Avis du vol entre London et Frankfurt en classe Economique avec British Airways

Bonjour à toutes et tous.

On y est, le « main event » de ce routing totalement avgeek.

Il y a eu plusieurs FRs sur ces vols, notamment ceux de :

Sconnie83
Thil_aviation
Cliper31
Momolemomo
Kolia

Mais aucun sur ce sens LHR-FRA.

J’ai déjà quelques A380 à mon actif, mais jamais sur BA, et c’est un avion que j’ai toujours très apprécié pour son décollage unique, tout en douceur.
C’est donc une occasion en or de le rajouter à ma petite collection.
Surtout par les temps qui courent.

Aéroport de Londres-Heathrow

Après mon vol entre l’EAP et LHR, me voici au terminal 5, ou vous pouvez le constater il y a du monde.

Premier objectif de ce week-end, c’est de refaire les niveaux du bar de la Bretzel house avec ceci.

Eh oui une bouteille de pimm’s pour avoir l’impression d’être à Londres à la maison.

La fresque est top.

J’ai rendez-vous avec Akivi, Momolemomo et Kolia. En attendant je constate que la boutique Harry Potter à changé de place.

Une fois tout le monde réuni, nous allons prendre une bière tous ensemble.

Je les quitte car mon vol est le premier à partir.

A LHR les portes ne sont pas annoncées de suite, il faut donc une fois celles-ci affichées se diriger vers la bonne section, pour moi c’est le hall C.

Ce qui signifie de prendre le people mover.

Cela se passe en bas.

Il existe un tunnel également pour faire le chemin à pied, je l’ai fait une fois, c’était un peu glauque, j’étais la seule, mais cela permet d’éliminer les calories du Pimm’s (que l’on trouve au salon BA).

Petit conseil : aller au fond et prendre la dernière (ou première c’est selon) cela permet de sortir devant les escalators.

Ce qui sera mon cas.

Je suis au bon endroit et c’est bien plus calme qu’au T5A.

La féérie de Noël.

Le mérou est là, il n’attend plus que ses passagers.

7 ans au compteur, un petit adolescent.

Je pense que 80% des gens qui attendent sont des avgeek (notamment allemand à l’oreille) : signe de reconnaissance : un appareil photo.

L’embarquement commence par zone, et il y en a beaucoup.

Mais avec a chaque fois peu de monde ce qui fait que ma zone 7 est vite appelée.

Pour la petite histoire, lors de l’achat du billet, je regarde le plan cabine étant prête pour ce vol-là à mettre la main au portefeuille.
Eh bien il n’y a plus aucun siège au hublot de libre… zut alors.
Je n’ai donc pas payé et j’ai de temps en temps vérifié s’il n’y avait pas un changement (une annulation cela arrive) et miracle deux places se libèrent, une au 20K mais c’est à côté d’une porte et le 21K. Sans hésitation, la CB est mise à contribution et le siège 21K (20€ de mémoire) est acheté.

A l’enregistrement il n’y aura pas d’autre siège donc j’ai bien fait de ne pas attendre celui-ci.

Je suis les couloirs après avoir scanné mon BP.
C’est un peu plus long que pour un avion plus petit.

Les sièges 10 à 42 c’est à gauche, l’accès pour les rangs 50-83 est fermé, c’est dommage de ne pas commercialiser l’upper deck, mais l’avion ne sera déjà pas plein, donc cela se comprend.

A BORD DU VOL BA908 DIRECTION FRANKFURT

Un coucou aux pilotes.

L’escalier pour le pont supérieur.

La business.

Le galley.

Pour moi c’est ici.

Le siège est pas mal.

Alors certes il y a l’aile qui gêne mais c’est toujours mieux qu’un siège couloir.
Et puis cette aile, on ne l’admire pas tous les jours donc ne boudons pas notre plaisir.

Le pas est royal.

L’IFE lui a presque l’âge de sa majesté la reine.

Mais il fonctionne.
La « safety card » qui finira chez un cheminot.

L’équipage est très sympathique, et de nombreux passagers demandent à visiter l’ »upper deck ». L’équipage leur répond que ce sera possible durant le vol, mais pas maintenant.
Visiblement tout le monde est au courant que c’est possible.

L’embarquement terminé et portes fermées, il est temps de retourner en Allemagne.

J’ai un voisin au couloir mais personne au siège milieu.
Il semble très étonné de se retrouver sur ce type d’avion.


De l'autre côté les équipements sont en place.

Le roulage est lent (normal nous sommes à LHR).

Décollage alors qu’il commence à faire nuit.

Et au-dessus des nuages on retrouve juste à temps le soleil qui se couche.

Le décollage est un réel plaisir, sauf pour moi cette fois ci.

Une semaine avant le vol j’étais à Varsovie et j’y ai pris froid. Dès que l’on est malade on suppute que c’est le Covid, et bien non. Cependant mes oreilles elles ne sont pas encore rétablies et celles-ci avaient déjà émis des signaux d’alerte sur le premier vol, sur celui-ci ce sera une catastrophe.

Bref douleurs et oreilles qui ne décompressent plus, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux, et cela gâchera un peu ce vol.

Les PNC sont libérés.

Découverte de l'IFE.

.

Le service

Avec une bouteille d’eau.
Et un paquet de chips qui finira dans mon sac.

Du coup pas de visite pour moi, j’avoue que je préfère rester dans mon fauteuil avec un doliprane.

Je suis le vol sur l’IFE.
Ce n’est pas très loin.

Le BP, quand même, j’allais oublier.

La descente commence, et les PNC s’activent pour préparer l’atterrissage, tout ceci avec un entrain de potache, ce qui est fort plaisant.

Frankfort illuminée.

On se pose en douceur.

Aéroport de Francfort-sur-le-Main

Sortie de la bête au terminal 2 E.

Contrôle de la PAF, et lorsque l’on n’entend rien des deux oreilles c’est assez compliqué pour savoir ce que le pafman me réclame.
Je lui présente pour certificat de vaccination, parfait c’est ce qu’il voulait.

Pas de valise à récupérer.

Je cherche ensuite le bus pour le terminal un.
Il y en a un qui est prêt à partir, je saute dedans.

Direction la gare.

Ce sera un ICE jusqu’à Bâle.

Avec un Bretzel comme dîner.
La gare de Bâle est bien vide à mon arrivée tardive, n’est-ce pas Paulvanalsten ?

Puis le bus 50 jusqu’à l’aéroport.
J’arrive côté Suisse, je monte à l’étage des départs ou il fait nuit avec quelques personnes qui dorment par terre.

Je traverse la frontière dans le noir.

Puis je redescends aux arrivées ou les derniers passagers quittent l’aéroport pour rejoindre le parking et retrouver ma voiture.

Voilà une série de terminé, la prochaine sera sur Air France avec l’A220, direction le Portugal avec évidement des petits couacs pour ne pas s’ennuyer.