Avis du vol entre Munich et Paris en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour à tous,

Suite de cette série de vols LH, avec cette fois-ci le MUC/CDG. 

Après avoir quitté l'A319 du vol précédent, on retrouve l'aéroport de Munich où la vie reprend doucement son cours.

Ce salon est fermé, comme presque tous à MUC, à l'exception d'un salon business en zone Schengen et d'un salon Senator en zone non Schengen.

Cette photo prise après mon passage montre une certaine file d'attente pour accéder au St Graal, mais ce n'était pas le cas lors de mon entrée.

Quelques images de ce salon J.

L'offre était composée de quelques entrées et desserts pré-emballés, de bretzels, biscuits apéritifs, bonbons, barres chocolatées emballés individuellement. Les pochettes beiges contiennent les couverts.

Le bar est disponible sur demande à un(e) employé(e), tout comme une petite offre chaude (soupe et viande).

Seconde sélection, les gaufrettes Manner me rappellent l'époque viennoise.

La sortie se faisait par une porte différente de l'entrée, et dans le salon les salles de repos, de téléphone et de douche étaient fermées, aux toilettes un urinoir sur 2 était également condamné.

Notre avion au contact, il s'agit de D-AISF, un A321 de 20 ans nommé Lippstadt. Notez les 2 passerelles connectées, plutôt rare sur un A321, sauf peut-être chez LH.

L'embarquement aura du retard, à cause d'une arrivée tardive de l'appareil nous a-t-on dit (l'excuse en bois par excellence^^).
Pas vraiment d'embarquement prioritaire, même si les pax du groupe 1 peuvent embarquer quand ils veulent. Un agent s'égosillera d'ailleurs pour demander aux pax de respecter les distances, ce qui est d'une grande utilité quand on connaît les distances entre chaque pax une fois dans l'avion… 
Embarquement par la porte 2L, avec une passerelle bleutée. 

Etant assis entre les portes 1 et 2, cela m'a permis d'être tranquille lors de l'embarquement.
L'avion sera quasi full, tous les sièges de ma rangée seront occupés. 

Le pas est correct, pour la durée du vol on n'est de toute façon jamais exigeant.

Notre voisin lointain est un CRJ900 de LH Cityline.

Un collègue sharkletisé arrive.

C'est finalement avec 25min de retard que nous quittons le terminal.

Divers spécimen du LH Group aperçus lors du roulage.

Le roulage est court, et on aperçoit un 772LR d'Emirates qui prend son envol.

On s'aligne, un A320NEO nous suit.

Jetzt geht's los !

Rotation.

Quelques avions stockés ici et là.

.

Virage à droite nous permettant de voir l'aéroport.

Le temps est dégagé.

Pour le service, c'est encore et toujours Zaza qui régale, ni plus, ni moins.

Safety card et présentation du système Flynet.

Sur ce vol, pas de forfaits payants, une connexion internet gratuite mais basique.

On arrive à charger un FR, mais pour les images on repassera. Aucun problème pour discuter sur Whatsapp.

Je joue un peu à flightradar, les cartes ont aussi du mal à se charger.
On fait la course avec le MUC/CDG de Hop. 

La paperasse à remplir pour revenir au bled, on se croirait un peu en URSS ! La grande feuille sera ramassée par les PNC, les 2 petites resteront dans ma sacoche et n'intéresseront  pas les autorités dans la lutte contre le vicieux virus, comme dirait Kim !

Nous survolons Luxembourg.

Je suis au 3ème rang de la cabine éco.

On commence la descente.

Volets sortis pour une approche face à l'ouest.

Atterrissage au Sud, suivi d'un freinage vigoureux. On a une dizaine de minutes de retard.

Le T2E avec notamment 2 avions d'Air Austral et un Dreamliner de Royal Air Maroc.

AF, CA et EK dans le coin.

Un Embraer de LOT, compagnie qui sera peut-être au programme le mois prochain.

On se gare finalement à côté d'un A319 d'OS qui me rappelle le bon vieux temps !

Le débarquement se fait toujours par rangées, d'où l'intérêt de se mettre à l'avant de l'avion, surtout qu'à CDG il y a la PAF à passer.

Traversée du 2A puis du 2C, ce qui prend quand même un certain temps. Je me retrouve ensuite à la gare du CDGval, dont la fréquence est réduite à la portion congrue, avec seulement une rame toutes les 10min, quand les considérations économiques reprennent le dessus par rapport aux considérations sanitaires…

Devant ensuite attraper un covoiturage qui partait de la porte de St Ouen, je zappe mon bus habituel (le 93 qui va à Bobigny Pablo Picasso) pour prendre le 350 vers la porte de la Chapelle. C'est un peu longuet mais la bonne nouvelle est que cette ligne de bus est maintenant accessible contre un seul ticket T+, alors qu'avant il en fallait 3 pour rejoindre Paris.