour l'équipage pour ce qui est de le distribuer au passager, à la rigueur… Mais point de vue passager, c'est beaucoup plus laborieux quant à manipuler les produits.
C'est même à la limite de ce que la tablette peut accepter. De plus, cela peut laisser des tâches sur le long-terme, obligeant soit un nettoyage plus long entre deux-vols, soit une cabine qui ne donnera pas envie de voler à l'avenir, tellement elle sera sale.
Le petit-déj sera bon sans être transcendant mais hyper nourrissant.
Compactage bis.
Il nous reste une grosse demi-heure avant notre atterrissage. On continue de faire le détour…
Un film quant à l'arrivée sera diffusé sur les moniteurs quant à la procédure à notre arrivée. Bien que cela parte d'une bonne intention, cela concerne l'arrivée à l'aéroport de Roissy. Pas pour les aéroports étrangers…
Destination en vue…
Pas de photos de l'atterrissage. Nous arrivons en porte avec 20 minutes d'avance en compagnie d'un 777-200ER de Korean Air sur le départ pour Séoul Incheon (ICN).
Prise de congé de l'équipage. Un panneau rappelle aux passagers de récupérer leurs bagages au tapis bagage en cas de correspondance nationale.
Spotting de cet A330-300 Eva Air qui repart pour Taipei (TPE).
C'est là que la route sépare les passagers ayant une correspondance internationale de ceux qui ont pour HND, la destination finale (ou une correspondance domestique).
Le Japon, bien que géographiquement plus proche de la Chine par rapport à la France, a déjà mis en place des procédures sanitaires à l'immigration, comme les détecteurs de température.
Ma valise m'attend au tapis C.
Bienvenue au Japon. Et c'est en compagnie de Miraitowa (ミライトワ) et Someity (ソメイティ ), respectivement mascottes des jeux olympiques et paralympiques initialement prévus cet été, que ce FR touche à sa fin. J'espère que ce vol vous aura plu. Si c'est le cas, n'hésitez surtout pas à lever le pouce et laisser un commentaire, cela me ferait très plaisir. En ce qui me concerne, je vous dis à bientôt pour la suite de ce voyage.
Entre le Paris-Tokyo Narita et celui-ci, qu'est-ce qui est mieux ?
Ici, nous avons eu la cabine Best ici contre la vieille NEV3/4 pour l'autre segment. Malgré un siège et un IFE moderne, je constate que l'espace de vie était un tout petit peu moins généreux que l'autre en comparaison.
Pour ce qui est de l'équipage, entre les deux, on retrouve la même chose.
Niveau divertissements, l'offre en programme est riche et cela n'a pas bougé depuis. Néanmoins, l'avantage est donné à celui-ci pour l'IFE couvrant plus d'informations en général par rapport aux appareils dotés des anciennes cabines.
Enfin, la restauration, encore une fois, ça se tient en général mais la différence de prestation saute à vue d’œil notamment pour le petit-déjeuner avec ce sac soi-disant "chic". La pizza, bien qu'elle ait été bonne, est assez bourrative. Tout comme elle ne fait pas très "couleur locale"...
CDG: Bien que le trafic était encore "soutenu" à l'époque, il était plutôt facile de se retrouver.
HND: Aéroport top malgré un chemin arrivée un peu long.
SI entre les deux aéroports tokyoïtes, l'avantage est donné à HND pour sa proximité de la capitale par rapport à NRT, l'expérience de vol finale entre les deux vols reste toutefois très similaire.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 31 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Tokyo (HND).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Japan Airlines avec 8,1/10.
La durée moyenne des vols est de 12 heures et 9 minutes.
Plus d'informations
16 Commentaires
Expérience correcte pour ce vol. Peut-être que le pitch en 1e rangée a été réduit avec la configuration Best, les spécialistes auront certainement une réponse à ce sujet :)
J'aime bien la carte d'identité de l'avion, les détails proviennent de quel site ?
Le coffre à bagages ouvert en plein décollage n'est pas très rassurant ! Je n'aurais pas voulu être assis juste en dessous...
Le plateau-repas a l'air petit et le sac est maintenant connu pour être la star du cost-cutting sur la 2e prestation...
Je comprends pas pourquoi les PNCs ont voulu fermer les hublots en pleine distribution de la 1e prestation...il est quand même plus agréable de manger avec la lumière du jour, ça ne devait pas déranger grand monde, vu que j'imagine au moins 90% des personnes ont pris le plateau-repas...
A bientôt.
Peut-être. Si un spécialiste lit ce commentaire, je suis preneur.
Je la monte moi-même. Un peu comme une "signature". :)
En temps normal oui. Mais au moment de l'annonce et la prise de la photo quant aux hublots baissés, la nuit était assez présente, ce qui est encore plus absurde quant à devoir abaisser les cache-hublots.
A bientôt. ;)
Merci pour le commentaire. ;)
"C'est nul quand on voit l'argent dépensé pour un "livret" officiel…"
Je n'ai pas compris l'allusion ???
"les passagers SkyPriority sont sur le point de pré-embarquer."
Donc il y a eu un respect des priorités !
Un premier rang qui n'offre pas le confort supplémentaire espéré
"En guise de consolation, il m'offrira un mini-verre de champagne ainsi que des noix"
L'instant pax privilégié ;)
Vous pensiez vous upgrader avec vos miles ?
" je suis parti sur le poulet sauce chasseur, qui semble être devenu un classique ces derniers temps…"
Un classique qui semble avoir besoin d'être revisité ^^
" le Japon est l'un des pays les plus sûrs et les plus pacifiques qu'on connaisse…"
https://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Japon-condamne-a-mort-pour-le-meurtre-au-couteau-de-19-personnes-handicapees-1678940
https://www.leparisien.fr/faits-divers/japon-une-attaque-au-couteau-contre-des-ecolieres-fait-deux-morts-et-16-blesses-28-05-2019-8081301.php
Il y a des exceptions à tout !
"Pas de formulaire spécial covid-19 ne sera distribué à l'époque."
A l'époque le Japon voulait encore à tout prix maintenir les jeux olympiques
"Mais point de vue passager, c'est beaucoup plus laborieux quant à manipuler les produits"
Au delà de vos remarques on peut aussi s'interroger sur la multiplication des emballages, cellophanes, etc...
Pour une compagnie qui cherche à faire du greenwashing ça fait tache
Un vol en demi-teinte (et même rapidement obscur avec la fermeture des hublots!) :
on y retrouve les habituels forces et faiblesses AF
A bientôt
Quand on voyage à l'étranger, les autorités préconisent le passeport plutôt que la carte d'identité. Quand on ne voyage qu'une fois par an et que le passeport coûte environ 170€ pour au final ne pas avoir de tampon dessus, c'est comme faire une dépense à perte.
Alors imaginons une personne ayant une double nationalité (dont une appartenant à l'espace Schengen) ; il paie deux fois le prix du passeport pour au final n'avoir de tampons sur aucun des deux. C'est dire le montant qu'il a dû dépenser...
AF pratique le zone-boarding (1-2-3-4-5) et sur mon BP, j'étais en zone 5. Autrement dit, je ne suis autorisé à embarquer qu'en tout dernier, billet TO et le moins cher oblige. Si les 2 premières zones sont SP et que les priorités ont été respectées, ce n'était pas le cas pour les 3 zones Y restantes. L'agent de sécurité me dit que je peux avancer et m'a laissé passer alors qu'il est censé vérifier que les passagers se présentant à lui appartiennent à la zone 3.
Bien que j'apprécie sa "faveur", je pense aux personnels au sol d'AF qui doivent faire le contrôle des identités à l'embarquement : en plus de faire le travail de l'agent de sécurité ici, ils doivent vérifier que le numéro de zone figure parmi ceux acceptés par l'équipe d'embarquement. Dans le cas contraire, le passager est mis de côté jusqu'à ce que son numéro de zone soit appelé.
On peut dire ça comme ça. C'était une astuce que j'ai trouvé sur Internet pour se faire "upgrader". Mais que je retenterai plus vu que ça échoue à chaque fois.
Jusqu'au 24 mars 2020 où les autorités japoanises officialisent le report.
Alors quand on trouve sur un vol CC ou MC un gobelet #AFtakescare qui invite le passager à "réduire les déchets" en le "réutilisant" alors qu'il n'y a qu'un seul service à bord, cherchez l'erreur ! ;)
A bientôt. ;)
Il vaut mieux qu'il soit repu et partir un peu en retard.
pas à ce point là ^^ mais on peut sortir le fouet.
reflex mais qui n'est pas très sécuritaire.
ce que je trouve dommage, et qui si le menu ne plait pas laisse la possibilité de commander un menu payant en supplément.
Un petit déjeuner avec une pizza bien grasse c'est rédhibitoire pour moi.
A bientôt
N'empêche que c'était plutôt bien trouvé. :D
Surtout au moment où les réacteurs allaient enfin se défouler !
Tout à fait d'accord. Même si on a la "possibilité" de se rabattre sur un menu payant, la mécanique est assez complexe entre les conditions d'accès, le fait d'avoir une réservation confirmée (pas réussi à souscrire l'option au moment de l'achat) ou encore attendre un certain délai. Sans parler du covid-19 qui a certainement interrompu l'offre pour une durée indéterminée. A moins que quelqu'un ait davantage d'informations à ce sujet...
Ceci dit, si même les menus à la carte proposés ne sont pas tentants, il ne reste plus qu'aller voir la concurrence. C'est aussi simple que ça.
A bientôt ;)
Le Japon est une destination de choix !
Le siège derrière la cloison séparant la classe éco de l'éco + est une bonne option, celui côté couloir avec le fauteuil sans voisin de devant aussi... Au risque de se faire écraser les pieds par le chariot, (expérience vécue !) ^^
Contrairement à toi, Je trouve le choix de repas payant judicieux... Ayant testé le produit, j'avais été séduit par la qualité des produit, ça change de la tambouille servie à bord, et le menu avec des phrases ronflantes me fait bien rigoler... :))
Il est dommage que AF ne serve plus l'apéro en Y, la France est le pays de cette tradition...
"Je vais me coucher"=> Ou plutôt m'assoeir ! Confondre la First et l'éco est osé ! Lol
Le sac du petit déjeuner est fourni, mais pas très pratique lorsqu'il faut sortir les aliments du contenant.
Le point hautement positif à bord, est l'IFE avec la profusion de films et de musique.
Un vol malgré tout agréable.
Merci pour le partage, à bientôt !
Je te rassure tout de suite: je suis comme toi, je suis promoteur des menus à la carte. Et en guise de preuve, j'ai fait l'expérience sur le vol retour (FR en cours de rédaction).
Seulement, je l'ai dit de faisant en sorte me mettre à la place d'un passager lambda. Un passager lambda qui a choisi de voler sur AF pour x raisons (non FB, qui voyage ponctuellement, qui a choisi AF pour patriotisme ou parce que c'est le vol le moins cher...).
Au moment où il s'installe, il tombe "par hasard" sur l'onglet menu à la carte à bord. Et en comparant les menus payants au menu du jour, il se dit être intéressé par l'un des menus payants. Il demande à un PNC tel menu pour son repas mais le PNC lui répond que ce n'est pas possible car il faut le souscrire à l'avance. C'est déjà une première déception pour le passager. A la fin du vol, il va donc tenter de souscrire le repas qu'il a trouvé pour le vol retour. Problème: le repas qu'il a choisi peut n'être disponible qu'au départ de Paris. Par conséquent, le passager est déçu à deux reprises.
Bien que le but du site soit de donner des idées de voyage, il faut également faire en sorte d'informer les passagers, fréquents comme lambdas les astuces et les pièges à éviter pour qu'on ait un bon vol.
Déjà qu'il était extrêmement difficile de "dormir" sur un pareil siège. Tu m'as donné une bonne idée. Je vais rejoindre "l'élite" (en référence au niveau des statuts FB). Lol.
Alors qu'est-ce cela aurait été si on renverse le petit-déj sur soi ? Je ne veux même pas y penser...
A bientôt. ;)
"me mettre à la place d'un passager lambda." => Voyageant très rarement en LC avec AF, je me considère comme un pax lambda, donc lorsque je réserve un vol sur le site de notre chère compagnie, je sais dès le départ que les menus payants sont proposés la plupart du temps au départ de Paris, et qu'il n'est pas possible une fois à bord d'en acheter un... En fait, le voyageur occasionnel,ne prends pas la peine de regarder les offres proposées, (bagages, catering, surclassement...), comme tu le dit, ne regardant que l'aspect financier du billet... Il ne peut pas se plaindre, ou être déçu une fois à bord. La compagnie a communiquée clairement sur son site, à mon humble avis, il est de la responsabilité du client d'être plus attentif lors de la réservation...
Je ne me fais pas l'avocat du diable sur ce coup, mais AF n'y est pour rien dans l'affaire... ^^
Belle journée à toi, à bientôt.
C'est ce que j'essayais de dire. Ou bien je ne l'ai pas bien expliqué ou bien il y a eu un quiproquo, mais quoiqu'il en soit, nous sommes tous les deux sur la même longueur d'onde et c'est le plus important dans l'histoire. :)
Belle journée à toi. ;)
Dommage de ne pas avoir pu profiter d'un surclassement.
Le premier plateau fait très envie, mais le petit déjeuner est très limite avec cette pizza "petit déjeuner", c'est un peu une farce et pas du tout adaptée ni au goût français ou japonais.
A bientôt !
Et j'en ai un meilleur en réserve. Tu m'en diras des nouvelles.
Un peu oui. Mais d'un autre côté, mon objectif était de comparer le produit entre NRT et HND. Et dans ce sens, je m'estime satisfait.
Le cost-cutting était quand même déjà présent avec l'introduction du sac "bon appétit". Si c'était un vol à destination des Etats-Unis et éventuellement le Canada, le plateau-repas tel que proposé passerait encore. Mais pour le Japon, c'est tout autre chose...
A bientôt. ;)
Étrange d'avoir décollé malgré le coffre à bagages ouvert; ce n'est pas très secure tout ça...
À bord, le CCP aura eu une attitude agréable en vous apportant du champagne et un en-cas malgré l'échec de la tentative de surclassement.
On retrouve le poulet sauce chasseur et le Paris-Brest que j'aime bien (et qui m'étaient effectivement proposés sur les trois LC AF que j'ai faits en Janvier et Février).
En revanche, on retrouve aussi ce terrible sac petit-déjeuner et son affreux "piz-wich" graisseux, que je trouve on ne peut plus inadapté à une prestation pdj. Malheureusement, avec la crise actuelle, le plateau n'est pas près de faire son retour en deuxième prestation sur les LC AF... et le sac "bon appétit" se retrouve même en J!
Globalement, ces vols sur HND restent quand même préférables aux vols sur NRT puisqu'ils permettent systématiquement d'avoir droit à une cabine BEST et à l'excellent IFE qui va avec.
À bientôt!
J'espère sincèrement que le sac "bon appétit" en J ne soit que ponctuel et que le service habituel reprendra quant la crise sera définitivement derrière nous. Mais avec les "cost-cuttings" en cours, c'est loin d'être gagné...
C'est vrai, surtout pour les sièges "Cirrus" en J.
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