Avis du vol entre Paris et Brive-la-Gaillarde en classe Economique avec Amelia

Bonjour à tous,
Voici le dernier opus du périple niçois qui nous ramène à BVE, la destination à la mode ces derniers temps.^^
Rappel du routing : 

Nous nous retrouvons au cours du cheminement de correspondance. A ce stade, Transferts et bagages suivent la même direction. Heureusement ils bifurquent.  

La porte C20 étant proche de notre point d'arrivée et du salon éphémère, nous nous y autorisons un rapide passage. 
En deux jours, le décor n'a pas changé et l'affluence est limitée. 

Sélection du jour.

Nous emportons quelques bouteilles d'eau et quelques en-cas à consommer : le couvre-feu est encore à 21h.
Nous cheminons d'un pas alerte. 

Je trouve ce genre de slogan imbécile. 

C20 : à gauche toute ! 

L'embarquement est en cours. 

Il s'agit bien sûr d'un embarquement par bus.

L'attente à bord du paxbus s'éternise. Je l'occupe à tenter quelques clichés de notre environnement proche. 
A350 French Bee. 

A32x zizi.

En ces temps de Covid, Amelia devient un partenaire majeur. Cet ERJ 145 en provenance de Castres se met quasiment au contact.

Les retardataires ont embarqué. Nous sommes 13. Après un rapide voyage, nous sommes en vue de notre jet presque privé.

Embarquement sans stress. Il y aura largement de la place pour tous. 

C'est presque comme le Concorde.^^

Marchant sur la porte, je ne puis l'immortaliser. 

L'élégant fuselage avec sa sobre livrée.
Tanguy, tout à la la fois PNC et CC  nous accueille à bord chaleureusement.  

Nous sommes, pour des rasions de répartition des masses, en 15 et 16A.
Vue vers l'avant de la cabine. 

Vue vers l'arrière.

Le pas est étroit.

Double Casper.

L'aile après les cuisses.

Nous ne tardons pas à mettre en route.  AZ et French Bee.

Air Lucky Luke.

AF32X dévoré par la mâchoire du jet bridge.

Le bus pour AUR nous laisse la priorité.

A croire qu'il est notre destination finale. 

Nous atteignons le seuil de piste.

La cabine est prête. 

Décollage rapide. Les deux tours parisiennes.

Un hublot un peu sale et une lumière embrumée ne sont guère propices aux clichés. 

Nous franchissons la Seine. 

Quelque part au-dessus du Val de Marne.

La couche nuageuse se forme. 

Dernière image du sol francilien. 

Ce sera la vue tout au long de la croisière. 

Tanguy effectue le service. J'opte pour un thé et demande s'il n'y aurait pas une bière.

Tanguy me propose d'attendre qu'il vérifie s'il y en a à l'avant attente que je puis occuper en buvant le thé.
Quelques minutes plus tard, il revient avec une bière… qui eut gagné à être plus fraiche.  

Un petit air du temps d'avant avec Serge.

Nous descendons vers Brive. Les nuages se font plus rares et le plancher des vaches se dévoile. 

Voyage au centre de la France. 

Nous voici en finale. 

Nous traversons l'A20.

Le village de Cressensac dans le Lot.
BVE se trouve à la frontière du Lot et de la Corrèze. 

Atterrissage en douceur et freinage sec. 

Nous faisons demi-tour en milieu de piste.

BVE dans son entièreté.

Le pilote se met en position de départ pour le lendemain. 

Notre itinéraire.

Le débarquement s'effectue une fois les bagages cabine encombrants mis à disposition.

Un SMS m'apprend que notre bagage de soute est resté à ORY. 
S5-ACJ est un ERJ 145 de 22 ans ex-Luxair et Aero4m.

Une dernière pour la route. 
Le déchargement des bagages a été rapide : aucun n'a été chargé à ORY !  

Le temps que la personne qui nous précède remplisse son dossier, je réalise quelques vues de l'intérieur de l'aérogare déserte.

Notre tour vient. La déclaration est rapidement effectuée. Nous laissons la place à une jeune femme qui agonit les employés qui n'y peuvent rien. 
Nous rejoignons notre voiture sur le parking de l'aéroport et la libérons contre 22 euros.  

Le bagage nous fut livré le lendemain en début d'après-midi.
Je rédigeai pour la forme une réclamation auprès d'AF. 
Une agente me contacta le mercredi par téléphone. Elle m'exprima les regrets de la compagnie et l'impossibilité de proposer un geste commercial en miles vue la situation financière de la compagnie.  Nous avons échangé courtoisement quelques minutes… 

Terminons ce reportage par un bonus niçois. Prenons un peu de hauteur pour cette 2ème partie.

Quelques courageux dont votre serviteur feront l'ascension à pied et au sommet d'une volée de marches feront une rencontre inattendue.

Nous atteignons un premier niveau panoramique. 
Vue sur la promenade des Anglais.

Sur le vieux Nice.

Le dôme de la cathédrale sainte-Réparate.

NCE.

Nous poursuivons la montée et nous dirigeons à l'est.

Les premiers aménagements portuaires datent de 1750. Ils correspondent aujourd'hui au port de plaisance. 

L'hélicoptère est-il inclus dans la prestation ?

La maison de sir Elton John. 

Le port a été agrandi au XIX° siècle. De ce lieu partent les ferries pour la Corse.

L'oppidum est le site originel de Nice, fondation phocéenne de l'époque archaïque. 
Jusqu'à l'aménagement du Vieux Nice s'y trouvaient le château et la cathédrale dont voici les vestiges.

Du sommet de la colline, le panorama est somptueux.
 Les clochers de Notre Dame de l'Assomption, théâtre d'un attentat le 29 octobre 2020 émergent au-dessus des toits. La basilique date de la seconde moitié du XIX° siècle et se situe dans l'extension de la ville réalisée après le rattachement à la France et l'arrivée du chemin de fer.

L'ensemble cathédral.

Ce panorama permet de résumer l'histoire urbaine de Nice.

Merci de votre lecture et à bientôt !