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6118 avis
Cette nouvelle série de FR va nous emmener sous des cieux exotiques, avec un voyage en Polynésie Française. Les vol long-courrier seront effectués en business sur Air France et les vols inter-îles avec Air Tahiti.
Avec le recul, nous avons eu de la chance, nous sommes partis au bon moment, quand on voit l'actualité sur place et les conditions qui se dégradent, avec une "fenêtre de tir" pas bien grande.
Courant janvier, en consultant les promotions en billets prime sur le site AF, je tombe sur une pépite : l'aller-retour Paris-Papeete en J pour 100.000 miles + 400 euros de taxes. A ce moment-là je ne me perds pas en conjectures sur le coût du mile : le deal est excellent et en 24 heures les billets sont bookés. Cette destination n'était pas en tête de liste, mais une opportunité comme celle-ci ne se présente pas tous les jours…
Initialement, le voyage devait avoir lieu en mars. Sauf qu'entre temps le confinement n°3 est arrivé et, contrairement aux précédents, il n'existe plus de motif impérieux touristique afin de se rendre en Polynésie. Après quelques palabres avec la ligne Platinum, j'arrive à décaler mes billets pour fin juin, sans ajustement. Premier ouf.
Le 9 juin, à seulement 3 semaines du départ, les restrictions de déplacement à destination des outre-mer sont enfin levées. Pour la Polynésie, les conditions d'entrée restent extrêmement strictes, puisque pour éviter la quarantaine il faut prouver un dispositif vaccinal complet, avec au moins 14 jours après la 2nde injection. A deux jours près, ça passe. Deuxième ouf !
Les difficultés ne s'arrêtent pas là car si les vols pour PPT passaient pendant les précédents confinements par YVR, les vols planifiés sur juin et juillet sont prévus avec une escale à LAX. L'aller sera finalement modifié (non sans quelques bafouillements puisqu'il aura fallu appeler AF pour se repositionner sur le nouveau vol), mais le vol retour reste avec escale aux US, où nous ne sommes toujours pas autorisés à transiter. Nous apprendrons le 17 juin que nous passerons finalement bien par YVR au retour, soit moins de 2 semaines avant le départ. Troisième ouf !
Il nous reste donc à remplir les formalités pour se rendre en Polynésie, et ce n'est pas non plus une sinécure !
Bref, un voyage qui se mérite, fort heureusement une fois toutes ces contraintes levées, tout s'est bien passé ;-)
Bon, assez palabré, maintenant, place au FR !
C'est donc bardés de tous les documents nécessaires que nous partons pour CDG de bonne heure, notre vol étant prévu à 10h10. J'avoue ressentir une certaine excitation en prenant la direction du 2E, où je n'avais pas mis les pieds depuis un an et demi.
Signe des départs en vacances, ça bouchonne un peu au dépose-minute.
Certains voyageurs ont un fret à faire pâlir l'ami Nico83.
Je n'étais plus habitué à voir autant de monde au départ de CDG. Il faut dire qu'il n'y a qu'une seule entrée pour accéder au terminal.
Malgré l'heure matinale (7h30), il y a de la vie au 2E, et ça fait plaisir !
Direction le comptoir pour enregistrer nos bagages.
Aucune file d'attente pour les comptoirs business.
Cela étant tous les comptoirs sont occupés, ce qui traduit une certaine activité.
L'agent AF nous demande les certificats de vaccination (le pass sanitaire n'existait pas encore), le test PCR ainsi que le QR code pour l'ETIS.
Celui-ci contrôle tout en détail avant de me rendre nos justificatifs :
- Merci Monsieur Atéon, tout est en ordre.
- Vous n'imaginez pas l'énergie pour obtenir ces documents…
- Je veux bien vous croire, le passager précédent m'a dit la même chose !
Par curiosité, je lui demande quel est le remplissage de l'avion : 190 passagers pour 280 places, soit au 2/3. Pas si mal étant donné le contexte et les contraintes de déplacement. On imagine aussi que les soutes sont bien pleines de fret.
Direction la PAF avec l'accès n°1.
Malgré l'affluence de ce matin, il n'y aucune attente. Je dois avoir de la chance, je n'ai jamais eu les queues interminables parfois décriées.
Nous partons des portes L, donc direction le LISA.
Que ça fait du bien de voir ces 777 prêts à partir !
Il n'y aura personne au PIF, mais nous mettrons pourtant plus de 10 minutes à passer cette formalité, en raison d'agents zélés sans aucune considération pour les passagers. L'agente chargée du contrôle cherchera des poux à une Américaine et après avoir bloqué le tapis pour l'obliger à vider son bagage cabine celle-ci quittera son poste sans autre formalité pour cause de roulement. Les autres agents finiront par prendre le relais de mauvaise grâce en traînant des pieds. Pendant tout ce manège, les pax auront été transparents… Il y a vraiment des efforts à faire en matière d'orientation client des agents du PIF. De ridicule, le slogan "Paris vous aime" en devient mensonger…
Mais ce petit désagrément n'entache pas notre enthousiasme et comme nous sommes larges côté timing nous en profitons pour faire un peu de lèche-vitrine.
Le FIDS nous confirme notre porte d'embarquement. Notre vol est bien prévu à l'heure.
Direction le salon !
Je découvre devant l'ascenseur que celui-ci n'est ouvert que jusqu'à 16h. J'en déduis que les vols AF de fin d'après-midi partent des portes K.
Dans le couloir je retrouve l'écran à cristaux liquides avec son animation.
Nous sommes accueillis par des agents souriants qui nous invitent à bipper nos BP sur les bornes. Ils nous expliquent qu'une partie du salon est fermée. Seule la partie droite en entrant est accessible, ainsi que les espaces de repos.
La fréquentation est modérée et nous n'avons pas de mal à trouver une place.
La rotonde centrale et les espaces situés au-delà ne sont pas accessibles.
La presse disponible est plus que limitée, mais il est vrai qu'il y a l'application AFplay.
Les tubes LED dignes d'un film de SF et que je trouve réussis.
Un espace privatisable, non occupé.
Les soins Clarins, fermé à ce moment-là, mais qui devaient ouvrir quelques jours plus tard.
En faisant mon petit tour du salon et prenant quelques photos, deux agentes AF me voient et engagent la discussion. Nous aurons un échange très sympathique, on sent que le personnel est content de reprendre du service.
Côté restauration, c'est bien sûr l'offre du petit-déjeuner qui proposée.
Il est toutefois possible de grignoter quelques snacks salés.
Côté boissons également, les plus vaillants pourront délaisser thé ou café pour des breuvages plus alcoolisés.
Voici notre sélection.
#$%! de cuillères en bois…
Les deux agents avec qui j'ai discuté m'ont invité à découvrir une nouveauté exposée au salon : des pièces de moteur d'appareils AF (certainement déposés lors des maintenances ou des réparations) et présentées comme des oeuvres d'art. Comme ici cette aube de fan d'un CFM56 d'A320.
Il y a même les références de l'appareil concerné. Ici F-GUGM, un A320 que j'ai emprunté plusieurs fois entre TLN et ORY (du temps où AF assurait encore la liaison, snif !). En tout cas, je trouve l'initiative vraiment sympa, même si les prix sont assez élevés. Pour plus d'information, vous pouvez visiter le site www.air-art.fr.
Bon, il serait tout de même dommage de ne pas trinquer à ce voyage tant attendu. Le Duval-Leroy n'est pas mon préféré, mais il conviendra très bien pour l'occasion.
L'heure tourne et il est déjà temps de rejoindre notre porte d'embarquement.
Le chemin vers la sortie nous fait longer les espaces condamnés.
Il y a encore de nombreux espaces en chantier.
Qu'est-ce que ça fait plaisir de revoir ces queues en salle d'embarquement !
Surtout pour embarquer dans ce bel A350 que j'aimerais bien essayer.
Des services comme seul AdP sait en offrir : pour nettoyer son tapis, ce monsieur a trouvé nécessaire d'en bloquer l'accès…
Voici notre porte d'embarquement. Les files ne sont pas matérialisées, c'est donc un peu désorganisé. La file SkyPriority est sur la gauche, mais elle n'est indiquée par aucun panneau.
Les files se forment donc tant bien que mal.
Les agents de sécurité passent voir chaque passager pour vérifier les différents documents : ETIS, test PCR et certificat de vaccination (ou motif impérieux). Entre le contrôle au comptoir, celui en porte et celui à l'arrivée, impossible de passer entre les mailles du filet.
L'attente sera courte et nous serons autorisés à embarquer moins de 10 minutes plus tard. Les pax SP sont invités à embarquer en premier. Nous reconnaissons l'agent qui a enregistré nos bagages et qui nous souhaite un bon voyage.
Passage par le jetbridge vitré, dédié à la J, mais il n'y aura aucune indication. C'est donc d'instinct que nous emprunterons celui-ci ^^
Le museau de notre 772 qui nous conduira à bon port.
Instant porte et playstation.
Nous sommes accueillis en porte et rejoignons nos sièges. Au passage j'en profite pour jeter un oeil au cockpit.
(Re)découverte de cette cabine bien connue ici, mais que nous avons plaisir à retrouver.
C'est un 777-200 qui effectue la liaison avec PPT, avec une configuration 40 J / 24 W / 216 Y. La cabine J est composée d'une cabine principale de 7 rangées, puis après le galley d'une seconde cabine de 3 rangées. Cette dernière est sans doute plus intismiste, mais la proximité du galley nous a conduit à retenir les sièges centraux de la première rangée.
L'armement est déjà présent (cintre, oreiller, couverture).
Fabrice, notre PNC, voyant que nous voyageons ensemble vient retirer la cloison de séparation entre les deux sièges.
Les passagers s'installent tranquillement, je suis bien content d'être là !
Je lorgne le siège 1L, mais en espérant qu'il soit libre pour pouvoir profiter du hublot, mais la J sera pleine aujourd'hui.
Je vous propose un tour rapide de l'espace que j'occuperai pour les 22 prochaines heures. Oui, oui, 22 heures de voyage…
Le rangement latéral avec le casque.
La tablette, de belle taille.
Prise USB, bouteille d'eau et vomitobag.
Les consignes de sécurité.
Comme sur de nombreux appareils, l'état des finitions laisse à désirer.
Mais bon, cela n'altère pas le confort, alors profitons du moment présent !
Sortons de quoi potasser pendant ce long vol.
Avec le verre d'accueil, c'est bien mieux !
Les trousses nous sont remises, avec choix de couleur.
Le contenu est assez complet.
Un kit sanitaire est également remis à chaque passager. Celui-ci contient un masque chirurgical, une lingette désinfectante et du gel hydroalcoolique.
A nos vacances !
J'enclenche la géovision pour souhaiter à tous les FRistes de bons et nombreux vols !
On est pas mal, là, non ?
La tablette n'est pas de trop pour tout mon bazar.
La cabine est prête pour le décollage. Les deux personnes derrière nous seront des voyageurs pro, que nous retrouverons dans le même vol que nous au retour.
Nous partirons avec près d'une heure de retard, en effet le CdB fera une annonce indiquant que les formalités de contrôle prennent du temps et retardent l'embarquement. Finalement, le CdB annonce le départ, indiquant que 6 pax ne peuvent embarquer et qu'il faut décharger leurs bagages. Une PNC me confiera plus tard qu'il s'agissait d'une famille qui avait oublié d'effectuer une demande ETIS. Ou comment gâcher ses vacances par une étourderie monumentale…
Bye bye la grisaille parisienne…
Pendant le roulage, nous avons bien sûr droit aux nouvelles consignes de sécurité AF, que je découvre pour la première fois in situ.
Bien qu'un peu longues, je les trouve réussies, même si j'avoue un faible pour l'univers visuel des précédentes.
Un incontournable (un peu cliché, non ?).
Allez, c'est parti !
Plus que 9 heures de vol avant de rejoindre Vancouver.
YVR est situé à proximité de la ville, peut-être aurons-nous de belles vues à l'arrivée ?
Très sympathique, Fabrice vient prendre la commande pour le déjeuner en nous appelant par nos noms. Nous aurons la chance d'être les premiers, ce qui garantira notre choix.
Puis en tout début de vol nous avons droit aux salutations platinesques par la chef de cabine principale, qui nous souhaite la bienvenue. En discutant un peu avec elle, j'apprends qu'elle a été rappelée pendant ses congés car AF manquait de CCP. Etrange !
Nous atteignons les 36.000 pieds au-dessus de l'Angleterre.
Le service du déjeuner commence vers midi. Voyons voir le menu du jour.
C'est Guy Martin, du Grand Véfour, qui officie.
Une nouveauté (ou alors je ne l'avais pas repéré avant) : il est possible de récupérer la recette des plats proposés grâce à ce QR code.
Voici donc le menu proposé. Tous les plats sont signés par Guy Martin et sont appétissants.
Côté carte des vins, c'est avec satisfaction que je note le retour au Laurent Perrier, que je préfère au Duval-Leroy.
La carte des vins est aguichante, avec en particulier un Margaux 2015.
Le plateau est ainsi disposé directement après le dressage de la nappe. C'est dommage, le service de l'apéritif a été supprimé. Plus d'amuse-bouche donc, mais tout de même des cajoux-cranberries.
J'aménage tout cela. C'est mieux ainsi ! En entrée, ce sera donc Terrine de fois gras nature, chutney mangue ananas, salade d'asperges et sa crème citron ciboulette. Le foie gras était correct, mais nous n'avons pas aimé la crème qui accompagnait les asperges.
Pour m'accompagner sur ce repas, ce sera la géovision. Nous entamons la traversée atlantique.
Vient ensuite le plat, avec son couvercle en aluminium.
J'avais hésité entre plusieurs des plats proposés, et me suis laissé tenter par le Tournedos de boeuf et sa sauce artichaut, polenta aux épices colombo et artichaut acidulé.
J'avais expressément demandé à Fabrice s'il était possible d'avoir une cuisson saignante et celui-ci m'avait assuré qu'il ferait le maximum. Malheureusement, la viande est trop cuite. Le problème, m'expliquera-t-il, c'est que les plats sont précuits. Dommage, car le plat était plutôt réussi.
J'accompagnerai cette viande "rouge" avec le Margaux, mais chose étonnante il n'y a pas de service de boisson pendant le repas, il aura fallu le réclamer.
Le fromage était bon, sans plus.
Et pour terminer, le traditionnel trio de desserts : Macaron au cassis de Philippe Urraca, perle tropézienne, opéra. Les trois seront très bons.
Madame demandera un thé, mais Fabrice s'excusera car les thés n'auront pas été chargés à CDG.
A partir de ce moment, je sollicite votre indulgence, car suite à une mauvaise manipulation, j'ai perdu une bonne vingtaine de photos sur la seconde partie du vol. Vous devrez donc vous contenter d'une narration plus littéraire (mais courte rassurez-vous) que photographique.
Après le repas, nous décidons de nous dégourdir les jambes et remontons l'appareil jusqu'au galley arrière. Nous rencontrons la CC Y, très sympa aussi, avec qui nous échangerons quelques mots et qui me confirmera qu'il n'y a plus de dutyfree en vol.
Afin de gérer au mieux (ou au moins mal…) le décalage horaire avec PPT, nous ferons une petite sieste de deux heures.
Je trouverai ensuite un hublot libre en Y pour y faire quelques photos (perdues, donc) de l'Arctique canadien. Au galley, nous discuterons avec un PNC qui nous dégotera les derniers chocolats et réglera les problèmes que nous avons rencontrés avec nos sièges pour les mettre en full flat : pour moi c'était simplement mon sac à dos qui gênait, tandis que pour Madame c'était une languette qui bloquait.
En fin de vol, la collation est servie. Je suis d'autant plus désolé de ne pas pouvoir vous la présenter que celle-ci était chaude.
Alors que la descente débute, je retourne au galley pour faire de magnifiques photos de l'approche sur YVR (perdues également…). Avant l'atterrissage, la CCP vient prendre congé et nous souhaite une bonne continuation sur PPT et surtout de bonnes vacances.
Atterrissage puis roulage jusqu'à notre point de stationnement. Nous venons nous garer à côté d'un 787 de China Southern.
Le débarquement se fera par la porte 2L. Tous les passagers sont invités à récupérer leurs affaires, y compris ceux en continuation vers PPT. En effet la cabine est nettoyée et réarmée. Le CCJ et Fabrice, notre PNC, nous souhaitent un bon voyage et nous les remercions pour leurs services. Tandis que les passagers se préparent à débarquer, le CdB quittent le cockpit et vient discuter avec Madame (j'espère que FFlyerCDG appréciera cet "instant chapeau" ;-).
Les passagers J sont invités à débarquer en premier.
Notre 772 a fait la moitié du chemin.
Une signalétique pour le moins artisanale séparera le flux des passagers entre ceux qui descendent à YVR et ceux qui continuent sur PPT.
Cela ne devait pas être suffisamment explicite, car plusieurs pax seront appelés dans la salle de transit pour rejoindre la sortie.
C'est ici que se termine ce FR de première partie de vol. Je vous retrouve très vite pour la suite vers PPT.
Quel plaisir de reprendre un vol long-courrier ! Et quoi de mieux pour cela que le bout du monde ? Tout est bien connu et sans grande surprise (le salon, la cabine...) mais l'ensemble est globalement bien amené et exécuté, servi surtout par un équipage au top.
CDG. Plutôt fluide, sauf le PIF, qui arrive à rendre l'expérience pénible alors qu'il y a peu de monde. Il y a un vrai travail à faire sur l'amabilité des agents. A quand des PIF comme à AMS où il n'est plus nécessaire de déballer toutes ses affaires ?
Air France. Le salon n'a pas retrouvé son fonctionnement "à plein régime" d'avant, mais c'est adapté à la fréquentation. En vol, catering très correct, avec une carte flatteuse. Dommage pour la cuisson du boeuf. Des détails à revoir dans le service (plus d'amuse-bouche, pas de service spontané de vin, pas de thé...) mais l'ensemble est très satisfaisant. Le siège est très confortable, mais là encore les signes d'usure sont bien présents. Tous les PNC ont vraiment été bien : prévenants, disponibles, souriants.
YVR. Difficile à évaluer dans ces conditions de transit.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 14 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Vancouver (YVR).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 10 heures et 2 minutes.
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35 Commentaires
Un bon vol sur AF vers une destination qui fait rêver
Hate de lire la suite
A bientôt
Je ne pensais pas aller en Polynésie un jour mais c'était impossible de laisser cette occasion avec cette offre en miles.
Le retour est sous presse ;-)
Un vol avec PNC aux petits soins malgré le plat trop cuit...
La gestion du PIF/PAF au départ de CDG était déjà chaotique bien avant cette histoire de Covid, alors honnêtement, ne pouvons-nous pas dire que c'est pas déjà "mensonger"?
Original ce "panthéon" des pièces détachées comme œuvre d'art au lounge.
Même un peu trop centré sur Paris (même s'il y a un ou deux passages sur Cannes), à l'inverse de QF sur ses 787.
A bientôt. ;)
Je vois que je ne suis pas le seul à ne pas être fan du slogan d'ADP...
C'est vrai que les symboles sont très orientés sur Paris, et même si c'est compréhensible pour des touristes étrangers, il y a bien d'autres richesses en France à valoriser.
A bientôt.
En passant par Vancouver, c'est paraît il plus agréable que LAX.
Moi je garde un souvenir moyen du transit à LAX. Fatigué par le vol, le passage douane puis parqué dans une salle c'est un peu horrible.
Mais on oublie tout une fois arrivé sur place.
On attend la suite ? merci
Effectivement, le transfert à LAX est pénible, il faut repasser tous les contrôles, c'est long et plein des tracasseries US. Là, le transfert à YVR est d'autant plus confortable que nous sommes cantonnés à une salle, donc sans aucune formalité, c'est très serein !
A bientôt.
Et bien quel parcours du combattant pour arriver à partir, pas donné à tout le monde :)
Au salon, la pièce de l'A320 est superbe, mais il y a une erreur sur l'immatriculation, ce ne peut pas être F-GUGM puisque celui ci est un A318 (comme tous les F-GUGx) et surtout, il vole toujours ^^
A bord, quel plaisir de voir ce superbe équipage. Le repas fait très envie, dommage pour la viande trop cuite. Mais surtout dommage pour la perte de toutes les photos, l'arrivée sur Vancouver peut être superbe, je compatis :(
A bientôt !
La préparation a été très stressante, mais une fois sur place, on oublie tout ça ! Cependant comme disait la pub, je ne ferais pas ça tous les jours...
Mince alors, quelle boulette pour l'immatriculation de l'aube de fan ! Sur le site c'est bien indiqué A320, mais sans l'immatriculation.
Ah oui, l'arrivée sur YVR était superbe, j'étais scotché au hublot de la porte du galley.
A bientôt.
Un vol au départ du terminal 2E est toujours signe de destination lointaine, et en cette période Covid cela est assez rare.
La prestation semble plutôt bonne même si la cuisson n’est pas celle espérée.
À bientôt pour la deuxième partie du routing.
J'adore partir du 2E ! (même si toutes les destinations ne sont pas exotiques ou lointaines, comme LHR ou OTP)
On prend toujours un risque à commander de la viande rouge en avion, surtout si on l'aime saignante. Je le sais, mais je tente ma chance presque à chaque fois ;-)
Eh bien quels efforts, patience et...chance tu as eu pour partir. J'imagine la joie une fois à bord.
Car figures-toi que je n'ai pas eu cette même chance : en effet, j'avais réservé également la promo Prime en J pour PPT en....mars !
Un cafouillage n'a pas validé la transaction (Amex et AF se renvoyant la responsabilité...). Du coup quand j'ai dû refaire la transaction, il n'y avait plus la proo en J mais en Premium pour 88.000 miles et 180 €. Cela restait une bonne affaire. J'ai donc eu mon billet. Et tu connais la suite, à cause des restrictions en mars, je n'ai pas pu y aller. Lorsque j'ai appelé AF, je n'ai pas pu déplacer la résa et du coup je me suis fait remboursé.
J'ai eu pleins de vol annulé mais celui-là m'est resté en travers !
Donc je voyage par procuration à travers ton FR !!
Un bon vol avec un équipage visiblement au top. Dommage cependant qu'il n'y ait pas eu de service apéritif (sur ce vol long) et de boisson.
Dommage aussi pour les couverts en bois au salon. J'espère vraiment qu'ils vont les supprimer.
Aller, j'attends la suite avec impatience.
A bientôt
Oui, c'était une belle promo et je ne sais pas si elle se représentera. Dommage pour le cafouillage à l'achat, c'est étonnant. Je devais aussi partir en mars, j'ai eu de la chance de pouvoir reporter la résa.
Je comprends que tu sois déçu, j'espère te faire partager un peu de Polynésie à travers mes FR, il y aura des bonus dans les prochains.
La suite est sous presse et ne saurait tarder.
A bientôt !
Actuellement on fait avec les destinations disponibles et celle -ci est bien dépaysante.
Et en plus avec un très bon deal niveau billet prime.
Moi aussi je trouve plus pratique les justificatifs papiers.
A bord c’est une belle prestation, la cuisson de la viande c’est une loterie.
Très beau chapeau pour Madame.
Vivement la suite
Hélas, la Polynésie n'est plus disponible, la fenêtre de tir était bien réduite et nous avons eu de la chance.
Je prends toujours le risque avec la viande rouge, mais c'est rarement à mon goût je dois dire. Après, c'est un détail au regard de l'ensemble de la prestation.
Je transmets à Madame pour le chapeau ;-)
A bientôt !
La partie administrative de ce voyage est en soit une sacrée aventure qui peut rebuter plus d'un voyageur étourdi !
Le salon du hall L est une véritable réussite.
Pour le coup le menu donne vraiment envie, je ne sais pas trop quel plat j'aurais choisi...
Un équipage très efficace en plus. Tout était réuni pour vous permettre d'effectuer un super voyage (au détail près du thé non chargé :P )
Les formalités étaient compliquées et on a pas mal stressé, mais ça en valait la peine !
J'avoue avoir aussi hésité entre les différents plats.
Pour le thé, c'est surtout Madame qui a été pénalisée, mais rien de bien méchant en somme.
A bientôt !
Ah le PIF de CDG, un comique troupier de répétition
J’avoue que la multiplication des procédures en France sanitaire est d’une bêtise sans nom… surtout lorsqu’elles ne sont pas coordonnées. Quand on voit que les conditions d’entrée… varient d’une zone à une autre (je parle d’administratif) : Nombre de tests, périodicité et temporalité, etc….
Pour les 6 étourdis, il n’était pas possible de solliciter l’ETIS au sol et suivant la réponse leur faire faire demi-tour à Vancouver ?
Super la promo en miles ?
J’attends la suite ¡!!
La complexité, la diversité et la variabilité des règlementations deviennent vraiment problématique pour voyager et anticiper ses déplacements...
Les PNC m'ont dit que parfois ils arrivaient à joindre Papeete pour renseigner l'ETIS en direct, mais on peut comprendre que ce soit compliqué, le formulaire devant être visé par un agent du gouvernement de Polynésie. Pour le coup, il faut vraiment être à côté de ses pompes pour oublier ce formulaire !
La suite est publiée ;-)
Flûte et réflute, je n avais pas vu cette promo, moi qui rêve d aller à PPT en J. Mais le passage par LAX ne me tente guère...
Je vais surveiller si cette promo super canon ne se reproduirait pas.. Ki sait... À bientot pour la suite
Oui, il faut checker très régulièrement les promos et "torturer" un peu le système de résa pour trouver des bons plans.
J'espère que vous trouverez cette promo (et moi aussi d'ailleurs, j'aimerais bien y retourner ;-)
A bientôt.
100K Miles, c'est vraiment une affaire pour aller si loin ! Un beau voyage en perspective :)
A bientôt pour la suite
A bientôt.
À bientôt !
Malheureusement il est difficile de planifier sereinement les voyages en ce moment, et la situation actuelle en Polynésie est là pour nous le rappeler...
C'est le problème des cabines Best, les finitions semblent assez fragiles, c'est dommage qu'elles ne soient pas effectivement mieux entretenues.
Tahiti Nui est aussi une très bonne option, qui me tente également pour un prochain voyage (je suis optimiste ^^)
A bientôt.
Je vais lire la suite.
J'avoue avoir bcp lu vos FR en préparation du mien, et j'ai vu que vous aviez fait le trajet quelques jours avant nous.
Je continue à suivre l'actualité en Polynésie, c'est terrible ce qui se passe là-bas, je n'arrête pas de me dire que nous avons eu bcp de chance, la fenêtre de tir n'était pas bien grande (quelques semaines seulement) pour se rendre sereinement là-bas.
J'avais aussi lorgné sur cette promo vraiment exceptionnelle de Flying Blue, mais je n'ai finalement pas franchi le pas en n'arrivant pas à combiner le circuit "covid" et les hôtels "abordables" à mes dates compatibles avec la dispo award... Mais content de voir que des FRistes ont pu en profiter :)
Côté catering, je ne partage pas ton enthousiasme, mais c'est comme les couleurs, ça ne se discute pas :)
A+
Le plus dur pour cette promo était bien de planifier les vols dans le contexte covid. Heureusement que j'ai pu modifier les dates, ce n'était pas gagné ! Pour les hôtels, en prenant des petits hôtels et non de grands resorts, c'était tout à fait abordable.
Sur le catering, je ne pense pas avoir été enthousiaste, mais c'était très correct.
A bientôt !
Il est donc illogique de créer un goulot d'étranglement à l'entrée du terminal, d'autant plus que ça limite fortement la distanciation sociale.
"en raison d'agents zélés sans aucune considération pour les passagers"=> allons, Stéphane. CDG ne serait pas CDG sans eux (LOL)
"Côté boissons également, les plus vaillants pourront délaisser thé ou café pour des breuvages plus alcoolisés."=> si tu n'essaies pas, tu ne sauras jamais (LOL)
Le Saint Joseph est très bon.
"le CdB fera une annonce indiquant que les formalités de contrôle prennent du temps et retardent l'embarquement."=> j'ai l'impression que c'est très souvent le cas sur les vols où des restrictions existent. Alors pourquoi la compagnie n'avance pas l'heure de l'embarquement?
"Une PNC me confiera plus tard qu'il s'agissait d'une famille qui avait oublié d'effectuer une demande ETIS"=> non vérifié au check-in?
Ta viande de boeuf ressemble en effet à une semelle de chaussure.
Merci Stéphane
Je confirme. Globalement AF offre une cave honorable dans ses salons et sur ses vols LC.
Sans doute une question de rotation / dispo des équipages ?
Si, et c'est sans doute là qu'AF a dû essayer de l'obtenir en contactant la Polynésie. Mais quelle idée d'oublier l'ETIS... franchement...
Quand même pas, mais ce n'était pas ce que je voulais.
Merci Bernard ! J'attends les FR de tes derniers vols avec impatience ^^
Quel plaisir de lire à nouveau des récits vers des destinations aussi lointaines... même si pour PPT la fenêtre d'opportunité a été courte. Il aura également fallu s'armer de courage pour les diverses formalités, mais le jeu en vaut de toute évidence la chandelle.
AF montre à nouveau qu'elle sait toujours proposer une bonne prestation en vol.
En revanche, ces sièges BEST si souvent en si mauvais état, cela ne fait vraiment pas sérieux. C'est dommage car pour le reste, c'est un très bon siège. Je suis tout de même surpris de voir que la séparation entre les sièges centraux doit être retirée par un PNC et ne peut pas s'abaisser en appuyant sur un bouton.
Niveau catering, dommage également pour la viande qui est un peu surcuite (ce qui est un peu une fatalité en avion malheureusement, sauf apparemment chez LX).
En revanche, toujours d'excellents PNC comme souvent sur AF, ce qui permet de faire aisément oublier les défauts du produit.
A bientôt!
Oui, bien des complications pour les formalités, mais cela en valait clairement la peine.
Les cabines ne sont pas en si mauvais état que ça, mais les finitions vieillissent mal.
J'ai pris un risque pour la viande rouge, et je le savais !
A bientôt.
Effectivement c'était une super promo, je crois que un segment PPT-LAX m'a couté 85000 miles donc tu as bien fait!
Le parcours du combatant pour partir, je suis bien chanceux en comparaison!
J'ai eu la même en arrivant au AE/L ahah
je veux pas jouer sur les clichés mais ce slogan est une bouteille à la mer remplie par des générations de touristes écoeurés par l'hospitalité parisienne.
C'est étrange que les vols vers PPT via YVR partaient du matin alors que d'habitude (et le mien inclus) partaient du soir de CDG.
Sympa!
Ce salon est vraiment réussit, encore plus en comparaison au 2E K
Les vacances sont réservés aux vaillants!!
Sympa cette pièce de moteur sauf que F-GUGM est un A318, mais bon c'est le même CFM56 sur toute la famille A32X.
TOp! on ne le voit pas si souvent.
Via LAX c'est 23h50!
Très belle description du siège
Je vois qu'on a acheté le même petit futé, que je n'ai pas trouvé dingue commme guide de voyage.
Tiens j'ai eu l'inverse ahah
La cave est toujours d'aussi bonne tenue.
C'est toujours un peu le danger avec le boeuf en avion c'est vrai et c'est dommage.
pourtant faut être aveugle!
C'est vrai que les préparatifs étaient vraiment stressants ; après, la promo était canon, il faut la guetter elle revient parfois...
Outre l'absence de contrôle à repasser, l'escale à YVR est purement technique et fait gagner du temps !
A bientôt :-)
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