Bonjour à toutes et à tous!
Aujourd'hui direction Londres pour un City-trip de 3 jours avec mes parents.
Le Royaume-Uni ayant déjà assoupi les restriction sanitaires, nous ne porterons le masque que dans l'avion.
La ligne Toulouse-Londres est assurée par quatre opérateurs: British Airways pour LHR, Easyjet et Tui (pendant l'hiver) pour LGW et enfin Ryanair pour STN.
Le choix des vols se fera dans l'optique de maximiser le temps sur place. Nous réserverons donc l'avant-veille du départ, un mix U2/FR pour 95€ par personne.
Voici le routing:
La ligne TLS-LGW, bien que quotidienne, n'a été reportée dans ce sens qu'une seule fois en 2016. Ce report pourra ainsi enrichir la BDD. Dans le sens LGW-TLS, elle n'a jamais été reportée.
Après un réveil très matinal et un trajet en voiture depuis mon domicile, direction le terminal. En descendant de la navette entre le parking P6 et l'aérogare, je réalise qu'il est 6h35…problème, l'embarquement se clôture à 6h40…il va falloir courir vite d'autant plus que les vols du matin ne sont pas souvent en retard.
C'est donc un véritable sprint auquel nous nous livrerons. Le PIF sera rapidement passé mais j'ai droit à un contrôle aléatoire d'explosif auquel je me prête volontiers même si dans ces conditions, c'est un peu agaçant.
Le report commence donc devant le Duty-free, qu'il faut maintenant traverser.
Mon devoir de Flight Reporter prend le dessus et j'arrête ma course un (très court) instant pour prendre cette photo du hall principal. Maintenant, direction la PAF.
…Que voici. Il n'y a qu'une seule personne devant nous mais l'agent prend tout son temps, puis téléphone à un collègue. Inutile de nous énerver, cela serai contre productif.
Malgré tout nos efforts, c'est finalement à 6h46 que nous arrivons en porte. Inutile de préciser que nous sommes bon dernier mais la porte est encore ouverte, c'est l'essentiel. Vérification sommaire des PLF et du pass sanitaire. Malgré notre retard, les agents seront sympathique, nous conseillant simplement d'arriver plus tôt la prochaine fois^^. L'un d'entre eux prendra même le temps de refaire les lacets de ma mère.
En résumé, heureusement que nous connaissons bien l'aéroport de Toulouse, je n'ai même pas pris le temps de regarder la signalétique ni même un fidis sachant exactement le trajet à faire. Heureusement aussi que l'embarquement a pris quelques petites minutes de retard…nous permettant de ne pas rater notre vol.
Le BP du jour. Ayant hérité d'un modeste 24C lors de l'embarquement en ligne, j'espère pouvoir trouver mieux grâce à ce mogoyage imposé.
C'est encore essoufflé que je réalise cet instant porte.
Fuselage shoot. L'appareil du jour est un A319 immatriculé OE-LQX. Il est âgé de 13,5 ans et a toujours été chez U2. Il me semble que les A319 se rarifient chez EasyJet. Vous confirmez?
J'arrive à troquer mon 24C pour un très bon 7F. D'une part la rangée est vide et d'autre part il est du bon côté pour voir le lever de soleil.
Le pas, assez restreint.
Nous repoussons avec les premières lueurs du jour, soulagé de ne pas avoir raté notre vol.
Roulage pour la 14L. Nous laisserons atterrir un A321NEO EasyJet avant de nous élancer.
La cabine est préparée pour le décollage.
Décollage à l'heure et premières vues sur Toulouse. Ici la rocade.
La partie sud de la ville.
Nous survolons ensuite l'Oncopole avant d'entamer un demi-tour.
Francazal de plus près.
C'est maintenant le centre-ville et la Garonne qui s'offre à nous. Malheureusement, les photos ne rendent pas aussi bien que la réalité.
Blagnac et les usines Airbus.
Vous commencez à vous lasser de ces vues extérieures de qualité moyenne? Et bien…cela va continuer avec le lever de soleil.
Après quelques minutes de vol, le soleil pointe le bout de son nez.
Comme toujours en avion, le lever de soleil est magnifique.
Ici, la ville de Moissac.
Le ciel se couvre.
Il n'y aura donc que peu de vue extérieures pendant la croisière. Croisière que nous effectuerons à 38000ft.
La safety card.
La carte du bob, qui remportera un franc succès. Beaucoup de "Breakfast deal" seront vendus.
Les produits "boutique" auront quant à eu un succès bien plus faible.
Les lieu d'aisances seront assez propres.
L'Est de la France est couvert en ce dernier jour de Février.
Notre descente débute rapidement.
Nous traversons une première couche, ce qui n'est pas de bonne augure pour la météo
Nous parvenons tout de même à voir la côte, avec ici la très belle ville de Brighton et sa jetée.
Notre approche vers LGW se poursuit.
Les couleurs EasyJet offrent de beaux contrastent avec la grisaille Anglaise.
La voie rapide M23 vers Londres.
Enfin l'aéroport de Londres Gatwick apparait après 1h30 de vol. EasyJet règne véritablement en maitre ici même si BA y opère de nombreux vols. Sa nouvelle filiale Euroflyer y sera prochainement basée.
Un A320 U2.
Posé doux sur la 26L avec 25 minutes d'avances.
Après 5 minutes de roulages, nous arrivons en porte. A côté de nous, un jumeaux qui arrive de Milan.
Instant danette
Avant de débarquer, instant F-OITN.
Après avoir discuté quelques instants avec les pilotes, une dernière vue sur notre A319 qui repartira vers MXP.
Le chemin vers la sortie va être très long…
Un A320 U2 et l'emblème de l'aéroport de Gatwick: son célèbre "pont" à passagers que je suis ravi d'enfin découvrir.
Mais en premier lieu, un rapide contrôle d'identité a lieu.
A 32m de haut, les vues de ce pont de 197m de long sont assez inhabituelles. Vue sur un A320 et un A321NEO qui repousse avec quelques minutes de retard pour Tenerife.
Une vue intérieure de ce pont, véritable paradis pour avgeek.
Au milieu des divers A32X EasyJet, un E195 Aurigny pour Guernesey et un 787-8 Tui qui arrive de Cancun avec 1h15 de retard.
Je sais pas vous mais je ne me lasse pas. Au fond se trouve un hangar de maintenance Boeing.
Une dernière photo pour la route alors que l'A321NEO a terminer son puch.
Il est malheureusement temps de redescendre vers une partie plus ancienne constituée de couloirs bas de plafond.
Un récapitulatif précis du circuit des arrivées, on remarque que les passeports Européens et Britaniques sont mélangés.
La PAF que nous franchirons rapidement grâce aux PARAFE d'outre manche.
La zone de récupération des bagages dans laquelle nous ne faisons que passer.
Le Gatwick express permet de rejoindre la centre de Londres en une trentaine de minutes. Toutefois, pour rejoindre la gare, il faut prendre un airtrain afin de rejoindre le terminal nord.
Une fois au terminal nord, il faut rejoindre la gare.
Gare que voici. Pour accéder au quai, il faut s'alléger de 19£ par personnes…
Enfin, nous voici dans le train. Ce dernier est à l'heure et est assez confortable.
Pour les ferrovipathes, la gare de Victoria, le terminus du train.
C'est finalement à 9h25 que nous atteignons Buckingham Palace pour déjeuner…avec vous savez qui…
La route du jour.
Les détails du vol avec une altitude de croisière de 38000ft.
C'est donc ici que je vous quitte.
A bientôt pour le retour!
N'hésiter pas à aller voir mes précédents reports, likez et commentez!
TLS: Bon...faire Blagnac en 5min: check. En tout cas le personnel du PIF était très agréable, un peu moins à la PAF.
EasyJet: Un court vol qui fais le job, avoir 3 sièges libres augmentant forcément le ressenti. Par contre la cabine commence à être ancienne. Les tarifs du BOB sont contenus. En bref un vol low-cost utilitaire et très calme car matinal.
LGW: Le cheminement des arrivés est assez long, on voit bien que le terminal à été agrandi à plusieurs reprises. Le tout est très bien fléché grâce à une signalétique claire et multiple. Ce "pont" à passagers est vraiment magnifique.
L'aéroport étant assez excentré, le train est la plus rapide des solution et permet de maximiser le temps surplace même si il s'avère assez onéreux.
2 Commentaires
Les vues sur Toulouse au décollage sont très belles, surtout avec celle légère lumière matinale. Ça devait être magnifique depuis l’avion.
Il est génial ce pont à LGW!
Merci pour ce Fr
Les levers de soleils sont souvent magnifiques en avion.
A bientôt!
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