Avis du vol entre Mulhouse / Bâle et London en classe Affaires avec British Airways

Bonjour à toutes et tous.


A force de faire des vols sur AF/KLM je commence à saturer du manque d’originalité.

On va dire qu’en ce moment la raison l’emporte sur la passion, ce qui n’est pas dans mes habitudes, mais perdre de l’argent à réserver sur des compagnies trop exotiques, je me suis fait avoir suffisamment pour ne pas recommencer (ou alors en mode dernière minute).
Et la politique d’annulation d’AF est l’idéal donc autant en profiter au maximum.

Sur le fil Whatsapp gold du site, j’apprends que BA va remettre ses 380 sur des lignes européennes.
Voilà qui est intéressant.

Je regarde et je trouve facilement un vol BSL-LHR-FRA, avec le segment LHR-FRA en A380, un samedi, ce qui est encore mieux.
Comble du bonheur j’ai un avoir chez BA pour deux tentatives avortées de week-end à Londres.
Londres me manque tellement mais le test à J2, c’est trop pénalisant. (Cela va changer fort heureusement, du coup je vais pouvoir retourner dans ma ville préférée pour un pim’s)

Dans la mystification des algorithmes des compagnies aériennes BA me propose un billet en J mais que sur le BSL-LHR et la suite en éco, alors que si je lance une simulation LHR-FRA la J est disponible.
Ne voulant pas faire deux réservations différentes (la raison !!? FFlyerCDG me dirait : la LUCIDITE Bretzel, la LUCIDITE) je valide ainsi.

Par contre n’ayant pas de statut chez Onewold c’est 40CHF la sélection du siège en J.
Franchement, il est hors de question que je paie pour ça, on va attendre l’ouverture de l’enregistrement en ligne.

Ensuite il faut s’occuper de toute la paperasse pour la Grande-Bretagne, ils sont pénibles les « rosbeefs » : ce sera certificat de vaccination et un questionnaire heureusement moins inventif que l’ESTA.

Par contre la procédure avec Verifly (que recommande BA) est assez facile (juste la perte de temps de comprendre que je ne dois pas mettre l’Allemagne en destination, mais la Grande-Bretagne) les documents sont téléchargés et mon trajet validé.
J’aurai donc mes BP en ligne sur mon téléphone.
Et avec même un siège côté droit en hublot, c’est exactement ce que je souhaitais.

Grâce à la fonction Airport meetup, je constate qu’un autre contributeur est en même temps à l’aéroport.
Je lui propose donc de passer le moment au salon ensemble.
Il s’agit de Mendes : qui publie plus vite que moi : vous aurez son script sur le lien suivant.

EUROAIRPORT

Le jour j, pas de départ à l’aube, c’est quand même bien plus agréable.
J’habite à 20 minutes de l’aéroport, mais hors de question de me faire conduire, le retour sera tardif (avec même un aéroport plongé dans le noir mais je vous le narrerai dans l’épisode suivant).
Donc c’est la Bretzel mobile (version une ou deux) je ne m’en souviens plus, qui va passer la journée au parking couvert.
Une photo du FIDS, je ne pensais pas être espionnée à ce moment là.

Je file chez BA en Suisse, pour récupérer un petit BP papier, pas pour le collectionner mais pour ne pas être tributaire de la batterie de mon téléphone.

La chose étant faite, je rejoins Mendes qui a presque terminé sa longue attente dans la file KLM.

L’accès France étant fermé, nous nous rendons à celui que j’appelle Easyjet en raison de sa couleur orange au milieu de l’aéroport.

Comme il n’y a pas de monde, j’accompagne Vincent à la file normale.
Je me ferai refouler comme une malpropre : le portillon automatique se mettant au rouge avec une grosse mention : business. Donc soyez avertis à l’EAP c’est chacun son rang et on n’en descend pas.
Du coup demi tour pour moi et je passe le portillon idoine.

Pour finalement retrouver Vincent au même endroit.

Passage par le dutyfree, avec un appel désespéré de sac à main à la recherche d’une acheteuse compulsive.

Il n’y a pas grande foule en ce jour.

Petit rappel que le plus beau cadeau c’est celui que l’on se fait, piqure de rappel de fflyerCDG : la lucidité Bretzel, la lucidité.

La PAF avec quelques passagers.

Et le saint graal : le skyview lounge : qui offre quand même un moment de détente fort appréciable, si c’est pour un bon repas, on le répète (la lucidité …) c’est toujours meilleur à la maison (sauf pour ceux qui on un poil dans la main et qui ont un abonnement chez picard (voir même une carte de fidélité platinum ou senator de l’alliance du surgelé) ou dans un restaurant (un bon, pas une Pataterie, on laisse cela à des américains : « Une expérience incroyable ! » ^^)

SKYVIEW LOUNGE

Vérification de nos « droits d’entrée », ce sera à l’étage aujourd’hui, en raison d’une fuite d’eau au rez-de chaussée.

Ces faux palmiers me plaisent toujours autant.

Au moins nous ne sommes pas trop les uns près des autres.

Direction le buffet.

Il y a des gants et du gel, et bien un pax sur 10 doit les utiliser, à chacun de mes passages je suis bien la seule à le faire.

Tiens eux me rappellent quelque chose.

Il y a du chaud, mais il est trop tôt pour moi pour ce genre de plat.

Vin, crémant, jus de fruit et eaux.

Et ici pas d’Heineken, ce qui fera plaisir au diplômé master en bière : Chules.

Nous sommes bien installé

Après un bon moment de papotage je me rends sur la terrasse pour observer mon avion en arrivée.

La netteté de mon zoom commence à fatiguer.
Je retourne profiter de ce siège bien confortable.

Aimablement la personne à l’accueil nous annonce que l’embarquement pour Londres va commencer, il est donc temps pour moi de quitter le salon.
Passage rapide de la PAF, on me demande ou je vais, Londres ne semble pas poser de problème.
Un deuxième DF ou vous noterez le : snacks to go, ne pas compter manger à bord.

C’est relativement calme de ce côté.

L’embarquement à commencé, je me joins à la file.

Je profite de l’attente pour vous proposer un BP en mode Caviar.

Attente en passerelle, finalement le vol semble bien plein.

a bord du bol ba753 direction londres

La cabine, qui je trouve a ce petit côté chic britannique que j’aime bien, pas de couleur qui agresse, c’est sobre.

Mon siège.

En même temps que les passagers remplissent l’avion, ce sont les soutes qui sont chargées.

L’instant sanitaire pour ceux qui le veulent.

Le pas(rapluie : toujours utile à Londres)

La saucisse LH, ce sera bientôt pour ma part, comme j’ai maintenant plein de XP d’avance, je vais aller voir un peu la concurrence.

La safety card.

Le truc le plus utile : la prise.

Pour rester joignable : ou pas.

Nous partons à l’heure, en même temps que KLM ou je peux faire un coucou à Mendes.

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L’avion d’entrainement des pompiers.

Le belvédère pour les spotteurs.

On s’aligne en bout de piste.

Et on s’élance dans le doux bruit des moteurs.

La campagne environnante.

Pas de changement de compagnie.

Les Vosges qui émergent des nuages, c’est fort joli.

Ne perdons pas de temps : il y avait du choix pour les premiers rangs (ceux avec un statut) entre une salade au poulet ou ce plateau jambon-mozza.
A mon niveau c’est zéro choix, mais de toute façon je n’ai pas faim.

Le pain sous plastique c’est bof.
Les couverts sont logotés.

Jus de cranberries pour moi.

Santé à tous.

Le vol se passe tranquillement à lire.

Dommage pour l’arrivée sur Londres, la météo n’est pas bonne et on percera la couche nuageuse juste après le survol de la ville.

Les bus rouges à étage, tout le charme de Londres.

Cela fait bizarre de retrouver LHR après deux ans, même si ce n’est que pour un transit.

A ce moment là j’avoue que j’aurais bien laissé tomber l’A380 et direction le métro pour une virée sur les bords de la tamise.
Mais non, je dois rester raisonnable.

Aéroport de Londres-Heathrow

Aéroport de Londres-Heathrow

Coucou Noëllie

Virgin est sur ma to do

Puis comme d’habitude on roule, on roule.
Cela me laisse le temps de prendre des nouvelles de 3 autres FRistes que je rejoins à Londres et qui eux sont dans l’A380 en provenance de MAD.
J’aimerais bien reprendre LH en LC, un jour peut être, lorsque je n’aurai plus besoin d’être raisonnable

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Le temps de trouver notre zone de parking, ce fut long, nous pouvons enfin déboucler notre ceinture.

Passerelle aveugle et froide.

« Welcome to terminal 5 ».

Il y a du monde, mais c’est pour ceux qui sortent à Londres.

Pour moi c’est « flight connections ».

Il faut présenter son BP de continuation.

Puis un couloir.

Et enfin le PIF à l’étage.

Qui débouche sur une enseigne fort connue : Gordon Ramsay.

La suite au prochain FR, j’ai déjà été très bavarde sur celui-ci.
Pas de bonus, car pas de visite.

Merci pour la lecture et les commentaires.